Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-07-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 juillet 1919 12 juillet 1919
Description : 1919/07/12 (T12,N1198). 1919/07/12 (T12,N1198).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6487930s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/04/2013
MINISTÈRES
th DES
FFAlnES ETnA NGERES
T DÉ LA GUERRE.
i i
N° 1198
Samedi 12 Juillet 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
OPÉRATIONS
T BRITANNIQUE. — EXTRAIT
UN [)Iscc) U]R S DE SIR DOUGLAS HAIG A NEW-
AlliésE. - •> Nous parlons beaucoup de nos
llous i et II était juste'et nécessaire que
qUe e ssions pour les encourager autant
rage POtle pendant que la bataille faisait
ra ge aiS publions pas que c'est l'Em-
(APPl rItnnlque qui a gagné la guerre.
ents vils et prolongés.)
! ne vp Ux Pas insister, mais vous savez
que nos R,;sse5 nous ont lâchés et
8e les i eils n'°nt pas fait grand'chose.
rlres ahens n'ont pas fait grand'chose.
(h Ires nfin nos amis français firent de
-
à faire leux, mais ils eurent vraiment fort
faire au début.
Au Co dernières années la
d t des deux dernières années la
des co ngleterre a supporté le plus dur
que toibt. (Applaudissements.) J'espère
que tous lCI s'en rendront compte et sou-
feront nos soldats qui ont lutté et souf-
fert, et ceux qui dépendent d'eux. (Ap-
ements.) d'eux. (Ap-
1 DAILY GRAPHIC, 9.7.
-—— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
, LE: Régime DU TRAVAIL
soROGRAMME DU PRESIDENT
s'w ailger - Avec son habituelle aptitude
1Ci e au cours d'une nuit le Pré-
On veut maintenant [message du
aiHesue ri re le champion de la cause des
- W; T, découvre que ceux qui font
teneur amn du monde « doivent ob-
le, ^eur °eiiv loration progressive dans les
^^ns i progressive dans les
I. tio pl de leur travail et doivent être
reh ^-.Us Plu® o\ heureux et être mieux servis
Vçrf S les que leur travail fait Vivre
t rier Il. Ce n'est pas là une décou-
W oricf- i
te igi le. en fait c'est la base de
, nation ouvrière présente et du
Son plaidoyer pour une nouvelle organi-
1 comJUstrie et pour l'adoption d'un
il11 pour l'industrie et le tra-
cellle orrnplment fanfaiste tant qu'une
IQ(} Un Il ganlsation ou un pareil « idéal
lUi iQe éVolérnaeront de l'industrie. Mais le
tri Q dern Ue, il marche de l'avant et avec
Po^ soit du travail qu'un jour l'indus-
tri un (f or garlisé-e d'une façon nouvelle
ql,¡f PrOjet" al cornmun » - mais ce nou-
pour Uri - Iéal commun » - mais ce n ou-
N S du tra 011. une minorité qui profite des
• Ge la majorité.
sOll ps ouv ^ers américains ne peuvent
^Ce*\ leur 0 ^anpe dans le président Wil-
lrA'vaiî ^ns Ses intentions en faveur du
Pl'ir¡;.er sa a ment du fait qu'il a refusé
"'C\Dit IP,es d'h t au nom de ses fameux
es et devant les desseins
ennes 18listes des puissances
a lées à la Conférence de la
Paix, et aussi parce qu'il a décliné de faire
appel à l'Angleterre pour l'inviter à mettre
fin à ce rassemblement de tanks, d'avions
de bombardement et de mitrailleuses qui
doit permettre à cette nation de continuer
à opprimer les travailleurs d'Irlande. —
(Ed.)
NEW YORK CALL, 2.6.
RAVITAILLEMENT
GRANDE-BRETAGNE. — Il est du devoir
du Gouvernement de constituer des stocks
d'approvisionnements avant la hausse des
prix.
.Nous avons été ravitaillés pendant la
guerre d'une façon satisfaisante. Mais le
contrôle américain des exportations arbi-
traires a été supprimé et avec lui le contrôle
du tonnage neutre et allié par les Etats-
Unis d'accord avec le Gouvernement britan-
nique. A cause de cela et de la cessation
du blocus, qui est imminente, tous les navi-
res non britanniques pourront se rendre où
il leur plaira et transporter les cargaisons
de vivres là où elles se vendront le plus
cher. Notre marché qui n'est déjà pas trop
bien approvisionné sera l'objet de sollici-
tations pressantes — de la part de l'Alle-
magne qui nous fera concurrence et offrira
ses produits manufacturés en échange de
produits similaires et de la part des neu-
tres, Hollande, Espagne, Norvège, Suède et
Danemark. Ces pays neutres ont été sévè-
rement rationnés pendant la guerre, mais ils
ont de l'argent en quantité et désirent vire-
ment accroître considérablement leur con-
sommation.
De plus, deux des anciennes sources d'ap-
provisionnement sont taries, l'une définiti-
vement, l'autre provisoirement. La Russie,
jadis le grenier de l'Europe, a détruit tout
son système de production et ne peut plus
se nourrir. Aux Indes, habituellement pays
de grande exportation, la récolte est si mai-
gre qu'il faudra y importer du blé. En Eu-
rope en général la moisson menace d'être
médiocre. (Ed.)
DAILY MAIL, 9.7.
N
— M. Roberts a annoncé hier que le Gou-
vernement a décidé de continuer à contrô-
ler l'es vivres durant l'hiver prochain.
C'est une sage décision. La situation actuel-
le de l'Italie, les menaces qui ont lieu en,
France, justifieraient cette mesure, si elle
avait besoin de justification. Si les vivres
sont beaucoup moins chers. en Angleterre
que dans ces pays et si le mécontentement
populaire ne s'est pas exprimé avec ces
formes violentes, une raison entre autres,
c'est le travail excellent fourni par le Dépar-
tement des Contrôleurs des vivres. Il est
impossible de contrôler les prix si on ne
contrôle pas' aussi la consommation. En An-
gleterre nous avons fait l'un et l'autre du-
rant la guerre avec un succès considéra-
ble M. Roberts nous dit qu'en dehors du
profiteur les causes principales de la cherté
de la vie sont l'augmentation de la consom-
mation et la diminution de la production.
Puisqu'il en est ainsi, c'est une raison de
plus pour continuer le contrôle et l'éten-
dre même ; en effet, tant que ces causes
joueront le fossé entre le pur gaspillage et
le besoin véritable continuera à se creuser
davantage. Le seul moyen de le combler
jusqu'au retour des conditions normales,
c'est d'établir des prix fixes et de ration-
ner. On n'obtient pas ainsi l'abondance,
mais au moins tout le monde a le néces-
saire et cela dissipe ce contraste choquant
entre un luxe dépensier et une gêne évi-
dente, contraste qui provoque les récrimi-
nations et les troubles sociaux.
TIMES, 10.7.
——— ——
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
LE TRAITE DE VERSAILLES
DISCOURS DU GENERAL SMUTS à
l'Université de Manchester. — [EXTRAIT] : t
Je veux vous faire part de l'impression gé- 1
nérale que j'ai retirée de la Conférence de
Paris. L'impression dominante est celle de
la prépondérance politique de l'Empire bri-
tannique dans le monde aujourd'hui. Les
gens qui n'observent pas ces choses du de-
dans ne se rendent pas compte de ce qui se
passe dans la réalité, mais par des moyens
dont je n'avais jamais soupçonné la possi-
bilité, l'Empire britannique s'est élevé à
un très haut degré de prépondérance poli- -
tique dans le monde. Ce n'est pas une 'pré-
pondérance matérielle ; elle n'est pas due
à ses efforts matériels pendant la guerre.
D'autres nations ont fait des sacrifices et
nous pouvons aujourd'hui rendre hommage
à la France des sacrifices et des efforts
qu'elle a faits pour la civilisation.(Applaudis-
sements.) La situation de la (grande-Breta-
gne fut autre. On a senti, à la Conférence
de Paris, que la Grande-Bretagne repré-
sentait un groupe de puissances, un Etat et
un Empire dont les traditions et la constitu-
tion étaient si élastiques qu'elles pouvaient
s'adapter à presque toutes les situations ;
que ce pays était la démocratie la plus
avancée du monde, plus que l'Amérique ou
que toute autre république. Voilà ce dont on
avait conscience — que nous entrions dans
un monde nouveau de liberté, un monde
inconnu., et que nous étions un pays, le
plus grand du monde, qui avait poussé le
plus loin la pratique de te liberté-politique *,
que la Grande-Bretagne n'était pas seule-
ment un Etat. mais un groupe d'Etats qui
avait résolu quelques-uns des plus grands
problèmes avec lesquels les Alliés allaient
se trouver aux prises.
MANCHESTER GUARDIAN. 7.7.
LE ROLE DE M. HUGHES. — On ne sait
pas- encore assez, ni en Grande-Bretagne
ni en Australie, quel rôle a joué M. Hughes
à la Conférence de la Paix, à cause de la
censure des câblogrammes qui a pris grand
soin de ne pas concentrer les feux de la
th DES
FFAlnES ETnA NGERES
T DÉ LA GUERRE.
i i
N° 1198
Samedi 12 Juillet 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS MILITAIRES
OPÉRATIONS
T BRITANNIQUE. — EXTRAIT
UN [)Iscc) U]R S DE SIR DOUGLAS HAIG A NEW-
AlliésE. - •> Nous parlons beaucoup de nos
llous i et II était juste'et nécessaire que
qUe e ssions pour les encourager autant
rage POtle pendant que la bataille faisait
ra ge aiS publions pas que c'est l'Em-
(APPl rItnnlque qui a gagné la guerre.
ents vils et prolongés.)
! ne vp Ux Pas insister, mais vous savez
que nos R,;sse5 nous ont lâchés et
8e les i eils n'°nt pas fait grand'chose.
rlres ahens n'ont pas fait grand'chose.
(h Ires nfin nos amis français firent de
-
à faire leux, mais ils eurent vraiment fort
faire au début.
Au Co dernières années la
d t des deux dernières années la
des co ngleterre a supporté le plus dur
que toibt. (Applaudissements.) J'espère
que tous lCI s'en rendront compte et sou-
feront nos soldats qui ont lutté et souf-
fert, et ceux qui dépendent d'eux. (Ap-
ements.) d'eux. (Ap-
1 DAILY GRAPHIC, 9.7.
-—— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
, LE: Régime DU TRAVAIL
soROGRAMME DU PRESIDENT
s'w ailger - Avec son habituelle aptitude
1Ci e au cours d'une nuit le Pré-
On veut maintenant [message du
aiHesue ri re le champion de la cause des
- W; T, découvre que ceux qui font
teneur amn du monde « doivent ob-
le, ^eur °eiiv loration progressive dans les
^^ns i progressive dans les
I. tio pl de leur travail et doivent être
reh ^-.Us Plu® o\ heureux et être mieux servis
Vçrf S les que leur travail fait Vivre
t rier Il. Ce n'est pas là une décou-
W oricf- i
te igi le. en fait c'est la base de
, nation ouvrière présente et du
Son plaidoyer pour une nouvelle organi-
1 comJUstrie et pour l'adoption d'un
il11 pour l'industrie et le tra-
cellle orrnplment fanfaiste tant qu'une
IQ(} Un Il ganlsation ou un pareil « idéal
lUi iQe éVolérnaeront de l'industrie. Mais le
tri Q dern Ue, il marche de l'avant et avec
Po^ soit du travail qu'un jour l'indus-
tri un (f or garlisé-e d'une façon nouvelle
ql,¡f PrOjet" al cornmun » - mais ce nou-
pour Uri - Iéal commun » - mais ce n ou-
N S du tra 011. une minorité qui profite des
• Ge la majorité.
sOll ps ouv ^ers américains ne peuvent
^Ce*\ leur 0 ^anpe dans le président Wil-
lrA'vaiî ^ns Ses intentions en faveur du
Pl'ir¡;.er sa a ment du fait qu'il a refusé
"'C\Dit IP,es d'h t au nom de ses fameux
es et devant les desseins
ennes 18listes des puissances
a lées à la Conférence de la
Paix, et aussi parce qu'il a décliné de faire
appel à l'Angleterre pour l'inviter à mettre
fin à ce rassemblement de tanks, d'avions
de bombardement et de mitrailleuses qui
doit permettre à cette nation de continuer
à opprimer les travailleurs d'Irlande. —
(Ed.)
NEW YORK CALL, 2.6.
RAVITAILLEMENT
GRANDE-BRETAGNE. — Il est du devoir
du Gouvernement de constituer des stocks
d'approvisionnements avant la hausse des
prix.
.Nous avons été ravitaillés pendant la
guerre d'une façon satisfaisante. Mais le
contrôle américain des exportations arbi-
traires a été supprimé et avec lui le contrôle
du tonnage neutre et allié par les Etats-
Unis d'accord avec le Gouvernement britan-
nique. A cause de cela et de la cessation
du blocus, qui est imminente, tous les navi-
res non britanniques pourront se rendre où
il leur plaira et transporter les cargaisons
de vivres là où elles se vendront le plus
cher. Notre marché qui n'est déjà pas trop
bien approvisionné sera l'objet de sollici-
tations pressantes — de la part de l'Alle-
magne qui nous fera concurrence et offrira
ses produits manufacturés en échange de
produits similaires et de la part des neu-
tres, Hollande, Espagne, Norvège, Suède et
Danemark. Ces pays neutres ont été sévè-
rement rationnés pendant la guerre, mais ils
ont de l'argent en quantité et désirent vire-
ment accroître considérablement leur con-
sommation.
De plus, deux des anciennes sources d'ap-
provisionnement sont taries, l'une définiti-
vement, l'autre provisoirement. La Russie,
jadis le grenier de l'Europe, a détruit tout
son système de production et ne peut plus
se nourrir. Aux Indes, habituellement pays
de grande exportation, la récolte est si mai-
gre qu'il faudra y importer du blé. En Eu-
rope en général la moisson menace d'être
médiocre. (Ed.)
DAILY MAIL, 9.7.
N
— M. Roberts a annoncé hier que le Gou-
vernement a décidé de continuer à contrô-
ler l'es vivres durant l'hiver prochain.
C'est une sage décision. La situation actuel-
le de l'Italie, les menaces qui ont lieu en,
France, justifieraient cette mesure, si elle
avait besoin de justification. Si les vivres
sont beaucoup moins chers. en Angleterre
que dans ces pays et si le mécontentement
populaire ne s'est pas exprimé avec ces
formes violentes, une raison entre autres,
c'est le travail excellent fourni par le Dépar-
tement des Contrôleurs des vivres. Il est
impossible de contrôler les prix si on ne
contrôle pas' aussi la consommation. En An-
gleterre nous avons fait l'un et l'autre du-
rant la guerre avec un succès considéra-
ble M. Roberts nous dit qu'en dehors du
profiteur les causes principales de la cherté
de la vie sont l'augmentation de la consom-
mation et la diminution de la production.
Puisqu'il en est ainsi, c'est une raison de
plus pour continuer le contrôle et l'éten-
dre même ; en effet, tant que ces causes
joueront le fossé entre le pur gaspillage et
le besoin véritable continuera à se creuser
davantage. Le seul moyen de le combler
jusqu'au retour des conditions normales,
c'est d'établir des prix fixes et de ration-
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mais au moins tout le monde a le néces-
saire et cela dissipe ce contraste choquant
entre un luxe dépensier et une gêne évi-
dente, contraste qui provoque les récrimi-
nations et les troubles sociaux.
TIMES, 10.7.
——— ——
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
LE TRAITE DE VERSAILLES
DISCOURS DU GENERAL SMUTS à
l'Université de Manchester. — [EXTRAIT] : t
Je veux vous faire part de l'impression gé- 1
nérale que j'ai retirée de la Conférence de
Paris. L'impression dominante est celle de
la prépondérance politique de l'Empire bri-
tannique dans le monde aujourd'hui. Les
gens qui n'observent pas ces choses du de-
dans ne se rendent pas compte de ce qui se
passe dans la réalité, mais par des moyens
dont je n'avais jamais soupçonné la possi-
bilité, l'Empire britannique s'est élevé à
un très haut degré de prépondérance poli- -
tique dans le monde. Ce n'est pas une 'pré-
pondérance matérielle ; elle n'est pas due
à ses efforts matériels pendant la guerre.
D'autres nations ont fait des sacrifices et
nous pouvons aujourd'hui rendre hommage
à la France des sacrifices et des efforts
qu'elle a faits pour la civilisation.(Applaudis-
sements.) La situation de la (grande-Breta-
gne fut autre. On a senti, à la Conférence
de Paris, que la Grande-Bretagne repré-
sentait un groupe de puissances, un Etat et
un Empire dont les traditions et la constitu-
tion étaient si élastiques qu'elles pouvaient
s'adapter à presque toutes les situations ;
que ce pays était la démocratie la plus
avancée du monde, plus que l'Amérique ou
que toute autre république. Voilà ce dont on
avait conscience — que nous entrions dans
un monde nouveau de liberté, un monde
inconnu., et que nous étions un pays, le
plus grand du monde, qui avait poussé le
plus loin la pratique de te liberté-politique *,
que la Grande-Bretagne n'était pas seule-
ment un Etat. mais un groupe d'Etats qui
avait résolu quelques-uns des plus grands
problèmes avec lesquels les Alliés allaient
se trouver aux prises.
MANCHESTER GUARDIAN. 7.7.
LE ROLE DE M. HUGHES. — On ne sait
pas- encore assez, ni en Grande-Bretagne
ni en Australie, quel rôle a joué M. Hughes
à la Conférence de la Paix, à cause de la
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