Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-01-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 janvier 1920 16 janvier 1920
Description : 1920/01/16 (T14,N1353). 1920/01/16 (T14,N1353).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6254919h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERES
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
-
N° 1353
Vendredi 16 janvier 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PlîESSE AMÉRICAINE. — Le Président Wilson
et le Sénat américain (New York Tri-
oune). — Le traité de Neuilly (New
York World). — Les Etats-Unis et
Arménie (New York Times). — La
ceSsation du contrôle fédéral sur les
ch'e-tains de fer américains (New York
Tribune). — Les fabricants de conser-
ves de Chicago (New York Call).
fi fi f'
.SSE ANGLAISE. — La mise en vigueur du
traité de Versailles (Birmingham Post).
-; Le sort de Constantinople (Pall Mall
Gazette, Daily Graphie).
- <:t.
PIî£ SSE ESPAGNOLE. - La révolte de Sara-
gOSse (Correspondencia Militar). — La
ban Ue espagnole et les monnaies
étr angères (Diario Universal).
Iï ^Ssf HOLLANDAISE. — La mise en vigueur
du traité de Versailles (Nieuwe Cou-
rant) ^ersa*^es (Nieuwe Cou-
ITALIE\NE. — L'Italie et ses alliés
(NIN na^e d ltoU0* Resto del Carlino,
; PPoen) — Les demandes du person-
des chemins de fer en Italie (Gaz-
: etta del Popolo).
; ~SSE
? *ESSE JAPONAISE. — L'augmentation du
Priv de la vie à Tokio (Jiji Shimpo).
: '----- ————————————
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LE tRAITÉ DE VERSAILLES
L'ECHANGE DES RATIFICATIONS. -
Il n'y CIIANGE DES RATIFlC.ATIONS. --
ta e, "e raisons pour se réjouir
avèneent de la paix. Le monde est
Sses trop épuisé pour caresser de
vP1,e situ p £ aTS à l'égard de la nou-
(IJe sltl]ation. - Cependant il est convaincu
que nulle amélioration n'est possible si
que ^uijp 11 0ration ln est Possible si
^e cjup 1 !pas à une sécurité plus
4€rhent qui vient d'être obtenue
Avec ou sans les Etats-Unis, la Société
Avec "Il sans les Etats-Unis, la Société
I" N ations fonctionnera à très bref dé-
daviw+ restauration ne saurait
]q l11eTlce avantage. C'est même dans le
i4 %rWre ^nceaien£ f LDVETTE œuvre que réside
laRra "de signification de la paix enfin si-
°Vze commissions doivent
appliquer les articles du traité de paix. El-
sont chargées de fixer les frontières, de
11 de certains territoi-
, "Ires tâches encore, mais pour
est la commission la plus
°!ls dé est celle de la reconstitution des
Vastées en Flandre et en Fran-
ce. La reconstitution économique, voilà ce
que le monde attend de la paix, puisqu'il
ne peut encore espérer la justice et l'ami-
tié.
La grosse question sera de savoir dans
quelle mesure l'Allemagne peut satisfaire
aux conditions de paix. L'avènement de la
paix s'y produit sous les signes les plus
défavorables. De nouveau des grèves de
chemins de fer y ont éclaté il il y règne
une sérieuse inquiétude. Sans doute les
bruits de la semaine passée sur la chute
du Gouvernement étaient prématurés, mais
la position de celui-ci est loin d'être solide.
La coalition du centre, des démocrates et
des social-démocrates repose sur un com-
promis et par conséquent se trouve à la
merci de la première tempête venue.
NIEUWE COURANT [de la Haye], 12.1.
- Après la signature du traité, le peu-
ple allemand n'a pas témoigné qu'il recon-
naissait les torts commis par lui, ni qu'il
désirait réparer les conséquences néfastes
de sa conduite. Il a donc été nécessaire
de prendre à son égard les mesures les
plus strictes ; nous devons avouer que
même à l'heure actuelle il n'apparaît guère
animé d'un esprit nouveau. L'Allemagne a
signé le protocole de paix, parce qu'elle
y était obligée ; la proclamation qu'elle a
adressée aux populations détachées de Sa
souveraineté a presque un ton de défi.
L'esprit nouveau peut apparaître. Quand il
se fera jour, la voie des concessions sera
ouverte. Mais les concessions ne pourront
être envisagées qu'après que l'Allemagne
aura reconnu sa culpabilité et se sera ef-
forcée en toute sincérité de l'expier. A
notre avis les clauses du traité sont aussi
généreuses que le permet la sécurité du
monde ; notre espoir est que l'Allemagne,
par sa conduite, donnera la preuve que cer-
taines d'entre elles ne sont plus nécessai-
res. En présence d'une Allemagne réduite
à la défaite, les Alliés avaient le choix
entre deux méthodes. Ils pouvaient la rui-
ner dans son existence, lui arracher des
territoires considérables, dépouiller ses ha-
bitants de tout l'argent et de tout le maté-
riel qu'ils détenaient et reconstituer l'équi-
libre commercial du monde, en l'excluant.
Ou bien, ils pouvaient ne lui demander que
ce qui était indispensable à la sécurité de
l'Europe et à la reconstitution des nations
que l'Allemagne avait pillées, tout en
aidant cette dernière puissance à repren-
dre sa place dans l'organisation commer-
ciale et industrielle. Avec beaucoup de sa-
gesse et d'humanité, les Alliés ont opté
pour la seconde solution. Il est de leur in-
térêt évident de faciliter la reconstitution
de l' Allemagne. Mais les Allemands ne doi-
vent pas perdre de vue deux faits essen-
tiels. Les puissances de l'Europe sont ré-
duites actuellement à la détresse, de par
la conduite de l'Allemagne. Le relève-
ment de l'Allemagne importe moins que le
juste châtiment des auteurs de la guerre
et de leurs complices, qui on vu dans la
guerre un instrument de pillage et de
cruauté. — (Ed.)
BIRMINGHAM POST, 12.1.
LE PRESIDENT WILSON ET LE SENAT
DES ETATS-UNIS. — A Washington un
mystère devient. plus impénétrable de jour
en jour. C'est le mystère qui enveloppe l'as-
sertion de Mr. Hitchcock, suivant laquelle
le président envisagerait un compromis ac-
ceptable, relativement à la réserve du Sénat
qui concerne l'article 6 du Pacte de la So-
ciété des Nations. Avant-hier le sénateur du
Nebraska a avancé deux explications ad-
ditionnelles. L'une a paru dans une dépêche
spéciale du World, et l'autre, dans une dé-
pêche spéciale du New-York Times. Ce qu'el-
les signifient et dans quelle mesure elles
amènent une entente, doit être laissé à l'i-
magination du lecteur. La première est ain-
si rédigée : « Le Président pense que les ap-
préciation du Conseil Exécutif représentent
simplement un avis, et que le Congrès res-
terait entièrement libre d'agir ou de ne pas
agir d'après cette appréciation. Il (le séna-
teur Hitchcock) a la conviction que le Pré-
sident accepterait une réserve reconnais-
sant que les « appréciations » sont des
« avis », subordonnés à une décision du
Congrès. » La seconde dépêche s'exprime
comme il suit : « Le Président Wilson, dit
le sénateur, accepterait sur ce point une
réserve qui donne au Congrès toute autorité
dans un cas donné pour décider si ce cas
place les Etats-Unis dans l'obligation mo-
rale de mettre en mouvement son armée et
sa marine pour la défense des droits terri-
toriaux d'une nation quelconque. Mais le
Président n'accepterait pas, croit-il, une ré-
serve qui rejetterait, du pacte l'avertisse-
ment direct donné à toutes les nations que
toute guerre de conquête entreprise amè-
nerait sur elles les forces justicières du
monde. Si l'« appréciation » du Conseil
n'est qu'un « avis », comme le Président
l'a dit à la Commission sénatoriale des Af-
faires Etrangères le 19 août dernier, il doit
toujours en être ainsi. La réserve propo-
sée à l'article 6 ne modifie évidemment pas
les obligations de ce pays. Elle associe tout
simplement le Congrès au Président afin
de déterminer dans toute circonstance s'il
est de notre devoir d'agir. Elle prévoit le
contrôle parlementaire comme un frein au
gouvernement personnel, » (Ed.).
NEW YORK TRIBUNE, 25.12.
LA POLITIQUE ITALIENNE
L'ITALIE ET SES ALLIES. — M. Nitti
a voulu esayer à Paris du système des né-
gociations directes avec les représentants
de la Yougoslavie et de la Grèce. Pour le
moment nous savons ceci : M. Trumbitch,
qui avait eu la veille une conversation de
deux heures avec M. Nitti, s'est présenté
samedi devant le Conseil Suprême (com
posé des trois premiers ministres d'Italie,
de France et d'Angleterre, des ambassa-
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
-
N° 1353
Vendredi 16 janvier 1920
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PlîESSE AMÉRICAINE. — Le Président Wilson
et le Sénat américain (New York Tri-
oune). — Le traité de Neuilly (New
York World). — Les Etats-Unis et
Arménie (New York Times). — La
ceSsation du contrôle fédéral sur les
ch'e-tains de fer américains (New York
Tribune). — Les fabricants de conser-
ves de Chicago (New York Call).
fi fi f'
.SSE ANGLAISE. — La mise en vigueur du
traité de Versailles (Birmingham Post).
-; Le sort de Constantinople (Pall Mall
Gazette, Daily Graphie).
- <:t.
PIî£ SSE ESPAGNOLE. - La révolte de Sara-
gOSse (Correspondencia Militar). — La
ban Ue espagnole et les monnaies
étr angères (Diario Universal).
Iï ^Ssf HOLLANDAISE. — La mise en vigueur
du traité de Versailles (Nieuwe Cou-
rant) ^ersa*^es (Nieuwe Cou-
ITALIE\NE. — L'Italie et ses alliés
(NIN na^e d ltoU0* Resto del Carlino,
; PPoen) — Les demandes du person-
des chemins de fer en Italie (Gaz-
: etta del Popolo).
; ~SSE
? *ESSE JAPONAISE. — L'augmentation du
Priv de la vie à Tokio (Jiji Shimpo).
: '----- ————————————
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
LE tRAITÉ DE VERSAILLES
L'ECHANGE DES RATIFICATIONS. -
Il n'y CIIANGE DES RATIFlC.ATIONS. --
ta e, "e raisons pour se réjouir
avèneent de la paix. Le monde est
Sses trop épuisé pour caresser de
vP1,e situ p £ aTS à l'égard de la nou-
(IJe sltl]ation. - Cependant il est convaincu
que nulle amélioration n'est possible si
que ^uijp 11 0ration ln est Possible si
^e cjup 1 !pas à une sécurité plus
4€rhent qui vient d'être obtenue
Avec ou sans les Etats-Unis, la Société
Avec "Il sans les Etats-Unis, la Société
I" N ations fonctionnera à très bref dé-
daviw+ restauration ne saurait
]q l11eTlce avantage. C'est même dans le
i4 %rWre ^nceaien£ f LDVETTE œuvre que réside
laRra "de signification de la paix enfin si-
°Vze commissions doivent
appliquer les articles du traité de paix. El-
sont chargées de fixer les frontières, de
11 de certains territoi-
, "Ires tâches encore, mais pour
est la commission la plus
°!ls dé est celle de la reconstitution des
Vastées en Flandre et en Fran-
ce. La reconstitution économique, voilà ce
que le monde attend de la paix, puisqu'il
ne peut encore espérer la justice et l'ami-
tié.
La grosse question sera de savoir dans
quelle mesure l'Allemagne peut satisfaire
aux conditions de paix. L'avènement de la
paix s'y produit sous les signes les plus
défavorables. De nouveau des grèves de
chemins de fer y ont éclaté il il y règne
une sérieuse inquiétude. Sans doute les
bruits de la semaine passée sur la chute
du Gouvernement étaient prématurés, mais
la position de celui-ci est loin d'être solide.
La coalition du centre, des démocrates et
des social-démocrates repose sur un com-
promis et par conséquent se trouve à la
merci de la première tempête venue.
NIEUWE COURANT [de la Haye], 12.1.
- Après la signature du traité, le peu-
ple allemand n'a pas témoigné qu'il recon-
naissait les torts commis par lui, ni qu'il
désirait réparer les conséquences néfastes
de sa conduite. Il a donc été nécessaire
de prendre à son égard les mesures les
plus strictes ; nous devons avouer que
même à l'heure actuelle il n'apparaît guère
animé d'un esprit nouveau. L'Allemagne a
signé le protocole de paix, parce qu'elle
y était obligée ; la proclamation qu'elle a
adressée aux populations détachées de Sa
souveraineté a presque un ton de défi.
L'esprit nouveau peut apparaître. Quand il
se fera jour, la voie des concessions sera
ouverte. Mais les concessions ne pourront
être envisagées qu'après que l'Allemagne
aura reconnu sa culpabilité et se sera ef-
forcée en toute sincérité de l'expier. A
notre avis les clauses du traité sont aussi
généreuses que le permet la sécurité du
monde ; notre espoir est que l'Allemagne,
par sa conduite, donnera la preuve que cer-
taines d'entre elles ne sont plus nécessai-
res. En présence d'une Allemagne réduite
à la défaite, les Alliés avaient le choix
entre deux méthodes. Ils pouvaient la rui-
ner dans son existence, lui arracher des
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bitants de tout l'argent et de tout le maté-
riel qu'ils détenaient et reconstituer l'équi-
libre commercial du monde, en l'excluant.
Ou bien, ils pouvaient ne lui demander que
ce qui était indispensable à la sécurité de
l'Europe et à la reconstitution des nations
que l'Allemagne avait pillées, tout en
aidant cette dernière puissance à repren-
dre sa place dans l'organisation commer-
ciale et industrielle. Avec beaucoup de sa-
gesse et d'humanité, les Alliés ont opté
pour la seconde solution. Il est de leur in-
térêt évident de faciliter la reconstitution
de l' Allemagne. Mais les Allemands ne doi-
vent pas perdre de vue deux faits essen-
tiels. Les puissances de l'Europe sont ré-
duites actuellement à la détresse, de par
la conduite de l'Allemagne. Le relève-
ment de l'Allemagne importe moins que le
juste châtiment des auteurs de la guerre
et de leurs complices, qui on vu dans la
guerre un instrument de pillage et de
cruauté. — (Ed.)
BIRMINGHAM POST, 12.1.
LE PRESIDENT WILSON ET LE SENAT
DES ETATS-UNIS. — A Washington un
mystère devient. plus impénétrable de jour
en jour. C'est le mystère qui enveloppe l'as-
sertion de Mr. Hitchcock, suivant laquelle
le président envisagerait un compromis ac-
ceptable, relativement à la réserve du Sénat
qui concerne l'article 6 du Pacte de la So-
ciété des Nations. Avant-hier le sénateur du
Nebraska a avancé deux explications ad-
ditionnelles. L'une a paru dans une dépêche
spéciale du World, et l'autre, dans une dé-
pêche spéciale du New-York Times. Ce qu'el-
les signifient et dans quelle mesure elles
amènent une entente, doit être laissé à l'i-
magination du lecteur. La première est ain-
si rédigée : « Le Président pense que les ap-
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simplement un avis, et que le Congrès res-
terait entièrement libre d'agir ou de ne pas
agir d'après cette appréciation. Il (le séna-
teur Hitchcock) a la conviction que le Pré-
sident accepterait une réserve reconnais-
sant que les « appréciations » sont des
« avis », subordonnés à une décision du
Congrès. » La seconde dépêche s'exprime
comme il suit : « Le Président Wilson, dit
le sénateur, accepterait sur ce point une
réserve qui donne au Congrès toute autorité
dans un cas donné pour décider si ce cas
place les Etats-Unis dans l'obligation mo-
rale de mettre en mouvement son armée et
sa marine pour la défense des droits terri-
toriaux d'une nation quelconque. Mais le
Président n'accepterait pas, croit-il, une ré-
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ment direct donné à toutes les nations que
toute guerre de conquête entreprise amè-
nerait sur elles les forces justicières du
monde. Si l'« appréciation » du Conseil
n'est qu'un « avis », comme le Président
l'a dit à la Commission sénatoriale des Af-
faires Etrangères le 19 août dernier, il doit
toujours en être ainsi. La réserve propo-
sée à l'article 6 ne modifie évidemment pas
les obligations de ce pays. Elle associe tout
simplement le Congrès au Président afin
de déterminer dans toute circonstance s'il
est de notre devoir d'agir. Elle prévoit le
contrôle parlementaire comme un frein au
gouvernement personnel, » (Ed.).
NEW YORK TRIBUNE, 25.12.
LA POLITIQUE ITALIENNE
L'ITALIE ET SES ALLIES. — M. Nitti
a voulu esayer à Paris du système des né-
gociations directes avec les représentants
de la Yougoslavie et de la Grèce. Pour le
moment nous savons ceci : M. Trumbitch,
qui avait eu la veille une conversation de
deux heures avec M. Nitti, s'est présenté
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