Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-10-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 31 octobre 1919 31 octobre 1919
Description : 1919/10/31 (N1291,T13). 1919/10/31 (N1291,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239328d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
ETRANGERES
A GUERRE
1 N 1291
Vendredi 31 Octobre 1919
~lletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont d-
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
- Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
Estions économiques
MINES
ATS-UNIS - LES MINEURS ET - LE PU-
D'après ip calculs de la National
Association, s'il était fait droit aux
endication des United Mine Workers oC
rica, les frais r d'exploitation des mines
ant un an seraient accrus d'au moins
milliar de dollars; s°nime qui sorti-
en défirlltlVe de la poche du consom-
1
Association luttent :
Que ces revendicatlons constituent la
d'eri ,
Que les mineurs cherchent à profiter
approche de l'hiver et de l'insuffisance
Que, dans la pratique, la journée de
heures àe travaaiu l^" en réalité que
heures de travail par jour ;
Enfin qu'une augmentation de 60
les salaires aura pour effet de dou-
eu à peu près, les frais de production.
au c°nsottlrvla1.r' il serait temps
~ccuper de illi, si jamais on lui recon-
des droits queles autres fussent
de respecter. En attendant, qu'il
BROOKLYN EAGLE, 29.9.
FINANCES -.
LES FINANCES BRITANNIQUES. Le
lement sait maintenant à quoi s'en te
Les dépenses -,mur l'année courante
estimées à £ 1.642.295.000, ce qui cons-
une augmentation de £ 191.195.000 sur
~fres du Budget. Les crédits deman-
K )0(lnarniée seniû s crédits deman-
pour l'armée seeul sont montés de
~000.000 à £ 405.000.000. Les recettes
cette année :sont, é)¡alué.es à £ 1 mil-
168.650.000, ce qui constitue une dimi-
Aiif .^-4d50éffî $yy 'sur les chiffres du
get. Ainsi le déficit de l'année, originai-
est éstimé à £ 250.000.000, s'augmen-
de £ 223.645.000, ce qui le mettra à
~645.000. La dette, qui étaIt estlmee
Budget à £ 7.685.000.000 pour la fin
fnontera à £ 8.075.000.000,
Il const 1 Ue une augmentation de
année u norma.)e n - qui ne
année prœhaine- — les estIma:.;
est tv, '6^.000 om de dépenses.
est maintenant passé, après ré-
elui de £ 808.000.000 soit £ 42
plus. Les recettes pbi-ir une an-
ale », basées sur l'échelle des
stants êfices w le'sl, impôts
les bénéfices exagérés ou les
les re.. IIip laceron. t), SOÎlt mainte-
es à £ 806.000.000, soit encore
de moins que les dépenses.
résumé, la situation financière
mbre des Communes a à exami-.
ner aujourd'hui ; l'avenir de notre situation
politique et industrielle dépend de sa déci-
sion. Les Communes ont une occasion su-
prême de montrer qu'elles sont capables
d'une action résolue.
TIMES, 29.10.
RAVITAILLEMENT
LA SITUATION ALIMENTAIRE EN ITA-
LIE. — Les récentes déclarations de l'hono-
Murialdi, sous-secrétaire au Ravitaillement,
sont dignes de remarque. Elles contiennent
de nombreuses vérités.
Il est exact que les hommes ont été ame-
nés par la guerre à contracter des habi-
tudes, à éprouver des besoins, jadis iUJw-
rés.
Si à ces besoins nouveaux ou accrus cor-
respondait le désir de travailler davantage,
ou en tous cas mieux, le bilan n'accuserait
point de déficit, mais malheureusement tel
n' est point le cas, et le Gouvernement cher-
che à combler l'abîme, entre la production
et la consommation, en achetant des vi-
vres à crédit et en les revendant à perte.
Le Gouvernement a certes bien raison de
s'acheminer vers un système plus com-
mercial et il est souhaitable que le pain
soit augmenté jusqu'à atteindre l'équilibre
entre le prix d'achat et le prix de vente.
Certains journaux ont bruyamment pro-
testé parce que le Gouvernement accrois-
sait le prix du pain avant de promulguer
des impôts sur le luxe. Mais ces deux ques-
tions sont nettement distinctes. L'accrois-
sement du prix du pain n'a pas pour but
de payer les frais de la guerre, mais seu-
lement d'empêcher que la dette publique
augmente encore.
Si nous pouvons pleinement approuver
les premières paroles de l'hon. Murialdi, le
reste de ses déclarations nous semble
moins convaincant. Il nous a dit que la
production, entre autres celles du beurre
et du fromage, a notablement diminué.
Mais quel remède l'hon. Murialdi songe-t-il
à y apporter ? Des réquisitions, un consor-
tium obligatoire. c'est l'organisation habi-
tuelle du temps de guerre.
Les communes, les provinces, les consor-
tiums s'évertuent-ils à obtenir du Gouver-
nement l'augmentation des contingents qui
leur sont assignés ? Une le'reule province de-
mande-t-elle que son contingent annuel de
blé tSoit augmenté de 300.000 quintaux? Quel
remède le Gouvernement trouve-t-il à ces
lamentations ? Rétablir le système de la
distribution par l'Etat, créer un ensemble
compliqué de consortiums obligatoires d'im-
portateurs des céréales de meuniers, de fa-
bricants de trâtes alimentaires, qui amène-
ront le commerce et l'industrie à dépendre
de certains groupes industriels à demi
gouvernementaux. Les consommateurs de
vins se plaignent-ils des prix exorbitants ?
L'on crée aussitôt un consortium demi-
gouvernemental, apparemment facultatif,
qu'on réussit à imposer en agitant l'é-
pouvantail de fléaux plus grands ; tout
cela pour arriver à fabriquer un million
d'hectolitres et à les vendre à bas prix aux
buveurs de vin les plus dangereux et les
plus criards.
En réalité il n'y a point de lien logique,
entre les premières et sages paroles ne M.
Murialdi et ses actes. 11 faut évidemment
faire la part des nécessités politiques qui
conseillent d'éviter tout ce qui pourrait trou-
bler le calme public, et exciter un peuple
aussi excitable que le nôtre. Mais la- voie
dans laquelle on s'est engagé, pour des rai-
sons d'ordre public, est sans issue, et il
faut se décider à proclamer la simple vérité,
même désagréable. La vérité, c'est qu'on
ne peut qu'élargir l'abîme qu'on déplore en-
tre la production et la consommation en s'ef-
forçant. de vendre la marchandise à bon
cômpte à une masse de consommateurs qui
s'obstinent à vouloir acheter beaucoup et
à n'importe quel prix. Le prix du vin aug
mente tant, par la faute des consommateurs
eux-mêmes, qui l'achètent à n'importe quel
prix, parce qu'ils ont envie de dépenser de
cette façon-là l'argent qu'ils gagnent. En
diminuant artificiellement le prix dur vin,
vous ne ferez qu'en augmenter la consom-
mation. D'autre part, les efforts tentés pour
régler le prix et la consommation de la
viande, du beurre, du lait, du fromage, ne
seraient-ils pas lune des causes principales
de la disparition de ces aliments ? L'aphte
épizootique et le manque de fourrage ont
certainement fait diminuer la production
des sous-produits du lait, mais il est infini-
ment probable qu'une partie de la produc-
tion échappe au contrôle pour être vendue
à des prix libres de contrôle. La répartition
par l'Etat a le seul effet de faire toujours
consommer toute la ration assignée, tandis
que, sous un régime libre, chacun adapte
sa consommation à ses besoins et à ses
moyens.
Vouloir la diminution de la consomma-
tion, tandis que le chiffre des bénéfices de
presque toutes les classes sociales a aug-
menté, c'est vouloir l'absurde. La réparti-
tion par l'Etat et le prix maximum ont
le seul résultat de pousser les consomma-
teurs :
En premier lieu à consommer toute
la ration- en épuisant les quantités assi-
gnées ;
En. deuxième lieu, à favoriser le com-
disponible parce que les prix sont plus bas
que ceux qui seraient admis par beaucoup -
de consommateurs ; :
En troisième lieu, à favoriser le com-
merce clandestin des marchandises sous-
traites à la répartition par l'Etat, et sur
lesquelles se rejette l'argent disponible des
consommateurs plus riches;
Enfin, à réclamer l'augmentation des
quantités réparties afin que le surplus des
marchandises, qu'on réussit à acheter clan-
destinement et très cher, soit soumis, lui
aussi, au prix réglementé.
Mais ceci ne s'accorde pas aux nécessi-
tés de la production qui ne peut augmenter
lorsque les prix, bien que très élevés, cor-
respondent à peine au prix coûtant, très
élevé lui aussi.
A GUERRE
1 N 1291
Vendredi 31 Octobre 1919
~lletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont d-
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
- Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
Estions économiques
MINES
ATS-UNIS - LES MINEURS ET - LE PU-
D'après ip calculs de la National
Association, s'il était fait droit aux
endication des United Mine Workers oC
rica, les frais r d'exploitation des mines
ant un an seraient accrus d'au moins
milliar de dollars; s°nime qui sorti-
en défirlltlVe de la poche du consom-
1
Association luttent :
Que ces revendicatlons constituent la
d'eri ,
Que les mineurs cherchent à profiter
approche de l'hiver et de l'insuffisance
Que, dans la pratique, la journée de
heures àe travaaiu l^" en réalité que
heures de travail par jour ;
Enfin qu'une augmentation de 60
les salaires aura pour effet de dou-
eu à peu près, les frais de production.
au c°nsottlrvla1.r' il serait temps
~ccuper de illi, si jamais on lui recon-
des droits queles autres fussent
de respecter. En attendant, qu'il
BROOKLYN EAGLE, 29.9.
FINANCES -.
LES FINANCES BRITANNIQUES. Le
lement sait maintenant à quoi s'en te
Les dépenses -,mur l'année courante
estimées à £ 1.642.295.000, ce qui cons-
une augmentation de £ 191.195.000 sur
~fres du Budget. Les crédits deman-
K )0(lnarniée seniû s crédits deman-
pour l'armée seeul sont montés de
~000.000 à £ 405.000.000. Les recettes
cette année :sont, é)¡alué.es à £ 1 mil-
168.650.000, ce qui constitue une dimi-
Aiif .^-4d50éffî $yy 'sur les chiffres du
get. Ainsi le déficit de l'année, originai-
est éstimé à £ 250.000.000, s'augmen-
de £ 223.645.000, ce qui le mettra à
~645.000. La dette, qui étaIt estlmee
Budget à £ 7.685.000.000 pour la fin
fnontera à £ 8.075.000.000,
Il const 1 Ue une augmentation de
année u norma.)e n - qui ne
année prœhaine- — les estIma:.;
est tv, '6^.000 om de dépenses.
est maintenant passé, après ré-
elui de £ 808.000.000 soit £ 42
plus. Les recettes pbi-ir une an-
ale », basées sur l'échelle des
stants êfices w le'sl, impôts
les bénéfices exagérés ou les
les re.. IIip laceron. t), SOÎlt mainte-
es à £ 806.000.000, soit encore
de moins que les dépenses.
résumé, la situation financière
mbre des Communes a à exami-.
ner aujourd'hui ; l'avenir de notre situation
politique et industrielle dépend de sa déci-
sion. Les Communes ont une occasion su-
prême de montrer qu'elles sont capables
d'une action résolue.
TIMES, 29.10.
RAVITAILLEMENT
LA SITUATION ALIMENTAIRE EN ITA-
LIE. — Les récentes déclarations de l'hono-
Murialdi, sous-secrétaire au Ravitaillement,
sont dignes de remarque. Elles contiennent
de nombreuses vérités.
Il est exact que les hommes ont été ame-
nés par la guerre à contracter des habi-
tudes, à éprouver des besoins, jadis iUJw-
rés.
Si à ces besoins nouveaux ou accrus cor-
respondait le désir de travailler davantage,
ou en tous cas mieux, le bilan n'accuserait
point de déficit, mais malheureusement tel
n' est point le cas, et le Gouvernement cher-
che à combler l'abîme, entre la production
et la consommation, en achetant des vi-
vres à crédit et en les revendant à perte.
Le Gouvernement a certes bien raison de
s'acheminer vers un système plus com-
mercial et il est souhaitable que le pain
soit augmenté jusqu'à atteindre l'équilibre
entre le prix d'achat et le prix de vente.
Certains journaux ont bruyamment pro-
testé parce que le Gouvernement accrois-
sait le prix du pain avant de promulguer
des impôts sur le luxe. Mais ces deux ques-
tions sont nettement distinctes. L'accrois-
sement du prix du pain n'a pas pour but
de payer les frais de la guerre, mais seu-
lement d'empêcher que la dette publique
augmente encore.
Si nous pouvons pleinement approuver
les premières paroles de l'hon. Murialdi, le
reste de ses déclarations nous semble
moins convaincant. Il nous a dit que la
production, entre autres celles du beurre
et du fromage, a notablement diminué.
Mais quel remède l'hon. Murialdi songe-t-il
à y apporter ? Des réquisitions, un consor-
tium obligatoire. c'est l'organisation habi-
tuelle du temps de guerre.
Les communes, les provinces, les consor-
tiums s'évertuent-ils à obtenir du Gouver-
nement l'augmentation des contingents qui
leur sont assignés ? Une le'reule province de-
mande-t-elle que son contingent annuel de
blé tSoit augmenté de 300.000 quintaux? Quel
remède le Gouvernement trouve-t-il à ces
lamentations ? Rétablir le système de la
distribution par l'Etat, créer un ensemble
compliqué de consortiums obligatoires d'im-
portateurs des céréales de meuniers, de fa-
bricants de trâtes alimentaires, qui amène-
ront le commerce et l'industrie à dépendre
de certains groupes industriels à demi
gouvernementaux. Les consommateurs de
vins se plaignent-ils des prix exorbitants ?
L'on crée aussitôt un consortium demi-
gouvernemental, apparemment facultatif,
qu'on réussit à imposer en agitant l'é-
pouvantail de fléaux plus grands ; tout
cela pour arriver à fabriquer un million
d'hectolitres et à les vendre à bas prix aux
buveurs de vin les plus dangereux et les
plus criards.
En réalité il n'y a point de lien logique,
entre les premières et sages paroles ne M.
Murialdi et ses actes. 11 faut évidemment
faire la part des nécessités politiques qui
conseillent d'éviter tout ce qui pourrait trou-
bler le calme public, et exciter un peuple
aussi excitable que le nôtre. Mais la- voie
dans laquelle on s'est engagé, pour des rai-
sons d'ordre public, est sans issue, et il
faut se décider à proclamer la simple vérité,
même désagréable. La vérité, c'est qu'on
ne peut qu'élargir l'abîme qu'on déplore en-
tre la production et la consommation en s'ef-
forçant. de vendre la marchandise à bon
cômpte à une masse de consommateurs qui
s'obstinent à vouloir acheter beaucoup et
à n'importe quel prix. Le prix du vin aug
mente tant, par la faute des consommateurs
eux-mêmes, qui l'achètent à n'importe quel
prix, parce qu'ils ont envie de dépenser de
cette façon-là l'argent qu'ils gagnent. En
diminuant artificiellement le prix dur vin,
vous ne ferez qu'en augmenter la consom-
mation. D'autre part, les efforts tentés pour
régler le prix et la consommation de la
viande, du beurre, du lait, du fromage, ne
seraient-ils pas lune des causes principales
de la disparition de ces aliments ? L'aphte
épizootique et le manque de fourrage ont
certainement fait diminuer la production
des sous-produits du lait, mais il est infini-
ment probable qu'une partie de la produc-
tion échappe au contrôle pour être vendue
à des prix libres de contrôle. La répartition
par l'Etat a le seul effet de faire toujours
consommer toute la ration assignée, tandis
que, sous un régime libre, chacun adapte
sa consommation à ses besoins et à ses
moyens.
Vouloir la diminution de la consomma-
tion, tandis que le chiffre des bénéfices de
presque toutes les classes sociales a aug-
menté, c'est vouloir l'absurde. La réparti-
tion par l'Etat et le prix maximum ont
le seul résultat de pousser les consomma-
teurs :
En premier lieu à consommer toute
la ration- en épuisant les quantités assi-
gnées ;
En. deuxième lieu, à favoriser le com-
disponible parce que les prix sont plus bas
que ceux qui seraient admis par beaucoup -
de consommateurs ; :
En troisième lieu, à favoriser le com-
merce clandestin des marchandises sous-
traites à la répartition par l'Etat, et sur
lesquelles se rejette l'argent disponible des
consommateurs plus riches;
Enfin, à réclamer l'augmentation des
quantités réparties afin que le surplus des
marchandises, qu'on réussit à acheter clan-
destinement et très cher, soit soumis, lui
aussi, au prix réglementé.
Mais ceci ne s'accorde pas aux nécessi-
tés de la production qui ne peut augmenter
lorsque les prix, bien que très élevés, cor-
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