Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-11-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 novembre 1919 13 novembre 1919
Description : 1919/11/13 (N1301,T13). 1919/11/13 (N1301,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239338s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
- 8 «1
T ~RA N C,,E R Es
N 1301
Jeudi 13 Novembre 1919
t~trn Quotidien ., de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont d_.
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
ORGANISATION
AGNE - LE MINISTÈRE DE LA
HR, après l'adoption du budget de
rre de la marine par l'Assemblée
est définitivement entré en ac-
ans de ministère de la Reichswehr
réunis, d'une part, les anciens mi-
MILITAIRES mi-
de la Guerre des Etats confédé-
autre part, l'amirauté ; en outre,
rents services militaires qui, jus-
étaient consacrés aux différentes ar-
l'armée et de la marine, ceux de
p+ ,
ation et de l'instruction des mu-
de l'armement, etc. ; autant qu'ils
pas été supprimés. A la tête de la
organisation d'Empire se trouve
re de la Reichswehr, ayant, sous
le im?,ts' l'état-major person-
le bureau de l'assistance nouvelle-
ée. Au ministre de la Guerre sont
més le chef de la direction de l'ar-
ancien ministre de la Guerre, colo-
hardt) et le chef de l'Amirauté
amiral von Trotha). La direction
comprend sept services : Ser-
Service du personnel, Ser-
neral des troupes, Service des Ar-
vice de l'Intendance, Service de
Service de Santé. L'Amirauté
trois Scryires et quelques bu"
dépendants : Service d'Etat-Major,
par 11n bureau « nautique », Ser-
ral de la marine et Service de
bureau central, bureau de la
bureau du personnel, bureau
judiciaires et bureau médical.
ISCHE ZEITUNG, 4. 11, matin.
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
"AQNe ET LA PAIX
LA SOCIETE DES NATIONS. —
sait-il vraiement que nous
autres allemands, en état
par nous-mêmes, soit, par une
revanche, soit par une révolu-
ale, tirer notre peuple de la
tale de la ruine et lui redonner
ce possible parmi tous les peu-
de ?
on peut-il croire vraiment au
ne pareille politique d'illu-
avoir du succès avant que
éralement en miettes
ait le courage d'attendre le
ement que d'une conversion,
ible, des vainqueurs, à la rai-
stice ?
le monde sans Société des Na-
parvenu ? faire tuer 7 millions 1/2
d'hommes. Si nous voulons vivre en com-
mun il nous faut penser en commun et
agir en commun - et nous voulons vivre
FRANKFURTER ZEITUNG, 2. 11, matin.
A
LES PAYS RHENANS. - LES DÉCLARA-
TIONS DE M. TIRARD. - [Cf Bulletin, n°
1.293, page 3, colonne 2], — Au sujet des
déclarations de M. Tirard, représentant de
la France à la Haute Commission interal-
liée pour les pays rhénans, sur le pro-
gramme qu'il compte suivre dans les terri-
toires occupés, la Frankfurter Zeitung.
écrit : « Ce qui nous frappe, c'est que la P9-
litique de la France et l'intérêt de la Fran-
ce sont identifiés avec les devoirs et les
obligations de la « Commission interal-
liée ». Cette commission doit être en réa-
lité un « collège » et l'on devrait penser
que M. Tirard n'a pu faire des déclara-
tions aussi importantes que d'accord avec
ses trois collègues. Mais la forme et la te-
neur de ses déclarations semblent contre-
dire une pareille supposition.
En ce qui concerne ses déclarations, il
est difficile de comprendre comment M.
Tirard peut dire qu'il n'est pas d'avis que,
avec l'entrée en vigueur du traité, l'admi-
nistration des territoires occupés passe
aux mains des autorités allemandes. En
principe, cela est fixé expressément dans
l'article 5 de l'accord sur les pays rhé-
nans. ■
M. Tirard se demande ensuite si après
la ratification du traité, des officiers fran-
çais doivent être adjoints aux fonctionnai-
res allemands pour exercer le contrôle. Or,
cette question a déjà été réglée de façon
négative, par le paragraphe 29, d'une ré-
ponse officieuse de la « Conférence » a
deux notes présentées par le gouvernement
allemand. La Haute-Commission peut seu-
lement nommer des représentants, afin
d'établir la liaison avec les différentes ad-
ministrations. 1
Ce journal s'étonne que M. Tirard veuille
surveiller les fonctionnaires allemands des
pays occupés, surtout parce qu'ils sont
prussiens ou bavarois : or, c'est une er-
reur de sa part de croire qu'il se trouve là
en face d'une population opprimée par la
Prusse. Les élections auraient pu l'en con-
vaincre. I i con«
Des rapports pacifiques, entre les Rhé-
nans et les autorités, civiles et militaires
de l'Entente, rapports qui pourraient me-
ner à un rapprochement, ne pourront s'éta-
blir que si on s'en tient strictement au
traité de Versailles et aux accords qui lui
font suite et si on se o-nrde de faire fruç-
tifier l'occupation dans l'intérêt politique
et économique d'une seule des puissances
de l'Entente. - ]STous doutons, donc fort
(fUr les collègues de M. Tirard laissent
subsister après la ratification, les « sec-
tions économiques » formées par des offi-
ciers français. Ces offitiers français ont le
pouvoir presque illimité, que leur donne
la continuation de l'état de guerre, de fa-
voriser le commerce de la France. non
seulement aux dépens des intérêts commer-
ciaux de l'Allemagne, mais aussi ceux de
l'Angleterre , et de l'Amérique.
Le maintien de ces représentations mili-
taires des intérêts de la France ne répond
nullement aux promesses qui nous ont été
faites en' ce qui touche l'occupation des
pays rhénans et ne répond pas non plus
au caractère interallié de la Commis-
sion supérieure que l'on a prévue.
Fil A A" KF L R TE ! { ZEITUNG, 4.11 soir.'
L'AFFAIRE DE FIUME
LE PROJET D'ANNUNZIO. - Quicon-
que, examine le problème de Fiume dans
sa réalité concrète, qui étudie du point de
vue pratique le moyen suggéré par d'An-
nunzio ne peut se dissimuler les consé-
quences possibles de ce moyen, qui sont les
suivantes.
1° En remettant à la Conférence le man-
dat qu'elle en a reçu, et en déclarant que
« Fiume farà da sè », l'Italie se mettrait
absolument en dehors de la Çonférence, et
par conséquent, à supposer que la Société
des Nations se fasse, y compromettrait sa
situation.
2° Il est vrai que l'Italie ne saurait résou-
dre la situation de Fiume comme un pro-
blème interne, puisque aucun Gouverne-
ment, ni aucun citoyen italien ne voudrait,
ni ne pourrait, demain, agir contre les lé-
gionnaires qui représentent à Fiume l'Ita-
lie. Une telle hypothèse n'est pas seulement
absurde, elle est monstrueuse. Mais il est
également vrai que si l'Italie, s'abstenant
de s'en mêler, la Conférence prenait sur
elle l' office ingrat de marcher sur Fiume
pour l'enlever au Gouvernement local ac-
tuel. les Italiens ne pourraient assister
avec indifférence, à une intervention vio-
lente. qui — comme le déclare d'Annunzio
—rencontrerait une résistance également
violente. La « question interne » que l'Ita-
lie refuse aujourd'hui de résoudre pour-
rait, demain, s'imposer à elle de la façon
la plus impérieuse et la plus tragique.
Ces deux considérations suffisent à dé-
montrer que la proposition de d'Annunzio
n'est nullement une porte de sortie, mais
une porte ouverte à de plus grandes diffi-
cultés. En se séparant de la Conférence pré-
cisément au suj et de la question de Fiume,
qui est une question nationale par excel-
lence, notre pays s'isolerait à nouveau et
plus dangereusement que jamais dans le
monde* et surtout renoncerait à la place à
laquelle il a droit, dans la - Société des Na-
tions qui est en formation. Que celle-ci soit
destihée à avoir beaucoup ou peu de va-
leur, cela serait touj ours, -m mal pour nous.
Et cette retraite de l'Italie, n'avancerait
pas d'un pas la solution avantageuse que
nous désirons voir donner au problème
adriatique, mais l'abandonnerait entière-
ment au jugement des étrangers. Laisser
résoudre Je problème par les autres puis-
sances, comme bon leur semble, c'est s'ex-
poser à des conséquences graves et péni-
bles, que tout citoyen et tout gouvernement
italien, doivent absolument conjurer. De
deux choses l'une : ou bien la Conférence
trouvera enfin une solution politique et di-
plomatique pouvant contenter Fiume et son
Gouvernement actuel, et alors il n'y a au-
T ~RA N C,,E R Es
N 1301
Jeudi 13 Novembre 1919
t~trn Quotidien ., de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont d_.
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
ORGANISATION
AGNE - LE MINISTÈRE DE LA
HR, après l'adoption du budget de
rre de la marine par l'Assemblée
est définitivement entré en ac-
ans de ministère de la Reichswehr
réunis, d'une part, les anciens mi-
MILITAIRES mi-
de la Guerre des Etats confédé-
autre part, l'amirauté ; en outre,
rents services militaires qui, jus-
étaient consacrés aux différentes ar-
l'armée et de la marine, ceux de
p+ ,
ation et de l'instruction des mu-
de l'armement, etc. ; autant qu'ils
pas été supprimés. A la tête de la
organisation d'Empire se trouve
re de la Reichswehr, ayant, sous
le im?,ts' l'état-major person-
le bureau de l'assistance nouvelle-
ée. Au ministre de la Guerre sont
més le chef de la direction de l'ar-
ancien ministre de la Guerre, colo-
hardt) et le chef de l'Amirauté
amiral von Trotha). La direction
comprend sept services : Ser-
Service du personnel, Ser-
neral des troupes, Service des Ar-
vice de l'Intendance, Service de
Service de Santé. L'Amirauté
trois Scryires et quelques bu"
dépendants : Service d'Etat-Major,
par 11n bureau « nautique », Ser-
ral de la marine et Service de
bureau central, bureau de la
bureau du personnel, bureau
judiciaires et bureau médical.
ISCHE ZEITUNG, 4. 11, matin.
POLITIQUE GENERALE
ET DIPLOMATIE
"AQNe ET LA PAIX
LA SOCIETE DES NATIONS. —
sait-il vraiement que nous
autres allemands, en état
par nous-mêmes, soit, par une
revanche, soit par une révolu-
ale, tirer notre peuple de la
tale de la ruine et lui redonner
ce possible parmi tous les peu-
de ?
on peut-il croire vraiment au
ne pareille politique d'illu-
avoir du succès avant que
éralement en miettes
ait le courage d'attendre le
ement que d'une conversion,
ible, des vainqueurs, à la rai-
stice ?
le monde sans Société des Na-
parvenu ? faire tuer 7 millions 1/2
d'hommes. Si nous voulons vivre en com-
mun il nous faut penser en commun et
agir en commun - et nous voulons vivre
FRANKFURTER ZEITUNG, 2. 11, matin.
A
LES PAYS RHENANS. - LES DÉCLARA-
TIONS DE M. TIRARD. - [Cf Bulletin, n°
1.293, page 3, colonne 2], — Au sujet des
déclarations de M. Tirard, représentant de
la France à la Haute Commission interal-
liée pour les pays rhénans, sur le pro-
gramme qu'il compte suivre dans les terri-
toires occupés, la Frankfurter Zeitung.
écrit : « Ce qui nous frappe, c'est que la P9-
litique de la France et l'intérêt de la Fran-
ce sont identifiés avec les devoirs et les
obligations de la « Commission interal-
liée ». Cette commission doit être en réa-
lité un « collège » et l'on devrait penser
que M. Tirard n'a pu faire des déclara-
tions aussi importantes que d'accord avec
ses trois collègues. Mais la forme et la te-
neur de ses déclarations semblent contre-
dire une pareille supposition.
En ce qui concerne ses déclarations, il
est difficile de comprendre comment M.
Tirard peut dire qu'il n'est pas d'avis que,
avec l'entrée en vigueur du traité, l'admi-
nistration des territoires occupés passe
aux mains des autorités allemandes. En
principe, cela est fixé expressément dans
l'article 5 de l'accord sur les pays rhé-
nans. ■
M. Tirard se demande ensuite si après
la ratification du traité, des officiers fran-
çais doivent être adjoints aux fonctionnai-
res allemands pour exercer le contrôle. Or,
cette question a déjà été réglée de façon
négative, par le paragraphe 29, d'une ré-
ponse officieuse de la « Conférence » a
deux notes présentées par le gouvernement
allemand. La Haute-Commission peut seu-
lement nommer des représentants, afin
d'établir la liaison avec les différentes ad-
ministrations. 1
Ce journal s'étonne que M. Tirard veuille
surveiller les fonctionnaires allemands des
pays occupés, surtout parce qu'ils sont
prussiens ou bavarois : or, c'est une er-
reur de sa part de croire qu'il se trouve là
en face d'une population opprimée par la
Prusse. Les élections auraient pu l'en con-
vaincre. I i con«
Des rapports pacifiques, entre les Rhé-
nans et les autorités, civiles et militaires
de l'Entente, rapports qui pourraient me-
ner à un rapprochement, ne pourront s'éta-
blir que si on s'en tient strictement au
traité de Versailles et aux accords qui lui
font suite et si on se o-nrde de faire fruç-
tifier l'occupation dans l'intérêt politique
et économique d'une seule des puissances
de l'Entente. - ]STous doutons, donc fort
(fUr les collègues de M. Tirard laissent
subsister après la ratification, les « sec-
tions économiques » formées par des offi-
ciers français. Ces offitiers français ont le
pouvoir presque illimité, que leur donne
la continuation de l'état de guerre, de fa-
voriser le commerce de la France. non
seulement aux dépens des intérêts commer-
ciaux de l'Allemagne, mais aussi ceux de
l'Angleterre , et de l'Amérique.
Le maintien de ces représentations mili-
taires des intérêts de la France ne répond
nullement aux promesses qui nous ont été
faites en' ce qui touche l'occupation des
pays rhénans et ne répond pas non plus
au caractère interallié de la Commis-
sion supérieure que l'on a prévue.
Fil A A" KF L R TE ! { ZEITUNG, 4.11 soir.'
L'AFFAIRE DE FIUME
LE PROJET D'ANNUNZIO. - Quicon-
que, examine le problème de Fiume dans
sa réalité concrète, qui étudie du point de
vue pratique le moyen suggéré par d'An-
nunzio ne peut se dissimuler les consé-
quences possibles de ce moyen, qui sont les
suivantes.
1° En remettant à la Conférence le man-
dat qu'elle en a reçu, et en déclarant que
« Fiume farà da sè », l'Italie se mettrait
absolument en dehors de la Çonférence, et
par conséquent, à supposer que la Société
des Nations se fasse, y compromettrait sa
situation.
2° Il est vrai que l'Italie ne saurait résou-
dre la situation de Fiume comme un pro-
blème interne, puisque aucun Gouverne-
ment, ni aucun citoyen italien ne voudrait,
ni ne pourrait, demain, agir contre les lé-
gionnaires qui représentent à Fiume l'Ita-
lie. Une telle hypothèse n'est pas seulement
absurde, elle est monstrueuse. Mais il est
également vrai que si l'Italie, s'abstenant
de s'en mêler, la Conférence prenait sur
elle l' office ingrat de marcher sur Fiume
pour l'enlever au Gouvernement local ac-
tuel. les Italiens ne pourraient assister
avec indifférence, à une intervention vio-
lente. qui — comme le déclare d'Annunzio
—rencontrerait une résistance également
violente. La « question interne » que l'Ita-
lie refuse aujourd'hui de résoudre pour-
rait, demain, s'imposer à elle de la façon
la plus impérieuse et la plus tragique.
Ces deux considérations suffisent à dé-
montrer que la proposition de d'Annunzio
n'est nullement une porte de sortie, mais
une porte ouverte à de plus grandes diffi-
cultés. En se séparant de la Conférence pré-
cisément au suj et de la question de Fiume,
qui est une question nationale par excel-
lence, notre pays s'isolerait à nouveau et
plus dangereusement que jamais dans le
monde* et surtout renoncerait à la place à
laquelle il a droit, dans la - Société des Na-
tions qui est en formation. Que celle-ci soit
destihée à avoir beaucoup ou peu de va-
leur, cela serait touj ours, -m mal pour nous.
Et cette retraite de l'Italie, n'avancerait
pas d'un pas la solution avantageuse que
nous désirons voir donner au problème
adriatique, mais l'abandonnerait entière-
ment au jugement des étrangers. Laisser
résoudre Je problème par les autres puis-
sances, comme bon leur semble, c'est s'ex-
poser à des conséquences graves et péni-
bles, que tout citoyen et tout gouvernement
italien, doivent absolument conjurer. De
deux choses l'une : ou bien la Conférence
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