Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-10-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 octobre 1919 17 octobre 1919
Description : 1919/10/17 (N1279,T13). 1919/10/17 (N1279,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62393166
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTERES
D P, 8
hittEs 78ETRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
GUERRE
A
N° 1279
Vendredi 17 Octobre 1919
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
ce:_ Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
v WESTiONS ÉCONOMIQUES
U RU* GRÈVES
? GREVE DES POLICIERS DE BOS.
Zn, a/,U M. Elihu Root en
Zknt <*e la grève des policiers de Bos-
( Q
OI1C cette grève de la po-
lait l EUe slgmfie que les hommes qui ont
Sermerit Smï h maintenir l'ordre et de
de la er le 'CfIme en qualité de serviteurs
devoi collectivité refusent d'accomplir ce
S:a.lli:r solennel à rno,ins d'être autorisés à
é1Caine du travail] dont
a8%»v h?lent Pouvoir êm J)re membres et qui ras-
état d peut-être 3 de la population. Un
^oins h0Ses Pareil serait lann de tout, à
ent aIt une 'révolution. Le Gou-
ne peut se maintenir s'il n'a le
user de la force. »
NEHI YORK TIMES, 19.9.
CAPITAL ET travail
tprjul~
W q^S ^NDE-BRET^it DU TRAVAIL »
Clarriah'°Tls du i - Pour régler
question S du travail et satisfaire les ré-
clamations des Ouvriers, nous suggérons
sé dft »elle mairir.
lnistère det Transports soit orga-
^itin ?8 induSn ® que la fixation des
> fe
410118 i elles, la question des heu-
Plèees ravûll, des salaires, du travail aux
lÏes sal?ur les ateliers de chemins de fer,
Ses «
^-majeurs, des
benres su tpplérnentaires des congés, et tous
ïï" «Xeïf Un Conspide i,î^ d industriels, soient
5 du Travail, composé,
Ple, ou 6 repTésentants des
!ants du G-nt un nombre égal de
Seffï o ns nombre égal de
tJféscerïm *e serait ri pas branchées par le
U Travail pas tranchées par le
%4 ell du 'r ravail recevraient une solution
3s 1P\lé Par le Unal lndustriel Permanent consfi-
t^ruUnal fS présenta ÏÏ, + du Gouvernement.
tâs Unp lrève être déclarée
J:QfO.Tr¡en i. ndustrie,; la grève ouvrier et du
ivmenpïé, & qu, ,
lqué après ent de la ma-
a.il seraitlqUé. Par un vote; l'arrêt du tra-
va 1 ser»u* Notifié Une semaine à l'avance.
) TIMES, 15.10.
T !-ri G MMERCE
LA GRA?DE BRETAG?E DOIT EXPOR.
-- Extraits d'Un discours de SIR
à la reuion trimestrielle du London
S e td,a London
A présent [dit
Hd?s b'ew dont l'inïî n^6ne britannique a
Il de n, c'est de vues larges et pro"
c'est
Ii Amande nloï ïta®^ment à tous ceux
JDQR lrl'dustrie d'luJ¡lir leurs ef
jontei}Iemern- 1 'd',|U,nir leurs ef-
r or^aniser l'acti-
du moi<= S de l'année, mais
bases d'un développement
%ihSs i ^°ard 0f ad! e désire encou-
rce Ies efWto
exPoiïatfqul ont pour but le
0n- Le Gouvernement
met en œuvre un large système de trans-
ports, qui devrait avoir un effet énorme sur
l'industrie et qui, si les grandes entreprises
commerciales coopéraient avec ce service,
leur serait une aide précieuse. Le Gouverne-
ment désire également, en ce qui touche
surtout l'industrie métallurgique, dévelop-
per les spécialités britanniques, ce qui faci-
literait énormément l'exportation.
Si, avec tous les fléaux apportés par la
guerre, le commerce d'exportation n'était
pas à la hauteur de sa tâche, le pays aurait à
passer une période bien pire que celle qui
suivit la période napoléonienne. Le seul
moyen d'aborder ces difficultés et de mitiger
leur effet, c'est d'établir un large commerce
d'exportations à l'étranger.
TIMES, 15.10.
LES RELATIONS ECONOMIQUES GER-
MANO-HOLLANDAISES. — Les relations
économiques actuelles entre l'Allemagne et
la Hollande ont été l'objet d'une discussion
à la Chambre de commerce de Berlin, où
l'Union économique pour les relations com-
merciales germano-néerlandaises avait in-
vité nombre de personnalités allemandes et
hollandaises. Le syndic du bureau de l'U-
nion à Amsterdam, Dr von Sake, a
exposé dans son rapport que les Hollan-
daise reconnaissent volontiers que l'Allema-
gne a empêché, pendant la guerre, la ruine
de la vie économique hollandaise, mais
néanmoins les milieux commerçants hollan-
dais n'ont guère de sympathie pour l'Alle-
magne, la Hollande n'approuvant pas les
pratiques commerciales allemandes et ne
comprenant pas que l'Allemagne tienne tel-
lement au système économique de contrain-
te, désapprouvé en Hollande. La situation
financière de la Hollande est extrêmement
bonne ; on peut en attendre un relèvement
de la valeur du mark allemand. Le rappor-
teur s'est plaint de ce que l'Allemagne ache-
tait trop à l'Entente et faisait trop peu de
cas des pays restés neutres.
Par là l'Allemagne fait tort à son crédit
en Hollande. Plusieurs voix se sont fait en-
tendre dans l'Assemblée pour dire que la
Hollande comprenait trop peu la situation
actuelle de l'Allemagne et demandait souvent
l'impossible. Tous les milieux en Allemagne
sont désireux de reprendre bientôt des rela-
tions économiques actives avec la Hollande.
Mais il faut pour cela que la Hollande n'ex-
ploite pas trop à son profit la baisse du
mark.
FRANKFURTER ZEITUNG, 10.10 matin.
FINANCES
GRANDE-BRETAGNE. — Dix semaines
ont passé depuis que M. Austen Chamber-
lain a prévenu la Chambre des Communes
que, si le Gouvernement continuait à dé-
penser au taux actuel, il irait droit à la
banqueroute nationale. Dans l'intervalle, le
Gouvernement n'a donné aucun compte
rendu détaillé des mesures qu'il a prises
pour éviter le désastre ou de la réussite qui
a pu couronner ses efforts. Cependant, les
preuves s'accumulent chaque jour de
l'anxiété marquée par le pays à ce sujet.
La vérité est que le Gouvernement ne voit
pas le moyen de rétablir l'équilibre dans
l'année financière courante.
Les chiffres des dépenses et des recettes,
qui ont été publiés hier soir, sont profon-
dément inquiétants. Les dépenses ordinaires
de la semaine ont été presque doubles des
recettes ordinaires ; voici les chiffres
exacts :
Dépenses. £ 26.967.313
Recettes. 15.196.179
Les services de ravitaillement à eux
seuls, l'armée, la marine, l'aviation, les ser-
vices du ministère de l'Intérieur et des Fi-
nances coûtent actuellement £ 17.978.859,
soit presque £ 3.000.000 de plus que les re-
cettes de la semaine n'en peuvent couvrir.
Et, en plus de ce déficit, il faut indiquer la
charge hebdomadaire de millions de livres -
sterling pour le service de la Dette natio-
nale.
Il est probable que les dépenses nécessi-
tées par la grève des chemins de fer ont eu
un effet contraire sur les chiffres de la se-
maine dernière. Il faut aussi reconnaître
que les chiffres d'une semaine isolée ne sont
pas concluants. Mais malheureusement il en
existe d'autres publiés dans la London Ga-
zette d'hier soir, qui confirment trop bien
cette tendance. Ces chiffres ne sont pas
pour une période isolée, mais ils couvrent
toute l'année financière du 1er avril au 11
octobre, et ils montrent la hausse croissante
des dépenses. La différence s'est si rapide-
ment accentuée depuis les six derniers mois
que £ 30.000.000 ont pu s'ajouter au déficit
en onze jours. Les chiffres exacts des deux
périodes sont les suivants :
1er avril au 30 septembre :
Dépenses £ 740.343.700
Recettes. 458.998.799
1er avril au 11 octobre :
Dépenses. £ 794.682.669
Recettes. 482.481.978
Lorsqu'on a tenu compte de facteurs tels
que l'amélioration constante des recettes à
la fin de l'année financière, la conclusion est
cependant nette que le moment n'est pas
fait pour inspirer de l'optimisme à Dow-
ning Street.
TIMES, 15.10.
——— ———
POLITIQUE GÉNERALE.
ET DIPLOMATIE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
LA SOCIETE DES NATIONS ET L'OPI-
NION BRITANNIQUE. — L'Angleterre n'a
pas fait preuve jusqu'à présent d'un grand
enthousiasme en faveur de la Société des
Nations. L'opinion de notre pays a pu voir
qu'en toute occasion où l'Empire britannique
présentait une revendication, on avait re-
cours à*la Société des Nations pour tenter
de la faire échouer. Il serait intéressant de
dresser la liste des différentes questions
D P, 8
hittEs 78ETRANGÈRES
ET DE LA GUERRE
GUERRE
A
N° 1279
Vendredi 17 Octobre 1919
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
ce:_ Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
v WESTiONS ÉCONOMIQUES
U RU* GRÈVES
? GREVE DES POLICIERS DE BOS.
Zn, a/,U M. Elihu Root en
Zknt <*e la grève des policiers de Bos-
( Q
OI1C cette grève de la po-
lait l EUe slgmfie que les hommes qui ont
Sermerit Smï h maintenir l'ordre et de
de la er le 'CfIme en qualité de serviteurs
devoi collectivité refusent d'accomplir ce
S:a.lli:r solennel à rno,ins d'être autorisés à
é1Caine du travail] dont
a8%»v h?lent Pouvoir êm J)re membres et qui ras-
état d peut-être 3 de la population. Un
^oins h0Ses Pareil serait lann de tout, à
ent aIt une 'révolution. Le Gou-
ne peut se maintenir s'il n'a le
user de la force. »
NEHI YORK TIMES, 19.9.
CAPITAL ET travail
tprjul~
W q^S ^NDE-BRET^it DU TRAVAIL »
Clarriah'°Tls du i - Pour régler
question S du travail et satisfaire les ré-
clamations des Ouvriers, nous suggérons
sé dft »elle mairir.
lnistère det Transports soit orga-
^itin ?8 induSn ® que la fixation des
> fe
410118 i elles, la question des heu-
Plèees ravûll, des salaires, du travail aux
lÏes sal?ur les ateliers de chemins de fer,
Ses «
^-majeurs, des
benres su tpplérnentaires des congés, et tous
ïï" «Xeïf Un Conspide i,î^ d industriels, soient
5 du Travail, composé,
Ple, ou 6 repTésentants des
!ants du G-nt un nombre égal de
Seffï o ns nombre égal de
tJféscerïm *e serait ri pas branchées par le
U Travail pas tranchées par le
%4 ell du 'r ravail recevraient une solution
3s 1P
t^ruUnal fS présenta ÏÏ, + du Gouvernement.
tâs Unp lrève être déclarée
ivmenpïé, & qu, ,
lqué après ent de la ma-
a.il seraitlqUé. Par un vote; l'arrêt du tra-
va 1 ser»u* Notifié Une semaine à l'avance.
) TIMES, 15.10.
T !-ri G MMERCE
LA GRA?DE BRETAG?E DOIT EXPOR.
-- Extraits d'Un discours de SIR
à la reuion trimestrielle du London
S e td,a London
A présent [dit
Hd?s b'ew dont l'inïî n^6ne britannique a
Il de n, c'est de vues larges et pro"
c'est
Ii Amande nloï ïta®^ment à tous ceux
JDQR lrl'dustrie d'luJ¡lir leurs ef
jontei}Iemern- 1 'd',|U,nir leurs ef-
r or^aniser l'acti-
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bases d'un développement
%ihSs i ^°ard 0f ad! e désire encou-
rce Ies efWto
exPoiïatfqul ont pour but le
0n- Le Gouvernement
met en œuvre un large système de trans-
ports, qui devrait avoir un effet énorme sur
l'industrie et qui, si les grandes entreprises
commerciales coopéraient avec ce service,
leur serait une aide précieuse. Le Gouverne-
ment désire également, en ce qui touche
surtout l'industrie métallurgique, dévelop-
per les spécialités britanniques, ce qui faci-
literait énormément l'exportation.
Si, avec tous les fléaux apportés par la
guerre, le commerce d'exportation n'était
pas à la hauteur de sa tâche, le pays aurait à
passer une période bien pire que celle qui
suivit la période napoléonienne. Le seul
moyen d'aborder ces difficultés et de mitiger
leur effet, c'est d'établir un large commerce
d'exportations à l'étranger.
TIMES, 15.10.
LES RELATIONS ECONOMIQUES GER-
MANO-HOLLANDAISES. — Les relations
économiques actuelles entre l'Allemagne et
la Hollande ont été l'objet d'une discussion
à la Chambre de commerce de Berlin, où
l'Union économique pour les relations com-
merciales germano-néerlandaises avait in-
vité nombre de personnalités allemandes et
hollandaises. Le syndic du bureau de l'U-
nion à Amsterdam, Dr von Sake, a
exposé dans son rapport que les Hollan-
daise reconnaissent volontiers que l'Allema-
gne a empêché, pendant la guerre, la ruine
de la vie économique hollandaise, mais
néanmoins les milieux commerçants hollan-
dais n'ont guère de sympathie pour l'Alle-
magne, la Hollande n'approuvant pas les
pratiques commerciales allemandes et ne
comprenant pas que l'Allemagne tienne tel-
lement au système économique de contrain-
te, désapprouvé en Hollande. La situation
financière de la Hollande est extrêmement
bonne ; on peut en attendre un relèvement
de la valeur du mark allemand. Le rappor-
teur s'est plaint de ce que l'Allemagne ache-
tait trop à l'Entente et faisait trop peu de
cas des pays restés neutres.
Par là l'Allemagne fait tort à son crédit
en Hollande. Plusieurs voix se sont fait en-
tendre dans l'Assemblée pour dire que la
Hollande comprenait trop peu la situation
actuelle de l'Allemagne et demandait souvent
l'impossible. Tous les milieux en Allemagne
sont désireux de reprendre bientôt des rela-
tions économiques actives avec la Hollande.
Mais il faut pour cela que la Hollande n'ex-
ploite pas trop à son profit la baisse du
mark.
FRANKFURTER ZEITUNG, 10.10 matin.
FINANCES
GRANDE-BRETAGNE. — Dix semaines
ont passé depuis que M. Austen Chamber-
lain a prévenu la Chambre des Communes
que, si le Gouvernement continuait à dé-
penser au taux actuel, il irait droit à la
banqueroute nationale. Dans l'intervalle, le
Gouvernement n'a donné aucun compte
rendu détaillé des mesures qu'il a prises
pour éviter le désastre ou de la réussite qui
a pu couronner ses efforts. Cependant, les
preuves s'accumulent chaque jour de
l'anxiété marquée par le pays à ce sujet.
La vérité est que le Gouvernement ne voit
pas le moyen de rétablir l'équilibre dans
l'année financière courante.
Les chiffres des dépenses et des recettes,
qui ont été publiés hier soir, sont profon-
dément inquiétants. Les dépenses ordinaires
de la semaine ont été presque doubles des
recettes ordinaires ; voici les chiffres
exacts :
Dépenses. £ 26.967.313
Recettes. 15.196.179
Les services de ravitaillement à eux
seuls, l'armée, la marine, l'aviation, les ser-
vices du ministère de l'Intérieur et des Fi-
nances coûtent actuellement £ 17.978.859,
soit presque £ 3.000.000 de plus que les re-
cettes de la semaine n'en peuvent couvrir.
Et, en plus de ce déficit, il faut indiquer la
charge hebdomadaire de millions de livres -
sterling pour le service de la Dette natio-
nale.
Il est probable que les dépenses nécessi-
tées par la grève des chemins de fer ont eu
un effet contraire sur les chiffres de la se-
maine dernière. Il faut aussi reconnaître
que les chiffres d'une semaine isolée ne sont
pas concluants. Mais malheureusement il en
existe d'autres publiés dans la London Ga-
zette d'hier soir, qui confirment trop bien
cette tendance. Ces chiffres ne sont pas
pour une période isolée, mais ils couvrent
toute l'année financière du 1er avril au 11
octobre, et ils montrent la hausse croissante
des dépenses. La différence s'est si rapide-
ment accentuée depuis les six derniers mois
que £ 30.000.000 ont pu s'ajouter au déficit
en onze jours. Les chiffres exacts des deux
périodes sont les suivants :
1er avril au 30 septembre :
Dépenses £ 740.343.700
Recettes. 458.998.799
1er avril au 11 octobre :
Dépenses. £ 794.682.669
Recettes. 482.481.978
Lorsqu'on a tenu compte de facteurs tels
que l'amélioration constante des recettes à
la fin de l'année financière, la conclusion est
cependant nette que le moment n'est pas
fait pour inspirer de l'optimisme à Dow-
ning Street.
TIMES, 15.10.
——— ———
POLITIQUE GÉNERALE.
ET DIPLOMATIE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
LA SOCIETE DES NATIONS ET L'OPI-
NION BRITANNIQUE. — L'Angleterre n'a
pas fait preuve jusqu'à présent d'un grand
enthousiasme en faveur de la Société des
Nations. L'opinion de notre pays a pu voir
qu'en toute occasion où l'Empire britannique
présentait une revendication, on avait re-
cours à*la Société des Nations pour tenter
de la faire échouer. Il serait intéressant de
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