Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1919-01-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 janvier 1919 08 janvier 1919
Description : 1919/01/08 (T11,N1040). 1919/01/08 (T11,N1040).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62166301
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
NISTÈRES DE LA GUKRRE
ET DES
AFFAlRES ÉTRANGÈRES
1 N° 1040
l'avis, 8 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
DEMOBILISATION
Demobilisation et révolution [sous ce
titre. Lettre d'un membre du conseil d-es
soldats de la 87e D. 1. - Il est faux de
prétendre Comme le fait un éditorial de la
Frankturter Zeilun 'q (12.12. édit du soir) que
si la dérùobili-sati on s'effectue sans heurts,
c'est la Révolution qui en a tout le mé-
rite. L'abandon des approvisionnements du
front du
front d'une valeur de plusieurs milliards, le
pillage des agasins de vivres et des d)4--
Pôts d'armes abandonnés par leurs gar..
dien:s. l'évacuation des troupes rendue im-
Possible par suite du manque de matériel
et l'engorgement des voies dans la zone
des ,étapes. la prise par l'ennemi d'une mul-
titude d'hommes et de chevaux, de quantité
de matériel qui ne pouvaient plus être
transportés, voilà le mérite de la Revolu-
tion! Qui dit dans l'Ouest dit aussi dans
l'Est! l,es magasins PilltéS' 5.000 locomoti-
ves et 130.000 wagons tombés aux mains
des Polonais, la dislocation ,~pontanée des
troupes et les chevaux de formations en-
la Révoluti~on! - Si cependant les troupes
ont pu être ramenées en arrière, si ce n'a
pas été le chaos complet, c'est à notre
Hindenburg seul que nous le devons, à
Hindenburg qu'en rl~compe~se de son sa-
crifice Kurt de 8011 sa"
vière, attaque grossièrement. sans que le
«gouvernement » jugé necessaire de le
prendre sous sa protection. Voilà le mérite
de la Révolution! Qu'elle sache que la ran-
cune des soldats du front est grande!
Camarades du front Si malgré la Révo-
lution. la démobilisation a pu suivre son
cours, le mérite en revient à ceux d'entre
vous qui ont maintenu, l'ordre et la disci-
pline. qui comme aux ordres de leurs su-
Périeurs comme tout bon Sloldat doit le
faire. Après quatre ans abw sei?ce-nous trou-
vons la notre pays, notre S 16 bouleversê
Par la Révolution sommes menacés
Par elle de perdre înl on mm ^s menacés
par elle de perdre le bénéfice du bonheur
qu'au retour nous attendions au foyer. Ca-
marades, nous exigeons que l'ordre et la
paix soient rélablis au plus vite dnns notre
pays, et par ceux-là même qui les ont dé-
truits. Nous avons appris dans les com-
bats, avec la mort sur nos têtes à pren-
dre des décisions et à le-5 exécuter avec
énergie.
München-Augsburger Abendzeitung,27.12
PERTES
Les officiers allemands ont été exposés
pendant quatre ans à tous les dangers de
la gtierre ; ils les Ont supportés ave,~ leurs
hommes. Plus de^^O^ÀlHq1? m— de l'armée
active, C'est-à-dire plus de 39.2 pour cent
de l'effectif (qui comptait 34.351 officiers)
sont tombees, environ 940 sont disparus.,
dont la mort n'a pu être établie. Les offi-
ciers de réserve et de territoriale sont tom-
bés eux aussi en grand nombre. Parmi les
officiers supérieurs, il n'y a pas moins de
150 généraux, 146 colonels, 275 lieutenants-
colonels, 937 commandants tués à l'ennemi.
Il ne faut pas oublier cela si l'on veut ap-
précier avec justice les sentiments de ceux
qui survivent. Près de 1.500 officiers supé-
rieurs qui déjà n'étaient plus en activité,
ont donné leur vie au pays. Ce sont là des
chiffres dont tout homme raisonnable doit
tenir compte. — Deutsche Allgemeine ZeL
tung, 27.12.
———
QUESTIONS ECONOMIQUES
AVENIR ECONOMIQUE
Allemagne. - Sous le titre : « RETOUR
AU TRAVAIL ». - En fait de capital, les
puissances ennemies ne nous laisseront
pas grand chose ; même si les désirs des
impérialistes anglais et français ne se réa-
lisaient pas, le peuple allemand serait es-
sentiellement réduit au produit de son tra-
vail. Pendant de longues années le tra-
vail constituera à peu près notre unique ri-
chesse. C'est pourquoi il ne s'agit de rien de
moins que d'obtenir du travail le maximum
de rendement possible. Il faut bien recon-
naître que dans cette organisation il sera
jusqu'à un certain point nécessaire de mo-
difier la production. Le seul fait que de
nombreuses matières premières font dé-
faut, empêche la complète reprise du tra-
vail dans toute une série d'entreprises in-
dustrielles. De plus pour des raisons fa-
ciles à comprendre, la production sera li-
mitée sensiblement pour l'exportation, du
moins pendant un certain temps. Voilà
pourquoi il faut absolument pousser le tra-
vail au plus haut degré de perfectionne-
ment partcrut où l'on ne se heurte pas à
ces difficultés.
Le sol, voilà la source intarissable de
toute richesse nationale. C'est cette vérité
que nous devons nous rappeler.' A ce sujet
nous entrevoyons des perspectives pleines
de promesses. Les colonies n'entrent pas
en ligne de compte pendant les années
qui vont venir. L'importation continuera
à être limitée. Aussi s'agit-il d'arracher au
sol du pays les trésors dont nous aurons
besoin pour notre vie dans le sens le
plus large. Les hommes autorisés sont una-
nimes à déclarer que nous pouvons encore
accroître considérablement la production
agricole même au delà de la mesure que
nous avions atteinte avant la guerce. C'est
par là qu'il faut commencer. Tous les tra-
vailleurs en excédent dans les grandes vil-
les, doivent maintenant Se rendre à la cam-
pagne. Le règlement concernant les domes-
tiques est supprimé, les ouvriers agricoles
jouissent de la même liberté de se syndi-
quer que les ouvriers d'usine. U va de soi
que les ouvriers Agricoles seront rétribués
convenablement, traites et logés de même.
Quant au fermier. il laut qu il ait la cer-
titude de récolter les fruits de son travail,
qu'il se mette bien dans la tête qu'il doit
travailler désormais autrement que par le
passé, que la culture la plus intensive est
nécessaire pour produire les aliments indis-
pensables pour donner la force physique
aux ouvriers. Si l'on ajoute à cela le - défri-
chage de terrains marécageux non cultives,
on n'exagérera pas en déclarant que le
pays a besoin non pas de centaines de mil-
liers mais de millions d'ouvriers. A me-
sure que l'agriculture sera poussée d'une
façon plus intensive, de nombreuses for-
ces utilisées dans l'industrie pourront tout
naturellement compter sur un travail ré-
munérateur. Quand la campagne aura be-
soin de machines neuves, quand il faudra
assurer le logement et l'équipement des
nouveaux travailleurs, les cheminées des
usines commenceront de nouveau à lancer
leur panache de fumée.
Un peuple laborieux comme le peuple
allemand l'a été jusqu'ici ne peut pas périr.
Quelque noires que soient les ombres qui
flottent sur son avenir, il pourra toujours
par son travail arriver à une situation plus
aisée, pourvu qu'il considère, comme par
le passé, le travail comme l'unique moyen
et comme le moyen suffisant pour amélio-
rer son sort. — Il n'est peut-être pas
facile pour l'individu den arriver à cette
conception au milieu d'une période agitée
par de violentes passions, mais il n'y a
pas d'autre remède que le travail. C'est
pourquoi le retour au travail, voilà aujour-
d'hui le premier devoir de tout Allemand
capable de travailler ; ce devoir doit même
être placé au-dessus du souci de la forme
que l'Etat national prendra dans l'avenir.
(Dr Paul Michaëlis).
Berliner Tageblatt, 27.12.
RAPPORTS ECONOMIQUES
L'Autriche allemande et le Zotiverein. —
Une union douanière de l'Autriche alle-
mande avec les nouveaux Etats nos voi-
sins, voilà la formule du jour. Ce projet
est-il réalisable ? Une union douanière
comporterait nécessairement une entente
non seulement sur les tarifs douaniers, ce
qui serait déjà difficile, vu la diversité des
intérêts économiques des divers pays inté-
ressés, mais encore une unification des im-
pôts indirects, des lois de protection et d'as-
surances ouvrières, et même, comme nous
marchons vers une étatisation de l'indus,
trie, une unification des mesures quotidien-
nes d'administration que réclame la vie
économique collectiviste. Autant de projets
et d'accords à soumettre à sept gouverne-
ments différents et à faire approuver par
sept départements différents ! Il est évident
que c'est impossible. L'unité du domaine
ET DES
AFFAlRES ÉTRANGÈRES
1 N° 1040
l'avis, 8 janvier 1919.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
DEMOBILISATION
Demobilisation et révolution [sous ce
titre. Lettre d'un membre du conseil d-es
soldats de la 87e D. 1. - Il est faux de
prétendre Comme le fait un éditorial de la
Frankturter Zeilun 'q (12.12. édit du soir) que
si la dérùobili-sati on s'effectue sans heurts,
c'est la Révolution qui en a tout le mé-
rite. L'abandon des approvisionnements du
front du
front d'une valeur de plusieurs milliards, le
pillage des agasins de vivres et des d)4--
Pôts d'armes abandonnés par leurs gar..
dien:s. l'évacuation des troupes rendue im-
Possible par suite du manque de matériel
et l'engorgement des voies dans la zone
des ,étapes. la prise par l'ennemi d'une mul-
titude d'hommes et de chevaux, de quantité
de matériel qui ne pouvaient plus être
transportés, voilà le mérite de la Revolu-
tion! Qui dit dans l'Ouest dit aussi dans
l'Est! l,es magasins PilltéS' 5.000 locomoti-
ves et 130.000 wagons tombés aux mains
des Polonais, la dislocation ,~pontanée des
troupes et les chevaux de formations en-
la Révoluti~on! - Si cependant les troupes
ont pu être ramenées en arrière, si ce n'a
pas été le chaos complet, c'est à notre
Hindenburg seul que nous le devons, à
Hindenburg qu'en rl~compe~se de son sa-
crifice Kurt de 8011 sa"
vière, attaque grossièrement. sans que le
«gouvernement » jugé necessaire de le
prendre sous sa protection. Voilà le mérite
de la Révolution! Qu'elle sache que la ran-
cune des soldats du front est grande!
Camarades du front Si malgré la Révo-
lution. la démobilisation a pu suivre son
cours, le mérite en revient à ceux d'entre
vous qui ont maintenu, l'ordre et la disci-
pline. qui comme aux ordres de leurs su-
Périeurs comme tout bon Sloldat doit le
faire. Après quatre ans abw sei?ce-nous trou-
vons la notre pays, notre S 16 bouleversê
Par la Révolution sommes menacés
Par elle de perdre înl on mm ^s menacés
par elle de perdre le bénéfice du bonheur
qu'au retour nous attendions au foyer. Ca-
marades, nous exigeons que l'ordre et la
paix soient rélablis au plus vite dnns notre
pays, et par ceux-là même qui les ont dé-
truits. Nous avons appris dans les com-
bats, avec la mort sur nos têtes à pren-
dre des décisions et à le-5 exécuter avec
énergie.
München-Augsburger Abendzeitung,27.12
PERTES
Les officiers allemands ont été exposés
pendant quatre ans à tous les dangers de
la gtierre ; ils les Ont supportés ave,~ leurs
hommes. Plus de^^O^ÀlHq1? m— de l'armée
active, C'est-à-dire plus de 39.2 pour cent
de l'effectif (qui comptait 34.351 officiers)
sont tombees, environ 940 sont disparus.,
dont la mort n'a pu être établie. Les offi-
ciers de réserve et de territoriale sont tom-
bés eux aussi en grand nombre. Parmi les
officiers supérieurs, il n'y a pas moins de
150 généraux, 146 colonels, 275 lieutenants-
colonels, 937 commandants tués à l'ennemi.
Il ne faut pas oublier cela si l'on veut ap-
précier avec justice les sentiments de ceux
qui survivent. Près de 1.500 officiers supé-
rieurs qui déjà n'étaient plus en activité,
ont donné leur vie au pays. Ce sont là des
chiffres dont tout homme raisonnable doit
tenir compte. — Deutsche Allgemeine ZeL
tung, 27.12.
———
QUESTIONS ECONOMIQUES
AVENIR ECONOMIQUE
Allemagne. - Sous le titre : « RETOUR
AU TRAVAIL ». - En fait de capital, les
puissances ennemies ne nous laisseront
pas grand chose ; même si les désirs des
impérialistes anglais et français ne se réa-
lisaient pas, le peuple allemand serait es-
sentiellement réduit au produit de son tra-
vail. Pendant de longues années le tra-
vail constituera à peu près notre unique ri-
chesse. C'est pourquoi il ne s'agit de rien de
moins que d'obtenir du travail le maximum
de rendement possible. Il faut bien recon-
naître que dans cette organisation il sera
jusqu'à un certain point nécessaire de mo-
difier la production. Le seul fait que de
nombreuses matières premières font dé-
faut, empêche la complète reprise du tra-
vail dans toute une série d'entreprises in-
dustrielles. De plus pour des raisons fa-
ciles à comprendre, la production sera li-
mitée sensiblement pour l'exportation, du
moins pendant un certain temps. Voilà
pourquoi il faut absolument pousser le tra-
vail au plus haut degré de perfectionne-
ment partcrut où l'on ne se heurte pas à
ces difficultés.
Le sol, voilà la source intarissable de
toute richesse nationale. C'est cette vérité
que nous devons nous rappeler.' A ce sujet
nous entrevoyons des perspectives pleines
de promesses. Les colonies n'entrent pas
en ligne de compte pendant les années
qui vont venir. L'importation continuera
à être limitée. Aussi s'agit-il d'arracher au
sol du pays les trésors dont nous aurons
besoin pour notre vie dans le sens le
plus large. Les hommes autorisés sont una-
nimes à déclarer que nous pouvons encore
accroître considérablement la production
agricole même au delà de la mesure que
nous avions atteinte avant la guerce. C'est
par là qu'il faut commencer. Tous les tra-
vailleurs en excédent dans les grandes vil-
les, doivent maintenant Se rendre à la cam-
pagne. Le règlement concernant les domes-
tiques est supprimé, les ouvriers agricoles
jouissent de la même liberté de se syndi-
quer que les ouvriers d'usine. U va de soi
que les ouvriers Agricoles seront rétribués
convenablement, traites et logés de même.
Quant au fermier. il laut qu il ait la cer-
titude de récolter les fruits de son travail,
qu'il se mette bien dans la tête qu'il doit
travailler désormais autrement que par le
passé, que la culture la plus intensive est
nécessaire pour produire les aliments indis-
pensables pour donner la force physique
aux ouvriers. Si l'on ajoute à cela le - défri-
chage de terrains marécageux non cultives,
on n'exagérera pas en déclarant que le
pays a besoin non pas de centaines de mil-
liers mais de millions d'ouvriers. A me-
sure que l'agriculture sera poussée d'une
façon plus intensive, de nombreuses for-
ces utilisées dans l'industrie pourront tout
naturellement compter sur un travail ré-
munérateur. Quand la campagne aura be-
soin de machines neuves, quand il faudra
assurer le logement et l'équipement des
nouveaux travailleurs, les cheminées des
usines commenceront de nouveau à lancer
leur panache de fumée.
Un peuple laborieux comme le peuple
allemand l'a été jusqu'ici ne peut pas périr.
Quelque noires que soient les ombres qui
flottent sur son avenir, il pourra toujours
par son travail arriver à une situation plus
aisée, pourvu qu'il considère, comme par
le passé, le travail comme l'unique moyen
et comme le moyen suffisant pour amélio-
rer son sort. — Il n'est peut-être pas
facile pour l'individu den arriver à cette
conception au milieu d'une période agitée
par de violentes passions, mais il n'y a
pas d'autre remède que le travail. C'est
pourquoi le retour au travail, voilà aujour-
d'hui le premier devoir de tout Allemand
capable de travailler ; ce devoir doit même
être placé au-dessus du souci de la forme
que l'Etat national prendra dans l'avenir.
(Dr Paul Michaëlis).
Berliner Tageblatt, 27.12.
RAPPORTS ECONOMIQUES
L'Autriche allemande et le Zotiverein. —
Une union douanière de l'Autriche alle-
mande avec les nouveaux Etats nos voi-
sins, voilà la formule du jour. Ce projet
est-il réalisable ? Une union douanière
comporterait nécessairement une entente
non seulement sur les tarifs douaniers, ce
qui serait déjà difficile, vu la diversité des
intérêts économiques des divers pays inté-
ressés, mais encore une unification des im-
pôts indirects, des lois de protection et d'as-
surances ouvrières, et même, comme nous
marchons vers une étatisation de l'indus,
trie, une unification des mesures quotidien-
nes d'administration que réclame la vie
économique collectiviste. Autant de projets
et d'accords à soumettre à sept gouverne-
ments différents et à faire approuver par
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