Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-12-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 décembre 1918 28 décembre 1918
Description : 1918/12/28 (N1031). 1918/12/28 (N1031).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6449782b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Itères DE LA GUERRE
ET DES
AFFAIRES étrangères
N° 1031
Paris. 28 décembre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Les Italiens en Orient. — De Salonique,
17 décembre : Le général Ernest Mombelli,
commandant en chef du corps d'expédition
italien en Orient, m'a exposé rapidement
la grande œuvre de guerre accomplie par
ses troupes qui ont fait face à l'ennemi le
plus fort qu'il y eût en Orient, c'est-à-dire
aux Allemands et qui, bien que désignées
officiellement sous le nom de division ita-
lienne, se sont élevées à l'effectif d'un corps
d'armée avec tous les services correspon-
dants. L'Italie, toujours fidèle à ses enga-
gements, a constamment maintenu ses con-
tingents au complet, ce que n'ont toujours
Pu faire tous les alliés. Une brîgade ita-
lienne a pris une part importante à la prise
de Monastir. mais son action fut à peine
mentionnée; c'est le mauvais lot qui échoit
souvent aux troupes en sous-ordre. Ensuite
le secteur le plus dur du front occidental
macédonien, celui de la fameuse cote 1050,
fut confié alUIX Italiens en face des troupes
allemandes dont les lignes, sur certains
points dominaient les nôtres de 17 mètres.
Notre admirable artillerie de montagne
fut solidement renforcée par de l'artillerie
française dont le concours fut au-dessus de
tout éloge. Nous restâmes sur cette position
durant un an et demi et nos troupes firent
preuve de la plus noble endurance. Au mo-
ment de l'offensive, nous eûmes d'abord à
faire une action démonstrative très énergi-
que empêchant l'ennemi de secourir son
aile gauche enfoncée par les Serbes, puis
une marche sur Prilep; avant d'y arriver,
conversion à gauche pour passer le massif
de la Baba Planina, presque sans che-
mins, en brisant la résistance acharnée des
arrière-gardes ; aux défilés de Sop et
de Plasnica, les Italiens se sont heur-
tés à huit régiments bulgares et le mou-
vement allait se terminer par une ac-
tion décisive quand l'armistice a suspendu
les hostilités. Nous sommes maintenant en
Bulgarie où nos troupes ont été très bien
reçues. (Arnaldo Cipolla) Gazzetta del Po-
Polo, 3 12
PERTES
Allemagne. — Les Politisch Parlamenta-
rischen Nachrichten donnent sur les pertes
allemandes jusqu'au 30 novembre 1918 les
chiffres authentiques suivants : 1.600.000
morts, 203.000 disparus 618.000 prisonniers.
4.064.000 blessés, 8.500 officiers tués. No-
1re correspondant de Berlin nous apprend,
de source officielle, que le nombre des offi-
ciers allemands, blessés, aveugles ou in-
firmes, dépasse 200.000. Quelques-uns de ces
officiers ont été blessés plus de cinq fois.
Leipziger Neueste Nachrichten, 18.12.
——— le ———
wu SrlüNS ÉCONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
Les travailleurs italiens en France. -
Une statistique des plus impressionnantes
serait celle des Italiens qui, émigrés en
France pour y trouver du travail, ont dû
finir par devenir citoyens français parce
que, en butte à l'hostilité du proléta-
riat français qui voyait en eux des concur-
rents très redoutables et un obstacle à la
hausse des salaires, ils étaient pris dans ce
dilemme : ou subir le mépris et la haine, ou
chercher, de toutes façons et le plus rapide-
ment possible à effacer la tache de leur na-
tionalité. La France réalisait ainsi un tri-
ple profit : main-d'œuvre excellente, rétri-
bution minime, courant de repopulation.
L'Italie veut que tout cela n'arrive plus ni
en France, ni ailleurs. Les ouvriers italiens
doivent être considérés comme une force
italienne de précieuse collaboration. 11 est
bon que l'énergique affirmation du prin-
cipe parte du gouvernement italien et que le
gouvernement français l'accepte au nom de
ce droit de la dignité humaine auquel les
Français font constamment appel. Le pro-
létariat français lui-même a le devoir d'exi-
ger qu'il n'arrive plus qu'un seul itaLien,
pour vivre et travailler en France, doive,
tôt ou tard, renoncer à sa nationalité ou y
faire renoncer ses fils. Donnons donc tout
notre appui au programme du gouverne-
ment qui, pour la première fois, pose aux
pays qui ont besoin de notre main-d'œuvre
toutes les conditions nécessaires à défendre
l'italianité juridique, intellectuelle et lin-
guistique des travailleurs italiens. Des éco-
les italiennes devront pulluler auprès des
usines, des centres miniers, dans les ré-
gions agricoles où les Italiens travaillent. —
(Paolo Orano) Popolo d'Italia, 25.12.
AVENIR ECONOMIQUE
France. — LES INDUSTRIES DÉTRUITES : Le
Président Wilson, semble-t-il, nous a dé-
fendu même de parler d' « une guerre éco-
nomique après la guerre ». Mais la situation
réelle est que l'Allemagne s'est emparée
des industries de France ou les a détruites,
et qu'elle est en mesure de mettre en mou
vement des machines françaises, par le moyen
de moteurs français, pour tenter de recon-
quérir économiquement l'univers. Quelle est
l'intention des Alliés ? Une indemnité mo-
nétaire, c'est assez clair, ne peut dans l'es-
pèce faire face à la situation. Les Alliés
vont-ils insister pour que les industries
françaises soient remontées par les usines
allemandes ? Cela nous semblerait être pure
justice. — (Ed.) Morning Post, 23.12.
——— ———
PULl fltlU E GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
ORIGINES ET RESPONSABILITES
DE LA GUERRE
Les responsabilités de l'Allemagne. —
C'est avec une indignation légitime que le
peuple français et le peuple anglais ont con-
damné l'attitude des soviets russes qui, il y
a un an environ, ont livré à la publicité,
sans demande prealable, les traités secrets
conclus avec les anciens alliés de la Rus-
sie. Nos ennemis ne doivent pas avoir chan-
gé d'opinion sur cette question, bien que
pour des raisons de tactique et d'égoïsme
national, ils verraient avec plaisir aujour-
d'hui Berlin eL Vienne s'accuser récipro-
quement. Les événements les plus récents
ont montré l'inutilité de pareils procédés.
De plus, les lois de la politique internatio-
nale exigent que les documents qui con-
cernent la guerre entreprise en commun par
les puissances de la Quadruplice ne doivent
être publiés qu'après une entente de toutes
les puissancs intéressées. A mon avis, l'heu-
re de cette publication n'a pas encore son-
né. Les faits essentiels sont depuis long-
temps connus dans la plupart des pays et
chacun en Allemagne peut se mettre au cou-
rant par la lecture des livres, de différentes
couleurs, qu'il est facile de se procurer. La
publication complète des documents, après
la signature de la paix, sera précieuse aux
historiens. Elle ne se limitera pas, nous
l'espérons bien, aux chancelleries alleman-
de et austro-hongroise. Le livre bloc an-
glais donne dès maintenant des renseigne-
ments à peu près complets : le livre jaune
français a besoin de quelques éclaircisse-
ments ; le petit livre orange russe est vrai-
ment insuffisant. Les partisans de Lenine
ne se souciaient pas de la vérité objective
historique. Ils n'ont songé qu'à servir leurs
buts politiques et ils n'ont autant dire ap-
porté aucune contribution à l'histoire de
la période critique des treize jours. Mais
c'est une toute autre question que celle de
savoir, si nous ne pourrions pas discuter
ouvertement en Allemagne sur les choses
que le monde entier connaît depuis long-
temps, aussi bien nos ennemis que les neu-
tres. Une grande partie du peuple allemand
se trouve dans la situation d'un accusé, qui
ne sait pas de quoi on l'accuse.
Cette situation, indigne d'un peuple ci-
vilisé, fait qu'il lui est très difficile de se
défendre d'accusations injustifiées. Il est
impossible par exemple de ne pas repro-
cher à tort à l'Allemagne d'avoir voulu une
guerre de conquête, si l'on maintient la
légende de l'attaque brusquée. Mais si l'on
avoue franchement qu'une action était pro-
jetée contre la Serbie et que « par suite
ET DES
AFFAIRES étrangères
N° 1031
Paris. 28 décembre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
Les Italiens en Orient. — De Salonique,
17 décembre : Le général Ernest Mombelli,
commandant en chef du corps d'expédition
italien en Orient, m'a exposé rapidement
la grande œuvre de guerre accomplie par
ses troupes qui ont fait face à l'ennemi le
plus fort qu'il y eût en Orient, c'est-à-dire
aux Allemands et qui, bien que désignées
officiellement sous le nom de division ita-
lienne, se sont élevées à l'effectif d'un corps
d'armée avec tous les services correspon-
dants. L'Italie, toujours fidèle à ses enga-
gements, a constamment maintenu ses con-
tingents au complet, ce que n'ont toujours
Pu faire tous les alliés. Une brîgade ita-
lienne a pris une part importante à la prise
de Monastir. mais son action fut à peine
mentionnée; c'est le mauvais lot qui échoit
souvent aux troupes en sous-ordre. Ensuite
le secteur le plus dur du front occidental
macédonien, celui de la fameuse cote 1050,
fut confié alUIX Italiens en face des troupes
allemandes dont les lignes, sur certains
points dominaient les nôtres de 17 mètres.
Notre admirable artillerie de montagne
fut solidement renforcée par de l'artillerie
française dont le concours fut au-dessus de
tout éloge. Nous restâmes sur cette position
durant un an et demi et nos troupes firent
preuve de la plus noble endurance. Au mo-
ment de l'offensive, nous eûmes d'abord à
faire une action démonstrative très énergi-
que empêchant l'ennemi de secourir son
aile gauche enfoncée par les Serbes, puis
une marche sur Prilep; avant d'y arriver,
conversion à gauche pour passer le massif
de la Baba Planina, presque sans che-
mins, en brisant la résistance acharnée des
arrière-gardes ; aux défilés de Sop et
de Plasnica, les Italiens se sont heur-
tés à huit régiments bulgares et le mou-
vement allait se terminer par une ac-
tion décisive quand l'armistice a suspendu
les hostilités. Nous sommes maintenant en
Bulgarie où nos troupes ont été très bien
reçues. (Arnaldo Cipolla) Gazzetta del Po-
Polo, 3 12
PERTES
Allemagne. — Les Politisch Parlamenta-
rischen Nachrichten donnent sur les pertes
allemandes jusqu'au 30 novembre 1918 les
chiffres authentiques suivants : 1.600.000
morts, 203.000 disparus 618.000 prisonniers.
4.064.000 blessés, 8.500 officiers tués. No-
1re correspondant de Berlin nous apprend,
de source officielle, que le nombre des offi-
ciers allemands, blessés, aveugles ou in-
firmes, dépasse 200.000. Quelques-uns de ces
officiers ont été blessés plus de cinq fois.
Leipziger Neueste Nachrichten, 18.12.
——— le ———
wu SrlüNS ÉCONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
Les travailleurs italiens en France. -
Une statistique des plus impressionnantes
serait celle des Italiens qui, émigrés en
France pour y trouver du travail, ont dû
finir par devenir citoyens français parce
que, en butte à l'hostilité du proléta-
riat français qui voyait en eux des concur-
rents très redoutables et un obstacle à la
hausse des salaires, ils étaient pris dans ce
dilemme : ou subir le mépris et la haine, ou
chercher, de toutes façons et le plus rapide-
ment possible à effacer la tache de leur na-
tionalité. La France réalisait ainsi un tri-
ple profit : main-d'œuvre excellente, rétri-
bution minime, courant de repopulation.
L'Italie veut que tout cela n'arrive plus ni
en France, ni ailleurs. Les ouvriers italiens
doivent être considérés comme une force
italienne de précieuse collaboration. 11 est
bon que l'énergique affirmation du prin-
cipe parte du gouvernement italien et que le
gouvernement français l'accepte au nom de
ce droit de la dignité humaine auquel les
Français font constamment appel. Le pro-
létariat français lui-même a le devoir d'exi-
ger qu'il n'arrive plus qu'un seul itaLien,
pour vivre et travailler en France, doive,
tôt ou tard, renoncer à sa nationalité ou y
faire renoncer ses fils. Donnons donc tout
notre appui au programme du gouverne-
ment qui, pour la première fois, pose aux
pays qui ont besoin de notre main-d'œuvre
toutes les conditions nécessaires à défendre
l'italianité juridique, intellectuelle et lin-
guistique des travailleurs italiens. Des éco-
les italiennes devront pulluler auprès des
usines, des centres miniers, dans les ré-
gions agricoles où les Italiens travaillent. —
(Paolo Orano) Popolo d'Italia, 25.12.
AVENIR ECONOMIQUE
France. — LES INDUSTRIES DÉTRUITES : Le
Président Wilson, semble-t-il, nous a dé-
fendu même de parler d' « une guerre éco-
nomique après la guerre ». Mais la situation
réelle est que l'Allemagne s'est emparée
des industries de France ou les a détruites,
et qu'elle est en mesure de mettre en mou
vement des machines françaises, par le moyen
de moteurs français, pour tenter de recon-
quérir économiquement l'univers. Quelle est
l'intention des Alliés ? Une indemnité mo-
nétaire, c'est assez clair, ne peut dans l'es-
pèce faire face à la situation. Les Alliés
vont-ils insister pour que les industries
françaises soient remontées par les usines
allemandes ? Cela nous semblerait être pure
justice. — (Ed.) Morning Post, 23.12.
——— ———
PULl fltlU E GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
ORIGINES ET RESPONSABILITES
DE LA GUERRE
Les responsabilités de l'Allemagne. —
C'est avec une indignation légitime que le
peuple français et le peuple anglais ont con-
damné l'attitude des soviets russes qui, il y
a un an environ, ont livré à la publicité,
sans demande prealable, les traités secrets
conclus avec les anciens alliés de la Rus-
sie. Nos ennemis ne doivent pas avoir chan-
gé d'opinion sur cette question, bien que
pour des raisons de tactique et d'égoïsme
national, ils verraient avec plaisir aujour-
d'hui Berlin eL Vienne s'accuser récipro-
quement. Les événements les plus récents
ont montré l'inutilité de pareils procédés.
De plus, les lois de la politique internatio-
nale exigent que les documents qui con-
cernent la guerre entreprise en commun par
les puissances de la Quadruplice ne doivent
être publiés qu'après une entente de toutes
les puissancs intéressées. A mon avis, l'heu-
re de cette publication n'a pas encore son-
né. Les faits essentiels sont depuis long-
temps connus dans la plupart des pays et
chacun en Allemagne peut se mettre au cou-
rant par la lecture des livres, de différentes
couleurs, qu'il est facile de se procurer. La
publication complète des documents, après
la signature de la paix, sera précieuse aux
historiens. Elle ne se limitera pas, nous
l'espérons bien, aux chancelleries alleman-
de et austro-hongroise. Le livre bloc an-
glais donne dès maintenant des renseigne-
ments à peu près complets : le livre jaune
français a besoin de quelques éclaircisse-
ments ; le petit livre orange russe est vrai-
ment insuffisant. Les partisans de Lenine
ne se souciaient pas de la vérité objective
historique. Ils n'ont songé qu'à servir leurs
buts politiques et ils n'ont autant dire ap-
porté aucune contribution à l'histoire de
la période critique des treize jours. Mais
c'est une toute autre question que celle de
savoir, si nous ne pourrions pas discuter
ouvertement en Allemagne sur les choses
que le monde entier connaît depuis long-
temps, aussi bien nos ennemis que les neu-
tres. Une grande partie du peuple allemand
se trouve dans la situation d'un accusé, qui
ne sait pas de quoi on l'accuse.
Cette situation, indigne d'un peuple ci-
vilisé, fait qu'il lui est très difficile de se
défendre d'accusations injustifiées. Il est
impossible par exemple de ne pas repro-
cher à tort à l'Allemagne d'avoir voulu une
guerre de conquête, si l'on maintient la
légende de l'attaque brusquée. Mais si l'on
avoue franchement qu'une action était pro-
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