Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-05-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 mai 1919 10 mai 1919
Description : 1919/05/10 (T12,N1144). 1919/05/10 (T12,N1144).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6487876f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/04/2013
i ,
è
81 MINISTÈRES
V - DES
1/ AFFAIRES ÉTRANGÈRES
: ET DE LA GUERRE
N° 1144
I
Samedi 10 mai 1919.
* à
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
ETATS-UNIS
Il Léthargie industrielle » sous ce titrer
- Une étude approfondie de la situation
joromerciale vient d'être faite par l'Asso-
elation Nationale des Industriels. Cette
étude a porté sur 4.400 grosses firmes de
Presque toutes les branches de l'industrie.
Le résultat de l'étude peut être ainsi ré-
siimA : situation, léthargie ; cause, incerti-
tude
Les industries considérées étaient divi-
Srn
sees en vingt-deux groupes. Cinq de ces
groupes ont déclaré la situation prospère.
Ce sont les groupes représentant la bijou-
trle et l'orfèvrerie, les instruments à mu-
sique, les Voitures, le caoutchouc et le ta-
ac - toute.¡;; industries que l'on peut com-
Prendr dans un groupe général, groupe
du luxe; leurs indications démontrent tout
au moins qu'il Y a beaucoup d'argent dans
le pays.
Des dix-sept autres groupes, seize décla-
rent les affaires à 50
rent les affaires à 50 au-dessous de la
normale; le dix-septième, le groupe du cuir
et des industries du cuir, voit la situation
Cbornmerciale varier entre bonne et assez
b0n.
st Quant aux causes principales de l'état de
stagnation, il en est désigné onze, dont le
apporté à la signature de la paix.
le prix élevé de la main-d'œuvre et des ma-
hères premières, l'arrêt brusque des achats
dn gouvernement, l'exploitation des voies
irrées par l'Etat, la lourdeur des imposi-
de guerre, l'agitation ouvrière, etc.
Mals, à l'analyse, toutes ces causes se ra-
mènent à une seule : l'incertitude.
Les industriels ont des idées positi-
ves suroe qu'il convient de faire pour re-
édier à la situation, et voici quelques-unes
des idées soumises dans leurs réponses :
Arrêt de toutes dépenses extravagantes
de guerre.
r etour il leurs propriétaires des voies
trrées et des réseaux téléphoniques et té-
aphiqUies.
, tr-llodification des impositions sur l'indus-
1
par le gouvernement à sa charge
dU déficit sur les blés - ceci est la base
même du prix des vivres.
tri^eo h n des administrations régularisa-
t r'l'le-3 de guerre.
tries de guerre. sui-croit de pi~odue-
de produc-
Ion, de l'élévation des salaires. -
Règlment par le gouvernement de ses
Programme de travaux publics. - (Ed.)
Tarifs douaniers. - Lorsque le Con-
r le Con-
l ès se réunira il lui faudra faire face à
[a Prospérité Tw^e?,tions qui intéressent
fa prospérité matérielle de la nation. Il lui
faudra prendre les mesures indispensables
riur l'extension de notre commerce exté-
~rieur, et, en même temps pour la protec-
des Produits marchés contre l'importation
des Ulls de la main-d'œuvre à bon,
I
marché. Il faudra stimuler l'industrie na-
tionale et lui faire donner le rendement
maximum ; il faudra pour cela que ce
soient nos produits nationaux qui alimen-
tent nos marchés nationaux, tandis que
l'excès de la production trouvera des mar-
chés à l'étranger. Et il faudra, pour arri-
ver à cela, faire comme ont déjà fait les
nations, d'Europe, et dresser un mur de
protection douanière.
Il faudra bien, en même temps, que le
Congrès examine la question des revenus.
Il faudra abaisser autant que possible le ni-
veau des impôts directs, alors que, d'un
autre côté, le gouvernement se trouve ne
par de tels engagements, qu'il lui faut pui-
ser à toutes les sources les revenus dont
il a besoin. Raison de plus pour lever des
droits importants sur les importations et
augmenter ainsi le rendement des douanes.
(Ed.)
Washington Post, 15.4.
ALLEMAGNE
La fuite des capitaux vers l'étranger. -1.
Le Lokal Anzeiger publie le télégramme
suivant venant de Copenhague :
Les banques suisses ne savent plus que
faire des innombrables dépôts qui leur sont
envoyés. Un affirme que ceux-ci se chif
frent par milliards. La chose est très plau-
sible lorsque l'on sait combien nos frontiè-
res sont mal gardées. De-cette manière la
grande majorité des bénéfices de guerre
vont être mis en sécurité avant que le gou-
vernement ait entrepris de régler le sort de
nos finances. Cette nouvelle ne fait que con-
firmer ce que le mouvement des changes
et les rumeurs de Bourse avaient déjà in-
diqué à ceux qui connaissent la moralité
du capitalisme. Les feuilles bourgeoises
on déjà souligné le fait que la contrebande
vers la Suisse avait lieu au grand jour,
sans que le gouvernement ait réussi jus-
qu'à présent à prendre les mesures néces-
saires. Ensuite le travailleur doit suppor-
ter, par suite des prix élevés .des vivres
importés, les énormes bénéfices réalisés
par les intermédiaires malhonnêtes qui se
livrent à ce genre de fraudes. Sans mécon-
naître l'influence favorable du change ac-
tuel sur notre politique d'exportation, il
faut reconnaître qu'il est déplorable pour
nos conditions alimentaires et appelle une
réforme urgente, s'il n'en est pas trop
tard ! 1
1
Vorwarts, 30.4, matin
Le ravitaillement en viande est actuelle-
ment très insuffisant. De nombreuses plain-
tes émanent des campagnes dans lesquel-
les les communes ne touchent même pas
les rations pourtant bien réduites. La po-
pulation voit avec amertume les quantités
de viande qui sont offertes en sous-main
à des prix exorbitants qu'en majorité elle
ne peut paver. Les unions commerciales,
les boucheries municipales et la police ne
peuvent parvenir à mettre fin à ces la-
mentables abus.
Les recensements du cheptel prussien
ont donné lea. résultats suivants :
Différent
entre
1" mais 1er mars 1918 -
1918 1919 et 1919
- - -
Veaux 919.192 996.385 + 77.193
Génisses et tauril-
lons 3.432.568 2.595.412 —837.156
Vaches laitières.. 4.605.483 4.342.256 -263.221
Bœufs. taureaux,
f etc. 1.272.460 1.164.249 —108.211
Totaux. 10.229.703 9.098.302-1.131.401
Le nombre des porcs a passé pendant la
même période de 3.308.108. à 4.644.068. soit
une augmentation de 1.335.960. Le chiffre
de 1919 est de beaucoup inférieur à celui de
1514, car nous avions à cete époque en
Prusse 16 millions 1/2 de porcs. -
Vorivdris, 30.4, matin.
Les ouvriers des ateliers de l'Etat.-
La Commission de contrôle des effectifs
a entamé mardi dernier la discussion rela-
tive aux conditions actuelles de travail
dans les entreprises de l'Etat.
En réponse à une question, le président
a répondu qu'il y avait encore jusqu'au
30 avril 150.000 hommes sous les drapeaux :
ces effectifs appartenaient à la catégorie de
ceux qui avaient demandé à être mainte-
nus pendant quatre mois par suite du man-
que de travail civil. La solde de ces hom-
mes a nécessité chaque jour 150.000 marks,
leur nourriture 405.000 marks, les indem-
nités 450.000 marks. Ces dépenses prennent
fin aujourd'hui avec la libération de ces
effectifs. Les ateliers de l'Etat prussien
comptaient en temps de paix 22.000 ou-
vriers, pendant la guerre 128.000, actuelle-
ment 60.000. Pour occuper ces ouvriers ii
faudrait des commandes annuelles se mon-
tant à 700 millions et, denuis le début de
la révolution, les commandes ont atteint à ,
peine 100 millions de marks, cest-à-dire de
quoi employer 20.000 ouvriers pendant six
lllois. 11 en résulte un excédent de 40.000
ouvriers et un déficit qui a atteint pour les
deux mois de janvier et février dernier
72 A millions. Le ministre des Finances
Dernburg et le sous-secrétaire Gotheim ont
insisté tous deux sur la gravité de la si-
tuation financière. Pourtant tous les mem-
bres de la Commission estiment à l'unani-
mité qu'il n'est pas désirable de congédier
le personnel en bloc, mais ITllÏI faut s'oc-
cuper activement à trouver des emplois va-
cants. -
Vossische Zeitung, 30.4 soir.
« La retraite des personnalités dirigean-
tes Il sous ce titre]. — Il semble que dans
les dernières semaines un grand nombre
de directeurs de banques, de gros indus-
triels et d'autres personnalités occupant
les postes les plus élevés dans les entre-
prises commerciales importantes, se reti-
rent après avoir, pour la plupart, obtenu
les résultats les plus brillants pendant de
longues années. Il est très naturel que
les dirigeants du commerce et de l'indus-
trie de l'Allemagne impériale aient éprouvé 1
une certaine difficulté à se plier au nou-
veau régime. La révolution a été la cause
de modifications profondes : les employés et
è
81 MINISTÈRES
V - DES
1/ AFFAIRES ÉTRANGÈRES
: ET DE LA GUERRE
N° 1144
I
Samedi 10 mai 1919.
* à
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
ETATS-UNIS
Il Léthargie industrielle » sous ce titrer
- Une étude approfondie de la situation
joromerciale vient d'être faite par l'Asso-
elation Nationale des Industriels. Cette
étude a porté sur 4.400 grosses firmes de
Presque toutes les branches de l'industrie.
Le résultat de l'étude peut être ainsi ré-
siimA : situation, léthargie ; cause, incerti-
tude
Les industries considérées étaient divi-
Srn
sees en vingt-deux groupes. Cinq de ces
groupes ont déclaré la situation prospère.
Ce sont les groupes représentant la bijou-
trle et l'orfèvrerie, les instruments à mu-
sique, les Voitures, le caoutchouc et le ta-
ac - toute.¡;; industries que l'on peut com-
Prendr dans un groupe général, groupe
du luxe; leurs indications démontrent tout
au moins qu'il Y a beaucoup d'argent dans
le pays.
Des dix-sept autres groupes, seize décla-
rent les affaires à 50
rent les affaires à 50 au-dessous de la
normale; le dix-septième, le groupe du cuir
et des industries du cuir, voit la situation
Cbornmerciale varier entre bonne et assez
b0n.
st Quant aux causes principales de l'état de
stagnation, il en est désigné onze, dont le
apporté à la signature de la paix.
le prix élevé de la main-d'œuvre et des ma-
hères premières, l'arrêt brusque des achats
dn gouvernement, l'exploitation des voies
irrées par l'Etat, la lourdeur des imposi-
de guerre, l'agitation ouvrière, etc.
Mals, à l'analyse, toutes ces causes se ra-
mènent à une seule : l'incertitude.
Les industriels ont des idées positi-
ves suroe qu'il convient de faire pour re-
édier à la situation, et voici quelques-unes
des idées soumises dans leurs réponses :
Arrêt de toutes dépenses extravagantes
de guerre.
r etour il leurs propriétaires des voies
trrées et des réseaux téléphoniques et té-
aphiqUies.
, tr-llodification des impositions sur l'indus-
1
par le gouvernement à sa charge
dU déficit sur les blés - ceci est la base
même du prix des vivres.
tri^eo h n des administrations régularisa-
t r'l'le-3 de guerre.
tries de guerre. sui-croit de pi~odue-
de produc-
Ion, de l'élévation des salaires. -
Règlment par le gouvernement de ses
Programme de travaux publics. - (Ed.)
Tarifs douaniers. - Lorsque le Con-
r le Con-
l ès se réunira il lui faudra faire face à
[a Prospérité Tw^e?,tions qui intéressent
fa prospérité matérielle de la nation. Il lui
faudra prendre les mesures indispensables
riur l'extension de notre commerce exté-
~rieur, et, en même temps pour la protec-
des Produits marchés contre l'importation
des Ulls de la main-d'œuvre à bon,
I
marché. Il faudra stimuler l'industrie na-
tionale et lui faire donner le rendement
maximum ; il faudra pour cela que ce
soient nos produits nationaux qui alimen-
tent nos marchés nationaux, tandis que
l'excès de la production trouvera des mar-
chés à l'étranger. Et il faudra, pour arri-
ver à cela, faire comme ont déjà fait les
nations, d'Europe, et dresser un mur de
protection douanière.
Il faudra bien, en même temps, que le
Congrès examine la question des revenus.
Il faudra abaisser autant que possible le ni-
veau des impôts directs, alors que, d'un
autre côté, le gouvernement se trouve ne
par de tels engagements, qu'il lui faut pui-
ser à toutes les sources les revenus dont
il a besoin. Raison de plus pour lever des
droits importants sur les importations et
augmenter ainsi le rendement des douanes.
(Ed.)
Washington Post, 15.4.
ALLEMAGNE
La fuite des capitaux vers l'étranger. -1.
Le Lokal Anzeiger publie le télégramme
suivant venant de Copenhague :
Les banques suisses ne savent plus que
faire des innombrables dépôts qui leur sont
envoyés. Un affirme que ceux-ci se chif
frent par milliards. La chose est très plau-
sible lorsque l'on sait combien nos frontiè-
res sont mal gardées. De-cette manière la
grande majorité des bénéfices de guerre
vont être mis en sécurité avant que le gou-
vernement ait entrepris de régler le sort de
nos finances. Cette nouvelle ne fait que con-
firmer ce que le mouvement des changes
et les rumeurs de Bourse avaient déjà in-
diqué à ceux qui connaissent la moralité
du capitalisme. Les feuilles bourgeoises
on déjà souligné le fait que la contrebande
vers la Suisse avait lieu au grand jour,
sans que le gouvernement ait réussi jus-
qu'à présent à prendre les mesures néces-
saires. Ensuite le travailleur doit suppor-
ter, par suite des prix élevés .des vivres
importés, les énormes bénéfices réalisés
par les intermédiaires malhonnêtes qui se
livrent à ce genre de fraudes. Sans mécon-
naître l'influence favorable du change ac-
tuel sur notre politique d'exportation, il
faut reconnaître qu'il est déplorable pour
nos conditions alimentaires et appelle une
réforme urgente, s'il n'en est pas trop
tard ! 1
1
Vorwarts, 30.4, matin
Le ravitaillement en viande est actuelle-
ment très insuffisant. De nombreuses plain-
tes émanent des campagnes dans lesquel-
les les communes ne touchent même pas
les rations pourtant bien réduites. La po-
pulation voit avec amertume les quantités
de viande qui sont offertes en sous-main
à des prix exorbitants qu'en majorité elle
ne peut paver. Les unions commerciales,
les boucheries municipales et la police ne
peuvent parvenir à mettre fin à ces la-
mentables abus.
Les recensements du cheptel prussien
ont donné lea. résultats suivants :
Différent
entre
1" mais 1er mars 1918 -
1918 1919 et 1919
- - -
Veaux 919.192 996.385 + 77.193
Génisses et tauril-
lons 3.432.568 2.595.412 —837.156
Vaches laitières.. 4.605.483 4.342.256 -263.221
Bœufs. taureaux,
f etc. 1.272.460 1.164.249 —108.211
Totaux. 10.229.703 9.098.302-1.131.401
Le nombre des porcs a passé pendant la
même période de 3.308.108. à 4.644.068. soit
une augmentation de 1.335.960. Le chiffre
de 1919 est de beaucoup inférieur à celui de
1514, car nous avions à cete époque en
Prusse 16 millions 1/2 de porcs. -
Vorivdris, 30.4, matin.
Les ouvriers des ateliers de l'Etat.-
La Commission de contrôle des effectifs
a entamé mardi dernier la discussion rela-
tive aux conditions actuelles de travail
dans les entreprises de l'Etat.
En réponse à une question, le président
a répondu qu'il y avait encore jusqu'au
30 avril 150.000 hommes sous les drapeaux :
ces effectifs appartenaient à la catégorie de
ceux qui avaient demandé à être mainte-
nus pendant quatre mois par suite du man-
que de travail civil. La solde de ces hom-
mes a nécessité chaque jour 150.000 marks,
leur nourriture 405.000 marks, les indem-
nités 450.000 marks. Ces dépenses prennent
fin aujourd'hui avec la libération de ces
effectifs. Les ateliers de l'Etat prussien
comptaient en temps de paix 22.000 ou-
vriers, pendant la guerre 128.000, actuelle-
ment 60.000. Pour occuper ces ouvriers ii
faudrait des commandes annuelles se mon-
tant à 700 millions et, denuis le début de
la révolution, les commandes ont atteint à ,
peine 100 millions de marks, cest-à-dire de
quoi employer 20.000 ouvriers pendant six
lllois. 11 en résulte un excédent de 40.000
ouvriers et un déficit qui a atteint pour les
deux mois de janvier et février dernier
72 A millions. Le ministre des Finances
Dernburg et le sous-secrétaire Gotheim ont
insisté tous deux sur la gravité de la si-
tuation financière. Pourtant tous les mem-
bres de la Commission estiment à l'unani-
mité qu'il n'est pas désirable de congédier
le personnel en bloc, mais ITllÏI faut s'oc-
cuper activement à trouver des emplois va-
cants. -
Vossische Zeitung, 30.4 soir.
« La retraite des personnalités dirigean-
tes Il sous ce titre]. — Il semble que dans
les dernières semaines un grand nombre
de directeurs de banques, de gros indus-
triels et d'autres personnalités occupant
les postes les plus élevés dans les entre-
prises commerciales importantes, se reti-
rent après avoir, pour la plupart, obtenu
les résultats les plus brillants pendant de
longues années. Il est très naturel que
les dirigeants du commerce et de l'indus-
trie de l'Allemagne impériale aient éprouvé 1
une certaine difficulté à se plier au nou-
veau régime. La révolution a été la cause
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