Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-08-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 août 1919 11 août 1919
Description : 1919/08/11 (T12,N1222). 1919/08/11 (T12,N1222).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64879546
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/04/2013
MINISTÈRES
D b, S
AFFA..IRES ÉTRANGERES
ETDE LA GUERRE
J — : -
N° 1222
Lundi 11 Août 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
1 résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
1
i COMMANDEMENT
L'ENQUETE SUR CAPORETTO [Cf.
bulletin p° 1221, p. 1]. - Le correspondant
rOIllaill du Giornale del Mattino de Bolo-
gne, y écrit ce qui suit :
Le général Cadorna n'a remis que depuis
Peu de jours à M. Nitti le second volume
du rapport, celui qui traite proprement des
Uses et des responsabilités de Caporetto.
Ce second volume est sous-presse. Les deux
patres contiennent respectivement, l'un le
\,ècit historique du désastre militaire, et
autre des croquis, des cartes, etc.
GOUVERNEMENT ET COMMANDEMENT SUPRÊME.
- La Chambre n'a commencé a travailler
T1 en mars 1918 parce qu'elle a dû attendre
avoir recueilli tous les, documents militai-
es dont elle avait besoin. Les généraux Ca-
orna, Porro, Capello, Cavaciocchi furent
Interrogés avant tout. Cadorna affichait une
grande assurance, accusant du. désastre le
Pays et. la propagande socialiste, dont il
vendait responsable la tolérance d'Orlando.
a commission interrogea quinze cents per-
oiines, depuis les commandants de corps
d' armée jusqu'aux simples soldats, infirmiè-
es, aumôniers, correspondants de guerre,
lc- , etc. Le rapport ne propose pas de me-
res pénales ou disciplinaires. Il se borne,
',e on. SOn but, à exposer lés causes du dé-
Sû.tre. que la Chambre devra apprécier et
-qui donneront certainement lieu à des dé-
cats agités. La commission a indiqué les
l.ses' militaires et dégagé des responsabi-
]n £ s précises, mais elle a aussi mis en
orni-è, re l'élément politique.
ÇA rapport permettra de discuter passion-
sèment la question suivante : « Comment
'a,la.ndra, n'a-t-il pas remplacé .Cadorna,
^'s l'invasion du Trentin ? » On compren-
dra alors que ce général, qui s'était co:ns-"
titu é à Udine une véritable cour, s'était
lS en tête de devenir véritablement dicta-
cbur en Italie. Le projet trouvait un appui
p ez certains groupes politiques, et chez
aesque tous les correspondants de guerre,
aux >u?Is le rappprt consacre une page plu-
tAf 1 epicée.
b
BISSOLATI, SONNINO ET CADORNA. - La
Chambre examinera aussi comme causes po-
litiques désastre, les violentes discussions
au S-ein, du ministère, surtout entre Bissolati
Pa lonniho et entre Bissolati et Cadorna. Le
f~ eIQent verra qu'Orlando et Sonnino se
ïeriv paient mutuellement les responsabi-
1^3,et que .les rapports entre haut com-
te andement et gouvernement n'ont jamais
ié d'être froids. presque hostiles.
c aIS la commission n'a pas considéré ces
ectTi 8 comme essentielles, qui attribue
Lit. au désastre de Caporetto, des rai-
militaires.
pqi a commission a voulu tenir compte de
Il Q"O'ns de force majeure, comme le mau-
vais temps, mais, sans s'y arrêter.
Le moral des troupes avait été déprimé
par le système de Cadorna, consistant à je-
ter les hommes en attaques frontales infruc-
tueuses et violentes.
Les officiers supérieurs étaient découra-
gés de voir cassés ceux qui osaient mon-
trer la difficulté d'exécuter certains ordres
absurdes.
Quoique sûrs de l'insuccès, les comman-
dants envoyaient les troupes à la mort
pour ne point contrarier le commandement
suprême et les mutations continuelles dans
le corps des officiers supprimaient le con-
tact et la confiance entre eux et les sol-
dats.
Les troupes' décimées étaient aussi dé-
moralisées par le spectacle des honteux
« embusquements » qui s'étendaient jus-
qu'au haut commandement, par la jouis-
sance déréglée du pays.
RESPONSABILITÉS MILITAIRES. - Les événe-
ments de Turin et de Russie peuvent aussi
s'être répercutés dans l'esprit du soldat.
Tout cela, qui est important, compte cepen-
dant peu devant la cause militaire immé-
diate du désastre : le manque, absolu de
réserves. Après avoir brisé la ligne l'en-
nemi ne rencontra plus de résistance. L'au-
tre erreur qui avait tenu le commandement
suprême et les magasins trop rapprochés
de la ligne de feu donna au désastre des
proportions gigantesques. Le commande-
ment a dû prendre la fuite en perdant tout
contact et tout contrôle sur l'armée en dé-
sordre, et les' magasins abandonnés enrichi-
rent les troupes ennemies et privèrent les
nôtres de tout ravitaillement immédiat.
Etant données ces conclusions principales,
le rapport de la commission d'enquête met
en lumière, non seulement la responsabi-
lité de Cadorna et de Porro, mais aussi cel-
le des généraux Capello et Cavaciocchi,
commandant respectivement le 2e et le 4e
corps d'armée. Aucun doute ne peut sub-
sister sur la responsabilité de ces deux der-
niers généraux puisqu'ils furent mis au re-
pos. après le deuxième interrogatoire que
la Commission leur avait fait subir à Man-
toue. Après avoir entendu pour la première
fois leurs explications, la commission fit
une enquête qui aboutit à inculper pour la
seconde fois gravement les deux généraux.
SECOLO, 6.8.
—— ——
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
*
-
*
FINANCES
ETATS-UNIS. - De Boston : Le change
étranger est une question brûlante pour les
hommes d'affaires et les financiers améri-
cains.
Le dollar américain étant changé à
Londres avec une plus-value de 10 aln' à Pa-
ris avec une plus-value de 25 et à Rome
avec une plus-value de 63 %, une seule
conséquence est certaine : nos alliés des
jours passés développeront leurs marchés
respectifs plutôt que de payer ce surcroît
de taxe pour les marchandises américai-
nes. En même temps ils auront sur les pro-
ducteurs américains, leurs concurrents.
l'avantage de pouvoir vendre en Amérique.
Il est évident que les importateurs de pro-
duits étrangers aux Etats-Unis pourront
profiter de la plus-value du dollar améri-
cain qui règne aujourd'hui à l'étranger.
Etant donneés les circonstances, il sied de
demander comment notre très discuté com-
merce avec l'étranger sera élaboré dans
ces conditions.
Le problème n'est pas insoluble. Henry
P. Davidson, de la maison J. P. Morgan
et Cie, a recommandé avec insistance
qu'on s'efforce de trouver un système
permettant d'étendre les crédits à longue
échéance de l'Europe. Frank A. Vander-
lip, à son retour d'Europe, ainsi que d'au-
tres autorités moins notoires du monde
financier, ont préconisé des mesures iden-
tiques.
Si la situation actuelle avait été prévue
il y a quelques mois, cst-à-dire dès le
1er mars, date à laquelle le gouvernement
britannique cessa de recourir à des moyens
artificiels pour maintenir le cours de la
livre sterling, nous n'aurions jamais eu le-
spectacle alarmant d'un marché démora-
lisé abaissant à moins de 4 dol. 44) le cours
de la livre sterling, cours le plus bas qui
se soit vu dans l'histoire Ce temps penh.J
ne peut être rattrapé qu'au prix de perdre
l'avantage initial dans notre /effqrt- pour
nous assurer le marché étranger Déjà,
nous pouvons le dire, les achats de mar-
chandises américaines par les Européens
vont commencer à décroître et les manu-
facturiers de la concurrence étrangère se
trouvent dans une situation d'autant plus
avantageuse. Les autres conditions restant
les mêmes, nos manufacturiers, après
avoir gagné la bonne volonté de leurs com-
patriotes, ne s'assureront les marchés
qu'avec la plus grande difficulté.
Etant donnée la situation, on penche
vers la formation d'une corporation
géante qui avancerait des sommes d'argent
aux exportateurs américains comme paie-
ment pour les produits dont les étrangers
se fournissent, prenant les titres à longue
échéance des étrangers en échange. Pour
s assurer le capital nécessaire pour mener
cette entreprise, cette corporation vendrait
siee propres obligations aux Américains.
J. eJ est le projet dans ses grandes lignes.
SPRINGFIELD REPUBLICAN, 17.7.
AVENIR ECONOMIQUE
LES ETATS-UNIS ET L'ABYSSINIE. -
De Washington : L'Abyssinie semble pro-
voquer l'activité des milieux commerçants,
Ceci est dû spécialement à la venue de Son
Altesse Royale Dedjazmatch Nado en Amé
rique, chargée soi-disant d'une mission
diplomatique. En réalité le but de cette
visite est commercial. L'Abyssinie a besoin
d'une quantité considérable de matériel et
de machines pour la construction de rou- (
D b, S
AFFA..IRES ÉTRANGERES
ETDE LA GUERRE
J — : -
N° 1222
Lundi 11 Août 1919
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
1 résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
1
i COMMANDEMENT
L'ENQUETE SUR CAPORETTO [Cf.
bulletin p° 1221, p. 1]. - Le correspondant
rOIllaill du Giornale del Mattino de Bolo-
gne, y écrit ce qui suit :
Le général Cadorna n'a remis que depuis
Peu de jours à M. Nitti le second volume
du rapport, celui qui traite proprement des
Uses et des responsabilités de Caporetto.
Ce second volume est sous-presse. Les deux
patres contiennent respectivement, l'un le
\,ècit historique du désastre militaire, et
autre des croquis, des cartes, etc.
GOUVERNEMENT ET COMMANDEMENT SUPRÊME.
- La Chambre n'a commencé a travailler
T1 en mars 1918 parce qu'elle a dû attendre
avoir recueilli tous les, documents militai-
es dont elle avait besoin. Les généraux Ca-
orna, Porro, Capello, Cavaciocchi furent
Interrogés avant tout. Cadorna affichait une
grande assurance, accusant du. désastre le
Pays et. la propagande socialiste, dont il
vendait responsable la tolérance d'Orlando.
a commission interrogea quinze cents per-
oiines, depuis les commandants de corps
d' armée jusqu'aux simples soldats, infirmiè-
es, aumôniers, correspondants de guerre,
lc- , etc. Le rapport ne propose pas de me-
res pénales ou disciplinaires. Il se borne,
',e on. SOn but, à exposer lés causes du dé-
Sû.tre. que la Chambre devra apprécier et
-qui donneront certainement lieu à des dé-
cats agités. La commission a indiqué les
l.ses' militaires et dégagé des responsabi-
]n £ s précises, mais elle a aussi mis en
orni-è, re l'élément politique.
ÇA rapport permettra de discuter passion-
sèment la question suivante : « Comment
'a,la.ndra, n'a-t-il pas remplacé .Cadorna,
^'s l'invasion du Trentin ? » On compren-
dra alors que ce général, qui s'était co:ns-"
titu é à Udine une véritable cour, s'était
lS en tête de devenir véritablement dicta-
cbur en Italie. Le projet trouvait un appui
p ez certains groupes politiques, et chez
aesque tous les correspondants de guerre,
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tAf 1 epicée.
b
BISSOLATI, SONNINO ET CADORNA. - La
Chambre examinera aussi comme causes po-
litiques désastre, les violentes discussions
au S-ein, du ministère, surtout entre Bissolati
Pa lonniho et entre Bissolati et Cadorna. Le
f~ eIQent verra qu'Orlando et Sonnino se
ïeriv paient mutuellement les responsabi-
1^3,et que .les rapports entre haut com-
te andement et gouvernement n'ont jamais
ié d'être froids. presque hostiles.
c aIS la commission n'a pas considéré ces
ectTi 8 comme essentielles, qui attribue
Lit. au désastre de Caporetto, des rai-
militaires.
pqi a commission a voulu tenir compte de
Il Q"O'ns de force majeure, comme le mau-
vais temps, mais, sans s'y arrêter.
Le moral des troupes avait été déprimé
par le système de Cadorna, consistant à je-
ter les hommes en attaques frontales infruc-
tueuses et violentes.
Les officiers supérieurs étaient découra-
gés de voir cassés ceux qui osaient mon-
trer la difficulté d'exécuter certains ordres
absurdes.
Quoique sûrs de l'insuccès, les comman-
dants envoyaient les troupes à la mort
pour ne point contrarier le commandement
suprême et les mutations continuelles dans
le corps des officiers supprimaient le con-
tact et la confiance entre eux et les sol-
dats.
Les troupes' décimées étaient aussi dé-
moralisées par le spectacle des honteux
« embusquements » qui s'étendaient jus-
qu'au haut commandement, par la jouis-
sance déréglée du pays.
RESPONSABILITÉS MILITAIRES. - Les événe-
ments de Turin et de Russie peuvent aussi
s'être répercutés dans l'esprit du soldat.
Tout cela, qui est important, compte cepen-
dant peu devant la cause militaire immé-
diate du désastre : le manque, absolu de
réserves. Après avoir brisé la ligne l'en-
nemi ne rencontra plus de résistance. L'au-
tre erreur qui avait tenu le commandement
suprême et les magasins trop rapprochés
de la ligne de feu donna au désastre des
proportions gigantesques. Le commande-
ment a dû prendre la fuite en perdant tout
contact et tout contrôle sur l'armée en dé-
sordre, et les' magasins abandonnés enrichi-
rent les troupes ennemies et privèrent les
nôtres de tout ravitaillement immédiat.
Etant données ces conclusions principales,
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en lumière, non seulement la responsabi-
lité de Cadorna et de Porro, mais aussi cel-
le des généraux Capello et Cavaciocchi,
commandant respectivement le 2e et le 4e
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sister sur la responsabilité de ces deux der-
niers généraux puisqu'ils furent mis au re-
pos. après le deuxième interrogatoire que
la Commission leur avait fait subir à Man-
toue. Après avoir entendu pour la première
fois leurs explications, la commission fit
une enquête qui aboutit à inculper pour la
seconde fois gravement les deux généraux.
SECOLO, 6.8.
—— ——
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
*
-
*
FINANCES
ETATS-UNIS. - De Boston : Le change
étranger est une question brûlante pour les
hommes d'affaires et les financiers améri-
cains.
Le dollar américain étant changé à
Londres avec une plus-value de 10 aln' à Pa-
ris avec une plus-value de 25 et à Rome
avec une plus-value de 63 %, une seule
conséquence est certaine : nos alliés des
jours passés développeront leurs marchés
respectifs plutôt que de payer ce surcroît
de taxe pour les marchandises américai-
nes. En même temps ils auront sur les pro-
ducteurs américains, leurs concurrents.
l'avantage de pouvoir vendre en Amérique.
Il est évident que les importateurs de pro-
duits étrangers aux Etats-Unis pourront
profiter de la plus-value du dollar améri-
cain qui règne aujourd'hui à l'étranger.
Etant donneés les circonstances, il sied de
demander comment notre très discuté com-
merce avec l'étranger sera élaboré dans
ces conditions.
Le problème n'est pas insoluble. Henry
P. Davidson, de la maison J. P. Morgan
et Cie, a recommandé avec insistance
qu'on s'efforce de trouver un système
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échéance de l'Europe. Frank A. Vander-
lip, à son retour d'Europe, ainsi que d'au-
tres autorités moins notoires du monde
financier, ont préconisé des mesures iden-
tiques.
Si la situation actuelle avait été prévue
il y a quelques mois, cst-à-dire dès le
1er mars, date à laquelle le gouvernement
britannique cessa de recourir à des moyens
artificiels pour maintenir le cours de la
livre sterling, nous n'aurions jamais eu le-
spectacle alarmant d'un marché démora-
lisé abaissant à moins de 4 dol. 44) le cours
de la livre sterling, cours le plus bas qui
se soit vu dans l'histoire Ce temps penh.J
ne peut être rattrapé qu'au prix de perdre
l'avantage initial dans notre /effqrt- pour
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nous pouvons le dire, les achats de mar-
chandises américaines par les Européens
vont commencer à décroître et les manu-
facturiers de la concurrence étrangère se
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avantageuse. Les autres conditions restant
les mêmes, nos manufacturiers, après
avoir gagné la bonne volonté de leurs com-
patriotes, ne s'assureront les marchés
qu'avec la plus grande difficulté.
Etant donnée la situation, on penche
vers la formation d'une corporation
géante qui avancerait des sommes d'argent
aux exportateurs américains comme paie-
ment pour les produits dont les étrangers
se fournissent, prenant les titres à longue
échéance des étrangers en échange. Pour
s assurer le capital nécessaire pour mener
cette entreprise, cette corporation vendrait
siee propres obligations aux Américains.
J. eJ est le projet dans ses grandes lignes.
SPRINGFIELD REPUBLICAN, 17.7.
AVENIR ECONOMIQUE
LES ETATS-UNIS ET L'ABYSSINIE. -
De Washington : L'Abyssinie semble pro-
voquer l'activité des milieux commerçants,
Ceci est dû spécialement à la venue de Son
Altesse Royale Dedjazmatch Nado en Amé
rique, chargée soi-disant d'une mission
diplomatique. En réalité le but de cette
visite est commercial. L'Abyssinie a besoin
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