Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-09-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 septembre 1919 27 septembre 1919
Description : 1919/09/27 (N1262,T13). 1919/09/27 (N1262,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62392994
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTERES
DEs
E*'jjEs étrangères
ET DE LA GUERRE
N° 1262-
Samedi 27 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTiONS ÉCONOMIQUES
La CHANGE
E DU MARK EN ESPAGNE.
Q) francs Ont baissé, hier, jusqu'à un
POiut eque, même aux jours les plus criti-
qks de la gUerre ils n'avaient pas connu :
S luliks GOET coté ces jours-ci un chif-
dtlqul Ire 11,B représente pas la sixième partie
! valeur en or : 100 marks pour 19 pe-
les données que nous, possé-
baiss nous permettent de conclure que la
aiss es francs est peu importante, alors
la Cot baie des marks est excessive. Mais
la Cot6 ppl Yement trop élevée des francs
tt a cote actuelle relativement trop basse
desraRrks, renfernient des mystères que
Bea ons et que nous allons éclaircir..
dalls lUCOUP d'argent espagnol a été mis
a U snL i *on des marks et des francs.
à évain i
v j- marks achetés en Espagne
vUe fi IIlllhons, d'après les calculs d'une re-
dnL^3°^0 amniï ni're" A Bilbao, on évalue à plus
3n IIlllhons les marks achetés sur cette
l1ÿ
5S émfi? Personnes qui disent que Cfis
fa ent à un emprunt d'argent
lIJellt 101 en faveur de l'Allemagne. Evidem-
'l, en serait a*nsi si le montant en pese-
Sltl011 Vent6s de marks restait à la dispo-
siti 0ri de la nation ou du gouvernement
tn art d. Mais ce n'est pas le cas, attendu
que selon la version courante et la plus va-
^ïwu^airec -n marks est faite par les
it an(^s qui fuient les forts
s's par le ministre des Finan-
vfi€rleUrT^.®f - mettent en sûreté à l'é-
le rs illions en numéraire et leurs
~cilea-~ endossables ; et les cho-
ses reste aInsI, au heu que les marks ven-
y rir« Allemagne et qu'ils conti-
veéJUdiceY CIrcUler, ces opérations portent
e^es ne favorisent le pays
et Cbange a; moyen, outre que la baisse
nge s'-îpC^tue' les quantités d'argent
!?* ianSères, qui formént la
Cot>ti>û ^arîie dp S marks vendus, échappent
Nieves et à l'usage de la nation alle-
r1 thé dplus, le fait que l'argent natio-
QI) IVers Pointa des mains étrangères, est
fe Ue un inconvénient et
NW dur la situation économique et
l"e, du Pays d'où l'argent est origi-
ih lOS.
^era'ent complètement
le g ect si es Changeraient complètement
t,(juveeent l'autre supposition, c'était
1lNa ST>CAE^NaMrRks, D qui réalisait de
cette ~s, provoquant ainsi
ve cettp , ^!eur monétaire. Dans ce
f ^v ntes de« marks constitueraient un
ïn« 186, cornrne celui que le gou-
~~s~~ fait en Espagne, afin
Î H V leS cours du change.
Mais il ya une différence énorme entre le
^^E différence énorme entre le
r~~ Q.nce e~ celui de l'Allemagne.
Pouvait a" faire cette opération
"ice x soïi
e à. Ile 1 argent avait réellement un
ri Pas souffrir une dépréciation
de plus de 30 à 40 pour 100. L'Allemagne
qui perd 80 à 90 pour 100 sur la valeur
de son argent, ne peut trouver aucun avan-
tage à semblable opération. — (Ramon de
Olascoaga,)
DEBATE, 20.9.
COMMERCE EXTÉRIEUR
LES EXPORTATIONS ESPAGNOLES. —
La Gaceta d'hier publie la statistique du
commerce extérieur de l'Espagne pendant
les quatre premiers mois de l'année 1919.
Les chiffres qu'elle donne ne peuvent pas
être plus favorables : l'importance de nos
achats et de nos ventes va en augmentant
et la balance commerciale continue à nous
être favorable. Au lieu de 169,1 millions
de produits achetés en dehors de la Pénin-
sule de janvier à avril 1918. nous attei-
gnons le chiffre de 266.7 ; d'autre part,
les exportations s'élèvent de 271.5 mil-
lions à 457.3. Si l'on considère les choses
sous cet aspect et si on remarque l'ac-
croissement d'achats de matières premières
et les sorties d'articles fabriqués, il n'y a
dans toutes ces données que des motifs
de se réjouir.
Mais par malheur tout n'est pas couleur
de rose dans le tableau. Si flatteur que
cela puisse paraître de conquérir de nou-
veaux marchés, notre satisfaction est ter-
nie par la conviction que cela ne se fait
pas toujours sans porter préjudice à la
consommation nationale. Ou plus claire-
ment : on sacrifie le ravitaillement du pays
à l'appât de bénéfices plus plantureux ob-
tenus en ravitaillant les autres pays.
Voyons d'abord l'industrie de la chaus-
sure, puisque les prix énormes qu'a at-
teint la chaussure donnent une lamentable
actualité à ce sujet. Précisément quand
tout le monde se plaint du manque de ma-
tières premières, la Gaceta vient nous dire
qu'on a exporté de janvier à avril ce qui
suit : peaux non tannées, de toutes caté-
gories : 6.545.784 pesetas (pour cette même
période de 1918 l'exportation était de
1.429.375).
Cuir tanné à l'anglaise : 10.075.148 pe-
setas (exportation pendant la même pé-
riode de l'année antérieure : 1.676.156).
Peaux de veau tannées 12.745.698 pe-
setas (dans les quatre premiers mois de
l'année précédente 863.940).
Peaux de mouton, peaux de chèvre et
autres peaux apprêtées : 2.644.816 pese.
tas (exportation de janvier à avril en 1918
630.282) ; ,
Chaussures : 8.353.104 pesetas (pendant
l'année précédente : 1.961.616).
Total des exportations pendant les qua-
tre premiers mois de cette année : 40 mil-
lions 264.550 pesetas. Exportations pendant
l'année antérieure 6.561.369. Augmentation
pendant l'année courante : 33.703.181. Si le
marché était bien approvisionné ; si la ra-
réfaction des produits ne se traduisait pas
par une formidable cherté, comment ne se
réjouirait-on pas d'une aussi insolite aug-
mentation des exportations ? Mais comme
elle se fait aux dépens des consommateurs
nationaux, il est impossible de se réjouir.
Au contraire, on regrette, et déjà nous
l'avons maintes fois exprimé que les -pou-
voirs publics n'aient rien fait pour mettre
ordre à un abus pareil.
On vend beaucoup aux autres pays et
ainsi on attire en Espagne des sommes con-
sidérables. Mais on ne procède pas comme
il convient, c'est-à-dire sans porter préju-
dice à la collectivité ; au contraire, on
aggrave <:haque jour davantage la situation
du pays.
Notre situation ressemble assez à celle
de l'avare qui entasse un trésor consid'é-
rable en se privant de tout ce qui est né-
cessaire à son existence.
Le plus déplorable est qu'on ne voit pas
que la situation soit sur le point de chan-
ger.
IMPARCIAL, 20.9.
CHEMINS DE FER
ANGOLA. — LIGNE DE BENGUELLA : L'ad-
ministration des chemins de fer de Ben-
guella vient de publier son rapport pour
l'exercice 1918.
On voit par le rapport de cette Compa-
gnie pour son quinzième exercice, année
1918, que son capital' se maintient à
3.000.000 de livres en actions d'une livre,
dont 300.000 en actions d'une livre appar-
tiennent au Gouvernement portugais, et de
2.500.000 livres en obligations 5 garanti
par la Tanganyka Concession Ltd.
Quelques ouvrages de consolidation et
des travaux d'amélioration sur les points
les plus dangereux du trafic ont été exécu-
tés pour prévenir des déraillements ; on
a construit des maisons pour le person-
nel et les services ; on a établi de nou-
veaux embranchements, créé des magasins
à Lobito et dans différentes stations pour
le dépôt des marchandises et des produits
d'exportation, construit une tuilerie et une
briquetterie destinées à la fourniture des
matériaux à la Compagnie, etc. On a éga-
lement réalisé des améliorations dans l'ap-
provisionnement en eau des stations et
construit un déversoir d'eau d'une capa-
cité de 1.000 mètres cubes, près de la sta-
tion de Catumbella, qui permet de ravi-
tailler facilement les navires dans le port
de Lobito.
Ces travaux ont coûté 110.917 contos.
Les recettes ont surpassé de 29.55 cel-
les de 1917, augmentation qu'il faut attri-
buer au développement agncole et com-
mercial du district de Benguella et aux
facilités offertes par l'administration.
Il n'y a pas eu pendant l'année d'acci-
dent sérieux à signaler ni d'interruption
dans la marche des trains.
La nécessité d'augmenter le matériel est
reconnue. v
La perspective du développement agri-
cole du district de Benguella est assez en-
courageante. La production des denrées ali-
mentaires a augmenté de telle sorte qu'elle
excède la capacité actuelle de transport du
chemin de fer, qui ne dispose plus d'un
nombre suffisant de waigons. Le réseau de
routes sur le plateau et sur d'autres points,
que la Compagnie a aidé à construire, va
DEs
E*'jjEs étrangères
ET DE LA GUERRE
N° 1262-
Samedi 27 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
1
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTiONS ÉCONOMIQUES
La CHANGE
E DU MARK EN ESPAGNE.
Q) francs Ont baissé, hier, jusqu'à un
POiut eque, même aux jours les plus criti-
qks de la gUerre ils n'avaient pas connu :
S luliks GOET coté ces jours-ci un chif-
dtlqul Ire 11,B représente pas la sixième partie
! valeur en or : 100 marks pour 19 pe-
les données que nous, possé-
baiss nous permettent de conclure que la
aiss es francs est peu importante, alors
la Cot baie des marks est excessive. Mais
la Cot6 ppl Yement trop élevée des francs
tt a cote actuelle relativement trop basse
desraRrks, renfernient des mystères que
Bea ons et que nous allons éclaircir..
dalls lUCOUP d'argent espagnol a été mis
a U snL i *on des marks et des francs.
à évain i
v j- marks achetés en Espagne
vUe fi IIlllhons, d'après les calculs d'une re-
dnL^3°^0 amniï ni're" A Bilbao, on évalue à plus
3n IIlllhons les marks achetés sur cette
l1ÿ
5S émfi? Personnes qui disent que Cfis
fa ent à un emprunt d'argent
lIJellt 101 en faveur de l'Allemagne. Evidem-
'l, en serait a*nsi si le montant en pese-
Sltl011 Vent6s de marks restait à la dispo-
siti 0ri de la nation ou du gouvernement
tn art d. Mais ce n'est pas le cas, attendu
que selon la version courante et la plus va-
^ïwu^airec -n marks est faite par les
it an(^s qui fuient les forts
s's par le ministre des Finan-
vfi€rleUrT^.®f - mettent en sûreté à l'é-
le rs illions en numéraire et leurs
~cilea-~ endossables ; et les cho-
ses reste aInsI, au heu que les marks ven-
y rir« Allemagne et qu'ils conti-
veéJUdiceY CIrcUler, ces opérations portent
e^es ne favorisent le pays
et Cbange a; moyen, outre que la baisse
nge s'-îpC^tue' les quantités d'argent
!?* ianSères, qui formént la
Cot>ti>û ^arîie dp S marks vendus, échappent
Nieves et à l'usage de la nation alle-
r1 thé dplus, le fait que l'argent natio-
QI) IVers Pointa des mains étrangères, est
fe Ue un inconvénient et
NW dur la situation économique et
l"e, du Pays d'où l'argent est origi-
ih lOS.
^era'ent complètement
le g ect si es Changeraient complètement
t,(juveeent l'autre supposition, c'était
1lNa ST>CAE^NaMrRks, D qui réalisait de
cette ~s, provoquant ainsi
ve cettp , ^!eur monétaire. Dans ce
f ^v ntes de« marks constitueraient un
ïn« 186, cornrne celui que le gou-
~~s~~ fait en Espagne, afin
Î H V leS cours du change.
Mais il ya une différence énorme entre le
^^E différence énorme entre le
r~~ Q.nce e~ celui de l'Allemagne.
Pouvait a" faire cette opération
"ice x soïi
e à. Ile 1 argent avait réellement un
ri Pas souffrir une dépréciation
de plus de 30 à 40 pour 100. L'Allemagne
qui perd 80 à 90 pour 100 sur la valeur
de son argent, ne peut trouver aucun avan-
tage à semblable opération. — (Ramon de
Olascoaga,)
DEBATE, 20.9.
COMMERCE EXTÉRIEUR
LES EXPORTATIONS ESPAGNOLES. —
La Gaceta d'hier publie la statistique du
commerce extérieur de l'Espagne pendant
les quatre premiers mois de l'année 1919.
Les chiffres qu'elle donne ne peuvent pas
être plus favorables : l'importance de nos
achats et de nos ventes va en augmentant
et la balance commerciale continue à nous
être favorable. Au lieu de 169,1 millions
de produits achetés en dehors de la Pénin-
sule de janvier à avril 1918. nous attei-
gnons le chiffre de 266.7 ; d'autre part,
les exportations s'élèvent de 271.5 mil-
lions à 457.3. Si l'on considère les choses
sous cet aspect et si on remarque l'ac-
croissement d'achats de matières premières
et les sorties d'articles fabriqués, il n'y a
dans toutes ces données que des motifs
de se réjouir.
Mais par malheur tout n'est pas couleur
de rose dans le tableau. Si flatteur que
cela puisse paraître de conquérir de nou-
veaux marchés, notre satisfaction est ter-
nie par la conviction que cela ne se fait
pas toujours sans porter préjudice à la
consommation nationale. Ou plus claire-
ment : on sacrifie le ravitaillement du pays
à l'appât de bénéfices plus plantureux ob-
tenus en ravitaillant les autres pays.
Voyons d'abord l'industrie de la chaus-
sure, puisque les prix énormes qu'a at-
teint la chaussure donnent une lamentable
actualité à ce sujet. Précisément quand
tout le monde se plaint du manque de ma-
tières premières, la Gaceta vient nous dire
qu'on a exporté de janvier à avril ce qui
suit : peaux non tannées, de toutes caté-
gories : 6.545.784 pesetas (pour cette même
période de 1918 l'exportation était de
1.429.375).
Cuir tanné à l'anglaise : 10.075.148 pe-
setas (exportation pendant la même pé-
riode de l'année antérieure : 1.676.156).
Peaux de veau tannées 12.745.698 pe-
setas (dans les quatre premiers mois de
l'année précédente 863.940).
Peaux de mouton, peaux de chèvre et
autres peaux apprêtées : 2.644.816 pese.
tas (exportation de janvier à avril en 1918
630.282) ; ,
Chaussures : 8.353.104 pesetas (pendant
l'année précédente : 1.961.616).
Total des exportations pendant les qua-
tre premiers mois de cette année : 40 mil-
lions 264.550 pesetas. Exportations pendant
l'année antérieure 6.561.369. Augmentation
pendant l'année courante : 33.703.181. Si le
marché était bien approvisionné ; si la ra-
réfaction des produits ne se traduisait pas
par une formidable cherté, comment ne se
réjouirait-on pas d'une aussi insolite aug-
mentation des exportations ? Mais comme
elle se fait aux dépens des consommateurs
nationaux, il est impossible de se réjouir.
Au contraire, on regrette, et déjà nous
l'avons maintes fois exprimé que les -pou-
voirs publics n'aient rien fait pour mettre
ordre à un abus pareil.
On vend beaucoup aux autres pays et
ainsi on attire en Espagne des sommes con-
sidérables. Mais on ne procède pas comme
il convient, c'est-à-dire sans porter préju-
dice à la collectivité ; au contraire, on
aggrave <:haque jour davantage la situation
du pays.
Notre situation ressemble assez à celle
de l'avare qui entasse un trésor consid'é-
rable en se privant de tout ce qui est né-
cessaire à son existence.
Le plus déplorable est qu'on ne voit pas
que la situation soit sur le point de chan-
ger.
IMPARCIAL, 20.9.
CHEMINS DE FER
ANGOLA. — LIGNE DE BENGUELLA : L'ad-
ministration des chemins de fer de Ben-
guella vient de publier son rapport pour
l'exercice 1918.
On voit par le rapport de cette Compa-
gnie pour son quinzième exercice, année
1918, que son capital' se maintient à
3.000.000 de livres en actions d'une livre,
dont 300.000 en actions d'une livre appar-
tiennent au Gouvernement portugais, et de
2.500.000 livres en obligations 5 garanti
par la Tanganyka Concession Ltd.
Quelques ouvrages de consolidation et
des travaux d'amélioration sur les points
les plus dangereux du trafic ont été exécu-
tés pour prévenir des déraillements ; on
a construit des maisons pour le person-
nel et les services ; on a établi de nou-
veaux embranchements, créé des magasins
à Lobito et dans différentes stations pour
le dépôt des marchandises et des produits
d'exportation, construit une tuilerie et une
briquetterie destinées à la fourniture des
matériaux à la Compagnie, etc. On a éga-
lement réalisé des améliorations dans l'ap-
provisionnement en eau des stations et
construit un déversoir d'eau d'une capa-
cité de 1.000 mètres cubes, près de la sta-
tion de Catumbella, qui permet de ravi-
tailler facilement les navires dans le port
de Lobito.
Ces travaux ont coûté 110.917 contos.
Les recettes ont surpassé de 29.55 cel-
les de 1917, augmentation qu'il faut attri-
buer au développement agncole et com-
mercial du district de Benguella et aux
facilités offertes par l'administration.
Il n'y a pas eu pendant l'année d'acci-
dent sérieux à signaler ni d'interruption
dans la marche des trains.
La nécessité d'augmenter le matériel est
reconnue. v
La perspective du développement agri-
cole du district de Benguella est assez en-
courageante. La production des denrées ali-
mentaires a augmenté de telle sorte qu'elle
excède la capacité actuelle de transport du
chemin de fer, qui ne dispose plus d'un
nombre suffisant de waigons. Le réseau de
routes sur le plateau et sur d'autres points,
que la Compagnie a aidé à construire, va
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