Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-04-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 avril 1919 05 avril 1919
Description : 1919/04/05 (T11,N1115). 1919/04/05 (T11,N1115).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6216706q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1. Iotlri¡Sl'ÈRES
~AH) DES
ES ETRANGERES
LA GUERRE
1 W 1115
Samedi 5 avril 1919.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
! QUESTIONS MILITAIRES
te. OPERATIONS
c'laises. _ment projeté des troupes po-
1, -'armée polonaise ne peut être
j Sidéé. comme une partie des troupes
• .^ntenfp comme le voudrait la note
o '86 à n A +
'eltiI' se à notre commission de Spa : elle
ffiMtuenn facteur politique adversaire de
^acrnp k Pologne est bien un allié
do ia ^ernipVfo heure, mais pas dans le sens
1 Pour Justifier l'incorporation de l'ar-
toau e Halipr dans les forces de l'Entente.
28.3, soir.
Deutsche. Tageszeilzmg, 28.3, spir.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
0.
Il ta FINANCES
J «LA I ï financière allemande à la fin
: t ^*ÏtlUfieenmrï-?''-S0lls ce titre]. — La question
à l'étn~ à réclamer de l'Allemagne
St à l'étiiH et activement discutée dans
tin
1 ta milienv s commerciaux et financiers en-
is. Le
<1\1 5 mes publie dans son numéro
di r? févrio Un projet de la « Federation
t'sh "\austries ». aux termes duquel il
rait i stries ». aux termes duquel il
1 illi r s de marks, qui pro-
Vi iï^ ?raient des économies réalisées sur
ef des économies réalisées sur
114 le rpvû^ marine, d'un impôt spécial
des
:'leQiin<î une partie des recettes
1 sUr la defer et des postes, enfin d'un
t sur la bière. Nous serions tout à fait
itio^bleg '5ire face à pareilles exigen-
, sto d'abord parce que les impôts pro-
etés ne do abord Parce que les impôts pro-
ietû S ne donn nraient pas les résultats atten-
^UsC°nçoi,tînn en effet, pour ne donner
lu'ii ?* eXemnû qu-e la consommation de la
ol ne SOUffrirait Das d'une majoration
feJ^t inenTTo et c'est - à, cela que revient le
loi Sent!ée ,• Notre richesse effective,
Gtre So èe par les produits naturels de
: sÙbi ul et la force de notre production,
une /i^P^ciation considérable ; nos
de produits importés sont à peu près
es ,le recensement des porcs accuse
rno. 's deIlovembre 1918 une diminution
ellli de ante à 15 millions de marks ;
çeiipS des Gs à cornes à 4 millions. La
prod ction ri fer a' diminué de 32 0/,,. Le.
'ioh n. de fer a diminué de 32 Le.
ren!» ^ent a es céréales a passé de 134 mil-
iounes en 1913 à 82.503.00n
Pavî c°nstifi' Les travailleurs ont tou.
uet la plus grande richesse d'un
attei rit le chiffre de 3 millions, soit une
0. de 3 millions, soit une
r Si l'E duo e 1/8. de 3 millions, soit une
.Sc- i ^ntenatlf vei?t nous extirper annuelle-
Sf. le annuitM d'une certaine impor-
rtance, les essources ne pourront ôtre
t'es t-àd ne pourront être
f^ire çifU? frais des consommateurs,
sur le 'CoÛt de la vie, mais aussi
disant l'accroissement' de notre
pro ctrice économique. - Dr S. V.
productrice économi q ue. - Dr S. Y.
F ^ktur*€r Zeitung, 27.3, matin.
BLOCUS
L'alimentation de guerre et la mortalité
allemande. — Sur 1.000 individus la morta-
lité a été la suivante:
Années A 1 an De 1 à 5 ans A 70 ans
et au-dessus
- - -
1910 135.2 13.3 110.3
1917 147.6 15.9 147.1
Augmentation 9.7 19.6 33.4
Proportion des naissances et des décés,
à Berlin :
Années Naissances Décès
1913 40.833 28.067
1914 37.493 29.664
1915 30.993 28.572
1916 22.707 27.147
1917 18.725 34.122
D'après les statistiques de 22 quartiers, la
mortalité a augmenté dans les proportions
suivantes, comparativement aux périodes
correspondantes dans les quatre années qui
ont précédé la guerre :
Age Augmentation
4e trimestre 1916 15 à 30 ans 16
4' trimestre 1916 31 à 60 ans 17 à 18
l'r trimestre 1917 15 à 30 ans 43
1er trimestre 1917 31 à 60 ans 62
Sur 10.000 personnes, d'après les rapports
de 380 villes allemandes de plus de 15.000
habitants, la mortalité pour cause de tuber-
culose a été la suivante.
1913 15.7 1916 18.0
1914 26.0 1917 25.3
1915 16.8 1918 31.7
Si l'on considère l'année 1913 comme une
année moyenne pour les décès causés par la
tuberculose, l'augmentation au cours des
années suivantes a été de •:
1914 1456 1917 27.824
1915 4431 1918 43320
1916 8405
A Berlin la tuberculose a tifé, pendant le
3' trimestre de 1917, 40,1 d'hommes en
plus que pendant le 3e trimestre de 1915. La
proportion pour les femmes est : + 91,7
Parmi les enfants examinés dans les hô-
pitaux, la proportion suivante a été trouvée
infectée :
Age Avant la guerre Pendant la guerre
- -
1 à 3 mois 0. 0 2.4
3 à 12 mois 5. 0 7.8
2 ans 12.0 23.0
3 et 4 ans 32.0 25.0 %■
5 et 6 ans 33.0 50.0
7 à 10 ans 47.5 56.0
11 à 14 ans.. 50.0 66.0
A la dissection, on a trouvé parmi les en-
fants morts au-dessous de 14 ans :
1910 à 1914 : 5 à 8 de tuberculeux.
1916 : 44 de tuberculeux./
Frank/urler Zeilung, 29.3, soir.
AVENIR ECONOMIQUE
France. — La France se relèvera écono-
miquement si elle sait s'adapter aux be-
soins du présent, étudier ce qui manque
sur le marché étranger, et produire de
grandes quantités d'objets accessibles aux
classes moyennes. Ceci n'exige pas l'ex-
I
tinction de ses industries d'art, mais une
revision complète de ses méthodes com-
merciales et une acquisition du matériel
nouveau nécessaire à une production in-
teilse.,.
Voici ce dont on commence à se rendre
compte en France, lentement mais sûre-
ment. Mais ce programme menace d'être
battu en brèche par une politique' et un
idéal qui peuvent être résumés dans la
phrase : « La France aux Français ». C'est
là un mode de sentir plutôt qu'une concep-
tion bien définie, mais il est à la base de
toute, la politique française de l'heure pré- x
sente. Par exemple on se rend compte que
la France peut reprendre la place qui est
la sienne en 'accroissant ses exportations.
Mais pour se mettre au travail il lui faut
reconstruire maisons, mines, routes et che-
mins de fer. Beaucoup d'objets dont elle
a besoin pourraient être achetés à l'étran-
ger et elle pourrait se mettre de suite vau
travail. Mais les Français disent : « Nous
pouvons fabriquer ces objets tout aussi
bien que les autres ; ainsi nous aurons du 1
travail pour nos ouvrier^ et nous empê-
cherons le capital de s'expatrier. Le franc
est bas et, si nous achetons ce dont nous
avons besoin à l'étranger, il baissera encore,
puisque nous n'avons rien à envoyer en
retour. Quand les exportations commence-
ront, le franc aura tendance à recouvrer sa
valeur d'avant-guerre et en fin de compte
nous aurons donc à payer les machines
que nous achèterons un prix de beaucoup
supérieur à leur valeur réelle et normale. »
Mais cette manière de raisonner ne tient\
pas compte de l'élément « temps » dans le
commerce. IL laisse de côté ce fait que pour
s'implanter solidement à l'heure actuelle
dans les marchés étrangers il est indispen-
sable de revenir de suite à des conditions
normales.
Irish Times [de Dublin], 27.3. 1
Les commerçants allemands dans les pays
neutres. — Les Allemands inondent de leurs -
voyageurs de commerce les pays neutres
-avoisinants et offrent de grandes facilités
de livraison immédiate. Les voyageurs
allemands semblent très optimistes. Il
faut/ avouer que leur activité est grande-
ment facilitée, à l'heure actuelle, dans les
pays -neutres par diverses causes, dont les
plus importantes sont le taux très bas du
mark et l'absence de toute concurrence de
la part des Alliés.
C'est un fait bien connu que le blocus a
fait baisser le mark très considérablement,
mais aujourd'hui cette baisse se trouve
tout à l'avantage de l'exportation alleman-
de et s'oppose par exemple à toute con-
currence des produits allemands par les
produits britanniques sur les marchés neu-
tres.
Les hommes d'affaires hollandais se-
raient trop heureux d'acheter à J'Angle-
terre, mais alors que des quantités d'Alle-
mands leur Rendent visite en Hollande,
ils ne voient jamais d'Anglais. En outre
la difficulté d'obtenir des passeports cons-
titue une grande entrave aux voyages
commerciaux.
Manchester Guardian, 1.4.
~AH) DES
ES ETRANGERES
LA GUERRE
1 W 1115
Samedi 5 avril 1919.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — A l'exception des passages imprimés en italique, qui sont des
résumés, il est donné ci dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
Les articles traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
! QUESTIONS MILITAIRES
te. OPERATIONS
c'laises. _ment projeté des troupes po-
1, -'armée polonaise ne peut être
j Sidéé. comme une partie des troupes
• .^ntenfp comme le voudrait la note
o '86 à n A +
'eltiI' se à notre commission de Spa : elle
ffiMtuenn facteur politique adversaire de
^acrnp k Pologne est bien un allié
do ia ^ernipVfo heure, mais pas dans le sens
1 Pour Justifier l'incorporation de l'ar-
toau e Halipr dans les forces de l'Entente.
28.3, soir.
Deutsche. Tageszeilzmg, 28.3, spir.
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
0.
Il ta FINANCES
J «LA I ï financière allemande à la fin
: t ^*ÏtlUfieenmrï-?''-S0lls ce titre]. — La question
à l'étn~ à réclamer de l'Allemagne
St à l'étiiH et activement discutée dans
tin
1 ta milienv s commerciaux et financiers en-
is. Le
<1\1 5 mes publie dans son numéro
di r? févrio Un projet de la « Federation
t'sh "\austries ». aux termes duquel il
rait i stries ». aux termes duquel il
1
Vi iï^ ?raient des économies réalisées sur
ef des économies réalisées sur
114 le rpvû^ marine, d'un impôt spécial
des
:'leQiin<î une partie des recettes
1 sUr la defer et des postes, enfin d'un
t sur la bière. Nous serions tout à fait
itio^bleg '5ire face à pareilles exigen-
, sto d'abord parce que les impôts pro-
etés ne do abord Parce que les impôts pro-
ietû S ne donn nraient pas les résultats atten-
^UsC°nçoi,tînn en effet, pour ne donner
lu'ii ?* eXemnû qu-e la consommation de la
ol ne SOUffrirait Das d'une majoration
feJ^t inenTTo et c'est - à, cela que revient le
loi Sent!ée ,• Notre richesse effective,
Gtre So èe par les produits naturels de
: sÙbi ul et la force de notre production,
une /i^P^ciation considérable ; nos
de produits importés sont à peu près
es ,le recensement des porcs accuse
rno. 's deIlovembre 1918 une diminution
ellli de ante à 15 millions de marks ;
çeiipS des Gs à cornes à 4 millions. La
prod ction ri fer a' diminué de 32 0/,,. Le.
'ioh n. de fer a diminué de 32 Le.
ren!» ^ent a es céréales a passé de 134 mil-
iounes en 1913 à 82.503.00n
Pavî c°nstifi' Les travailleurs ont tou.
uet la plus grande richesse d'un
attei rit le chiffre de 3 millions, soit une
0. de 3 millions, soit une
r Si l'E duo e 1/8. de 3 millions, soit une
.Sc- i ^ntenatlf vei?t nous extirper annuelle-
Sf. le annuitM d'une certaine impor-
rtance, les essources ne pourront ôtre
t'es t-àd ne pourront être
f^ire çifU? frais des consommateurs,
sur le 'CoÛt de la vie, mais aussi
disant l'accroissement' de notre
pro ctrice économique. - Dr S. V.
productrice économi q ue. - Dr S. Y.
F ^ktur*€r Zeitung, 27.3, matin.
BLOCUS
L'alimentation de guerre et la mortalité
allemande. — Sur 1.000 individus la morta-
lité a été la suivante:
Années A 1 an De 1 à 5 ans A 70 ans
et au-dessus
- - -
1910 135.2 13.3 110.3
1917 147.6 15.9 147.1
Augmentation 9.7 19.6 33.4
Proportion des naissances et des décés,
à Berlin :
Années Naissances Décès
1913 40.833 28.067
1914 37.493 29.664
1915 30.993 28.572
1916 22.707 27.147
1917 18.725 34.122
D'après les statistiques de 22 quartiers, la
mortalité a augmenté dans les proportions
suivantes, comparativement aux périodes
correspondantes dans les quatre années qui
ont précédé la guerre :
Age Augmentation
4e trimestre 1916 15 à 30 ans 16
4' trimestre 1916 31 à 60 ans 17 à 18
l'r trimestre 1917 15 à 30 ans 43
1er trimestre 1917 31 à 60 ans 62
Sur 10.000 personnes, d'après les rapports
de 380 villes allemandes de plus de 15.000
habitants, la mortalité pour cause de tuber-
culose a été la suivante.
1913 15.7 1916 18.0
1914 26.0 1917 25.3
1915 16.8 1918 31.7
Si l'on considère l'année 1913 comme une
année moyenne pour les décès causés par la
tuberculose, l'augmentation au cours des
années suivantes a été de •:
1914 1456 1917 27.824
1915 4431 1918 43320
1916 8405
A Berlin la tuberculose a tifé, pendant le
3' trimestre de 1917, 40,1 d'hommes en
plus que pendant le 3e trimestre de 1915. La
proportion pour les femmes est : + 91,7
Parmi les enfants examinés dans les hô-
pitaux, la proportion suivante a été trouvée
infectée :
Age Avant la guerre Pendant la guerre
- -
1 à 3 mois 0. 0 2.4
3 à 12 mois 5. 0 7.8
2 ans 12.0 23.0
3 et 4 ans 32.0 25.0 %■
5 et 6 ans 33.0 50.0
7 à 10 ans 47.5 56.0
11 à 14 ans.. 50.0 66.0
A la dissection, on a trouvé parmi les en-
fants morts au-dessous de 14 ans :
1910 à 1914 : 5 à 8 de tuberculeux.
1916 : 44 de tuberculeux./
Frank/urler Zeilung, 29.3, soir.
AVENIR ECONOMIQUE
France. — La France se relèvera écono-
miquement si elle sait s'adapter aux be-
soins du présent, étudier ce qui manque
sur le marché étranger, et produire de
grandes quantités d'objets accessibles aux
classes moyennes. Ceci n'exige pas l'ex-
I
tinction de ses industries d'art, mais une
revision complète de ses méthodes com-
merciales et une acquisition du matériel
nouveau nécessaire à une production in-
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Voici ce dont on commence à se rendre
compte en France, lentement mais sûre-
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idéal qui peuvent être résumés dans la
phrase : « La France aux Français ». C'est
là un mode de sentir plutôt qu'une concep-
tion bien définie, mais il est à la base de
toute, la politique française de l'heure pré- x
sente. Par exemple on se rend compte que
la France peut reprendre la place qui est
la sienne en 'accroissant ses exportations.
Mais pour se mettre au travail il lui faut
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mins de fer. Beaucoup d'objets dont elle
a besoin pourraient être achetés à l'étran-
ger et elle pourrait se mettre de suite vau
travail. Mais les Français disent : « Nous
pouvons fabriquer ces objets tout aussi
bien que les autres ; ainsi nous aurons du 1
travail pour nos ouvrier^ et nous empê-
cherons le capital de s'expatrier. Le franc
est bas et, si nous achetons ce dont nous
avons besoin à l'étranger, il baissera encore,
puisque nous n'avons rien à envoyer en
retour. Quand les exportations commence-
ront, le franc aura tendance à recouvrer sa
valeur d'avant-guerre et en fin de compte
nous aurons donc à payer les machines
que nous achèterons un prix de beaucoup
supérieur à leur valeur réelle et normale. »
Mais cette manière de raisonner ne tient\
pas compte de l'élément « temps » dans le
commerce. IL laisse de côté ce fait que pour
s'implanter solidement à l'heure actuelle
dans les marchés étrangers il est indispen-
sable de revenir de suite à des conditions
normales.
Irish Times [de Dublin], 27.3. 1
Les commerçants allemands dans les pays
neutres. — Les Allemands inondent de leurs -
voyageurs de commerce les pays neutres
-avoisinants et offrent de grandes facilités
de livraison immédiate. Les voyageurs
allemands semblent très optimistes. Il
faut/ avouer que leur activité est grande-
ment facilitée, à l'heure actuelle, dans les
pays -neutres par diverses causes, dont les
plus importantes sont le taux très bas du
mark et l'absence de toute concurrence de
la part des Alliés.
C'est un fait bien connu que le blocus a
fait baisser le mark très considérablement,
mais aujourd'hui cette baisse se trouve
tout à l'avantage de l'exportation alleman-
de et s'oppose par exemple à toute con-
currence des produits allemands par les
produits britanniques sur les marchés neu-
tres.
Les hommes d'affaires hollandais se-
raient trop heureux d'acheter à J'Angle-
terre, mais alors que des quantités d'Alle-
mands leur Rendent visite en Hollande,
ils ne voient jamais d'Anglais. En outre
la difficulté d'obtenir des passeports cons-
titue une grande entrave aux voyages
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