Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-09-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 septembre 1919 30 septembre 1919
Description : 1919/09/30 (N1264,T13). 1919/09/30 (N1264,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239301r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTERES
~Att) DES
US ETRANGERES
Er DE LA GUERRE
N° 1264
Mardi 30 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
L OCCUPATION
fîUÇES AMERICAINES SUR LE
RHIN. - De Coblence : Le marécli,-il Foch,
anfi De Coblence : Le maréchal Foch,
dou?~ en chef des forces alliées, a
/-klé q,, territoire rhénan à occuper
ht1,le farnn Permanente par les troupes
ôie s°Us f sera - le double de la région pla-
Je j?Us la juridictio'll américaine depuis
Parti 14 dernière division du combat est re-
t Pour- l'Amérique
J-ti
de cette décision, les Améri-
C'fi la tAt rePrendre l'occupation de
t> 'ievronJ li P°r|t proprement dite de
e est-à-dire exactement le même
1 olre r , r*ve droite du Rhin qu'ils
r' Jeut depuis le mois de décembre der-
tlJile i Ur l'i rive gauche du Rhin, le terri-
~! l(: à orm,
J]°"§é e Qei{) kilomètres environ.
A/nu MV VORK AMERICAN, 5.9.
——< ~———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
CAPITAL ET TRAVAIL
ï. UN p UNIS [Cf. Bulletin, n° 1263, p. 1].
LSON i DE CONFÉRENCE ÉCONOMIQUE DE
SâN, - De Washington : La pro-
du n«^A s'1 ,ent re ative à une con-
°Uv!?Cti réui^fSan des représentants des
g¡téition et des Patrons cause une grande
K l0o.
'Ouverture de cette conférence
& ^*^e0 acnH1i^yf/ture de cette conférence
i°siïion« >> annoncée et on fait force
en P() Ssible.e sujet de même que sur
aPP-laudissaiit à cette idée, sans
lier e faire remarquer que le sénateur
s6ih .? *ter r&
ter réçugea une résolution dans ce
les chefs républi-
y a CamWemaines» divles chefs républi-
cains du Capitole VepnemeTi sont in(Iuiets. Ils voient
Ce proje. t un avantage politique pour
te. erneril ellt qu'il sera difficile de com-
il <1lUrelle
LI pré en tant que républicains,
de la président l'intention de faire
'Jjh t
à un troisième en VUe de sa candidature
e Mandàat. il leur répugne
^ne ilson Pourrait retirer de
n- d'avoir réglé la crise
",ir t1 elle ars qu'ils espéraient se ser-
t e. uatIon Pour mener leur cam-
U L,
N tion Poindexter et d'autres me-
&v %?eil?blabipo ® furent proposées à la
it we il y a
de réve dorrilir. Il est probable Qu'elles
Q~r'1rl tio !e dormir sans espoir
lfl ratIOn. le Président n'avait publié sa
T 11:
corjj tr.
r avec confiance que sa
avec la corpor,,ition de l'Acier
Ue iVavecJf ra corporation de l'Acier
sera d:lscutée et réglée à
°n> comme l'indique le président,
et que la conférence qu'ils n'ont pu orga-
niser avec Elbert H. Gary devra inévitable-
ment avoir lieu
Le représentant Esch, qui s'occupe des
projets de loi sur les chemins de fer, dit
que la question des chemins de fer sera do-
minante à la conférence et les défenseurs
du projet Plumb pensent que les délibéra-
tions leur donneront raison.
WORLD [de New-York], 2.9.
GRÈVES
LA GREVE DES CHEMINOTS ANGLAIS.
— En lisant le compte rendu des né-
gociations d'hier le public peut juger si les
demandes des cheminots étaient accepta-
bles et s'ils avaient une raison quelconque
de rejeter les offres du gouvernement. La
dernière offre de celui-ci était un salaire
moyen double de celui d'avant-guerre, un
minimum de 40 shillings la semaine et la
garantie qu'aucun employé ne subirait au-
cune diminution de salaire tant que la vie
n'aurait pas diminué au point de ne pas
dépasser 110 du prix d'avant-guerre.
Cela revenait à dire que les cheminots con-
tinueraient à recevoir leur salaire de guer-
re, qui avait été fixé quand la vie avait
augmenté de 125 %, jusqu'à ce que la vie
ait baissé de 15 Ils ont refusé. Le Co-
mité exécutif des Cheminots persiste à de-
mander un salaire moyen égal pour chaque
catégorie, salaire qui serait le maximum
actuellement payé aux plus favorisés de
chaque catégorie, sans qu'il soit tenu aucun
compte des conditions où l'employé tra-
vaille. Un célibataire vivant avec ses pa-
rents à la campagne, sans charge aucune.
aurait le même salaire qu'un père de fa-
mille vivant à Londres et constamment oc-
cupé durant ses heures de présence, si l'un
et l'autre sont de la même catégorie. A no-
tre avis, et sans doute le public, y com-
pris beaucoup d'ouvriers, nous approuvera,
l'offre du Gouvernement est généreuse et
la demande du Syndicat injustifiable, voire
déraisonnable. Mais le plus fort motif que
l'on ait eu de ne pas céder, c'est qu'une
concession eût été inutile. Elle aurait peut-
être reculé le conflit ; elle ne l'aurait pas
évité. Il était fatal. Maintenant qu'il a été
imposé par des chefs qui trahissent les
vrais intérêts des cheminots autant que
ceux de la communauté, c'est un devoir de
combattre jusqu'au bout avec une énergie
inflexible. — (Ed.)
TIMES, 27.9.
CHEMINS DE FER
LES VOIES FERREES ESPAGNOLES.
— La largeur des voies ferrées espagnoles
est de 1 m. 672 sur environ 12.000 kilo-
mères et de 1 mètre pour le restant des
réseaux, alors que le gabarit français ou
international est de 1.435. Les voies rus-
ses sont de 1 m. 524. La France, avec
une insistance marquée et une grande té-
nacité, se montre partisan de l'unification
de nos voies ferrées selon le gabarit fran-
çais. Cette insistance devrait suffire pour
que nous nous opposions résolument à ses
desseins, parce que tant que la mentalité
française, impérialiste, accapareuse et hos-
tile à l'Espagne, ne se modifiera pas, notre
ennemi le plus à craindre par son voisi-
nage sur le continent et en Afrique est la
République transpyrénéenne.
Tout ce que les Français disent du péril
allemand, les Espagnols peuvent le redire,
avec beaucoup plus de raison en l'appli-
quant au péril français. Et de même que
l'uniformité du gabarit des voies ferrées a
été fatale pendant la guerre à nos voisins
et qu'il a permis l'invasion allemande et la
mise à profit du matériel de traction par
ses ennemis, de même l'adoption du gaba-
rit français pourrait nous causer un préju-
dice immense en temps de guerre et en
temps de paix, car il permettrait à nos voi-
sins de circuler en Espagne avec leur ma-
tériel et d'utiliser le nôtre. Nous l'avons
déjà dit incidemment dans un autre arti-
cle : s'il n'y avait pas eu la différence de
largeur des voies, les Français auraient fait
main basse sur nos wagons pendant la
guerre ; nos chemins de fer qui sont plus
français qu'espagnols, par leurs directeurs
et leurs chefs de service, auraient été tout
désignés pour cette opération qui nous au-
rait laissés sans moyens de vivre. Grâce à
la prévision de nos gouvernants qui ont
établi le gabarit 1 m. 672, nous avons eu
ainsi une défense naturelle qui nous a em-
pêchés d'être complètement dépouillés.
Mais en outre le changement de gabarit
exigerait des frais d'une importance telle
que cela suffirait pour qu'on se prononce
contre lui.
En 1908. le Gouvernement confia l'étude
de ce problème à la direction de la Com-
pagnie de « Madrid à Saragosse et Ali-
cante » et à la direction de la Compagnie
du Midi, qui est française.
M. Maristany, au nom de la première
Compagnie, conclut que le coût de la trans-
formation des 12.000 kilomètres de voie
large serait de 968.500.000 pesetas : au-
jourd'hui cela coûterait probablement le
double ou tout au moins environ 1 mil-
liard 500.000. La Compagnie du Midi cal-
cula que le coût de ces travaux s'élève-
rait seulement à 230 millions. Mais cette
basse évaluation, si distante de l'autre,
montre l'intérêt des Français à la réalisa-
tion de ce projet. En tous cas des som-
mes aussi importantes peuvent avoir un
meilleur emploi même sans sortir du cha-
pitre des dépenses ferroviaires.
Il faut encore bien des millions pour
créer de nouvelles voies ferrées et pour
améliorer celles que nous avons.
Ce changement de gabarit, que quelques-
uns préconisent imprudemment doit être re-
poussé pour le péril et pour les grands
frais qu'il entraînerait. Le plus extraordi-
naire, c'est qu'après les leçons de la guer-
re il y ait encore quelque Espagnol patriote
pour faire sienne les prétentions étrangères.
DEBATE, 23.9.
ETATS-UNIS. — [Cf. Bulletin n 08 1259,
1260, p. 1, 1263, p. 3]- — LE PROJET PLUMB.
— Le plan Plumb pour la nationalisation
des chemins de fer ne sera pas pris en con-
sidération par le corps législatif.
~Att) DES
US ETRANGERES
Er DE LA GUERRE
N° 1264
Mardi 30 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
L OCCUPATION
fîUÇES AMERICAINES SUR LE
RHIN. - De Coblence : Le marécli,-il Foch,
anfi De Coblence : Le maréchal Foch,
dou?~ en chef des forces alliées, a
/-klé q,, territoire rhénan à occuper
ht1,le farnn Permanente par les troupes
ôie s°Us f sera - le double de la région pla-
Je j?Us la juridictio'll américaine depuis
Parti 14 dernière division du combat est re-
t Pour- l'Amérique
J-ti
de cette décision, les Améri-
C'fi la tAt rePrendre l'occupation de
t> 'ievronJ li P°r|t proprement dite de
e est-à-dire exactement le même
1 olre r , r*ve droite du Rhin qu'ils
r' Jeut depuis le mois de décembre der-
tlJile i Ur l'i rive gauche du Rhin, le terri-
~! l(: à orm,
J]°"§é
A/nu MV VORK AMERICAN, 5.9.
——< ~———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
CAPITAL ET TRAVAIL
ï. UN p UNIS [Cf. Bulletin, n° 1263, p. 1].
LSON i DE CONFÉRENCE ÉCONOMIQUE DE
SâN, - De Washington : La pro-
du n«^A s'1 ,ent re ative à une con-
°Uv!?Cti réui^fSan des représentants des
g¡téition et des Patrons cause une grande
K l0o.
'Ouverture de cette conférence
& ^*^e0 acnH1i^yf/ture de cette conférence
i°siïion« >> annoncée et on fait force
en P() Ssible.e sujet de même que sur
aPP-laudissaiit à cette idée, sans
lier e faire remarquer que le sénateur
s6ih .? *ter r&
ter réçugea une résolution dans ce
les chefs républi-
y a CamWemaines» divles chefs républi-
cains du Capitole VepnemeTi sont in(Iuiets. Ils voient
Ce proje. t un avantage politique pour
te. erneril ellt qu'il sera difficile de com-
il <1lUrelle
LI pré en tant que républicains,
de la président l'intention de faire
'Jjh t
à un troisième en VUe de sa candidature
e Mandàat. il leur répugne
^ne ilson Pourrait retirer de
n- d'avoir réglé la crise
",ir t1 elle ars qu'ils espéraient se ser-
t e. uatIon Pour mener leur cam-
U L,
N tion Poindexter et d'autres me-
&v %?eil?blabipo ® furent proposées à la
it we il y a
Q~r'1rl tio !e dormir sans espoir
lfl ratIOn. le Président n'avait publié sa
T 11:
corjj tr.
r avec confiance que sa
avec la corpor,,ition de l'Acier
Ue iVavecJf ra corporation de l'Acier
sera d:lscutée et réglée à
°n> comme l'indique le président,
et que la conférence qu'ils n'ont pu orga-
niser avec Elbert H. Gary devra inévitable-
ment avoir lieu
Le représentant Esch, qui s'occupe des
projets de loi sur les chemins de fer, dit
que la question des chemins de fer sera do-
minante à la conférence et les défenseurs
du projet Plumb pensent que les délibéra-
tions leur donneront raison.
WORLD [de New-York], 2.9.
GRÈVES
LA GREVE DES CHEMINOTS ANGLAIS.
— En lisant le compte rendu des né-
gociations d'hier le public peut juger si les
demandes des cheminots étaient accepta-
bles et s'ils avaient une raison quelconque
de rejeter les offres du gouvernement. La
dernière offre de celui-ci était un salaire
moyen double de celui d'avant-guerre, un
minimum de 40 shillings la semaine et la
garantie qu'aucun employé ne subirait au-
cune diminution de salaire tant que la vie
n'aurait pas diminué au point de ne pas
dépasser 110 du prix d'avant-guerre.
Cela revenait à dire que les cheminots con-
tinueraient à recevoir leur salaire de guer-
re, qui avait été fixé quand la vie avait
augmenté de 125 %, jusqu'à ce que la vie
ait baissé de 15 Ils ont refusé. Le Co-
mité exécutif des Cheminots persiste à de-
mander un salaire moyen égal pour chaque
catégorie, salaire qui serait le maximum
actuellement payé aux plus favorisés de
chaque catégorie, sans qu'il soit tenu aucun
compte des conditions où l'employé tra-
vaille. Un célibataire vivant avec ses pa-
rents à la campagne, sans charge aucune.
aurait le même salaire qu'un père de fa-
mille vivant à Londres et constamment oc-
cupé durant ses heures de présence, si l'un
et l'autre sont de la même catégorie. A no-
tre avis, et sans doute le public, y com-
pris beaucoup d'ouvriers, nous approuvera,
l'offre du Gouvernement est généreuse et
la demande du Syndicat injustifiable, voire
déraisonnable. Mais le plus fort motif que
l'on ait eu de ne pas céder, c'est qu'une
concession eût été inutile. Elle aurait peut-
être reculé le conflit ; elle ne l'aurait pas
évité. Il était fatal. Maintenant qu'il a été
imposé par des chefs qui trahissent les
vrais intérêts des cheminots autant que
ceux de la communauté, c'est un devoir de
combattre jusqu'au bout avec une énergie
inflexible. — (Ed.)
TIMES, 27.9.
CHEMINS DE FER
LES VOIES FERREES ESPAGNOLES.
— La largeur des voies ferrées espagnoles
est de 1 m. 672 sur environ 12.000 kilo-
mères et de 1 mètre pour le restant des
réseaux, alors que le gabarit français ou
international est de 1.435. Les voies rus-
ses sont de 1 m. 524. La France, avec
une insistance marquée et une grande té-
nacité, se montre partisan de l'unification
de nos voies ferrées selon le gabarit fran-
çais. Cette insistance devrait suffire pour
que nous nous opposions résolument à ses
desseins, parce que tant que la mentalité
française, impérialiste, accapareuse et hos-
tile à l'Espagne, ne se modifiera pas, notre
ennemi le plus à craindre par son voisi-
nage sur le continent et en Afrique est la
République transpyrénéenne.
Tout ce que les Français disent du péril
allemand, les Espagnols peuvent le redire,
avec beaucoup plus de raison en l'appli-
quant au péril français. Et de même que
l'uniformité du gabarit des voies ferrées a
été fatale pendant la guerre à nos voisins
et qu'il a permis l'invasion allemande et la
mise à profit du matériel de traction par
ses ennemis, de même l'adoption du gaba-
rit français pourrait nous causer un préju-
dice immense en temps de guerre et en
temps de paix, car il permettrait à nos voi-
sins de circuler en Espagne avec leur ma-
tériel et d'utiliser le nôtre. Nous l'avons
déjà dit incidemment dans un autre arti-
cle : s'il n'y avait pas eu la différence de
largeur des voies, les Français auraient fait
main basse sur nos wagons pendant la
guerre ; nos chemins de fer qui sont plus
français qu'espagnols, par leurs directeurs
et leurs chefs de service, auraient été tout
désignés pour cette opération qui nous au-
rait laissés sans moyens de vivre. Grâce à
la prévision de nos gouvernants qui ont
établi le gabarit 1 m. 672, nous avons eu
ainsi une défense naturelle qui nous a em-
pêchés d'être complètement dépouillés.
Mais en outre le changement de gabarit
exigerait des frais d'une importance telle
que cela suffirait pour qu'on se prononce
contre lui.
En 1908. le Gouvernement confia l'étude
de ce problème à la direction de la Com-
pagnie de « Madrid à Saragosse et Ali-
cante » et à la direction de la Compagnie
du Midi, qui est française.
M. Maristany, au nom de la première
Compagnie, conclut que le coût de la trans-
formation des 12.000 kilomètres de voie
large serait de 968.500.000 pesetas : au-
jourd'hui cela coûterait probablement le
double ou tout au moins environ 1 mil-
liard 500.000. La Compagnie du Midi cal-
cula que le coût de ces travaux s'élève-
rait seulement à 230 millions. Mais cette
basse évaluation, si distante de l'autre,
montre l'intérêt des Français à la réalisa-
tion de ce projet. En tous cas des som-
mes aussi importantes peuvent avoir un
meilleur emploi même sans sortir du cha-
pitre des dépenses ferroviaires.
Il faut encore bien des millions pour
créer de nouvelles voies ferrées et pour
améliorer celles que nous avons.
Ce changement de gabarit, que quelques-
uns préconisent imprudemment doit être re-
poussé pour le péril et pour les grands
frais qu'il entraînerait. Le plus extraordi-
naire, c'est qu'après les leçons de la guer-
re il y ait encore quelque Espagnol patriote
pour faire sienne les prétentions étrangères.
DEBATE, 23.9.
ETATS-UNIS. — [Cf. Bulletin n 08 1259,
1260, p. 1, 1263, p. 3]- — LE PROJET PLUMB.
— Le plan Plumb pour la nationalisation
des chemins de fer ne sera pas pris en con-
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