Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-01-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 janvier 1919 21 janvier 1919
Description : 1919/01/21 (T11,N1051). 1919/01/21 (T11,N1051).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6216641t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRES DE LA GUERRE
Ob, - ET DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1051
Paris, 21 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
L'ARMISTICE
tre. - En vertu de la convention de l'ar-
mistice, on vit d'abord débarquer de petits
détachements anglais, puis, quer d€ d'une
interprétation plus large du terme « com-
mission de contrôle»,des régiments français
s'installèrent l'un après l'autre dans le fau-
bourg de Makrikoï. Les Allemands et les
Anglais vivaient en assez bons termes. Le
maréchal Liman allait prendre le thé chez
le général anglais Wilson à l'hôtel Pera
Palace et le protocole du salut fut établi
entre officiers allemands et anglais. Il est
vrai qu'à partir du 19 novembre
vrai qu'à partir du 19 novembre aucun. sol-
dat ne Pouvait plus se montrer en unifor-
me à Pera et ceux qui n'étaient pas encore
'-'-'Va,cué,, par transport de troupes, furent
concentrés à liai(lat'-I-->Iaelia sur la rive
asiatique. Le maréchal lui-même y est
resté ju5qu,à la fin du mois de novembre
pour diriger le rassemblement des troupes
qui n'avaient pas encore rejoint. 11 y avait
encore près de 10.000 hommes en ce mo-
ment-là en Turquie dont certaines frac-
tions, comme le groupe de Mossoul, avaient
à faire de nombreuses étapes pour attein-
dre la côte. Le transport eut lieu par la
mer Noire dans la direction de Nicolaiev,
d'où on atteignit au bout de huit jours
Brest-Litovsk, au milieu des jours
difficultés à 'tr ve rïït • P Us §randes
tion. Il faut signaler le fait que la disci-
pline des troupes allemandes en Turquie
était irréprochable, tandis que les troupes
autrichiennes constituaient déjà à Constan-
tinople et mettaient les Turcs dans
La colonie UIj les désarmer --
des jours parti~c LIl,~è r ement critiques ; à
la douleur causée par la détresse de la
patrie s'ajoutait encore l'inquiétude que
leur inspirait leur avenir, voire même la
sécurité de leur personne, car l'Entente
exigeait d'oélbord) impitoyablement que
les quatre milles personnes, y compris
les femmes, les enfants et les malades
fussent évacuées par la Russie. De plus les
communications avec la patrie étaient
tres dataient du milieu du mois d'octobre
et depuis le commencement de novembre,
le ttpeulle sortp la T. S. F. était supprimé;
de telle sorte qu'à mon départ, le 14 no-
vembre, personne ne savait que l'Allema-
gne était en révolution. Il est probable
que l'agence Stéfani, qui assurait alors le
service d'information, avait retardé toutes
les nouvelles de pe~r que le mouvement
bolcheviste ne fasse des ravages parmi les
troupes de l'Entente. D'abord on avait
l'intentïon du côté allemand de faire
duire tous les Allemands exerçant des fonc-
tions publiques à Nicolaïev, dans l'espoir
de sauver ainsi les Allemands domiciliés
depuis longtemps en Turquie. Cependant
les Turcs, contrairement à ce qui avait
été convenu, envoyèrent le navire d'abord
à Batoum si bien que l'évacuation par ba-
teau avant l'expiration du délai de trente
jours était devenue impossible. Ajoutez à
cela la situation peu sùre en Ukraine ;
pour cette raison on refusait d'emmener
en transport de troupes les civils qui n'ap-
partenaient pas à l'armée ; pourtant des
Allemandes en costume d'infirmières étaient
emmenées et même cachées dans les boxes
au milieu des chevaux, quand leurs pa-
piers n'étaient pas en règle. Ce qui est
certain, c'est que dans les premiers jours
- - .--., c'est que dans les premiers jours
de décembre personne en Ukraine ne sa-
vait ce que la colonie allemande était de-
venue ; il est difficile d'admettre, étant
donnée l'attitude de l'Entente jusqu'à pré-
sent, que les commerçants domiciliés de-
puis longtemps aient été autorisés à res-
ter. Espérons que l'évacuation par la Mé-
diterranée a été accordée et qu'on n'a
pas conduit ces gens en France dans un
camp de prisonniers, comme le Matin 1 a
annoncé dernièrement. - (Docteur Fes-
ter).
Frankfurter Zeitung, 11.1.
DEMOBILISATION
Grande-Bretagne. - Nous avons besoin
d'une armée solide. Comment pouvons-
nous nous procurer les hommes ? Il est
admis généralement que notre armée
d'après-guerre devrait être composée de vo-
lontaires, et le recrutement obligatoire a
cessé en fait. Mais, actuellement, il n'est
pas répondu largement à l'appel pour des
volontaires et on ne peut s'attendre à ce
que cela soit. D'ici douze mois il en sera
peut-être autrement ; bien des conscrits
consentiront peut-être à rentrer au service
comme volontaires. Mais aujourd'hui ils
veulent un changement, un congé, et ren-
trer quelque temps dans la vie civile. Les
hommes nécessaires ne peuvent être rete-
nus que par l'obligation. C'est donc l'affaire
des autorités militaires d'établir aussi ra-
pidement que possible le nombre d'hommes
qu'elles veulent, et quels seront ces hom-
mes. Leur choix doit se faire sur des prin-
cipes que l'armée reconnaît comme justes
Il faudra que - ces principes soient surtout
d'ordre militaire, et non économique C'est-
à-dire que les hommes à libérer soient ceux
qui ont servi le plus longtemps, qui ont
servi surtout au dehors, qui ont été blessés
et qui sont les plus âgés. C'est la seule ma-
nière de rétablir un moral sain parmi ceux
qui sont désignés pour rester. On ne peut
laisser de côté complètement la question
économique, mais on ne peut lui attribuer
le poids principal comme cela avait été fait
dans le plan primitif de démobilisation. La
principale garantie économique qu'on de-
virait, à notre avis, préserver à tout prix,
c'est la libération des « pivotai men ». Les
« slip men » appartiennent à une tout autre
catégorie. La priorité qu'on leur avait attri-
buée doit être remplacée maintenant par
une priorité basée sur les principes que
nous avons exposés.- (Ed.) Daily Chroni-
cle, 16.1.
- Le projet de Sir Eric Geddes répon-
drait aux réclamations de la justice et aux
convenances militaires et politiques. Il
faut l'expliquer complètement au public et
aux troupes sinon il pourrait causer autant
d'ennuis que les projets antérieurs. Si le
gouvernement veut dire franchement à la
nation ce qu'il veut, le pays et les soldats
s'y soumettront pendant l'armistice comme
ils l'ont fait pendant la guerre. — (Ed.)
Daily Express, 16.1.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne : LA CRISE DU CHARBON. — Le
ministère bavarois de prévoyance sociale
avait convoqué pour vendredi matin les
délégués des syndicats de patrons et d'ou-
vriers en vue d'étudier les moyens d'en-
rayer la crise des sans-travail et d'orga-
niser une action commune. Le secrétaire
du syndicat, Kurth, exposant la situation
actuelle du marché du travail et de la
classe- ouvrière a signalé le dernier rap-
port du commissaire du gouvernement pour
la démobilisation, et a ajouté que depuis
ce moment-là le nombre des sans-travail
qui était de 19.000 s'est élevé à 21.000.
Le commandant Kohlborn, traitant le
problème du charbon, a dit en résumé
ceci : La situation est navrante, l'arrivage
absolument insuffisant ; il n'y a pas lieu
d'espérer une amélioration en présence
des grèves et des troubles persistants.
Notre unique salut en Bavière, dit-il, est
d'avoir de nouveau recours à l'importation
du charbon de Bohême ; il est heureux de
constater que ce mouvement d'importation
a repris samedi dernier. Il arriverait de
500 à 700 tonnes par jour, cependant il fau-
drait porter l'arrivage quotidien à 2.000
tonnes au moins. La Saxe devrait elle aussi
exécuter ses engagements ; la semaine
prochaine une commission se rendrait dans
ce pays pour rappeler aux ouvriers les
obligations à ce sujet.
Münchner Neueste Nachrichten, 11.1, édi-
tion du matin.
RAPPORTS ECONOMIQUES
Grande-Bretagne et Grèce. — « L'UNION
DES INDUSTRIES BRITANNIQUES » a l'intention
d'organiser à Athènes, pour le printemps,
une grande exposition où figureront tous
les produits en tout genre des industries
Ob, - ET DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 1051
Paris, 21 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
L'ARMISTICE
tre. - En vertu de la convention de l'ar-
mistice, on vit d'abord débarquer de petits
détachements anglais, puis, quer d€ d'une
interprétation plus large du terme « com-
mission de contrôle»,des régiments français
s'installèrent l'un après l'autre dans le fau-
bourg de Makrikoï. Les Allemands et les
Anglais vivaient en assez bons termes. Le
maréchal Liman allait prendre le thé chez
le général anglais Wilson à l'hôtel Pera
Palace et le protocole du salut fut établi
entre officiers allemands et anglais. Il est
vrai qu'à partir du 19 novembre
vrai qu'à partir du 19 novembre aucun. sol-
dat ne Pouvait plus se montrer en unifor-
me à Pera et ceux qui n'étaient pas encore
'-'-'Va,cué,, par transport de troupes, furent
concentrés à liai(lat'-I-->Iaelia sur la rive
asiatique. Le maréchal lui-même y est
resté ju5qu,à la fin du mois de novembre
pour diriger le rassemblement des troupes
qui n'avaient pas encore rejoint. 11 y avait
encore près de 10.000 hommes en ce mo-
ment-là en Turquie dont certaines frac-
tions, comme le groupe de Mossoul, avaient
à faire de nombreuses étapes pour attein-
dre la côte. Le transport eut lieu par la
mer Noire dans la direction de Nicolaiev,
d'où on atteignit au bout de huit jours
Brest-Litovsk, au milieu des jours
difficultés à 'tr ve rïït • P Us §randes
tion. Il faut signaler le fait que la disci-
pline des troupes allemandes en Turquie
était irréprochable, tandis que les troupes
autrichiennes constituaient déjà à Constan-
tinople et mettaient les Turcs dans
La colonie UIj les désarmer --
des jours parti~c LIl,~è r ement critiques ; à
la douleur causée par la détresse de la
patrie s'ajoutait encore l'inquiétude que
leur inspirait leur avenir, voire même la
sécurité de leur personne, car l'Entente
exigeait d'oélbord) impitoyablement que
les quatre milles personnes, y compris
les femmes, les enfants et les malades
fussent évacuées par la Russie. De plus les
communications avec la patrie étaient
tres dataient du milieu du mois d'octobre
et depuis le commencement de novembre,
le ttpeulle sortp la T. S. F. était supprimé;
de telle sorte qu'à mon départ, le 14 no-
vembre, personne ne savait que l'Allema-
gne était en révolution. Il est probable
que l'agence Stéfani, qui assurait alors le
service d'information, avait retardé toutes
les nouvelles de pe~r que le mouvement
bolcheviste ne fasse des ravages parmi les
troupes de l'Entente. D'abord on avait
l'intentïon du côté allemand de faire
duire tous les Allemands exerçant des fonc-
tions publiques à Nicolaïev, dans l'espoir
de sauver ainsi les Allemands domiciliés
depuis longtemps en Turquie. Cependant
les Turcs, contrairement à ce qui avait
été convenu, envoyèrent le navire d'abord
à Batoum si bien que l'évacuation par ba-
teau avant l'expiration du délai de trente
jours était devenue impossible. Ajoutez à
cela la situation peu sùre en Ukraine ;
pour cette raison on refusait d'emmener
en transport de troupes les civils qui n'ap-
partenaient pas à l'armée ; pourtant des
Allemandes en costume d'infirmières étaient
emmenées et même cachées dans les boxes
au milieu des chevaux, quand leurs pa-
piers n'étaient pas en règle. Ce qui est
certain, c'est que dans les premiers jours
- - .--., c'est que dans les premiers jours
de décembre personne en Ukraine ne sa-
vait ce que la colonie allemande était de-
venue ; il est difficile d'admettre, étant
donnée l'attitude de l'Entente jusqu'à pré-
sent, que les commerçants domiciliés de-
puis longtemps aient été autorisés à res-
ter. Espérons que l'évacuation par la Mé-
diterranée a été accordée et qu'on n'a
pas conduit ces gens en France dans un
camp de prisonniers, comme le Matin 1 a
annoncé dernièrement. - (Docteur Fes-
ter).
Frankfurter Zeitung, 11.1.
DEMOBILISATION
Grande-Bretagne. - Nous avons besoin
d'une armée solide. Comment pouvons-
nous nous procurer les hommes ? Il est
admis généralement que notre armée
d'après-guerre devrait être composée de vo-
lontaires, et le recrutement obligatoire a
cessé en fait. Mais, actuellement, il n'est
pas répondu largement à l'appel pour des
volontaires et on ne peut s'attendre à ce
que cela soit. D'ici douze mois il en sera
peut-être autrement ; bien des conscrits
consentiront peut-être à rentrer au service
comme volontaires. Mais aujourd'hui ils
veulent un changement, un congé, et ren-
trer quelque temps dans la vie civile. Les
hommes nécessaires ne peuvent être rete-
nus que par l'obligation. C'est donc l'affaire
des autorités militaires d'établir aussi ra-
pidement que possible le nombre d'hommes
qu'elles veulent, et quels seront ces hom-
mes. Leur choix doit se faire sur des prin-
cipes que l'armée reconnaît comme justes
Il faudra que - ces principes soient surtout
d'ordre militaire, et non économique C'est-
à-dire que les hommes à libérer soient ceux
qui ont servi le plus longtemps, qui ont
servi surtout au dehors, qui ont été blessés
et qui sont les plus âgés. C'est la seule ma-
nière de rétablir un moral sain parmi ceux
qui sont désignés pour rester. On ne peut
laisser de côté complètement la question
économique, mais on ne peut lui attribuer
le poids principal comme cela avait été fait
dans le plan primitif de démobilisation. La
principale garantie économique qu'on de-
virait, à notre avis, préserver à tout prix,
c'est la libération des « pivotai men ». Les
« slip men » appartiennent à une tout autre
catégorie. La priorité qu'on leur avait attri-
buée doit être remplacée maintenant par
une priorité basée sur les principes que
nous avons exposés.- (Ed.) Daily Chroni-
cle, 16.1.
- Le projet de Sir Eric Geddes répon-
drait aux réclamations de la justice et aux
convenances militaires et politiques. Il
faut l'expliquer complètement au public et
aux troupes sinon il pourrait causer autant
d'ennuis que les projets antérieurs. Si le
gouvernement veut dire franchement à la
nation ce qu'il veut, le pays et les soldats
s'y soumettront pendant l'armistice comme
ils l'ont fait pendant la guerre. — (Ed.)
Daily Express, 16.1.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Allemagne : LA CRISE DU CHARBON. — Le
ministère bavarois de prévoyance sociale
avait convoqué pour vendredi matin les
délégués des syndicats de patrons et d'ou-
vriers en vue d'étudier les moyens d'en-
rayer la crise des sans-travail et d'orga-
niser une action commune. Le secrétaire
du syndicat, Kurth, exposant la situation
actuelle du marché du travail et de la
classe- ouvrière a signalé le dernier rap-
port du commissaire du gouvernement pour
la démobilisation, et a ajouté que depuis
ce moment-là le nombre des sans-travail
qui était de 19.000 s'est élevé à 21.000.
Le commandant Kohlborn, traitant le
problème du charbon, a dit en résumé
ceci : La situation est navrante, l'arrivage
absolument insuffisant ; il n'y a pas lieu
d'espérer une amélioration en présence
des grèves et des troubles persistants.
Notre unique salut en Bavière, dit-il, est
d'avoir de nouveau recours à l'importation
du charbon de Bohême ; il est heureux de
constater que ce mouvement d'importation
a repris samedi dernier. Il arriverait de
500 à 700 tonnes par jour, cependant il fau-
drait porter l'arrivage quotidien à 2.000
tonnes au moins. La Saxe devrait elle aussi
exécuter ses engagements ; la semaine
prochaine une commission se rendrait dans
ce pays pour rappeler aux ouvriers les
obligations à ce sujet.
Münchner Neueste Nachrichten, 11.1, édi-
tion du matin.
RAPPORTS ECONOMIQUES
Grande-Bretagne et Grèce. — « L'UNION
DES INDUSTRIES BRITANNIQUES » a l'intention
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