Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-09-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 septembre 1919 11 septembre 1919
Description : 1919/09/11 (N1248,T13). 1919/09/11 (N1248,T13).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62392853
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/02/2013
MINISTtRES
DES
faires étkangeres
Et de la GUERRE
N° 1248
Jeudi 11 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIuNS MILITAIRES
COMMANDEMENT
l LORI? BEATTY. — Si les crédits pour
j a Marine sont limités il est nécessaire
qu'ils soient employés sagement.
La nation n'en aura pour son argent que
se trouve à la tête de l'amirauté un
Prit alerte, capable de prévoir l'avenir
c Lord Fisher le voyait il y a 15 ou
fI aos. C'est lui qui nous a donné une
notte en avance sur toutes les autres au
Po'i i vue matériel, quoiqu'il n'ait pas
£ hp , à développer la valeur tactique et
s rûtéglgue de son état-major qui aurait pu
n\ ServIr de cette arme terrible d'une ma-
Ilière écrasante. Il faut, à cet effet, à
j'A ni. râl1^> un officier qui joindra à la
"re vision d'un Lord Fisher au point de
sa e mécanique, les plus hautes connais-
Sasn es tactiques et stratégiques.
Be ar bonheur, la nation possède en Lord
l'ie fier 06 de la guerre navale, dans laquelle il
il st mettre un véritable chef. Le plus tôt
il s 3 appelé à l'Amirauté pour examiner
Mas. besoins et prendre la direction de la
nanrlne, le mieux cela sera pour nos fi-
dOitces et notre sécurité. C'est la place qu'il
(î0jt0ccVPer ; et quoique l'Amirauté actuel-
le fait de l'excellent travail, aucune dé-
l'ats n lmPortante ne devrait être prise sans
'? n ou l'avis de Lord Beatty.
Miei ^x 3ue tout autre officier, il sait quels
tyPp de navires il faudra employer et
qnpt 's changements il faudra faire. Il a vu
reuye notre matériel naval dans trois
lre 1 es, Importantes et au cours de qua-
tre a nees de service incessant en mer. —
(Ed)
DAILY MAIL, 6.9.
PRISONNIERS
riES PRISONNIERS ALLEMANDS EN
des — Après le départ d'Allemagne
s alliés les prisonniers alle-
er^ France avaient espéré une
ils ;OPte l'aération. Au lieu d'être libérés
jl's furent traités de plus en plus durement.
gereles employa aux travaux les plus dan-
gereux sur l'ancien front. La plupart
ét,,,,t entassés dans des baraquements
n'etit point voulu pour le bétail.
t),, MPagnies entières firent la grève de
nips - e que d'accomplir plus long-
tertll)s l, es besognes périlleuses pour quel-
es clf. lrnes par jour et une nourriture
+ Grande était leur fureur en
leUr"' ant. à ce qu'ils avaient vu jadis dans
vrer Patrie : des prisonniers français se li-
(jes et dimanche à de grandes promena-
et
les et rnêrne, à des petits voyages tandis
que ceux 1. travaillaient hors des camps
pouvaient librsement circuler sans jamais
d»
à Se Plaindre de l'animosité des po-
s. (Lettre des provinces rhénanes.)
NIEUWE ROTTERD AMSCHE
COURANT, 4.9.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
AGRICULTURE
ESPAGNE. — Dans l'étude qu'a publiée
le service agronomique de Séville et qui
englobe les enquêtes faites dans dix-sept
bourgs de cette province, il est dit que, rien
que dans ces bourgs, il y a plus de 450.000
hectares de terrains laissés sa.nSt. culture,
consacrés à la chasse et au nâturage des
taureaux de combat.
L'Andalousie, cette belle région, est un
immense terrain de chasse. L'origine de la
misère espagnole est dans ces campagnes
désertes, refuge où se multiplie le gibier,
dans ces fleuves dont on ne tire pas profit,
inutiles, qui vont à la mer, pendant que,
faute d'humidité, se fanent, le long de leur
cours, les tendres pousses. Les champs
restent sans culture et les eaux des fleuves
restent inutilisées, la vieille charrue ro-
maine retourne encore cette pauvre terre
espagnole, dans ces temps où des milliers
d'aéroplanes sillonnent les airs et où les
sous-marins plongent au fond des mers.
Mais en échange de toute la richesse que
nous n'avons pas, nous avons des taureaux
fougueux et une multitude de toreros, et
des grands terrains de chasse, où le gibier
est si abondant qu'il détruit les chiches se-
mailles des champs d'alentours. L'enquête
faite par le service agronomique remplit
d'angoisse et chagrine tous ceux qui aiment
l'Espagne, l'Espagne sans rhétorique, sans
politiciens, sans trafiquants, sans aristo-
crates, qui, tout en parlant à pleine bouche
de leur amour pour la terre où ils sont
nés, accaparent et clôturent d'énormes éten-
dues de terrain.
La conséquence de tout cela est que les
bras qui pourraient cultiver la terre et nous
enrichir s'en vont à l'étranger.
DIA [de Madrid ], 5.9.
COMMERCE EXTÉRIEUR
L'INDUSTRIE ANGLAISE ET SES DE-
BOUCHES. — A quoi bon produire plus, si
les marchandises produites ne peuvent
être réparties, ni vendues ? Si la Grande-
Bretagne augmente sa production, où et
comment trouver des débouchés ? L'Amé-
rique n'a que faire de l'excès de notre pro-
duction. Toute l'Europe continentale a un
besoin pressant des marchandises que nous
pouvons lui fournir, mais un pays qui a
subi un véritable anéantissement économi-
que ne peut pas constituer pour nous un
client. La situation économique de l'Europe
est le résultat de la politique des Alliés à
l'égard des puissances centrales et de la
Russie. Par notre politique russe, nous
nous sommes fermé le plus puissant mar-
ché du monde. Les conditions de paix que
nous imposons à l'Allemagne, à l'Autri-
che et à la Hongrie rendent impossible leur
relèvement économique. C'est ainsi que se
pose le problème ; prétendre augmenter la
production britannique, sans avoir rétabli
d'abord l'équilibre économique des Etats
auxquels nous pouvons vendre nos pro-
duits, c'est refuser de voir les données
exactes de la situation actuelle.
LABOUR LEADER, 4.9.
L'ESPAGNE ET LES ALLIES. — Quelle
que soit la définition que l'on donne du
« dumping », il est évident que dans la
situation actuelle du monde il constitue un
péril qui nous menace, bien davantage à
craindre de la part de l'Angleterre et des
Etats-Unis que de la part de l'Allemagne.
Et parce que précisément nous défendons
l'industrie espagnole contre les attaques de
l'étranger et de nos compatriotes aveuglés
eux-mêmes, cela nous irrite que ceux-ci
voient le péril dans une agression alleman-
de, qui n'est pas encore commencée, alors
qu'ils se taisent, comme s'ils étaient morts,
devant l'invasion anglo-américaine, qui est
en train de paralyser les exploitations car-
bonifères et les industries qui sont la clef
de notre richesse.
DEBATE [de Madrid ], 7.9.
SYNDICALISME
GRANDE-BRETAGNE. — Les trade-
unionistes, dans leur majorité, souffrent
d'une tyrannie presque aussi pesante que
celle exercée jadis par les patrons despoti-
ques contre lesquels précisément le mouve-
ment trade-unioniste s'est formé. Cette ty-
rannie est aujourd'hui le fait de gens sans
scrupules, révolutionnaires de métier, qui
ont détourné les Trade-Unions de leur véri-
table objet. Nous verrons si les éléments
raisonnables l'emporteront finalement au
congrès de Glasgow. Le pays tout entier
sent l'importance de cette question, car une
révolution sociale dirigée par les trade-
unions serait, après le bolchlevisme, le plus
court chemin à la ruine générale. Si les
travailleurs désirent s'affranchir d'une ty-
rannie qu'ils ont laissé s'implanter, qu'ils
prennent les mesures nécessaires. Personne
ne pourrait se substituer à eux pour cela.
Mais le pays a le droit absolu de demander
appui au gouvernement. Le gouvernement
pourrait notamment faire rapporter la loi
sur les conflits du travail, et rétablir la
responsabilité des Trade-Unions. Il pourrait
modifier encore la loi de 1913 sur les Trade-
Unions, et imposer à tout trade-unioniste
qui souscrit à une collecte de fonds dont
l'objet est politique l'obligation de faire
une déclaration à ce sujet. Le gouverne-
ment pourrait enfin, comme le suggère
M. Osborne, exposer clairement la relation
qui existe entre les hauts salaires et le
prix de la vie, et expliquer quels sont les
résultats de l'insuffisance de la produc-
tion. — (Ed.) , •
MORNING POST, 8.9.
RECONSTITUTION
L'ALLEMAGNE ET LE NORD DE LA
FRANCE. — UNE CIRCULAIRE DU PARTI COM-
MUNISTE : La reconstitution du Nord de la
France est une des conditions avec lesquel-
les la bourgeoisie a acheté la paix. Nous
DES
faires étkangeres
Et de la GUERRE
N° 1248
Jeudi 11 Septembre 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIuNS MILITAIRES
COMMANDEMENT
l LORI? BEATTY. — Si les crédits pour
j a Marine sont limités il est nécessaire
qu'ils soient employés sagement.
La nation n'en aura pour son argent que
se trouve à la tête de l'amirauté un
Prit alerte, capable de prévoir l'avenir
c Lord Fisher le voyait il y a 15 ou
fI aos. C'est lui qui nous a donné une
notte en avance sur toutes les autres au
Po'i i vue matériel, quoiqu'il n'ait pas
£ hp , à développer la valeur tactique et
s rûtéglgue de son état-major qui aurait pu
n\ ServIr de cette arme terrible d'une ma-
Ilière écrasante. Il faut, à cet effet, à
j'A ni. râl1^> un officier qui joindra à la
"re vision d'un Lord Fisher au point de
sa e mécanique, les plus hautes connais-
Sasn es tactiques et stratégiques.
Be ar bonheur, la nation possède en Lord
l'ie
il st mettre un véritable chef. Le plus tôt
il s 3 appelé à l'Amirauté pour examiner
Mas. besoins et prendre la direction de la
nanrlne, le mieux cela sera pour nos fi-
dOitces et notre sécurité. C'est la place qu'il
(î0jt0ccVPer ; et quoique l'Amirauté actuel-
le fait de l'excellent travail, aucune dé-
l'ats n lmPortante ne devrait être prise sans
'? n ou l'avis de Lord Beatty.
Miei ^x 3ue tout autre officier, il sait quels
tyPp de navires il faudra employer et
qnpt 's changements il faudra faire. Il a vu
reuye notre matériel naval dans trois
lre 1 es, Importantes et au cours de qua-
tre a nees de service incessant en mer. —
(Ed)
DAILY MAIL, 6.9.
PRISONNIERS
riES PRISONNIERS ALLEMANDS EN
des — Après le départ d'Allemagne
s alliés les prisonniers alle-
er^ France avaient espéré une
ils ;OPte l'aération. Au lieu d'être libérés
jl's furent traités de plus en plus durement.
gereles employa aux travaux les plus dan-
gereux sur l'ancien front. La plupart
ét,,,,t entassés dans des baraquements
n'etit point voulu pour le bétail.
t),, MPagnies entières firent la grève de
nips - e que d'accomplir plus long-
tertll)s l, es besognes périlleuses pour quel-
es clf. lrnes par jour et une nourriture
+ Grande était leur fureur en
leUr"' ant. à ce qu'ils avaient vu jadis dans
vrer Patrie : des prisonniers français se li-
(jes et dimanche à de grandes promena-
et
les et rnêrne, à des petits voyages tandis
que ceux 1. travaillaient hors des camps
pouvaient librsement circuler sans jamais
d»
à Se Plaindre de l'animosité des po-
s. (Lettre des provinces rhénanes.)
NIEUWE ROTTERD AMSCHE
COURANT, 4.9.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
AGRICULTURE
ESPAGNE. — Dans l'étude qu'a publiée
le service agronomique de Séville et qui
englobe les enquêtes faites dans dix-sept
bourgs de cette province, il est dit que, rien
que dans ces bourgs, il y a plus de 450.000
hectares de terrains laissés sa.nSt. culture,
consacrés à la chasse et au nâturage des
taureaux de combat.
L'Andalousie, cette belle région, est un
immense terrain de chasse. L'origine de la
misère espagnole est dans ces campagnes
désertes, refuge où se multiplie le gibier,
dans ces fleuves dont on ne tire pas profit,
inutiles, qui vont à la mer, pendant que,
faute d'humidité, se fanent, le long de leur
cours, les tendres pousses. Les champs
restent sans culture et les eaux des fleuves
restent inutilisées, la vieille charrue ro-
maine retourne encore cette pauvre terre
espagnole, dans ces temps où des milliers
d'aéroplanes sillonnent les airs et où les
sous-marins plongent au fond des mers.
Mais en échange de toute la richesse que
nous n'avons pas, nous avons des taureaux
fougueux et une multitude de toreros, et
des grands terrains de chasse, où le gibier
est si abondant qu'il détruit les chiches se-
mailles des champs d'alentours. L'enquête
faite par le service agronomique remplit
d'angoisse et chagrine tous ceux qui aiment
l'Espagne, l'Espagne sans rhétorique, sans
politiciens, sans trafiquants, sans aristo-
crates, qui, tout en parlant à pleine bouche
de leur amour pour la terre où ils sont
nés, accaparent et clôturent d'énormes éten-
dues de terrain.
La conséquence de tout cela est que les
bras qui pourraient cultiver la terre et nous
enrichir s'en vont à l'étranger.
DIA [de Madrid ], 5.9.
COMMERCE EXTÉRIEUR
L'INDUSTRIE ANGLAISE ET SES DE-
BOUCHES. — A quoi bon produire plus, si
les marchandises produites ne peuvent
être réparties, ni vendues ? Si la Grande-
Bretagne augmente sa production, où et
comment trouver des débouchés ? L'Amé-
rique n'a que faire de l'excès de notre pro-
duction. Toute l'Europe continentale a un
besoin pressant des marchandises que nous
pouvons lui fournir, mais un pays qui a
subi un véritable anéantissement économi-
que ne peut pas constituer pour nous un
client. La situation économique de l'Europe
est le résultat de la politique des Alliés à
l'égard des puissances centrales et de la
Russie. Par notre politique russe, nous
nous sommes fermé le plus puissant mar-
ché du monde. Les conditions de paix que
nous imposons à l'Allemagne, à l'Autri-
che et à la Hongrie rendent impossible leur
relèvement économique. C'est ainsi que se
pose le problème ; prétendre augmenter la
production britannique, sans avoir rétabli
d'abord l'équilibre économique des Etats
auxquels nous pouvons vendre nos pro-
duits, c'est refuser de voir les données
exactes de la situation actuelle.
LABOUR LEADER, 4.9.
L'ESPAGNE ET LES ALLIES. — Quelle
que soit la définition que l'on donne du
« dumping », il est évident que dans la
situation actuelle du monde il constitue un
péril qui nous menace, bien davantage à
craindre de la part de l'Angleterre et des
Etats-Unis que de la part de l'Allemagne.
Et parce que précisément nous défendons
l'industrie espagnole contre les attaques de
l'étranger et de nos compatriotes aveuglés
eux-mêmes, cela nous irrite que ceux-ci
voient le péril dans une agression alleman-
de, qui n'est pas encore commencée, alors
qu'ils se taisent, comme s'ils étaient morts,
devant l'invasion anglo-américaine, qui est
en train de paralyser les exploitations car-
bonifères et les industries qui sont la clef
de notre richesse.
DEBATE [de Madrid ], 7.9.
SYNDICALISME
GRANDE-BRETAGNE. — Les trade-
unionistes, dans leur majorité, souffrent
d'une tyrannie presque aussi pesante que
celle exercée jadis par les patrons despoti-
ques contre lesquels précisément le mouve-
ment trade-unioniste s'est formé. Cette ty-
rannie est aujourd'hui le fait de gens sans
scrupules, révolutionnaires de métier, qui
ont détourné les Trade-Unions de leur véri-
table objet. Nous verrons si les éléments
raisonnables l'emporteront finalement au
congrès de Glasgow. Le pays tout entier
sent l'importance de cette question, car une
révolution sociale dirigée par les trade-
unions serait, après le bolchlevisme, le plus
court chemin à la ruine générale. Si les
travailleurs désirent s'affranchir d'une ty-
rannie qu'ils ont laissé s'implanter, qu'ils
prennent les mesures nécessaires. Personne
ne pourrait se substituer à eux pour cela.
Mais le pays a le droit absolu de demander
appui au gouvernement. Le gouvernement
pourrait notamment faire rapporter la loi
sur les conflits du travail, et rétablir la
responsabilité des Trade-Unions. Il pourrait
modifier encore la loi de 1913 sur les Trade-
Unions, et imposer à tout trade-unioniste
qui souscrit à une collecte de fonds dont
l'objet est politique l'obligation de faire
une déclaration à ce sujet. Le gouverne-
ment pourrait enfin, comme le suggère
M. Osborne, exposer clairement la relation
qui existe entre les hauts salaires et le
prix de la vie, et expliquer quels sont les
résultats de l'insuffisance de la produc-
tion. — (Ed.) , •
MORNING POST, 8.9.
RECONSTITUTION
L'ALLEMAGNE ET LE NORD DE LA
FRANCE. — UNE CIRCULAIRE DU PARTI COM-
MUNISTE : La reconstitution du Nord de la
France est une des conditions avec lesquel-
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