Presse et revues
8 pages
Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-10-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 octobre 1919 29 octobre 1919
Description : 1919/10/29 (N1289,T13). 1919/10/29 (N1289,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239326k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTEftES
V. DES
«TRANOBRES
8TJE GUERRE
N° 1289
Mercredi 29 Octobre 1919
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d-
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
I¡):>? GRÈVES
~?ER ET LES GRE-
il quëte~' S - Devant le co-
gère VerS101116^ du S Devant l€ co-
tnité enquête du Sénat Gompers a
gère vendredi dernier Une allusion passa-
gère au rdôle Joué Par la main-d'œuvre
étrat, ere ans la grève des aciéries.
!rève 2n a^ricain?Ve, président de la
PhlPa IOn américaine du travail, que la
ï'^Part Jes ^î?1 hoffimpo Participent à cette
as fa tnt nés à l'étranger et ne se sont
C'est nIt 0yens américains.
C'est possible c'est même sans doute vra..
^aio 1?6 Partie des i
ÏP^lion d'origine étrangère,
mes clles-m?m"
l'ara Ont amenés ici. »
~es'~ torique: les directeurs
ïtïePa|^ies?rouTe?ont difficilement à y
Vh a's ans doute fP ron s nier avoir
S~&~ direcernent la main-d'oeu-
mais à qui la faute si ces
A^.?fé °risino étrangère sont restés,
AtI)éri Ù e Io ngues années de résidence en
ri qûe étrangers de résidence en
n'Jrnbe C°ses qui ne laisse
ein^uiétantij10 pJ"ge Gary signale
*S>fex r rapPOrts qui lui sont adres-
n 18 pour I vP^pagande faite
! rS de l'ai* î^hie e? du »S5n5re les doctri-
^^atent cru'ii visme "• Ces
~~s ~t !a qiililY a des hommes
et Payés littérature des f. w. W.
îl>yés
qqi sont ePour av és cela sur des fonds
® Ur des de ces
iip eers est à craindre surtout
(tll' Iq ma e est plus nu' moins considérable
la m?. considérable
trn,"In-d'ceuvre se de la d'origine
Ci6 qui1 0Ï\e surprendre les
rS% av Ustrle qui emploient en grande
h[Ù de ,a gneîr? ?ngers- Plusieurs
ch1,attem1 ?Wren<^e ùnes grèves de la
'nssachusetts, ont
du pnv, sur le même élat
!5 Ni%SSe8 >e, if8 grévistpc Parlaient, i dans
^teg cinquanv3 ®e ,nn^es et
luI. re éren*8 Ils parlaient, dans
Srft NlPrr dSe8 -,elailsaient con-
, savaient leur
d~1) dans sn propre langue. A
SJ* S» 'A Pressp a insisté snr le
n~ Irlais ifrésentent de pareiIJes condi-
Sft aient ?* semble pas que les com"
11 nt. enu comnto de cet avertis-
Peut-être lagrèved es travailleurs de l'a-
- leu" fe la
5 ÏÏrait Pou? comprendre l'in-
t~t~t le 1111ralt ponr enes d, (c améri-
re, levite et le plu s corn p 1 è-
fiS ,1 Ssibble toutè Cceeittte lP, ,us complè-
l'e. e toute cette main-d'œuvre
TIltfES-PICAYUNE, 28.9.
— Le Punch, sous un dessin représentant
deux manœuvres anglais d'allure grossière,
imprime le dialogue suivant :
« Qu'est-ce qu'il raconte ?
— Je ne sais pas, je ne comprends pas un
mot de ce qu'il dit, c'est un étranger.
— Alors pourquoi ne lui as-tu pas tapé
dessus ?
C'est un peu la mentalité des représen-
tants des patrons de chez nous. A chaque
grève, ils nous disent : « C'est l'élément
étranger qui est la cause de tout le mal ; il
ne veut pas laisser travailler les malheu-
reux Américains de naissance. »
Et cependant on a pu lire dans les comp-
tes rendus de la grève de M. Schwab à
Bethlehem : « Les défections les plus nom-
breuses se sont produites parmi les spécia-
listes des ateliers des machines et de l'élec-
tricité. »
A qui fera-t-on croire que ces grévistes
sont tous « d'origine étrangère » ?
WISCONSIN NEWS, 1.10.
TRANSPORTS
DEVELOPPEMENT DES COMMUNICA-
TIONS EN FINLANDE. — De Helsingfors :
On espère que le développement des com-
munications va largement développer la vie
économique de la Finlande. Les lignes de
chemins de fer principales vont être dou-
blées, tandis que les ports de Hango, Abo
et Helsingfors seront agrandis. La Finlande
essaie de concurrencer Copenhague. Le di-
recteur général des chemins de fer de l'Etat
a annoncé, si Torneo construit un port, la
question se posera de la mise en service de
la ligne ferrée de Karungi.
STOCKHOLMS DAGBLAD, 20.10.
RELATIONS AERIENNES ENTRE
GRANDE-BRETAGNE ET SUEDE. — Le
Gouvernement suédois a mis à l'étude une
proposition émanant du Gouvernement bri-
tannique qui demande un accord entre la
Suède et la Grande-Bretagne pour l'établis-
sement de relations aériennes régulières en-
tre les deux pays. Il faudrait pour com-
mencer établir que les règlements de navi-
gation aérienne qui sont en vigueur en
Grande-Bretagne soient acceptés en Suède,
avec la réciproque pour les règlements sué-
dois en Grande-Bretagne. L'ambassadeur de
Grande-Bretagn.e a déclaré que l'industrie
aérienne britannique est maintenant en me-
sure d'entreprendre le trafic civil entre la
Grande-Bretagne et les pays étrangers.
JOURNAUX DE STOCKHOLM, 21.10.
INDUSTRIE
L'UTILISATION DE LA HOUILLE BLAN-
CHE EN PORTUGAL. — Le Parlement a
voté dans sa dernière session le projet de
loi du député De Alves dos Santos qui au-
torise la municipalité de Coimbre à lever
les fonds nécessaires pour l'acquisition et
l'exploitation sur une large échelle, de
l'énergie hydro-électrique, destiné à ses ser-
vices municipaux.
Tout le monde sait que la municipalité de
Coimbre possède un central électrique qui
lui fournit l'énergie, non seulement pour les
tramways électriques, mais encore pour
l'éclairage de la ville et de certains édifices
publics et municipaux.
Mais, étant donné la rareté et le manque
de charbon étranger et du combustible né-
cessaire pour alimenter les machines, il
s'en suit que le kilowatt-heure arrive à
presque 20 centavos. Ce prix exorbitant
rend impossible l'emploi de l'énergie électri-
que dans l'industrie de la région et empê-
che la municipalité de développer et de per-
fectionner les services qui lui sont confiés.
La municipalité veut donc substituer au
moteur thermique, par lequel sont action-
nées ses machines' génératrices de fluide
électrique, un moteur hydraulique, qui lui
permette de produire l' électricité dont le
prix par kilowatt installé et distribué, n'ex-
cède pas au maximum cinq ou six centa-
vos.
Si elle y parvient, et elle est maintenant
dans les conditions voulues pour le faire,
tout le centre du pays, et particulièrement
le district de Coimbre, peut être transformé
au point de vue économique.
Le réseau de distribution de l'énergie
électrique dans la ville tant pour la lumière *
que pour la traction peut être étendu à tou-
tes les agglomérations du' district. Nous
pourrons relier Coimbre à Condeixa par
exemple, à Figueira et Penacora au moyen
de tramways électriques, qui faciliteront le
transport des voyageurs et des marchan-
dises et augmenteront la richesse et le
commerce de la région. Il sera également
facile d'éclairer non seulement la ville de
Coimbre et ses environs, mais encore les
agglomérations éloignées, les villes et les
cilés les plus éloignées et de distribuer en-
fin aine énergie abondante et bon marché,
qui soit accessible à tous et puisse, jusque
dans les maisons les plus pauvres, rempla-
cer la lumière incommode, dangereuse et
peu hygiénique du pétrole.
La plus grande conséquence de la solu-
tion du problème est la distribution de
l'énergie électrique aux industries du cen-
tre du pays : fabriques de tissus de laine
et de coton, tanneries, fabriques de pfites
alimentaires, etc., etc. Le but est. en oHe-
nnnt le développement des industries exis-
tantes, la création d'industries nouvelles,
d'augmenter la production, et par la con-
currence d'atteindre l'équilibre des prix et
de réduire la cherté de la vie.
REPUBLICA, 21.9.
FINANCES
ETATS-UNIS. — « LE CHEMIN DE LA GUÉ-
RISON » sous ce titre]. — Le gouvernement
fédéral devra payer un milliard de dollars
pendant l'exercice en cours, à titre d'inté-
rêts sur la dette nationale. C'est la somme
qu'il fallait, avant que l'Amérique n'entrât
V. DES
«TRANOBRES
8TJE GUERRE
N° 1289
Mercredi 29 Octobre 1919
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimes en italique, qui sont d-
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
I¡):>? GRÈVES
~?ER ET LES GRE-
il quëte~' S - Devant le co-
gère VerS101116^ du S Devant l€ co-
tnité enquête du Sénat Gompers a
gère vendredi dernier Une allusion passa-
gère au rdôle Joué Par la main-d'œuvre
étrat, ere ans la grève des aciéries.
!rève 2n a^ricain?Ve, président de la
PhlPa IOn américaine du travail, que la
ï'^Part Jes ^î?1 hoffimpo Participent à cette
as fa tnt nés à l'étranger et ne se sont
C'est nIt 0yens américains.
C'est possible c'est même sans doute vra..
^aio 1?6 Partie des i
ÏP^lion d'origine étrangère,
mes clles-m?m"
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~es'~ torique: les directeurs
ïtïePa|^ies?rouTe?ont difficilement à y
Vh a's ans doute fP ron s nier avoir
S~&~ direcernent la main-d'oeu-
mais à qui la faute si ces
A^.?fé °risino étrangère sont restés,
AtI)éri Ù e Io ngues années de résidence en
ri qûe étrangers de résidence en
n'Jrnbe C°ses qui ne laisse
ein^uiétantij10 pJ"ge Gary signale
*S>fex r rapPOrts qui lui sont adres-
n 18 pour I vP^pagande faite
! rS de l'ai* î^hie e? du »S5n5re les doctri-
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(tll' Iq ma e est plus nu' moins considérable
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rS% av Ustrle qui emploient en grande
h[Ù de ,a gneîr? ?ngers- Plusieurs
ch1,attem1 ?Wren<^e ùnes grèves de la
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t~t~t le 1111ralt ponr enes d, (c améri-
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fiS ,1 Ssibble toutè Cceeittte lP, ,us complè-
l'e. e toute cette main-d'œuvre
TIltfES-PICAYUNE, 28.9.
— Le Punch, sous un dessin représentant
deux manœuvres anglais d'allure grossière,
imprime le dialogue suivant :
« Qu'est-ce qu'il raconte ?
— Je ne sais pas, je ne comprends pas un
mot de ce qu'il dit, c'est un étranger.
— Alors pourquoi ne lui as-tu pas tapé
dessus ?
C'est un peu la mentalité des représen-
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grève, ils nous disent : « C'est l'élément
étranger qui est la cause de tout le mal ; il
ne veut pas laisser travailler les malheu-
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Et cependant on a pu lire dans les comp-
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Bethlehem : « Les défections les plus nom-
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A qui fera-t-on croire que ces grévistes
sont tous « d'origine étrangère » ?
WISCONSIN NEWS, 1.10.
TRANSPORTS
DEVELOPPEMENT DES COMMUNICA-
TIONS EN FINLANDE. — De Helsingfors :
On espère que le développement des com-
munications va largement développer la vie
économique de la Finlande. Les lignes de
chemins de fer principales vont être dou-
blées, tandis que les ports de Hango, Abo
et Helsingfors seront agrandis. La Finlande
essaie de concurrencer Copenhague. Le di-
recteur général des chemins de fer de l'Etat
a annoncé, si Torneo construit un port, la
question se posera de la mise en service de
la ligne ferrée de Karungi.
STOCKHOLMS DAGBLAD, 20.10.
RELATIONS AERIENNES ENTRE
GRANDE-BRETAGNE ET SUEDE. — Le
Gouvernement suédois a mis à l'étude une
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Suède et la Grande-Bretagne pour l'établis-
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tre les deux pays. Il faudrait pour com-
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gation aérienne qui sont en vigueur en
Grande-Bretagne soient acceptés en Suède,
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dois en Grande-Bretagne. L'ambassadeur de
Grande-Bretagn.e a déclaré que l'industrie
aérienne britannique est maintenant en me-
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Grande-Bretagne et les pays étrangers.
JOURNAUX DE STOCKHOLM, 21.10.
INDUSTRIE
L'UTILISATION DE LA HOUILLE BLAN-
CHE EN PORTUGAL. — Le Parlement a
voté dans sa dernière session le projet de
loi du député De Alves dos Santos qui au-
torise la municipalité de Coimbre à lever
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l'exploitation sur une large échelle, de
l'énergie hydro-électrique, destiné à ses ser-
vices municipaux.
Tout le monde sait que la municipalité de
Coimbre possède un central électrique qui
lui fournit l'énergie, non seulement pour les
tramways électriques, mais encore pour
l'éclairage de la ville et de certains édifices
publics et municipaux.
Mais, étant donné la rareté et le manque
de charbon étranger et du combustible né-
cessaire pour alimenter les machines, il
s'en suit que le kilowatt-heure arrive à
presque 20 centavos. Ce prix exorbitant
rend impossible l'emploi de l'énergie électri-
que dans l'industrie de la région et empê-
che la municipalité de développer et de per-
fectionner les services qui lui sont confiés.
La municipalité veut donc substituer au
moteur thermique, par lequel sont action-
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électrique, un moteur hydraulique, qui lui
permette de produire l' électricité dont le
prix par kilowatt installé et distribué, n'ex-
cède pas au maximum cinq ou six centa-
vos.
Si elle y parvient, et elle est maintenant
dans les conditions voulues pour le faire,
tout le centre du pays, et particulièrement
le district de Coimbre, peut être transformé
au point de vue économique.
Le réseau de distribution de l'énergie
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commerce de la région. Il sera également
facile d'éclairer non seulement la ville de
Coimbre et ses environs, mais encore les
agglomérations éloignées, les villes et les
cilés les plus éloignées et de distribuer en-
fin aine énergie abondante et bon marché,
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peu hygiénique du pétrole.
La plus grande conséquence de la solu-
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l'énergie électrique aux industries du cen-
tre du pays : fabriques de tissus de laine
et de coton, tanneries, fabriques de pfites
alimentaires, etc., etc. Le but est. en oHe-
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tantes, la création d'industries nouvelles,
d'augmenter la production, et par la con-
currence d'atteindre l'équilibre des prix et
de réduire la cherté de la vie.
REPUBLICA, 21.9.
FINANCES
ETATS-UNIS. — « LE CHEMIN DE LA GUÉ-
RISON » sous ce titre]. — Le gouvernement
fédéral devra payer un milliard de dollars
pendant l'exercice en cours, à titre d'inté-
rêts sur la dette nationale. C'est la somme
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