Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-01-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 janvier 1919 22 janvier 1919
Description : 1919/01/22 (T11,N1052). 1919/01/22 (T11,N1052).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62166427
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
r
MISTÈRES DE LA GUERRE
It. ET DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
1 ———
1 N° 1052
Paris 22 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
ALLEMAGNE
« Situation de l'officier bavarois Il [sous
Ce titre]. - Pour peu qu'on garde un peu
de jugement au niio vacarme des evé-
nements du jour, on ne saurait passer in-
différent devant le SOrt de nos officiers ba-
varois En temps de paix l'officier exerçant
une profession absorbante et peu rémuné-
rée et dont le seul attrait était l'idéal mo-
ral. sans n qu'aucun pût y amasser des tré-
srs ; pendant la guerre il avait l'honneur
de mourir le premier pour sa patrie. de sa
fier de cet honneur ; il était à la il était
troupe. Ce n'est pas Ulle formule vide de
liens, mais un lâFqïïl est facile de dé-
montrer. Au cours de la guerre mondiale
39 d'officiers et 19 hommes de trou-
pe - sont tombés.
Ne Pas permettre à l'officier de porter
l'uniforme dans la rue. c'est manquer de
respect à l'uniforme, de même que d'exi-
ger la suppression des insignes du grade.
Si le sergent porte encore aujourd'hui ses
galons, l'officier doit au même titre être
autorisé à porter ses pattes d'épaule. Qu'on
ne s ,lne pas pouvoir, par de tels
moyens. mener le combat contre le prin-
cipe du militarisme. On ne combat une
idée que par une idée et non par d.eQ en-
fantillages. Pourquoi semer n par de<ï en-
fantillages Pourquoi semer la haine, alors
que la moisson de l'amour nous serait si
nécessaire dans la crise effroyable que nous
traversons ?
Nous 'pÕrtons le plus vif intérêt à l'or-
ganisation puissante de notre république et
nous sommes les ennemis irréductibles et
convaincus de la réaction. C'est pourquoi
nous disons tout haut au gouvernement et
au conseil des soldats : ne poussez pas de
force dans l'opposition politique l'élément
excellent et capable nue représente le corps
les officiers bavarois. Ne faites par le corps
à des hommes la peine d'un système qui a
à des hommes la peine d'tin ^ystème porter
dispatru, mais jugez-les dans la mesure ù
ils accOmplissent leur devoir. Nous avons
besoin de toutes nos forces pour notre
relèvement, et e 3.rt; .a république libre il
ne doit pas y avoir, il n'y aura pas de
parias ni de prose:'Ïts. - (Franz Endres)
Münchner eucsle Nachrichten, 14.1. )
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION ET MAIN-D'ŒUVRE
Allemagne : f) \!'\S LA NKGI0N DE COLOGNE.
devient Situation économique de l'industrie
devient charnu jour plus mauvaise ; les
causes résident dans l'arrêt de l'appro-
visionnement en charbon, en fer, et dans
l'impossibilité d'écouler les produits en
l'Allemagne non occupée. Les commandes
privées n'existent pour ainsi dire pas ;
peu de fabriques seulement sont chargées
des commandes de l'Etat. Lorsqu'on pou-
vait s'approvisionner librement en ma-
tières premières et lorsqu'en même temps
la circulation était possible dans toute l'Al-
lemagne, les fabriques pouvaient toujours
employer de nouveaux travailleurs. Ac-
tuellement. au contraire, on emploie beau-
coup plus d'ouvriers qu'il n'est, besoin. Une
fabrique de machines de Cologne, qui uti-
lise 2.700 ouvriers, a calculé que depuis
le 20.11.18 elle a payé seulement en sa-
laires 750.000 mk; elle estime qu'en janvier
ses dépenses en appointements ou salaires
attemaront un million de marks.
Les fabriques travaillent pour la plupart
avec leur stock et subissent les plus gran-
des perles. Les marchandises ne pouvant
être fabriquées qu'avec des produits de
substitution elles ne peuvent satisfaire
aux besoins du temps de paix et une
concurrence avec les futures marchandises
de paix ne peut être soutenue. Les frais
de revient, en • outre, ont tellement aug-
menté qu'il est impossible de songer à ren-
trer dans ses débours en écoulant plus
tard les marchandises. L'élévation des
salaires et l'augmentation du prix des ma-
tières premières ont gravement ébranlé la
résistance économique des fabriques. Peu
de changement sur le marché du travail
depuis le commencement de l'année. Le
nombre des sans-travail atteint environ
28.000. Il y avait 21.300 hommes sans tra-
vail le 2 janvier, 20.600 le 9. Pendant la
même période le nombre des femmes sans
travail s'est accru de 6.400 à 7.500 Dans
l'industrie de la tourbe on a besoin en-
core de 600 à 800 travailleurs ; une très
faible partie seulement des travailleurs
de l'industrie de la tourbe provient de la
région de Cologne.
Mais pour toutes les raisons connues,
il faut s'attendre jusqu'à la fin du mois
à l'augmentation du nombre des sans-tra-
vail, si une amélioration ne se fait pas
sentir dans l'approvisionnement en matiè-
res premières et dans les possibilités d'é-
coulement des produits.
Kolnische Volkszeitung. 12.1.
Amérique du Sud. — Les pays d'Améri-
que jadis favorisés par l'immigration eu-
ropéenne commencent à s'émouvoir de la
qllPc;'Înn de la main-d'œuvre européenne
après la guerre. L'activité fébrile des pays
européens en absorbera sans doute la plus
grande partie ; il se peut aussi que les
gouvernements européens prennent au su-
jet de l'enrcrraMnn des mesures prohibi-
tives. La République Argentine qui a be-
soin de la main-d'œuvre d'outre-Océan
pour ses cultures, se préoccupe beaucoup
de cette question. La presse argentine a
proposé de mobiliser la population ouvrière
des provinces dont les cultures n exigent
pas l'emploi de nombreux bras, au profit
de celles qui nécessitent une main-d'œuvre
abondante. Le problème de l'immigration
intéresse également l'Uruguay, quoique à
un moindre degré que l'Argentine. —
Dia [de Montevideo], 20.11.
FINANCES
Pays danubiens. — Sous le titre :
« Chaos POLITICO-FlNANCIER ». — De Tchéco-
Slovaquie nous arrive la nouvelle que
d'après un arrêté du ministre des Finan-
ces. Dr. Raschin, les emprunts de guerre
de la Banque Austro-Hongroise ne doi-
vent plus être garantis par le gouverne-
ment ; de Yougo-Slavie, on annonce, ou-
tre une interdiction d'importer et d'expor-
ter les couronnes, — et l'apposition d'un
cachet sur les billets de banque, — le
remplacement des couronnes par les di-
nars, — au taux de trois couronnes pour
un dinar. — Ce sont des mesures destinées
à placer ces Etats, au moment de la li-
quidation, dans une situation favorable en
ce qui concerne la question de l'étalon
monétaire et celle de la Dette publique ;
mais elles imposent aux citoyens de ces
Etats des sacrifices plus ou moins lourds.
La nouvelle (non encore confirmée il est
vrai) annonçant l'introduction du dinar
comme étalon monétaire, sur tout le ter-
ritoire de l'Etat sud-slave, mérite une at-
tention particulière. Le problème du pas-
sage à un nouvel étalon monétaire est
un des plus délicats qui soit Dès la chute
de la monarchie danubienne, la pensée vint
çà et là. dans les Etats nationaux, de se
débarrasser le plus tôt possible de la cou-
ronne discréditée pour passer à un nou-
vel étalon monétaire ; spécialement en
Tchéco-S'ovaquie, on annonce des plans de
ce genre. Dans ce dernier Etat, il est vrai,
on en vint vite à une opinion plus raison-
nable, et l'on reconnut que le moment
était particulièrement mal choisi pour opé-
rer une telle réforme.
D'autre part, les territoires tchéco-slo-
vaques se trouvent dans une situation po-
litique et monétaire tout à fait autre que
les territoires sud-slaves de l'ancienne mo-
narchie danubienne. Les premiers se tou-
vent tout entiers dans des régions où seule
la couronne a cours ; les seconds, au
contraire, depuis leur réunion à la Serbie
et au Montenegro, se trouvent dans un
Etat dont la monnaie légale est aussi le
dinar. Malgré les circonstances défavora-
bles, on a donc procédé en Yougo-Slavie à
une nouvelle réglementation. Pour les pos-
sesseurs de couronnes en Yougo-Slavie.
c'est un événement très pénible. Tout
comme l'élévation des Karageorgevitch
sur le trône de Yougo-Slavie, c'est là une
victoire des Serbes sur les Croates, une
victoire du dinar sur la couronne, bref
en un pays occupé le monnayage de l'an-
nexion au profit du vainqueur. Avec leur
MISTÈRES DE LA GUERRE
It. ET DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
1 ———
1 N° 1052
Paris 22 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
ALLEMAGNE
« Situation de l'officier bavarois Il [sous
Ce titre]. - Pour peu qu'on garde un peu
de jugement au niio vacarme des evé-
nements du jour, on ne saurait passer in-
différent devant le SOrt de nos officiers ba-
varois En temps de paix l'officier exerçant
une profession absorbante et peu rémuné-
rée et dont le seul attrait était l'idéal mo-
ral. sans n qu'aucun pût y amasser des tré-
srs ; pendant la guerre il avait l'honneur
de mourir le premier pour sa patrie. de sa
fier de cet honneur ; il était à la il était
troupe. Ce n'est pas Ulle formule vide de
liens, mais un lâFqïïl est facile de dé-
montrer. Au cours de la guerre mondiale
39 d'officiers et 19 hommes de trou-
pe - sont tombés.
Ne Pas permettre à l'officier de porter
l'uniforme dans la rue. c'est manquer de
respect à l'uniforme, de même que d'exi-
ger la suppression des insignes du grade.
Si le sergent porte encore aujourd'hui ses
galons, l'officier doit au même titre être
autorisé à porter ses pattes d'épaule. Qu'on
ne s ,lne pas pouvoir, par de tels
moyens. mener le combat contre le prin-
cipe du militarisme. On ne combat une
idée que par une idée et non par d.eQ en-
fantillages. Pourquoi semer n par de<ï en-
fantillages Pourquoi semer la haine, alors
que la moisson de l'amour nous serait si
nécessaire dans la crise effroyable que nous
traversons ?
Nous 'pÕrtons le plus vif intérêt à l'or-
ganisation puissante de notre république et
nous sommes les ennemis irréductibles et
convaincus de la réaction. C'est pourquoi
nous disons tout haut au gouvernement et
au conseil des soldats : ne poussez pas de
force dans l'opposition politique l'élément
excellent et capable nue représente le corps
les officiers bavarois. Ne faites par le corps
à des hommes la peine d'un système qui a
à des hommes la peine d'tin ^ystème porter
dispatru, mais jugez-les dans la mesure ù
ils accOmplissent leur devoir. Nous avons
besoin de toutes nos forces pour notre
relèvement, et e 3.rt; .a république libre il
ne doit pas y avoir, il n'y aura pas de
parias ni de prose:'Ïts. - (Franz Endres)
Münchner eucsle Nachrichten, 14.1. )
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION ET MAIN-D'ŒUVRE
Allemagne : f) \!'\S LA NKGI0N DE COLOGNE.
devient Situation économique de l'industrie
devient charnu jour plus mauvaise ; les
causes résident dans l'arrêt de l'appro-
visionnement en charbon, en fer, et dans
l'impossibilité d'écouler les produits en
l'Allemagne non occupée. Les commandes
privées n'existent pour ainsi dire pas ;
peu de fabriques seulement sont chargées
des commandes de l'Etat. Lorsqu'on pou-
vait s'approvisionner librement en ma-
tières premières et lorsqu'en même temps
la circulation était possible dans toute l'Al-
lemagne, les fabriques pouvaient toujours
employer de nouveaux travailleurs. Ac-
tuellement. au contraire, on emploie beau-
coup plus d'ouvriers qu'il n'est, besoin. Une
fabrique de machines de Cologne, qui uti-
lise 2.700 ouvriers, a calculé que depuis
le 20.11.18 elle a payé seulement en sa-
laires 750.000 mk; elle estime qu'en janvier
ses dépenses en appointements ou salaires
attemaront un million de marks.
Les fabriques travaillent pour la plupart
avec leur stock et subissent les plus gran-
des perles. Les marchandises ne pouvant
être fabriquées qu'avec des produits de
substitution elles ne peuvent satisfaire
aux besoins du temps de paix et une
concurrence avec les futures marchandises
de paix ne peut être soutenue. Les frais
de revient, en • outre, ont tellement aug-
menté qu'il est impossible de songer à ren-
trer dans ses débours en écoulant plus
tard les marchandises. L'élévation des
salaires et l'augmentation du prix des ma-
tières premières ont gravement ébranlé la
résistance économique des fabriques. Peu
de changement sur le marché du travail
depuis le commencement de l'année. Le
nombre des sans-travail atteint environ
28.000. Il y avait 21.300 hommes sans tra-
vail le 2 janvier, 20.600 le 9. Pendant la
même période le nombre des femmes sans
travail s'est accru de 6.400 à 7.500 Dans
l'industrie de la tourbe on a besoin en-
core de 600 à 800 travailleurs ; une très
faible partie seulement des travailleurs
de l'industrie de la tourbe provient de la
région de Cologne.
Mais pour toutes les raisons connues,
il faut s'attendre jusqu'à la fin du mois
à l'augmentation du nombre des sans-tra-
vail, si une amélioration ne se fait pas
sentir dans l'approvisionnement en matiè-
res premières et dans les possibilités d'é-
coulement des produits.
Kolnische Volkszeitung. 12.1.
Amérique du Sud. — Les pays d'Améri-
que jadis favorisés par l'immigration eu-
ropéenne commencent à s'émouvoir de la
qllPc;'Înn de la main-d'œuvre européenne
après la guerre. L'activité fébrile des pays
européens en absorbera sans doute la plus
grande partie ; il se peut aussi que les
gouvernements européens prennent au su-
jet de l'enrcrraMnn des mesures prohibi-
tives. La République Argentine qui a be-
soin de la main-d'œuvre d'outre-Océan
pour ses cultures, se préoccupe beaucoup
de cette question. La presse argentine a
proposé de mobiliser la population ouvrière
des provinces dont les cultures n exigent
pas l'emploi de nombreux bras, au profit
de celles qui nécessitent une main-d'œuvre
abondante. Le problème de l'immigration
intéresse également l'Uruguay, quoique à
un moindre degré que l'Argentine. —
Dia [de Montevideo], 20.11.
FINANCES
Pays danubiens. — Sous le titre :
« Chaos POLITICO-FlNANCIER ». — De Tchéco-
Slovaquie nous arrive la nouvelle que
d'après un arrêté du ministre des Finan-
ces. Dr. Raschin, les emprunts de guerre
de la Banque Austro-Hongroise ne doi-
vent plus être garantis par le gouverne-
ment ; de Yougo-Slavie, on annonce, ou-
tre une interdiction d'importer et d'expor-
ter les couronnes, — et l'apposition d'un
cachet sur les billets de banque, — le
remplacement des couronnes par les di-
nars, — au taux de trois couronnes pour
un dinar. — Ce sont des mesures destinées
à placer ces Etats, au moment de la li-
quidation, dans une situation favorable en
ce qui concerne la question de l'étalon
monétaire et celle de la Dette publique ;
mais elles imposent aux citoyens de ces
Etats des sacrifices plus ou moins lourds.
La nouvelle (non encore confirmée il est
vrai) annonçant l'introduction du dinar
comme étalon monétaire, sur tout le ter-
ritoire de l'Etat sud-slave, mérite une at-
tention particulière. Le problème du pas-
sage à un nouvel étalon monétaire est
un des plus délicats qui soit Dès la chute
de la monarchie danubienne, la pensée vint
çà et là. dans les Etats nationaux, de se
débarrasser le plus tôt possible de la cou-
ronne discréditée pour passer à un nou-
vel étalon monétaire ; spécialement en
Tchéco-S'ovaquie, on annonce des plans de
ce genre. Dans ce dernier Etat, il est vrai,
on en vint vite à une opinion plus raison-
nable, et l'on reconnut que le moment
était particulièrement mal choisi pour opé-
rer une telle réforme.
D'autre part, les territoires tchéco-slo-
vaques se trouvent dans une situation po-
litique et monétaire tout à fait autre que
les territoires sud-slaves de l'ancienne mo-
narchie danubienne. Les premiers se tou-
vent tout entiers dans des régions où seule
la couronne a cours ; les seconds, au
contraire, depuis leur réunion à la Serbie
et au Montenegro, se trouvent dans un
Etat dont la monnaie légale est aussi le
dinar. Malgré les circonstances défavora-
bles, on a donc procédé en Yougo-Slavie à
une nouvelle réglementation. Pour les pos-
sesseurs de couronnes en Yougo-Slavie.
c'est un événement très pénible. Tout
comme l'élévation des Karageorgevitch
sur le trône de Yougo-Slavie, c'est là une
victoire des Serbes sur les Croates, une
victoire du dinar sur la couronne, bref
en un pays occupé le monnayage de l'an-
nexion au profit du vainqueur. Avec leur
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62166427/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62166427/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62166427/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62166427/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62166427
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62166427
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62166427/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest