Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-01-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 janvier 1920 28 janvier 1920
Description : 1920/01/28 (T14,N1363). 1920/01/28 (T14,N1363).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6254929w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Ministères
DES
"FFAIRES ÉTRA NGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1363
Mercredi 28 janvier 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. — La commission alliée
jes territoires rhénans (Frankfurter
leitung). — « Le problème de la paix
?®e » par Hans Vorst, Berliner Ta-
geblatt). — L'élection de M. Deschanel
(E: Reventlow dans Deutsche Tages-
zeilung - Tâgliche Rundschau). - Le
.Stère Millerandf (Frankfurter Zei-
tung). — L'armée allemande et la
politique (pClT \V. Guske, N eue Zeit).
Politique (Pir W. Guske, Neue Zeit).
Pre "SSE AMERICAINE. — La propagande révo-
lonnaite aux Etats-Unis (New York
mes)- — Les Etats-Unis et l'Autriche
tL New York World)
qŒSSE ANGLAISE. — La politique britanni-
que en Russie (Morning Post, Daily
ChfOnicle, Sunday Pictorial, Daily He-
fald). - Le rôle de la Pologne (Obser-
Ver). - La France et les Arabes en
Svri e (Manchester Guardian).
DANOISE. — Le bolchevisme et
l'AC ^i Berlingske Tidende).
bo^r> ^01;1rANDAISE- — La Pologne et les
olchevlks (Nypels, dans Algemeen
Ja(ty' - Un crédit hollandais
à VAU 6magne (Algemeen Handelsblad).
Vsse RUSSE. — Achats- de marchandises
e la Russie méridionale en Tchéco-Slo-
p Vaquie (Donskaïa Riétch). -
^sse J°UG?fLAVE- — La question adria-
tique : Une protestation yougoslave
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
JOtREC0MMlSSI°N ALLIEE DES TERRI-
rui.a™ision??ANS' à Coblence, a publié
nes qUI. slgmfient pour nos com-
~tes , ta.1 juridinn e complète, une menace cons-
riJ11, dp particuliers, un bâillonnement
nn
rafnri e .de toute la vie publique. Tout cela
l'iSl"O.e la cnîru que l'on éprouve du milita-
la f10 allem^ai'dn - Voilà bien le faux calcul,
QVeù'ule dans la':lueJJe tombe tout militariste
den'irnporte, quelle nation. Les
iïvq s^s anr>ii!? resteront allemands et
.;IVe "ans aucune Propagande venue de la
tw droite. La population des territoires
si ésr ~ondes territoires
festo ■décisin-n^ durs instants à affronter
les ih ChlSlons de la commission alliée
L t111c ancre' e
, G. CO ,5, S..
La commission ,alliée donne à croire
Par ses décisions un lien de
^avvi 1 ^ordrp paix, destiné à réaliser
l'union des POPlltatlOns du Rhin et des peu-
nlilé Pour l'avènement> de temps
!ïleiiiû s- Ces ni lrs de la réthorique gau-
! e flneront comme une ironie san-
glante aux oreilles de nos populations rhé-
nanes étranglées.
FRANKFURTER ZEITUNG,
22.1.
LA QUESTION ADRIATIQUE
UNE PROTESTATION YOUGOSLAVE.
— Les députés de Zagreb faisant partie du
club national ont eu hier soir (22 janv.) une
réunion où furent débattues des dernières
nouvelles parvenues de la Conférence de la
paix. Le club a résolu d'entreprendre une
vive action contre la solution envisagée, et
il a adressé immédiatement à M. Da-
vidovitch, président du Conseil, le message
télégraphique suivant :
Les dernières nouvelles parvenues au su-
jet de la délimitation des frontières entre
notre pays et le royaume d'Italie ont vive-
ment ému le club national et toute la na-
tion. D'après ces nouvelles, on enlève à
notre système national des centaines de mil-
liers de Croates et de Slovènes, et en sous-
trayant du même coup à la souverainete de
la nation sa seule issue sur la mer, on lui
supprime la possibilité de tout développe-
ment économique d'ici longtemps. Si le gou-
vernement et notre délégation à la Confé-
rence de la paix acceptaient une pareille
solution de la question adriatique, ils por-
teraient une atteinte profonde aux intérêts
vitaux de notre pays.
Etant donné qu'il n'est pas question ici
d'une affaire de parti, mais d'une affaire
qui intéresse le pays tout entier, nous réi-
térons nos avertissements au gouvernement
et à notre délégation à la Conférence de la
paix, afin qu'ils s'opposent de toutes leurs
forces à une telle solution et qu'ils ne cè-
dent sous aucun prétexte aux pressions ita-
liennes : notre peuple ne se résoudrait ja-
mais à accepter un compromis pareil. —
Dr. Matko Laguigna, président du Club na-
tional.
HRVAT, édité dans ZAGREBATCHKE NO-
VINE [« Les nouvelles de Zagreb », or-
gane commun publié pendant la grève
des journaux], 23.1.
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LA POLITIQUE BRITANNIQUE — Nous
avons envoyé en Russie de nombreuses
missions diplomatiques et militaires; parmi
elles figuraient des hommes d'une capacité
et d'un patriotisme éprouvés ; il y a un
grand nombre d'Anglais qui pourraient
renseigner le Premier Ministre sur la gra-
vité du danger qui nous menace ; nous
croyons que l'avis de ces personnes compé-
tentes a été complètement négligé. Le Pre-
mier Ministre, qui confond une ville russe
avec un général russe, préfère puiser les
grandes lignes de sa politique russe dans
sa propre inspiration, aidée sans doute par
les conseils de la finance internationale et
les menaces du travail. L'ouvrier britanni-
que accepte les mensonges les plus gro-
tesques sur la Russie des Soviets. La vérité
est que les Allemands et les juifs réaction-
naires, ont d'un commun accord créé un
nouvel empire en Russie. Cet empire n'est
pas fondé sur la démocratie, mais sur la
terreur ; il n'a pas libéré le prolétariat ;
il l'exploite. Nous n'avons jamais prêté
un appui sincère à la cause chrétienne en
Russie ; nous avons seulement défendu la
première révolution contre la seconde. Telle
fut l'erreur fatale, qui a provoqué une ruine
générale. Il n'y a de salut pour la Russie que
dans le retour à la cause nationale, insépa-
rable elle-même de la monarchie et de l'E-
glise. (Ed.).
MORNING POST, 24.1.
— Au cours des derniers jours, on a ré-
pandu malignement le bruit que M. Lloyd
George était en désaccord avec plusieurs
de ses collègues sur la question russe, et on
a ajouté que M. Churchill, ou l'état-major
général avait proposé l'envoi de troupes bri-
tanniques dans le Caucase. Une note, pu-
bliée hier et émanant du Premier Ministre,
a démenti formellement ces légendes. Au-
cune proposition de cette nature n'a été
soumise. Comment cette légende s'est-elle
créée ? C'est probablement parce que l'état-
major général a dressé (comme c'était son
devoir, de par ses attributions normales) un
état des troupes nécessaires, en cas d'in-
tervention contre une invasion possible du
Caucase par les bolcheviks. Dans les cir-
constances actuelles, rien n'était plus natu-
rel que la présentation de cette estimation
au Conseil Suprême, mais il ne faut pas
en conclure qu'une intervention était pré-
conisée ; bien au contraire, l'existence de
ce document tendrait à prouver l'impossi-
bilité d'une intervention.
Les prétendus désaccords qui régneraient
à l'intérieur du Cabinet tiennent également
croyons-nous à une déformation des faits.
Personne ne peut penser que les vues des
membres du Cabinet, pris individuellement.
soient, sur la question russe exactement
identiques. Mais il n'y a aucune raison de
croire que ces divergences soient impor-
tantes au point de les empêcher d'adhérer
à un programme commun. Chacun sait
qu'il y a eu des difficultés aussi grandes,
sinon même supérieures, à vaincre pour
mettre d'accord les vues des hommes d'E-
tat français et des nôtres sur la politique
russe. En ce qui nous concerne, nous vou-
lons avant tout que cette politique soit
claire et cohérente. On peut faire la guerre
à Lenine, on peut aussi peut-être conclure
avec lui une paix satisfaisante : on ne peut
en tout cas s'arrêter à une solution moyen-
ne entre cette double alternative. Entre la
paix et la guerre, il n'y a pas de compro-
mis possible. On ne peut pas songer à com-
mercer utilement avec un peuple si on ne
renonce pas définitivement à le combattre.
On ne peut pas de même en conscience dé-
conseiller la Pologne et la Lettonie de con-
clure la paix avec la Russie des Soviets, à
moins de penser qu'elles n'aient rien à
craindre d'une attaque russe. On parait
d'ailleurs oublier à cet égarti que la Grande-
Bretagne, aux termes du pacte de la So-
ciété des Nations, maintenant en vigueur,
garantit l'indépendance et l'intégrité terri-
toriale de la Pologne. (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 24.1.
DES
"FFAIRES ÉTRA NGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1363
Mercredi 28 janvier 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. — La commission alliée
jes territoires rhénans (Frankfurter
leitung). — « Le problème de la paix
?®e » par Hans Vorst, Berliner Ta-
geblatt). — L'élection de M. Deschanel
(E: Reventlow dans Deutsche Tages-
zeilung - Tâgliche Rundschau). - Le
.Stère Millerandf (Frankfurter Zei-
tung). — L'armée allemande et la
politique (pClT \V. Guske, N eue Zeit).
Politique (Pir W. Guske, Neue Zeit).
Pre "SSE AMERICAINE. — La propagande révo-
lonnaite aux Etats-Unis (New York
mes)- — Les Etats-Unis et l'Autriche
tL New York World)
qŒSSE ANGLAISE. — La politique britanni-
que en Russie (Morning Post, Daily
ChfOnicle, Sunday Pictorial, Daily He-
fald). - Le rôle de la Pologne (Obser-
Ver). - La France et les Arabes en
Svri e (Manchester Guardian).
DANOISE. — Le bolchevisme et
l'AC ^i Berlingske Tidende).
bo^r> ^01;1rANDAISE- — La Pologne et les
olchevlks (Nypels, dans Algemeen
Ja(ty' - Un crédit hollandais
à VAU 6magne (Algemeen Handelsblad).
Vsse RUSSE. — Achats- de marchandises
e la Russie méridionale en Tchéco-Slo-
p Vaquie (Donskaïa Riétch). -
^sse J°UG?fLAVE- — La question adria-
tique : Une protestation yougoslave
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
JOtREC0MMlSSI°N ALLIEE DES TERRI-
rui.a™ision??ANS' à Coblence, a publié
nes qUI. slgmfient pour nos com-
~tes ,
riJ11, dp particuliers, un bâillonnement
nn
rafnri e .de toute la vie publique. Tout cela
l'iSl"O.e la cnîru que l'on éprouve du milita-
la f10 allem^ai'dn - Voilà bien le faux calcul,
QVeù'ule dans la':lueJJe tombe tout militariste
den'irnporte, quelle nation. Les
iïvq s^s anr>ii!? resteront allemands et
.;IVe "ans aucune Propagande venue de la
tw droite. La population des territoires
si ésr ~ondes territoires
festo ■décisin-n^ durs instants à affronter
les ih ChlSlons de la commission alliée
L t111c ancre' e
, G. CO ,5, S..
La commission ,alliée donne à croire
Par ses décisions un lien de
^avvi 1 ^ordrp paix, destiné à réaliser
l'union des POPlltatlOns du Rhin et des peu-
nlilé Pour l'avènement> de temps
!ïleiiiû s- Ces ni lrs de la réthorique gau-
! e flneront comme une ironie san-
glante aux oreilles de nos populations rhé-
nanes étranglées.
FRANKFURTER ZEITUNG,
22.1.
LA QUESTION ADRIATIQUE
UNE PROTESTATION YOUGOSLAVE.
— Les députés de Zagreb faisant partie du
club national ont eu hier soir (22 janv.) une
réunion où furent débattues des dernières
nouvelles parvenues de la Conférence de la
paix. Le club a résolu d'entreprendre une
vive action contre la solution envisagée, et
il a adressé immédiatement à M. Da-
vidovitch, président du Conseil, le message
télégraphique suivant :
Les dernières nouvelles parvenues au su-
jet de la délimitation des frontières entre
notre pays et le royaume d'Italie ont vive-
ment ému le club national et toute la na-
tion. D'après ces nouvelles, on enlève à
notre système national des centaines de mil-
liers de Croates et de Slovènes, et en sous-
trayant du même coup à la souverainete de
la nation sa seule issue sur la mer, on lui
supprime la possibilité de tout développe-
ment économique d'ici longtemps. Si le gou-
vernement et notre délégation à la Confé-
rence de la paix acceptaient une pareille
solution de la question adriatique, ils por-
teraient une atteinte profonde aux intérêts
vitaux de notre pays.
Etant donné qu'il n'est pas question ici
d'une affaire de parti, mais d'une affaire
qui intéresse le pays tout entier, nous réi-
térons nos avertissements au gouvernement
et à notre délégation à la Conférence de la
paix, afin qu'ils s'opposent de toutes leurs
forces à une telle solution et qu'ils ne cè-
dent sous aucun prétexte aux pressions ita-
liennes : notre peuple ne se résoudrait ja-
mais à accepter un compromis pareil. —
Dr. Matko Laguigna, président du Club na-
tional.
HRVAT, édité dans ZAGREBATCHKE NO-
VINE [« Les nouvelles de Zagreb », or-
gane commun publié pendant la grève
des journaux], 23.1.
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LA POLITIQUE BRITANNIQUE — Nous
avons envoyé en Russie de nombreuses
missions diplomatiques et militaires; parmi
elles figuraient des hommes d'une capacité
et d'un patriotisme éprouvés ; il y a un
grand nombre d'Anglais qui pourraient
renseigner le Premier Ministre sur la gra-
vité du danger qui nous menace ; nous
croyons que l'avis de ces personnes compé-
tentes a été complètement négligé. Le Pre-
mier Ministre, qui confond une ville russe
avec un général russe, préfère puiser les
grandes lignes de sa politique russe dans
sa propre inspiration, aidée sans doute par
les conseils de la finance internationale et
les menaces du travail. L'ouvrier britanni-
que accepte les mensonges les plus gro-
tesques sur la Russie des Soviets. La vérité
est que les Allemands et les juifs réaction-
naires, ont d'un commun accord créé un
nouvel empire en Russie. Cet empire n'est
pas fondé sur la démocratie, mais sur la
terreur ; il n'a pas libéré le prolétariat ;
il l'exploite. Nous n'avons jamais prêté
un appui sincère à la cause chrétienne en
Russie ; nous avons seulement défendu la
première révolution contre la seconde. Telle
fut l'erreur fatale, qui a provoqué une ruine
générale. Il n'y a de salut pour la Russie que
dans le retour à la cause nationale, insépa-
rable elle-même de la monarchie et de l'E-
glise. (Ed.).
MORNING POST, 24.1.
— Au cours des derniers jours, on a ré-
pandu malignement le bruit que M. Lloyd
George était en désaccord avec plusieurs
de ses collègues sur la question russe, et on
a ajouté que M. Churchill, ou l'état-major
général avait proposé l'envoi de troupes bri-
tanniques dans le Caucase. Une note, pu-
bliée hier et émanant du Premier Ministre,
a démenti formellement ces légendes. Au-
cune proposition de cette nature n'a été
soumise. Comment cette légende s'est-elle
créée ? C'est probablement parce que l'état-
major général a dressé (comme c'était son
devoir, de par ses attributions normales) un
état des troupes nécessaires, en cas d'in-
tervention contre une invasion possible du
Caucase par les bolcheviks. Dans les cir-
constances actuelles, rien n'était plus natu-
rel que la présentation de cette estimation
au Conseil Suprême, mais il ne faut pas
en conclure qu'une intervention était pré-
conisée ; bien au contraire, l'existence de
ce document tendrait à prouver l'impossi-
bilité d'une intervention.
Les prétendus désaccords qui régneraient
à l'intérieur du Cabinet tiennent également
croyons-nous à une déformation des faits.
Personne ne peut penser que les vues des
membres du Cabinet, pris individuellement.
soient, sur la question russe exactement
identiques. Mais il n'y a aucune raison de
croire que ces divergences soient impor-
tantes au point de les empêcher d'adhérer
à un programme commun. Chacun sait
qu'il y a eu des difficultés aussi grandes,
sinon même supérieures, à vaincre pour
mettre d'accord les vues des hommes d'E-
tat français et des nôtres sur la politique
russe. En ce qui nous concerne, nous vou-
lons avant tout que cette politique soit
claire et cohérente. On peut faire la guerre
à Lenine, on peut aussi peut-être conclure
avec lui une paix satisfaisante : on ne peut
en tout cas s'arrêter à une solution moyen-
ne entre cette double alternative. Entre la
paix et la guerre, il n'y a pas de compro-
mis possible. On ne peut pas songer à com-
mercer utilement avec un peuple si on ne
renonce pas définitivement à le combattre.
On ne peut pas de même en conscience dé-
conseiller la Pologne et la Lettonie de con-
clure la paix avec la Russie des Soviets, à
moins de penser qu'elles n'aient rien à
craindre d'une attaque russe. On parait
d'ailleurs oublier à cet égarti que la Grande-
Bretagne, aux termes du pacte de la So-
ciété des Nations, maintenant en vigueur,
garantit l'indépendance et l'intégrité terri-
toriale de la Pologne. (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 24.1.
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