Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-08-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 août 1919 20 août 1919
Description : 1919/08/20 (T12,N1229). 1919/08/20 (T12,N1229).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6487961b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/04/2013
MINISTÈRES
DES
Maires ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1229
Mercredi 20 Août 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont dew
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MINES
ESPAGNE. — Le problème du charbon
(t deux aspects : l'accumulation du charbon
sur le carreau de la mine pour laquelle on
doit intensifier les transports et spéciale-
ment le cabotage, et la recherche des
moyens pour que la production ne diminue
pas.
; Avant la guerre, notre production, par
rapport aux besoins de la consommation,
I offrait un déficit de 2 millions et demi de
tonnes. Ce déficit a disparu et si aujour-
d'hui on ne voit pas l'Espagne susceptible
d'exporter de grandes quantités de charbon,
elle est en mesure de produire celui que ré-
: clame le marché national. Les Asturies peu-
vent produire 4 millions ; Léon, 2 millions
| et Puertollano autant.
La crise houillère aujourd'hui est mon-
* diale et l'unique pays qui a augmenté con-
sidérablement sa production a été les Etats-
Unis. Les Asturies ne peuvent abandonner
leurs mines, mais il ne faut pas que le pro-
tectionnisme de l'industrie houillère soit
au préjudice des autres industries. Si le
i gouvernement doit arriver à la nationalisa-
tion des mines, il doit en préparer le che-
min.
V ANGU ARDl.4 [de Barcelone], 12.8.
LE CHARBON ASTURIEN. — Ce produit est
devenu d'un prix excessif. Les patrons doi-
a vent se convaincre que leurs bénéfices doi-
Vent être normaux et les ouvriers n'ont pas
| le droit d'exiger des salaires cinq fois plus
elevés qu'autrefois.
En 1912, une tonne de charbon coûtait
seulement 12 pesetas. En 1918, ce prix s'éle-
va à 45 pesetas; et en 1919, il atteint le chif-
fre élevé de 54 pesetas. Ces frais, aussi fol-
: lement progressifs, sont dus à l'élévation
exagérée de salaires et au manque de cons-
cience des mineurs dans le travail dont ils
sont chargés.
En effet, en 1912, un mineur produisait
uoü kgs de minerai par jour. En 1918, cette
Production était tombée à 380 kgs. Actuelle-
ment, chaque ouvrier n'extrait pas plus de
260 kgs quotidiens.
i Dans ces conditions, la concurrence des
? charbons étrangers, spécialement les amé-
lcams, ruinera fatalement les mines des
Asturies.
j A. B. C., 15.8.
¡ FINANCES
LA DETTE FRANCAISE ET LE CREDIT
AMERICAIN. — Comment la France va-t-
elle payer son énorme dette extérieure ?
est une question que personne n'a en-
core soulevée et sur laquelle le Gouverne-
ment, dans les derniers débats financiers,
gardé le silence.
e L'équilibre commercial entre la France
r} les Etats-Unis était maintenu avant la
guerre par les quatre principales opéra-
IOns suivantes :
La première et la plus importante était
le commerce d'exportation de vins et li-
queurs, la seconde était l'exportation d'ob-
jets de luxe, la troisième le revenu des
capitaux français placés en valeurs améri-
caines, et la quatrième l'argent dépensé
en France par les touristes américains.
Actuellement, en raison de l'établisse-
ment de la prohibition aux Etats-Unis, le
commerce du vin est fini ; d'autre part
pendant la guerre toutes les valeurs amé-
ricaines autrefois détenues par des Fran-
çais sont passées dans des mains améri-
caines. Les seuls moyens de paiement qui
subsistent sont l'exportation d'objets de
luxe qui reprend rapidement, et les dé-
penses des touristes américains qui n'ont
pas encore commencé à venir en France.
Même si la dette américaine ne devait
pas augmenter, la France n'aurait que peu
d'espoir de pouvoir payer les intérêts, sauf
en émettant de nouveaux emprunts. Mais
la France est tellement atteinte par la
guerre qu'elle doit continuer à acheter
énormément à l'étranger pendant long-
temps encore, et le seul pays où elle puisse
pratiquement obtenir ce dont elle a besoin
est les Etats-Unis. Elle doit se procurer
des céréales, des conserves, de la viande,
du combustible du pétrole, du charbon et
des machines.
De plus, comme sa marine marchande
est ruinée, et que celle ,de la Grande-Bre-
tagne ne se charge du transport des mar-
chandises françaises qu'à un taux très éle-
vé, la France sera obligée de s'adresser de
plus en plus aux navires américains, aug-
mentant ainsi sa dette.
Il semble inévitable que la dette de la
France vis-à-vis des Etats-Unis augmente
chaque année de plusieurs milliards de
francs pendant de longues années encore.
Ajoutez à cela le change du dollar qui est
monté de 5 fr. 15 à 7 fr. 10, et l'on voit
pourquoi les économistes français haussent
simplement les épaules quand la question
de la dette américaine est soulevée.
Le fait est que personne ne possède une
idée bien définie pour résoudre le pro-
blème.
La France et l'Angleterre ont essayé à
plusieurs reprises à la Conférence de la
Paix de persuader les délégués américains
d'adopter une méthode de liquidation des
dettes de guerre, prétextant qu'il serait
injuste qu'une nation comme la France,
qui a eu à subir la plus grande perte de
vies humaines et de biens, souffre indéfi-
niment d'une paralysie financière, alors
qu'une nation comme les Etats-Unis, qui,
relativement, n'a fait aucune perte maté-
rielle et n'a souffert qu'une faible perte
de vies humaines, sortirait de la guerre
plus riche que jamais.
Nos délégués financiers pensèrent que
c'était simplement une manœuvre des
Etats européens pour se décharger sur
nous de leurs dépenses, et refusèrent de
donner suite à un tel projet.
La France essaya alors de nous per-
suader de conserver au moins pendant la
période de reconstruction les organismes
économiques des Alliés formés pendant la
guerre et qui lui auraient permis de faire
des achats et de se procurer du fret à
meilleur compte qu'à marché ouvert, mais
nos délégués commerciaux répondirent
que la « liberté commerciale devait être
rétablie aussi rapidement que possible ».
et la plupart de ces organisations écono-
miques ont déjà été dissoutes. Depuis, les
négociations entreprises avec la France
pour lui fournir des crédits ont toujours
été mennées de notre part avec le désir de
ne pas mêler le Gouvernement à ces af-
faires et de les laisser à certains groupes
financiers.
Le point de vue américain serait d'une
part d'ouvrir à la France des crédits à
longue échéance pour qu'elle puisse im-
porter ce dont elle a besoin, et d'autre
part de placer un capital américain im-
portant dans d'es entreprises françaises.
La France acceptera ces deux offres. Sa
situation est désespérée. Elle doit accepter
avec remerciements CIel qu'on lui offre.
mais une crainte amère lui serre le cœur.
Elle voit la main puissante de l'Amérique
se fermier lentement, sûrement, et inévi-
tablement sur elle, et elle ne peut voir
sans un frisson involontaire la perspective
de passer pour toujours sous la domina-
tion économique des Etats-Unis.
CHICAGO DAILY NEWS, 28.7.
ALLEMAGNE. — LE PROGRAMME ERZBER-
GER. — De Weimar : La première partie de
la grande œuvre du ministre des Finances
du Reich est réalisée. La commission des
Etats a, dans sa séance d'hier, adopté le
budget des dépenses du Reich. Or cela im-
plique l'administration fiscale du Reich. La
résistance de quelques Etats du sud de l'Al-
lemagne, fortement accrue dans les derniers
temps, a finalement cédé en grande partie
aux arguments convaincants du gouverne-
ment du Reich. La Prusse elle-même avait,
dans une certaine mesure, pris position con-
tre l'administration fiscale du Reich. Mais,
dans la séance d'hier, une motion prus-
sienne a été adoptée, qui limite sans doute
quelque peu l'autonomie de l'administration
financière du Reich, mais qui, dans l'en-
semble, ne touche pas à l'administration
fiscale du Reich. La motion demande que
les Etats particuliers et les communes re-
çoivent une partie de l'impôt du Reich, cor-
respondant au rendement moyen d'un cer-
tain nombre d'années. A la suite de l'adop-
tion de cette motion, la Prusse a renoncé
à son opposition contre l'administration fis-
cale du Reich, qui est ainsi adoptée. Cette
administration doit être établie dès le 1er oc-
tobre et on commence immédiatement à for-
mer les nouveaux fonctionnaires des finan-
ces. Le Reich est au tournant décisif de son
organisation financière.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG, 8.8.
— Le devoir des deux fractions d'oppo-
sition, le parti national allemand et le parti
populaire allemand se fait de plus en plus
impérieux : mener une opposition habile et
énergique. Il ne faut pas qu'Erzberger puisse
triompher sans avoir été combattu ou lésé
dans ses intérêts. Il serait absolument né-
faste de laisser un homme d'une honnë-
DES
Maires ÉTRANGERES
ET DE LA GUERRE
N° 1229
Mercredi 20 Août 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont dew
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
MINES
ESPAGNE. — Le problème du charbon
(t deux aspects : l'accumulation du charbon
sur le carreau de la mine pour laquelle on
doit intensifier les transports et spéciale-
ment le cabotage, et la recherche des
moyens pour que la production ne diminue
pas.
; Avant la guerre, notre production, par
rapport aux besoins de la consommation,
I offrait un déficit de 2 millions et demi de
tonnes. Ce déficit a disparu et si aujour-
d'hui on ne voit pas l'Espagne susceptible
d'exporter de grandes quantités de charbon,
elle est en mesure de produire celui que ré-
: clame le marché national. Les Asturies peu-
vent produire 4 millions ; Léon, 2 millions
| et Puertollano autant.
La crise houillère aujourd'hui est mon-
* diale et l'unique pays qui a augmenté con-
sidérablement sa production a été les Etats-
Unis. Les Asturies ne peuvent abandonner
leurs mines, mais il ne faut pas que le pro-
tectionnisme de l'industrie houillère soit
au préjudice des autres industries. Si le
i gouvernement doit arriver à la nationalisa-
tion des mines, il doit en préparer le che-
min.
V ANGU ARDl.4 [de Barcelone], 12.8.
LE CHARBON ASTURIEN. — Ce produit est
devenu d'un prix excessif. Les patrons doi-
a vent se convaincre que leurs bénéfices doi-
Vent être normaux et les ouvriers n'ont pas
| le droit d'exiger des salaires cinq fois plus
elevés qu'autrefois.
En 1912, une tonne de charbon coûtait
seulement 12 pesetas. En 1918, ce prix s'éle-
va à 45 pesetas; et en 1919, il atteint le chif-
fre élevé de 54 pesetas. Ces frais, aussi fol-
: lement progressifs, sont dus à l'élévation
exagérée de salaires et au manque de cons-
cience des mineurs dans le travail dont ils
sont chargés.
En effet, en 1912, un mineur produisait
uoü kgs de minerai par jour. En 1918, cette
Production était tombée à 380 kgs. Actuelle-
ment, chaque ouvrier n'extrait pas plus de
260 kgs quotidiens.
i Dans ces conditions, la concurrence des
? charbons étrangers, spécialement les amé-
lcams, ruinera fatalement les mines des
Asturies.
j A. B. C., 15.8.
¡ FINANCES
LA DETTE FRANCAISE ET LE CREDIT
AMERICAIN. — Comment la France va-t-
elle payer son énorme dette extérieure ?
est une question que personne n'a en-
core soulevée et sur laquelle le Gouverne-
ment, dans les derniers débats financiers,
gardé le silence.
e L'équilibre commercial entre la France
r} les Etats-Unis était maintenu avant la
guerre par les quatre principales opéra-
IOns suivantes :
La première et la plus importante était
le commerce d'exportation de vins et li-
queurs, la seconde était l'exportation d'ob-
jets de luxe, la troisième le revenu des
capitaux français placés en valeurs améri-
caines, et la quatrième l'argent dépensé
en France par les touristes américains.
Actuellement, en raison de l'établisse-
ment de la prohibition aux Etats-Unis, le
commerce du vin est fini ; d'autre part
pendant la guerre toutes les valeurs amé-
ricaines autrefois détenues par des Fran-
çais sont passées dans des mains améri-
caines. Les seuls moyens de paiement qui
subsistent sont l'exportation d'objets de
luxe qui reprend rapidement, et les dé-
penses des touristes américains qui n'ont
pas encore commencé à venir en France.
Même si la dette américaine ne devait
pas augmenter, la France n'aurait que peu
d'espoir de pouvoir payer les intérêts, sauf
en émettant de nouveaux emprunts. Mais
la France est tellement atteinte par la
guerre qu'elle doit continuer à acheter
énormément à l'étranger pendant long-
temps encore, et le seul pays où elle puisse
pratiquement obtenir ce dont elle a besoin
est les Etats-Unis. Elle doit se procurer
des céréales, des conserves, de la viande,
du combustible du pétrole, du charbon et
des machines.
De plus, comme sa marine marchande
est ruinée, et que celle ,de la Grande-Bre-
tagne ne se charge du transport des mar-
chandises françaises qu'à un taux très éle-
vé, la France sera obligée de s'adresser de
plus en plus aux navires américains, aug-
mentant ainsi sa dette.
Il semble inévitable que la dette de la
France vis-à-vis des Etats-Unis augmente
chaque année de plusieurs milliards de
francs pendant de longues années encore.
Ajoutez à cela le change du dollar qui est
monté de 5 fr. 15 à 7 fr. 10, et l'on voit
pourquoi les économistes français haussent
simplement les épaules quand la question
de la dette américaine est soulevée.
Le fait est que personne ne possède une
idée bien définie pour résoudre le pro-
blème.
La France et l'Angleterre ont essayé à
plusieurs reprises à la Conférence de la
Paix de persuader les délégués américains
d'adopter une méthode de liquidation des
dettes de guerre, prétextant qu'il serait
injuste qu'une nation comme la France,
qui a eu à subir la plus grande perte de
vies humaines et de biens, souffre indéfi-
niment d'une paralysie financière, alors
qu'une nation comme les Etats-Unis, qui,
relativement, n'a fait aucune perte maté-
rielle et n'a souffert qu'une faible perte
de vies humaines, sortirait de la guerre
plus riche que jamais.
Nos délégués financiers pensèrent que
c'était simplement une manœuvre des
Etats européens pour se décharger sur
nous de leurs dépenses, et refusèrent de
donner suite à un tel projet.
La France essaya alors de nous per-
suader de conserver au moins pendant la
période de reconstruction les organismes
économiques des Alliés formés pendant la
guerre et qui lui auraient permis de faire
des achats et de se procurer du fret à
meilleur compte qu'à marché ouvert, mais
nos délégués commerciaux répondirent
que la « liberté commerciale devait être
rétablie aussi rapidement que possible ».
et la plupart de ces organisations écono-
miques ont déjà été dissoutes. Depuis, les
négociations entreprises avec la France
pour lui fournir des crédits ont toujours
été mennées de notre part avec le désir de
ne pas mêler le Gouvernement à ces af-
faires et de les laisser à certains groupes
financiers.
Le point de vue américain serait d'une
part d'ouvrir à la France des crédits à
longue échéance pour qu'elle puisse im-
porter ce dont elle a besoin, et d'autre
part de placer un capital américain im-
portant dans d'es entreprises françaises.
La France acceptera ces deux offres. Sa
situation est désespérée. Elle doit accepter
avec remerciements CIel qu'on lui offre.
mais une crainte amère lui serre le cœur.
Elle voit la main puissante de l'Amérique
se fermier lentement, sûrement, et inévi-
tablement sur elle, et elle ne peut voir
sans un frisson involontaire la perspective
de passer pour toujours sous la domina-
tion économique des Etats-Unis.
CHICAGO DAILY NEWS, 28.7.
ALLEMAGNE. — LE PROGRAMME ERZBER-
GER. — De Weimar : La première partie de
la grande œuvre du ministre des Finances
du Reich est réalisée. La commission des
Etats a, dans sa séance d'hier, adopté le
budget des dépenses du Reich. Or cela im-
plique l'administration fiscale du Reich. La
résistance de quelques Etats du sud de l'Al-
lemagne, fortement accrue dans les derniers
temps, a finalement cédé en grande partie
aux arguments convaincants du gouverne-
ment du Reich. La Prusse elle-même avait,
dans une certaine mesure, pris position con-
tre l'administration fiscale du Reich. Mais,
dans la séance d'hier, une motion prus-
sienne a été adoptée, qui limite sans doute
quelque peu l'autonomie de l'administration
financière du Reich, mais qui, dans l'en-
semble, ne touche pas à l'administration
fiscale du Reich. La motion demande que
les Etats particuliers et les communes re-
çoivent une partie de l'impôt du Reich, cor-
respondant au rendement moyen d'un cer-
tain nombre d'années. A la suite de l'adop-
tion de cette motion, la Prusse a renoncé
à son opposition contre l'administration fis-
cale du Reich, qui est ainsi adoptée. Cette
administration doit être établie dès le 1er oc-
tobre et on commence immédiatement à for-
mer les nouveaux fonctionnaires des finan-
ces. Le Reich est au tournant décisif de son
organisation financière.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG, 8.8.
— Le devoir des deux fractions d'oppo-
sition, le parti national allemand et le parti
populaire allemand se fait de plus en plus
impérieux : mener une opposition habile et
énergique. Il ne faut pas qu'Erzberger puisse
triompher sans avoir été combattu ou lésé
dans ses intérêts. Il serait absolument né-
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