Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-12-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 décembre 1919 17 décembre 1919
Description : 1919/12/17 (N1330,T13). 1919/12/17 (N1330,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239367h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTERES
î DES
S ETRANGERES
!r DE LA GUERRE
1 N° 1330
Mercredi 17 décembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont 4m
1. résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PSE ALLEMANDE. - L'Allemagne et la
France (Deutsche Allgemeine Zeitung).
7: Le traité de Neuilly (Germania,
eutsche Allgemeine Zeitung).
~SE AMÉRICAINE. — Déclarations de M.
LNiar'ten,s « ambassadeur des Soviets aux
ats-Unis (New York Times, New
YOrk World).
dSE ANGLAISE. — La Conférence de Lon-
res (Times).
SSE DANOISE. — L'offensive de Youde-
nitch vers Petrograd (Communication
^^apitaine Nyholm au Berlingkse Ti-
ende).
^ESSE HOLLANDAISE. — La Conférence de
Londres (Nieuwe Rotterdamsche Cou-
1 Tant).
£ SSE ITALIENNE. — La conférence de Lon-
dres (Corriere \della Sera, ldea Nazio-
1 (le, Corriere d'italia). — « La paix
jvanescente » (Tempo). — L'Italie et la
confédération danubienne (Corriere del-
P la Sera)
, L YOUGOSLAVE. — La conférence de
Londres (Agramer Tagblatt).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L
LA CONFÉRENCE DE LONDRES
LPIS 5ESERVES DU SENAT AMERI-
C tT LES ALLIES D'EUROPE. -
kts su ANGLAISE. — Nous pensons que le
i cor,, muniqué officiel relatif à la conférence
eXPOSéwntng Street sera complété par un
Phm;. Plus complet au Parlement dune
la t ré smon de tous les résultats obtenus.
10n de la Conférence a par elle-
l(t Gra rri0ntriéi que les Alliés, et notamment
GT> 1nde"Bretagne et la France, compre-
Paienti pletnement l'importance qui s'atta-
nait enrégler rapidement les problèmes en-
l'epéter suspens. Mais on ne saurait trop
réuss; aux hommes d'Etat alliée, que, pour
~o~ dans une tâche rendue plus difficile
t'n'e ont Ear les événements des Etats-Unis,
ont esoin à tout moment de l'appui de
0" u li ue, qu'ils doivent renseigner.
le o ecret qui a présidé aux délibérations
ùlHêe*J%eridant la guerre n'est plus désor-
Si nécessaire.
s.îaconi(ïue qu'il soit, le communiqué
ciel Reut être regardé comme sincère ; il
dorlille R erçu plutôt réduit qu'exagéré
l'écieux J s de la Conférence. Il est déjà
^cienv de savoir, qu'après les difficultés
provoquées entre Paris et Londres par le
traitement défectueux de certaines affaires
importantes, l'harmonie a été rétablie, et
qu'une coopération cordiale est certaine à
l'avenir. En ce qui touche les Etats-Unis,
la présence de l'ambassadeur américain à
plusieurs des entretiens donne heureuse-
ment la preuve que le départ de la déléga-
tion américaine de Paris n'implique pas
l'abstention des Etats-Unis dans lès délibé-
rations alliées.
La Conférence n'a pas fait connaître son
jugement sur les réserves du Sénat améri-
cain au traité ; il ne faut pas en conclure
que son silence marque un refus absolu de
les prendre en considération.
Mais elle a pensé avec beaucoup de sa-
gesse que dans l'état actuel des délibéra-
tions, de Washington, toute déclaration ve-
nant du dehors pourrait être regardée com-
me une atteinte illégitime à la liberté de dé-
cision de l'Amérique. Les Alliés d'Europe
sont si profondément convaincus de la sym-
pathie du peuple américain pour l'œuvre
de reconstitution européenne et si détermi-
nés à assumer seuls, en cas de nécessité la
charge que l'Amérique a partagée jusqu'à
présent avec eux, qu'ils peuvent se résou-
dre à attendre patiemment l'issue des dis-
cussions engagées de l'autre côté de l'Atlan-
tique, sans donner prématurément des assu-
rances qui pourraient prêter à des interpré-
tations inexactes. — (Ed.)
TIMES, 15.12.
PRESSE ITALIENNE. — Quelques journaux
parisiens ont déjà lancé l'idée d'obtenir l'ad-
hésion de l'Italie à un traité défensif anglo-
franco-belge. Mais sans vouloir examiner
la question en elle-même, il convient de
faire avant tout une réserve : à savoir,
qu'un tel engagement ne pourrait qu'avoir
un caractère de réciprocité et présuppose
qu'avant de garantir la paix d'autrui l'Italie
ait vu nettement définie la situation équi-
table à laquelle elle a droit. Le ministre
Scialoja, qui séjourne à Londres afin de
participer aux discussions qui y auront lieu
pour examiner la situation générale et les
nouvelles décisions qu'elle exige, aura cer-
tainement l'occasion d'exprimer ce point de
vue dans toute sa netteté.
Etant donné le contraste qui se dessine
entre les tendances anglaises et françaises
sur la méthode à suivre par les Alliés, il
semble que jamais opportunité meilleure ne
s'est présentée de voir résoudre d'une fa-
çon satisfaisante et équitable, tous les pro-
blèmes italiens, dans l'Adriatique et ail-
leurs, qui attendent encore leur conclusion
définitive, pour diverses raisons qui ne sont
pas toutes imputables au seul président Wil-
son.
CORRIERE DELLA SERA, 11.12.
— La participation de l'ambassadeur des
Etats-Unis à la Conférence de Londres si-
gnifie justement que l'Angleterre a l'inten-
tion de s'acheminer, au moyen de solutions
intermédiaires et transitoires, à de nouvel-
les relations qui puissent correspondre,
pour l'utilité de tous, à la politique du Sé-
nat de Washington.
Sous ces conditions, il est plus que pré-
maturé, il est absurde de parler d'une al-
liance anglo-franco-italienne qui remplace-
rait le traité de garantie anglo-franoo-amé-
ricain.
L'Italie a déjà fait beaucoup plus qu'elle
ne devait faire après ce qui s'est passé à
Paris, en donnant sa ratification au traité
de Versailles et en en rendant l'exécution
possible. Elle a donné ainsi la preuve d'une
fidélité aux traités de l'alliance, fidélité non
partagée par les autres contractants.
Elle n'a aucune raison aujourd'hui d'aller
plus loin. De toutes façons, pour conclure
une alliance à trois, il faut être trois. Il est
de fait que l'Angleterre a ratifié le traité de
garantie, mais, puisque ce traité ne peut
avoir de valeur qu'après sa ratification par
l'Amérique, il est bien clair que Londres
désire attendre la décision du Sénat améri-
cain, et, en l'attendant, ne point solliciter
de substitution d'aucune sorte.
Jusqu'à présent on ne peut donc parler de
l'alliance que comme d'un projet français.
Et cela suffit pour l'instant. A Londres il
n'en fut point question.
Il y a enfin le problème adriatique. On
assure que l'Italie a été invitée à présenter
de nouvelles propositions, qui se rappro-
chent du projet américain. Cette invitation,
si elle existe, de la part de l'Angleterre et
de la France, n'a qu'une valeur pléonasti-
que et dilatoire. Elle serait inacceptable.
Avant tout, parce que lorsqu'il s'agit de
principes américains c'est de principes wil-
soniens qu'on entend parler, c'est-à-dire de
principes qui sont en contradiction avec la
politique du Sénat. Que ce soit donc à cause
de ce qui nous reste de dignité, soit donc
à cause du contenu de ces principes, qui
est absolument négatif de toute solution
adriatique (la censure nous empêche d'être
plus précis), il n'existe aucune possibilité
de nouveaux compromis. Internationale-
ment la série des propositions italiennes
est terminée. L'honorable M. Tittoni a don-
né sa démission en partie pour terminer
cette série sur le rejet de sa troisième so-
lution
L'hôn. M. Scialoja, après six refus, ne
peut pas vouloir attacher son nom, à une
septième tentative qui donnerait le même
Mais l'invitation est inacceptable encore
parce que désormais il n'y a plus qu'une
solution à la question adriatique : celle qui
existe en fait, et qui est la seule qui puisse
résoudre nationalement - c'est cela qui
importe - le problème de Fiume et du ter-
ritoire du traité de Londres.
IDEA NAZIONALE, 14.12.
- L'idée d'une alliance franco-anglo-ita-
lienne s'évanouit, parce que le fait qui la
rendait nécessaire, disparaît. Ce fait est
donné par l'impression que les cabinets de
Londres, et de Paris auraient considéré les
réserves américaines comme inacceptables;
ce qui amenait à considérer l'Amérique
comme détachée du bloc des alliés. Le
détachement de l'Amérique rendait indis-
pensable de mieux cimenter l'union avec
î DES
S ETRANGERES
!r DE LA GUERRE
1 N° 1330
Mercredi 17 décembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont 4m
1. résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PSE ALLEMANDE. - L'Allemagne et la
France (Deutsche Allgemeine Zeitung).
7: Le traité de Neuilly (Germania,
eutsche Allgemeine Zeitung).
~SE AMÉRICAINE. — Déclarations de M.
LNiar'ten,s « ambassadeur des Soviets aux
ats-Unis (New York Times, New
YOrk World).
dSE ANGLAISE. — La Conférence de Lon-
res (Times).
SSE DANOISE. — L'offensive de Youde-
nitch vers Petrograd (Communication
^^apitaine Nyholm au Berlingkse Ti-
ende).
^ESSE HOLLANDAISE. — La Conférence de
Londres (Nieuwe Rotterdamsche Cou-
1 Tant).
£ SSE ITALIENNE. — La conférence de Lon-
dres (Corriere \della Sera, ldea Nazio-
1 (le, Corriere d'italia). — « La paix
jvanescente » (Tempo). — L'Italie et la
confédération danubienne (Corriere del-
P la Sera)
, L YOUGOSLAVE. — La conférence de
Londres (Agramer Tagblatt).
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
L
LA CONFÉRENCE DE LONDRES
LPIS 5ESERVES DU SENAT AMERI-
C tT LES ALLIES D'EUROPE. -
kts su ANGLAISE. — Nous pensons que le
i cor,, muniqué officiel relatif à la conférence
eXPOSéwntng Street sera complété par un
Phm;. Plus complet au Parlement dune
la t ré smon de tous les résultats obtenus.
10n de la Conférence a par elle-
l(t Gra rri0ntriéi que les Alliés, et notamment
GT> 1nde"Bretagne et la France, compre-
Paienti pletnement l'importance qui s'atta-
nait enrégler rapidement les problèmes en-
l'epéter suspens. Mais on ne saurait trop
réuss; aux hommes d'Etat alliée, que, pour
~o~ dans une tâche rendue plus difficile
t'n'e ont Ear les événements des Etats-Unis,
ont esoin à tout moment de l'appui de
0" u li ue, qu'ils doivent renseigner.
le o ecret qui a présidé aux délibérations
ùlHêe*J%eridant la guerre n'est plus désor-
Si nécessaire.
s.îaconi(ïue qu'il soit, le communiqué
ciel Reut être regardé comme sincère ; il
dorlille R erçu plutôt réduit qu'exagéré
l'écieux J s de la Conférence. Il est déjà
^cienv de savoir, qu'après les difficultés
provoquées entre Paris et Londres par le
traitement défectueux de certaines affaires
importantes, l'harmonie a été rétablie, et
qu'une coopération cordiale est certaine à
l'avenir. En ce qui touche les Etats-Unis,
la présence de l'ambassadeur américain à
plusieurs des entretiens donne heureuse-
ment la preuve que le départ de la déléga-
tion américaine de Paris n'implique pas
l'abstention des Etats-Unis dans lès délibé-
rations alliées.
La Conférence n'a pas fait connaître son
jugement sur les réserves du Sénat améri-
cain au traité ; il ne faut pas en conclure
que son silence marque un refus absolu de
les prendre en considération.
Mais elle a pensé avec beaucoup de sa-
gesse que dans l'état actuel des délibéra-
tions, de Washington, toute déclaration ve-
nant du dehors pourrait être regardée com-
me une atteinte illégitime à la liberté de dé-
cision de l'Amérique. Les Alliés d'Europe
sont si profondément convaincus de la sym-
pathie du peuple américain pour l'œuvre
de reconstitution européenne et si détermi-
nés à assumer seuls, en cas de nécessité la
charge que l'Amérique a partagée jusqu'à
présent avec eux, qu'ils peuvent se résou-
dre à attendre patiemment l'issue des dis-
cussions engagées de l'autre côté de l'Atlan-
tique, sans donner prématurément des assu-
rances qui pourraient prêter à des interpré-
tations inexactes. — (Ed.)
TIMES, 15.12.
PRESSE ITALIENNE. — Quelques journaux
parisiens ont déjà lancé l'idée d'obtenir l'ad-
hésion de l'Italie à un traité défensif anglo-
franco-belge. Mais sans vouloir examiner
la question en elle-même, il convient de
faire avant tout une réserve : à savoir,
qu'un tel engagement ne pourrait qu'avoir
un caractère de réciprocité et présuppose
qu'avant de garantir la paix d'autrui l'Italie
ait vu nettement définie la situation équi-
table à laquelle elle a droit. Le ministre
Scialoja, qui séjourne à Londres afin de
participer aux discussions qui y auront lieu
pour examiner la situation générale et les
nouvelles décisions qu'elle exige, aura cer-
tainement l'occasion d'exprimer ce point de
vue dans toute sa netteté.
Etant donné le contraste qui se dessine
entre les tendances anglaises et françaises
sur la méthode à suivre par les Alliés, il
semble que jamais opportunité meilleure ne
s'est présentée de voir résoudre d'une fa-
çon satisfaisante et équitable, tous les pro-
blèmes italiens, dans l'Adriatique et ail-
leurs, qui attendent encore leur conclusion
définitive, pour diverses raisons qui ne sont
pas toutes imputables au seul président Wil-
son.
CORRIERE DELLA SERA, 11.12.
— La participation de l'ambassadeur des
Etats-Unis à la Conférence de Londres si-
gnifie justement que l'Angleterre a l'inten-
tion de s'acheminer, au moyen de solutions
intermédiaires et transitoires, à de nouvel-
les relations qui puissent correspondre,
pour l'utilité de tous, à la politique du Sé-
nat de Washington.
Sous ces conditions, il est plus que pré-
maturé, il est absurde de parler d'une al-
liance anglo-franco-italienne qui remplace-
rait le traité de garantie anglo-franoo-amé-
ricain.
L'Italie a déjà fait beaucoup plus qu'elle
ne devait faire après ce qui s'est passé à
Paris, en donnant sa ratification au traité
de Versailles et en en rendant l'exécution
possible. Elle a donné ainsi la preuve d'une
fidélité aux traités de l'alliance, fidélité non
partagée par les autres contractants.
Elle n'a aucune raison aujourd'hui d'aller
plus loin. De toutes façons, pour conclure
une alliance à trois, il faut être trois. Il est
de fait que l'Angleterre a ratifié le traité de
garantie, mais, puisque ce traité ne peut
avoir de valeur qu'après sa ratification par
l'Amérique, il est bien clair que Londres
désire attendre la décision du Sénat améri-
cain, et, en l'attendant, ne point solliciter
de substitution d'aucune sorte.
Jusqu'à présent on ne peut donc parler de
l'alliance que comme d'un projet français.
Et cela suffit pour l'instant. A Londres il
n'en fut point question.
Il y a enfin le problème adriatique. On
assure que l'Italie a été invitée à présenter
de nouvelles propositions, qui se rappro-
chent du projet américain. Cette invitation,
si elle existe, de la part de l'Angleterre et
de la France, n'a qu'une valeur pléonasti-
que et dilatoire. Elle serait inacceptable.
Avant tout, parce que lorsqu'il s'agit de
principes américains c'est de principes wil-
soniens qu'on entend parler, c'est-à-dire de
principes qui sont en contradiction avec la
politique du Sénat. Que ce soit donc à cause
de ce qui nous reste de dignité, soit donc
à cause du contenu de ces principes, qui
est absolument négatif de toute solution
adriatique (la censure nous empêche d'être
plus précis), il n'existe aucune possibilité
de nouveaux compromis. Internationale-
ment la série des propositions italiennes
est terminée. L'honorable M. Tittoni a don-
né sa démission en partie pour terminer
cette série sur le rejet de sa troisième so-
lution
L'hôn. M. Scialoja, après six refus, ne
peut pas vouloir attacher son nom, à une
septième tentative qui donnerait le même
Mais l'invitation est inacceptable encore
parce que désormais il n'y a plus qu'une
solution à la question adriatique : celle qui
existe en fait, et qui est la seule qui puisse
résoudre nationalement - c'est cela qui
importe - le problème de Fiume et du ter-
ritoire du traité de Londres.
IDEA NAZIONALE, 14.12.
- L'idée d'une alliance franco-anglo-ita-
lienne s'évanouit, parce que le fait qui la
rendait nécessaire, disparaît. Ce fait est
donné par l'impression que les cabinets de
Londres, et de Paris auraient considéré les
réserves américaines comme inacceptables;
ce qui amenait à considérer l'Amérique
comme détachée du bloc des alliés. Le
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