Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-12-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 décembre 1918 14 décembre 1918
Description : 1918/12/14 (N1017). 1918/12/14 (N1017).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64497682
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
No 1017
l\ES DE LA GUERRE
ET DES
fyM. HlîS étrangères
Paris, H décembre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
C 0 N F 1 D E N TI EL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
» qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
——————————————- de la Guerre et des Affaires Étrangères. , ]
QUESTIONS MILITAIRES
L'ARMISTICE
si resse allemande. — L'Entente ne con-
sidere pas encore les hostilités comme défi-
Vement terminées. D'après Reuter (14.11)
'Fr ngleterre ne démobilise pas encore. La
sati e déclare également que la démobili-
8CItio. n proprement dite n'est pas encore
hi SJlble. Quant à l'Amérique, elle veut
partir de mi-décembre, rappeler
llom mes par jour, mais leur retour
46 Pend du faible tonnage disponible. Etant
élé né le plan que l'Entente, certains de ses
élém ts tout au moins, a formé soit con-
tre Allemagne, soit - contre la Russie, il
trou ut des quantités considérables de
lia peso de matériel de guerre et de ton.
f{ue., Les Anglais veulent réorganiser la
U,~5ie et envisagent même l'occupation de
fylosI7p 0V et de Pétrograd. Les Français — ou
Ile mOl,ns, le haut commandement français,
ne °U.s illusionnons pas ! — les Français
est JUsqu'à envisager l'entrée à Berlin. Il
est ? toute évidence que le maréchal Foch
cher e. à créer un prétexte et une occa-
QPél' qui lui permettent de, poursuivre les
les QtlO.n en aggravant systématiquement
les co^iong de l'armistice. Kreuz-Zeitung,
les conditions de l'armistice. Kreuz-Zeitung,
ORGANISATION
A 11
l{f:voL agne LE CORPS DES OFFICIERS ET LA
Plu, UTION., — Le corps des officiers a été
Plu.s fOrternent touché par l'effroyable ré-
POrte lOn des dernières semaines que n'im-
ïie fa;?Ue^e autre classe de la société, cela
11, fait pas de doute. En premier lieu les
tr¡ent fS de carrière qui sentent brusque-
PlU e sol chanceler sous leurs pieds. La
Dilirt 0nt seulement reçu l'instruction que
endait leur carrière ; ils sont mainte-
Hant P n laCe d'un avenir incertain, et leur
!)(Ot Ion est d'autant plus critique qu'ils
&gés, qu'il leur sera plus diffi-
tte leur vie dans une autre di-
* tre n. Ajoutez à cela que la plupart d'en-
enX ne se sont jamais intéressés aux
or Ins économiques, qui étaient en de-
4ors dlleur sphère d'activité. — Avant
I lOatéP l'agit de sauvegarder les intérêts
et de le S des officiers qui quittent l'armée
6cier Jégler la situation matérielle de l'of-
c,iel' ne ans, l'Etat nouveau. Désormais l'offi-
n
IltiqUe doIt Pas se tenir à l'écart de la po-
- n devoir consistera à participer
)Jolitiq Chons pour exprimer ses convictions
PIIII-àti- qiles. Rien ne l'empêche plus d'adhé-
jeràun ^arti ; mais pour l'instant l'unique
* leetio rr nous incombe, est d'exercer aux
^iCtio■ n 8 Pour l'assemblée nationale toute
innuence pour reconstituer notre Etat
l - Il faudra sans tarder aborder
] «Mi,s 1ergiquement possible le problème
l\geQt i!lP.. La plupart des officiers envi-
^eQt i avenir avec la pl,bls profonde in-
quiétude. Cependant il n'y a pas lieu de
craindie que de nombreuses existences
soient absolument brisées. Nous ne devons
pas voir les choses sous des couleurs aussi
pessimistes, bien que nous nous attendions
à ce qu'un grand nombre d'officiers ac-
tifs soient obligés de donner leur démis-
sion ; car nos ennemis ne souffriront pas
que nous maintenions l'armée et la marine
à l'effectif actuel, et notre situation éco-
nomique ne nous permettra pas de le faire.
Cependant, quelle que soit la solution que
l'on adoptera à l'avenir, il est bien cer-
tain qu'on aura toujours besoin, en vue de
l'instruction de la troupe, d'un corps d'of-
ficiers et de gradés important d'autant plus
important que le temps à passer sous les
drapeaux sera plus réduit, car une instruc-
tion approfondie dans un délai réduit ne
peut être assurée que par les connaissances
plus solides des instructeurs). — En résumé.
le premier devoir du corps des officiers est
de s'abstenir au moins jusqu'à l'assemblée
nationale de toute activité politique, qui
ne tende à créer dans cette Assemblée cons-
tituante un terrain juridique pour un gou-
vernement viable ; le mieux est encore qu'ils
attendent le Cours des événements et se
gardent de toute décision précipitée. (Major
von Olberg) Tag, 2.12.
*---------- «---Ilob--
QUESTIONS CONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
Argentine. — Ce problème est pour l'Ar-
gentine d'importance primordiale. Nous
devons dès maintenant préparer l'adapta-
tion aux conditions économiques mondiales
d'après-guerre. La guerre a détruit une
grande quantité de biens-revenus (bienes-
rentas) et de biens-capitaux (bienes-capita-
les) : d'où avant tout diminution des reve-
nlid. « Les sacrifices financiers feront sen-
tir leurs effets plus fortement après la
guerre que pendant. » Les ouvriers ver-
ront diminuer leurs salaires. La demande
de travail sera moins considérable, et la né-
cessité de reconstruire et de produire ne
suffira pas à augmenter cette demande. Le
nombre des travailleurs aura fortement
diminué par suite de la guerre, et les pays
belligérants ne pourront pas leur offrir les
conditions que leur offrira l'Argentine par
exemple. « La question d'immigration de la
main-d'œuvre est avant tout une question
de salaire, de même que la question de
l'immigration des capitaux est une question
d'intérêts. » Bien des travailleurs euro-
péens chercheront, après la guerre, à
échapper aux lourdes charges qui grèveront
les finances de leurs pays : l'Argentine se
trouvera dans d'excellentes conditions pour
attirer ces travailleurs. Il en sera de même
pour les capitaux européens. — (Ed.)
Prensa [de Buenos-Aires], 19.10.
AVENIR ECONOMIQUE
Ahemagne. — bous le titre : « INDUSTRIA-
LISATION OE L'AGRICULTURE » : Avant la
guerre l'agriculture allemande était sur la
voie d'une production intensive. Elle essayait
de faire donner au sol le maximum de ren-
dement, en labourant profondément avec des
charrues à vapeur et en utilisant les en-
grais artificiels. C'est à ce mode d'exploi-
tation que nous avons dû le ravi-
taillement qui nous était nécessaire pen-
dant la guerre. Les résultats auraient été
plus baillants encore, si un plus grand
nombre de terres nobles et aussi de petites
propriétés foncières avaient été exploitées
d'après cette méthode. Dans le premier cas
les propriétaires ont manqué d'intelligence
et de connaissances financières, dans le se-
cond cas ils n'ont pas eu les fonds néces-
saires ptour tirer parti des progrès réali-
sés par l'industrie. Notre détresse économi-
que actuelle exige que toutes les forces
inemployées soient mises en mouvement ;
nous allons chercher ici brièvement les
meilleurs moyens d'y réussir. Tout d'abord
il sera très facile de transformer en char-
rues à vapeur, des locomotives routières et
des camions automobiles. Les commissaires
chargés de la démobilisation s'occuperont
de cette transformation et de la répart.tion
des machines. Il y aura lieu aussi de faire
une distribution méthodique des fumiers
azotés, qui sont presque monopolisés, ainsi
que de la potasse et de l'engrais Thomas.
Sans aborder ici la question de la grosse
et de la petite propriété, nous dirons simple-
ment qu'une installation de vergers et de
potagers, d'une contenance moyenne dey
cinq à huit arpents, étendue à toute l'Alle-
magne, donnerait une occupation immé-
diate et permanente à un nombre considé-
rable de gens, dans d'excellentes conditions
économiques. Aux environs des grandes
villes ces vergers et ces potagers pour-
raient n'avoir que deux arpents, les arti-
sans et les marchands de ces villes les cul-
tiveraient à leurs heures de loisir. Des pro-
fesseurs d'agriculture, sédentaires ou am-
bulants, donneraient à tous les instructions
nécessaires Des tentatives privées ont
déjà été faites en ce sens. Mais pour qu'une
telle organisation donne des résultats sé-
rieux, il faut qu'elle soit officielle. L'Etat
seul est en mesure de prendre dès main-
tenant toutes les dispositions utiles : canali-
sations, établissement de chemins et de
clôtures, de serres et d'habitation et d'écuries. Il est possible dès
maintenant et au cours de l'hiver d'avan-
cer sérieusement les travaux d'aménage-
ment des habitations, en avant recours à
dès ouvriers et à des femmes non exercés.
Enfin, il y aura lieu de faire bénéficier
l'indusirie des forces électriques. Trop
d'agriculteurs ont été plus au courant des
questions politiques et des questions doua-
nières que des questions d'électricité. Que
*
l\ES DE LA GUERRE
ET DES
fyM. HlîS étrangères
Paris, H décembre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
C 0 N F 1 D E N TI EL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
» qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
——————————————- de la Guerre et des Affaires Étrangères. , ]
QUESTIONS MILITAIRES
L'ARMISTICE
si resse allemande. — L'Entente ne con-
sidere pas encore les hostilités comme défi-
Vement terminées. D'après Reuter (14.11)
'Fr ngleterre ne démobilise pas encore. La
sati e déclare également que la démobili-
8CItio. n proprement dite n'est pas encore
hi SJlble. Quant à l'Amérique, elle veut
partir de mi-décembre, rappeler
llom mes par jour, mais leur retour
46 Pend du faible tonnage disponible. Etant
élé né le plan que l'Entente, certains de ses
élém ts tout au moins, a formé soit con-
tre Allemagne, soit - contre la Russie, il
trou ut des quantités considérables de
lia peso de matériel de guerre et de ton.
f{ue., Les Anglais veulent réorganiser la
U,~5ie et envisagent même l'occupation de
fylosI7p 0V et de Pétrograd. Les Français — ou
Ile mOl,ns, le haut commandement français,
ne °U.s illusionnons pas ! — les Français
est JUsqu'à envisager l'entrée à Berlin. Il
est ? toute évidence que le maréchal Foch
cher e. à créer un prétexte et une occa-
QPél' qui lui permettent de, poursuivre les
les QtlO.n en aggravant systématiquement
les co^iong de l'armistice. Kreuz-Zeitung,
les conditions de l'armistice. Kreuz-Zeitung,
ORGANISATION
A 11
l{f:voL agne LE CORPS DES OFFICIERS ET LA
Plu, UTION., — Le corps des officiers a été
Plu.s fOrternent touché par l'effroyable ré-
POrte lOn des dernières semaines que n'im-
ïie fa;?Ue^e autre classe de la société, cela
11, fait pas de doute. En premier lieu les
tr¡ent fS de carrière qui sentent brusque-
PlU e sol chanceler sous leurs pieds. La
Dilirt 0nt seulement reçu l'instruction que
endait leur carrière ; ils sont mainte-
Hant P n laCe d'un avenir incertain, et leur
!)(Ot Ion est d'autant plus critique qu'ils
&gés, qu'il leur sera plus diffi-
tte leur vie dans une autre di-
* tre n. Ajoutez à cela que la plupart d'en-
enX ne se sont jamais intéressés aux
or Ins économiques, qui étaient en de-
4ors dlleur sphère d'activité. — Avant
I lOatéP l'agit de sauvegarder les intérêts
et de le S des officiers qui quittent l'armée
6cier Jégler la situation matérielle de l'of-
c,iel' ne ans, l'Etat nouveau. Désormais l'offi-
n
IltiqUe doIt Pas se tenir à l'écart de la po-
- n devoir consistera à participer
)Jolitiq Chons pour exprimer ses convictions
PIIII-àti- qiles. Rien ne l'empêche plus d'adhé-
jeràun ^arti ; mais pour l'instant l'unique
* leetio rr nous incombe, est d'exercer aux
^iCtio■ n 8 Pour l'assemblée nationale toute
innuence pour reconstituer notre Etat
l - Il faudra sans tarder aborder
] «Mi,s 1ergiquement possible le problème
l\geQt i!lP.. La plupart des officiers envi-
^eQt i avenir avec la pl,bls profonde in-
quiétude. Cependant il n'y a pas lieu de
craindie que de nombreuses existences
soient absolument brisées. Nous ne devons
pas voir les choses sous des couleurs aussi
pessimistes, bien que nous nous attendions
à ce qu'un grand nombre d'officiers ac-
tifs soient obligés de donner leur démis-
sion ; car nos ennemis ne souffriront pas
que nous maintenions l'armée et la marine
à l'effectif actuel, et notre situation éco-
nomique ne nous permettra pas de le faire.
Cependant, quelle que soit la solution que
l'on adoptera à l'avenir, il est bien cer-
tain qu'on aura toujours besoin, en vue de
l'instruction de la troupe, d'un corps d'of-
ficiers et de gradés important d'autant plus
important que le temps à passer sous les
drapeaux sera plus réduit, car une instruc-
tion approfondie dans un délai réduit ne
peut être assurée que par les connaissances
plus solides des instructeurs). — En résumé.
le premier devoir du corps des officiers est
de s'abstenir au moins jusqu'à l'assemblée
nationale de toute activité politique, qui
ne tende à créer dans cette Assemblée cons-
tituante un terrain juridique pour un gou-
vernement viable ; le mieux est encore qu'ils
attendent le Cours des événements et se
gardent de toute décision précipitée. (Major
von Olberg) Tag, 2.12.
*---------- «---Ilob--
QUESTIONS CONOMIQUES
MAIN-D'ŒUVRE
Argentine. — Ce problème est pour l'Ar-
gentine d'importance primordiale. Nous
devons dès maintenant préparer l'adapta-
tion aux conditions économiques mondiales
d'après-guerre. La guerre a détruit une
grande quantité de biens-revenus (bienes-
rentas) et de biens-capitaux (bienes-capita-
les) : d'où avant tout diminution des reve-
nlid. « Les sacrifices financiers feront sen-
tir leurs effets plus fortement après la
guerre que pendant. » Les ouvriers ver-
ront diminuer leurs salaires. La demande
de travail sera moins considérable, et la né-
cessité de reconstruire et de produire ne
suffira pas à augmenter cette demande. Le
nombre des travailleurs aura fortement
diminué par suite de la guerre, et les pays
belligérants ne pourront pas leur offrir les
conditions que leur offrira l'Argentine par
exemple. « La question d'immigration de la
main-d'œuvre est avant tout une question
de salaire, de même que la question de
l'immigration des capitaux est une question
d'intérêts. » Bien des travailleurs euro-
péens chercheront, après la guerre, à
échapper aux lourdes charges qui grèveront
les finances de leurs pays : l'Argentine se
trouvera dans d'excellentes conditions pour
attirer ces travailleurs. Il en sera de même
pour les capitaux européens. — (Ed.)
Prensa [de Buenos-Aires], 19.10.
AVENIR ECONOMIQUE
Ahemagne. — bous le titre : « INDUSTRIA-
LISATION OE L'AGRICULTURE » : Avant la
guerre l'agriculture allemande était sur la
voie d'une production intensive. Elle essayait
de faire donner au sol le maximum de ren-
dement, en labourant profondément avec des
charrues à vapeur et en utilisant les en-
grais artificiels. C'est à ce mode d'exploi-
tation que nous avons dû le ravi-
taillement qui nous était nécessaire pen-
dant la guerre. Les résultats auraient été
plus baillants encore, si un plus grand
nombre de terres nobles et aussi de petites
propriétés foncières avaient été exploitées
d'après cette méthode. Dans le premier cas
les propriétaires ont manqué d'intelligence
et de connaissances financières, dans le se-
cond cas ils n'ont pas eu les fonds néces-
saires ptour tirer parti des progrès réali-
sés par l'industrie. Notre détresse économi-
que actuelle exige que toutes les forces
inemployées soient mises en mouvement ;
nous allons chercher ici brièvement les
meilleurs moyens d'y réussir. Tout d'abord
il sera très facile de transformer en char-
rues à vapeur, des locomotives routières et
des camions automobiles. Les commissaires
chargés de la démobilisation s'occuperont
de cette transformation et de la répart.tion
des machines. Il y aura lieu aussi de faire
une distribution méthodique des fumiers
azotés, qui sont presque monopolisés, ainsi
que de la potasse et de l'engrais Thomas.
Sans aborder ici la question de la grosse
et de la petite propriété, nous dirons simple-
ment qu'une installation de vergers et de
potagers, d'une contenance moyenne dey
cinq à huit arpents, étendue à toute l'Alle-
magne, donnerait une occupation immé-
diate et permanente à un nombre considé-
rable de gens, dans d'excellentes conditions
économiques. Aux environs des grandes
villes ces vergers et ces potagers pour-
raient n'avoir que deux arpents, les arti-
sans et les marchands de ces villes les cul-
tiveraient à leurs heures de loisir. Des pro-
fesseurs d'agriculture, sédentaires ou am-
bulants, donneraient à tous les instructions
nécessaires Des tentatives privées ont
déjà été faites en ce sens. Mais pour qu'une
telle organisation donne des résultats sé-
rieux, il faut qu'elle soit officielle. L'Etat
seul est en mesure de prendre dès main-
tenant toutes les dispositions utiles : canali-
sations, établissement de chemins et de
clôtures, de serres et
maintenant et au cours de l'hiver d'avan-
cer sérieusement les travaux d'aménage-
ment des habitations, en avant recours à
dès ouvriers et à des femmes non exercés.
Enfin, il y aura lieu de faire bénéficier
l'indusirie des forces électriques. Trop
d'agriculteurs ont été plus au courant des
questions politiques et des questions doua-
nières que des questions d'électricité. Que
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