Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-12-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 décembre 1918 05 décembre 1918
Description : 1918/12/05 (N1008). 1918/12/05 (N1008).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64497593
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 1008
JE AGUERRE
DEs
, ,s
1-1
Paris, 5 décembre 1918.
fletin Quotidien de Presse Etrangère
ONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
'JT10N8 MILITAIRES
'ARMISTICE
:. Cldent LE RETOUR DES TROUPES.
:'des' ,24 nov. : Depuis ce ma-
s de troupes défilent
'f ^rrie, saluées par les acclama-
es
population et de mil-
„ 1 leur font cadeau de
|Ç"erite T La discipline des trou-
Les Passages de troupes
:::lif¡¿S au décembre, à raison de
l'lies envf 1"011 Par jour. On utilise
''Min* J8 transports. De nom-
- Os de transports. De nom-
\, 1 flescendent le Rhin, chargés
lerviee régulier de vapeurs
otj et Dusseldorf
(5,llntre :\lannheim et Dusseldorf
1 - Sur
Ii nt'J.l IL'ÉVA(,U.~,TION. - SUI~
nous avons encore un
"î l do soldats allemands. Ils ap-
a,J*
Il classes, les élé-
"rlt été prélevés pour le
r\ntai, eté prélevés pour le
"erïiarfn a fauchée la jeu-
à La signature de la
ourir à notre armée de l'Est un
dont n i1 ne saurait prévoir
\, ':ofls .ont on ne saurailt prévoir
conséquences, s'il ne venait à
r nt cnn
S juré. Une délégation
sGld ats de la 10e arméi est.
ndre compte de autoriliés compé-
r' v 1 Se Da-î
PHis H sur le front orien-
uplus de VOles de oommum-
do0Hrveni i marcher sur
de t [-es dOivent m.archer sur
,Jn „ „ 0^6148 de neige et
Vo em Plus terrible encore
fidue et Parcourir de lon-
,'!f' v t d'atteindre une voie
ferrée5 elles-mêmes il
TI ons et le trafic local en a
de Os \troupes sont-elles obli-
1 rl Io
es étapes à pied jus-
lQlqet VhOles ferrées de Barado-
;,et)L' C no (;l de Dunabourg,
,JiU l'ees voies de l'Europe cen-
V W«,Ur Une ^ent des troupes
:",r¡Ol]8 Une plus vaste échelle.
1 >hi?eur rta ici à un autre
ety. Il Y a dans ces Rares
>i,Lnsiciéranb^ 1e /de prisonniers?
; ,trié,).. Ils de Prisonniers
:,;: 118 s ne Pavent continuer
?'$r-L ^anm- fnt de vivres et
rnaI* n-tenint, "Is essayent
de ravitaillement. Ils
1 ;r0nPeS chemin
'i{.l)r'nes Tlendra-Lil, si des miL
'\IJ/t¡tes' deS direcfiions
'■Xde 011s l" et le froid.
Vji ,0r>s l lllterêt de leurs ca-
""rmée de I'F-,t, les
les : ln 10e armee. de-
prhn^r, niers russes ne
W !^s tant t que durera la
crise d'alimentation et de transport. Au-
cune sentinelle ne doit quitter son ;)(lste,
C'est un crime que de laisser partir un pri-
sonnier russe. Il faut faire comprendre aux
prisonniers russes qu'ils vont au devant
d'une mort certaine, s'ils n'ont pas la pa-
tience d'attendre que les voies d'accès
soient libres, qui les conduiront dans leur
pays, où les attendent tous ceux qu'ils ai.
ment. » — Tag 25.11.
EN POLOGNE : Communique par le conseil
des soldats de Varsovie. — Dans la nuit
du 10 au 11 novembre, les différentes for-
mations ont constitué des conseils de sol-
dats. Le 11, dans la matinée, la garnison
de Varsovie suivit le mouvement. Le haut
commandement de Varsovie faillit à sa tâ-
che. Plusieurs officiers quittèrent la ville,
en civils, et certaines unités cessèrent ainsi
d'être commandées. Le comité du conseil
des soldats se vit, par suite, dans l'obli-
gation d'assurer seul le rapatriement de
tous les Allemands, dans les plus brefs
délais possibles et sans effusion de sang.
Rien quà Varsovie il y avait environ 25.000
soldats, 5.000 malades dans les hôpitaux,
3.000 fonctionnaires et 2.700 assistantes.
Dans la nuit du 11 au 12, la consigne fut
passée, dans la population polonaise, de dé-
sarmer les troupes allemandes. Les trou-
pes qui étaient en position d'alerte reçu-
rent l'ordre du conseil des soldats, de se
tenir encore davantage sur leurs gardes.
Toutefois, les légionnaires polonais réus-
sirent, avec l'aide de la population, à dé-
sarmer quelques formations et des isolés.
La même nuit, le parc les bateaux de l'in-
tendance et l'abattoir tombèrent aux mains
des Polonais. Le conseil des soldats entama
alors des négociations avec le gouverne-
ment polonais en vue d'assurer le ravitail-
lemnt des Allemands et de les évacuer
le plus rapidement possible. Les négocia-
tions furent d'ailleurs difficiles, plusieurs
autorités polonaises se disputant le pou-
voir. Les démarches du conseil des soldats
furent enfin couronnées de succès. Un ac-
cord intervint aux termes duquel toutes
les troupes devaient garder, jusqu'à leur
arrivée à la frontière, leurs armes et leurs
munitions. Elles devaient les mettre en-
suite à la disposition du gouvernement po-
lonais. Le reste du matériel de guerre fut
également rem après un inventaire soi-
gneusement établi. Il nous était impossible
de songer au transport de tout ce matériel.
Trois vapeurs réquisitionnés par des for-
mations isolées, à l'insui du conseil des
soldats, ont dépassé la frontière et n'ont
pas été renvoyés. Nous n'avons donc pas
pu nous en servir pour nos transports. Il
en a été de même des trois premiers trains
qui ont franchi la frontière et qui ont été
retenus en Allemagne. Il en est résulté
pour nous toutes sortes de difficultés. Les
hauts fonctionnaires de l'administration du
chemin de fer ont fait preuve d'une inca-
pacité complète. Aussi le gouvernement po-
lonais a-t-il pris la direction de l'exploitation
et à partir de ce moment le service a été
régulier. La remise des armes au gouver-
nement polonais a été faite dans les con-
ditions prévues par l'accord ; le conseil
des soldats a dû se soumettre dans l'inté-
rêt de nos blessés, de nos malades, de nos
isolés et des civils qui se trouvaient à l'in-
térieur du pays et que le gouvernement po-
lonais n'aurait pas suffiamment protégés.
Ordre a été donné aux soldats de rester
groupés, les malades et les civils devant
partir les premiers. Cependant beaucoup
d'hommes ont quitté leurs unités ; ils ont
vendu leurs fusils et leur équipement et
ils sont partis, à l'aventure, dans la di-
rection de la frontière. Beaucoup de fonc-
tionnaires civils et de femmes du service
auxiliaire n'ont pas tenu compte non plus
de nos prescriptions. Il en est résulté qu'ils
se sont trouvés à la merci de la populace
qui les a dévalisés. Tous les convois orga-
nisés par le conseil des soldats n'ont été
l'objet d'aucunes vexations. Le 12, 4.000
hommes ont été transportés par ses soins ;
le 13, 4.500 personnes, dont 1.700 fem-
mes. Du 14 au 20, les troupes régulières
que le conseil des soldats avait sous la
main, et qui prêtaient éventuellement
leur appui, furent ainsi transportées grou-
pées, dans un ordre parfait, avec un ra-
vitaillement suffisant. A noter que l'école
de tir d'artillerie de Rombertow a entamé
de sa propre autorité des négociations avec
les Polonais, sans consulter le conseil des
soldats et qu'elle a livré ses canons et ses
munitions contre la promesse qu'il lui se-
rait fait des commandes de matériel de
chemin de fer. Cet accord a été conclu,
avant l'évacuation des troupes allemandes.
Ainsi le conseil des soldats s'est trouvé
privé d'une arme puissante, qui aurait pu
lui être d'un très grand secours, au mo-
ment des négociations lorsqu'il fera con-
naître ses conditions, — D'après d'autres
renseignements la citadelle et le parc d'a-
viation de Varsovie sont restés entre nos
mains, jusqu'au dernier moment. Les Po-
lonais ne s'en sont pas emparés et n'ont
pas essayé de les prendre d'assaut. Nous
ne les leur avons livrés qu'après que, jus-
qu'au: dernier homme, les troupes qui les
occupaient furent sorties en bon ordre.
C'est le conseil des soldats qui a quitté Var-
sovie le dernier, après avoir rempli sa
tâche : évacuation de tous les Allemands de
la ville et des environs sans qu'il y ait
eu effusion de sang. — Le conseil des sol-
dats de Varsovie. - — Falkenberg. Kelk.
Meerbothe. Vosshche Zeibung, 24.11.
« Les armées de l'Entente sur le pied de
guerre » [sous ce titre]. — Il n'est pas exa-
géré de dire que les Puissances de l'En-
tente, y compris l'Italie et la Serbie, dé-
pensent chaque mois onze à douze mil-
liards de francs pour l'entretien de leurs
JE AGUERRE
DEs
, ,s
1-1
Paris, 5 décembre 1918.
fletin Quotidien de Presse Etrangère
ONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
'JT10N8 MILITAIRES
'ARMISTICE
:. Cldent LE RETOUR DES TROUPES.
:'des' ,24 nov. : Depuis ce ma-
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'f ^rrie, saluées par les acclama-
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population et de mil-
„ 1 leur font cadeau de
|Ç"erite T La discipline des trou-
Les Passages de troupes
:::lif¡¿S au décembre, à raison de
l'lies envf 1"011 Par jour. On utilise
''Min* J8 transports. De nom-
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\, 1 flescendent le Rhin, chargés
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otj et Dusseldorf
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à La signature de la
ourir à notre armée de l'Est un
dont n i1 ne saurait prévoir
\, ':ofls .ont on ne saurailt prévoir
conséquences, s'il ne venait à
r nt cnn
S juré. Une délégation
sGld ats de la 10e arméi est.
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Vo em Plus terrible encore
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prhn^r, niers russes ne
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cune sentinelle ne doit quitter son ;)(lste,
C'est un crime que de laisser partir un pri-
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soient libres, qui les conduiront dans leur
pays, où les attendent tous ceux qu'ils ai.
ment. » — Tag 25.11.
EN POLOGNE : Communique par le conseil
des soldats de Varsovie. — Dans la nuit
du 10 au 11 novembre, les différentes for-
mations ont constitué des conseils de sol-
dats. Le 11, dans la matinée, la garnison
de Varsovie suivit le mouvement. Le haut
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des soldats se vit, par suite, dans l'obli-
gation d'assurer seul le rapatriement de
tous les Allemands, dans les plus brefs
délais possibles et sans effusion de sang.
Rien quà Varsovie il y avait environ 25.000
soldats, 5.000 malades dans les hôpitaux,
3.000 fonctionnaires et 2.700 assistantes.
Dans la nuit du 11 au 12, la consigne fut
passée, dans la population polonaise, de dé-
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tenir encore davantage sur leurs gardes.
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La même nuit, le parc les bateaux de l'in-
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le plus rapidement possible. Les négocia-
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les troupes devaient garder, jusqu'à leur
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de songer au transport de tout ce matériel.
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des soldats a dû se soumettre dans l'inté-
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les Polonais, sans consulter le conseil des
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chemin de fer. Cet accord a été conclu,
avant l'évacuation des troupes allemandes.
Ainsi le conseil des soldats s'est trouvé
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la ville et des environs sans qu'il y ait
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dats de Varsovie. - — Falkenberg. Kelk.
Meerbothe. Vosshche Zeibung, 24.11.
« Les armées de l'Entente sur le pied de
guerre » [sous ce titre]. — Il n'est pas exa-
géré de dire que les Puissances de l'En-
tente, y compris l'Italie et la Serbie, dé-
pensent chaque mois onze à douze mil-
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