Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-11-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 novembre 1918 10 novembre 1918
Description : 1918/11/10 (N984). 1918/11/10 (N984).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6449735p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
DE LA GU ÉRRE
N° 984
Paris. 10 novembre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL
Sous le titre
~L'un^i GUERRE DES PEUPLES CIVI-
conditions de l'armis-
86ES uiU^AL R la presse ennemie c'est la
alors auôdLe des prisonniers de
que nos prisonniers reste-
~>el:e evU>ence nous ré-
~flt ¡¡rltl.sr qUI a dicte les condtions de
ce ou. nOJs chercherions en vain
ire du Pnrin clPe de la paix du droit,
une adhésio n aux quatorze points expo-
~sion aux quatorze points expo-
Nous pouvons admettre
si que les causes de l'armis-
~ures que les accepter serait
's ciîi!îu'.ts à ue- Mais sommes-
~itill Jv0n sltun?!lUler? Sur le front occi-
~¡ puvoe stualioll est toujours te le que
lr?is te Il pas desarticulé notre front.
lo,|taiivAI « !>our obtenir de force
~'> (lé..s,nn ont
~nt ft' i : les Anglais ont
~CS ,> y /ré7iia Sl'Ve 23 octobre, dans
~,,:)(:teilr 1 reussir, le 23 octobre. ans
~Iii") pt i"^re esrne-Ie Cateau, les l, rançais
;enti-e i>\ s Américains le 1er no-
~l[|i m ral.Vsép rPnne et la Meuse. Loin
~"III,rne d/see (lUtre forcé de résistance
~• 'V Plu^<5 en plus. Notre situation
~jour , en jour. t,e niauv,,iis
~IIOU 8 favoi-ko f; 1m 1 gètie l'ennertit. Le
~'Uiroi SSo,nen!L t rU frullL le renforce.
~11,1 ~ol, 'sas~'- renforce.
~1'[;1,\ en rn,e7. riches en matériel lui-
continuer à nous battre
~, eitlents pose à nous maintenant.
~Jé ob,lJ ~■^l'aniL® ^jet de prolonger la lu te? Une
la merci de nos
lf!|ip0 e serait un renoncement à de
~ontl0ns de paix Nos
S Srle? ennemis agis-
~< /rf' n. t !fl lutte nous ne pouvon que
sont lasses de la
, enoopp 1 Cs que la corde de
holch^, ï® fortelnènt tendue?
~a est aux aguets.
'l'lit J nus^i que la
ror' her elle nus.i que la
se transforme en
~lf'IC\\Jr" en terrpur l'nUITe. Il y a donc
~f\, Jus se la guerre aussi rapide que
~antP aujourd'huibui. il
~ni,,ils LSa Hj7^'- dcpt h rrpndrc
~*lln0 véritable nnix
~-tlre nv nr':, d,)nr (le A'nt>\l<;:es
~"C" fia 2nr>,inuPr11 E NU '1P'1 R1° NNNS5
seraient notre ruine. Nous pouvons le faire
malgré la défection de nos alliés. Nous
avons les forces nécessaires pour nous dé-
fendre sur un nouveau front sud-est. Nous
avons assez de matières premières et de
munitions de guerre dé toutes sortes pour
tenir longtemps encore, même si nous som-
mes plus étroitement encerclés. — (F.)
Kreuz-Zeitung, 2.11.
« UN SUCCÈS DÉFENSIF ALLEMAND. » [sous ce
titre]. — A l'appui de ses exigences, l'En-
tente voudrait, à la veille des négociations,
remporter un succès décisif. Le plein suc-
cès défensif que les troupes a lemandes
viennent de marquer sur l'Aisne n'en a
que plus de prix. Nous avons tout lieu de
supposer que le maréchal Foch avait en-
gagé toutes ses forces disponibles. Or sa
tentative de percée sur un large front a com-
platement échoué. Son attaque s'est dé-
clenchée sur tout le front de La Selve (est
de Sissonne) à Grandioré, sur 80 kilomètres.
A l'aile ouest de la Selve jusqu'au saillant
de l'Aisne, au nord de Vouziers, les atta-
ques ennemies ont été complètement re-
poussées ; des contre-attaques ont délogé
l'ennemi de quelques points où son premier
assaut l'avait porté. A l'aile est du sail-
lant de l'Aisne à Grandpré, les adversaires
n'ont remporté de succès locaux qu'en deux
noints, à Terron et à Falaise. Partout ail-
leurs, ils ont été repoussés. Le front allez
mand a tenu contre l'attaque en masse des
Français et il a prouvé qu'il était inéhran-
lable. A a même heure, les Américains
ont attaqué, entre la lisière est de l'Ar-
gonne et la Meuse, en massant dans un
étroit espace un groupe de choc, composé
de plusieurs divisions. Ils ont tenté une
ferrée, d'après les principes napoléoniens.
L'importance des effectifs engagés leur a
permis de pénétrer dans les lignes alle-
mandes et de dépasser la position de l'ar-
tillerie. Mais leur attaque a été verroullée
aussi bien de front que sur les flancs. Nous
les avons empêchés d'exploiter leur succès,
qui est resté limité à un gain local, et qui
n'a pas eu d'influence sur la situation stra-
tégique générale. Ce front mérite toutefois
de retenir notre attention parce qu'il sert
de point d'appui à notre saillant occidental
et que. s'il était ébranlé, tous les secteurs
en subiraient le contrecoup. Notre haut
commandent, a, d'ailleurs, pris les me-
sures nécessaires pour le couvrir. —
En Flandre, nous avons ramené le f~ont
allemand au nord de Deinze, derrière ]'f.s-
cant. Les troupes allemandes se sont ainsi
dérobées sciemment à une attaque immi
pontp. F-'Vs occupent de nouvelles et soli-
des positions. Elles ont devant elles une
rivière, et elles forcent l'ennemi à préna-
rer une nouvelle attaque, ce qui lui deman-
dera du temps et de gros efforts. Nous ga-
gnons du temps. nous différons la décicion
et nous favorisons ainsi les T'lf1nCl de notre
haut commandement. — A Valenciennes,
l'ennemi a remporté des succès locaux ; ils
ont eu comme conséquence un changement
de nos positions qui a entraîné l'évacuation
de la ville. Cette évacuation ne s'est faite
qu'une fois les attaques de l'ennemi re-
poussées. Nous n'avons donc nullement agi
sous la pression de ses armes. - Dans son
ensemble, la journée du 1er novembre, jour-
née de grande bataille, a été favorable à
nos armes. La marche heureuse des com-
bats doit renforcer la confiance du pays.
Nous pouvons compter sur la bravoure et la
force de résistance de nos troupes. — Ham-
burger Nachrichlen, 3.11.
FRONT ITALIEN
De la victoire à l'armistice [sous ce titre],
— La bataille est gagnée ! Le bulletin du
commandemént suprême rappelle opportu-
nément les phases initiales de la guerre
pour les comparer aux événements d'au-
jourd'hui, et il en fait ressortir, sans em-
phase mais avec une légitime fierté, le
sens national. et historique. Après avoir
poursuivi la ruine de l'Italie, les orgueil-
leux états-majors autrichiens sont contraints
à la reddition. La signature de l'armistice
ne suspend pas seulement les opérations
de guerre, mais elle termine une période
historique. La revanche des peuples s'est
fait longtemps attendre, mais elle est ve-
nue, complète, réparatrice. Les soldats ita-
liens en sont les merveilleux artisans. Ce
fut en vain que le militarisme autrichien,
battu plus d'une fois se relevant de ses
défailles, fit. avec le concours de forces mi-
litaires allemandes, de nouvelles offenses
au droit, des peuples ; en vain qu il subiti-
gua la Roumanie : eu vain qu'il tenta à
Caporetto de terminer le conflit avec l'Ita-
lie. Avec une simplicité vraiment romaine,
le commandement italien résume dans son
communiqué une page historique qui a dé-
cidé de la vie et de l'avenir de tant de
peuples. L'Italie s'est vaincue elle-même,
avant de vaincre l'ennemi. Elle supporta
fièrement les inévitables alternatives de la
bataille, les trahisons et les sauts de la
fortune. Elle ne mesura pas l'effort : elle
ne lésina pas sur les sacrifices à suppor-
ter. Elle se donna entièrement pour sa
cause, ainsi qce pour celle de ses alliés.
Elle soutint seule le choc d'un peuple su-
périeur en nombre et en moyens animé par
la haine la, venŒ"n('(\ et la dpctr '^Mon.
Grâce à l'Italie, l'Autriche ne put jamais,
devenir, au ('our;:: de cette guerre, et même
après l'écroulement de la Russie, un élé-
ment de quelque importante pour les suc-
ces militaires - allemands sur le front occi-
dental. Mais la guerre n'est pas encore finie.
Il est douteux que l'empire allemand se
résigne au sort qui 1'nt,o;'n sans ecquisser
une tentative de résistance extrême. Que
cette résistance soitl tI"'èvr ou longue. il faut
que t0\l'r>oc le {'n(>T'ip de i'T7~'n'-'to 'i"')t
mises en jeu pour là briser.- (Ed.) Secolo,
5.11.
N° 984
Paris. 10 novembre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL
Sous le titre
~L'un^i GUERRE DES PEUPLES CIVI-
conditions de l'armis-
86ES uiU^AL R la presse ennemie c'est la
alors auôdLe des prisonniers de
que nos prisonniers reste-
~>el:e evU>ence nous ré-
~flt ¡¡rltl.sr qUI a dicte les condtions de
ce ou. nOJs chercherions en vain
ire du Pnrin clPe de la paix du droit,
une adhésio n aux quatorze points expo-
~sion aux quatorze points expo-
Nous pouvons admettre
si que les causes de l'armis-
~ures que les accepter serait
's ciîi!îu'.ts à ue- Mais sommes-
~itill Jv0n sltun?!lUler? Sur le front occi-
~¡ puvoe stualioll est toujours te le que
lr?is te Il pas desarticulé notre front.
lo,|taiivAI « !>our obtenir de force
~'> (lé..s,nn ont
~nt ft' i : les Anglais ont
~CS ,> y /ré7iia Sl'Ve 23 octobre, dans
~,,:)(:teilr 1 reussir, le 23 octobre. ans
~Iii") pt i"^re esrne-Ie Cateau, les l, rançais
;enti-e i>\ s Américains le 1er no-
~l[|i m ral.Vsép rPnne et la Meuse. Loin
~"III,rne d/see (lUtre forcé de résistance
~• 'V Plu^<5 en plus. Notre situation
~jour , en jour. t,e niauv,,iis
~IIOU 8 favoi-ko f; 1m 1 gètie l'ennertit. Le
~'Uiroi SSo,nen!L t rU frullL le renforce.
~11,1 ~ol, 'sas~'- renforce.
~1'[;1,\ en rn,e7. riches en matériel lui-
continuer à nous battre
~, eitlents pose à nous maintenant.
~Jé ob,lJ
la merci de nos
lf!|ip0 e serait un renoncement à de
~ontl0ns de paix Nos
S Srle? ennemis agis-
~< /rf' n. t !fl lutte nous ne pouvon que
sont lasses de la
, enoopp 1 Cs que la corde de
holch^, ï® fortelnènt tendue?
~a est aux aguets.
'l'lit J nus^i que la
ror' her elle nus.i que la
se transforme en
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~f\, Jus se la guerre aussi rapide que
~antP aujourd'huibui. il
~ni,,ils LSa Hj7^'- dcpt h rrpndrc
~*lln0 véritable nnix
~-tlre nv nr':, d,)nr (le A'nt>\l<;:es
~"C" fia 2nr>,inuPr11 E NU '1P'1 R1° NNNS5
seraient notre ruine. Nous pouvons le faire
malgré la défection de nos alliés. Nous
avons les forces nécessaires pour nous dé-
fendre sur un nouveau front sud-est. Nous
avons assez de matières premières et de
munitions de guerre dé toutes sortes pour
tenir longtemps encore, même si nous som-
mes plus étroitement encerclés. — (F.)
Kreuz-Zeitung, 2.11.
« UN SUCCÈS DÉFENSIF ALLEMAND. » [sous ce
titre]. — A l'appui de ses exigences, l'En-
tente voudrait, à la veille des négociations,
remporter un succès décisif. Le plein suc-
cès défensif que les troupes a lemandes
viennent de marquer sur l'Aisne n'en a
que plus de prix. Nous avons tout lieu de
supposer que le maréchal Foch avait en-
gagé toutes ses forces disponibles. Or sa
tentative de percée sur un large front a com-
platement échoué. Son attaque s'est dé-
clenchée sur tout le front de La Selve (est
de Sissonne) à Grandioré, sur 80 kilomètres.
A l'aile ouest de la Selve jusqu'au saillant
de l'Aisne, au nord de Vouziers, les atta-
ques ennemies ont été complètement re-
poussées ; des contre-attaques ont délogé
l'ennemi de quelques points où son premier
assaut l'avait porté. A l'aile est du sail-
lant de l'Aisne à Grandpré, les adversaires
n'ont remporté de succès locaux qu'en deux
noints, à Terron et à Falaise. Partout ail-
leurs, ils ont été repoussés. Le front allez
mand a tenu contre l'attaque en masse des
Français et il a prouvé qu'il était inéhran-
lable. A a même heure, les Américains
ont attaqué, entre la lisière est de l'Ar-
gonne et la Meuse, en massant dans un
étroit espace un groupe de choc, composé
de plusieurs divisions. Ils ont tenté une
ferrée, d'après les principes napoléoniens.
L'importance des effectifs engagés leur a
permis de pénétrer dans les lignes alle-
mandes et de dépasser la position de l'ar-
tillerie. Mais leur attaque a été verroullée
aussi bien de front que sur les flancs. Nous
les avons empêchés d'exploiter leur succès,
qui est resté limité à un gain local, et qui
n'a pas eu d'influence sur la situation stra-
tégique générale. Ce front mérite toutefois
de retenir notre attention parce qu'il sert
de point d'appui à notre saillant occidental
et que. s'il était ébranlé, tous les secteurs
en subiraient le contrecoup. Notre haut
commandent, a, d'ailleurs, pris les me-
sures nécessaires pour le couvrir. —
En Flandre, nous avons ramené le f~ont
allemand au nord de Deinze, derrière ]'f.s-
cant. Les troupes allemandes se sont ainsi
dérobées sciemment à une attaque immi
pontp. F-'Vs occupent de nouvelles et soli-
des positions. Elles ont devant elles une
rivière, et elles forcent l'ennemi à préna-
rer une nouvelle attaque, ce qui lui deman-
dera du temps et de gros efforts. Nous ga-
gnons du temps. nous différons la décicion
et nous favorisons ainsi les T'lf1nCl de notre
haut commandement. — A Valenciennes,
l'ennemi a remporté des succès locaux ; ils
ont eu comme conséquence un changement
de nos positions qui a entraîné l'évacuation
de la ville. Cette évacuation ne s'est faite
qu'une fois les attaques de l'ennemi re-
poussées. Nous n'avons donc nullement agi
sous la pression de ses armes. - Dans son
ensemble, la journée du 1er novembre, jour-
née de grande bataille, a été favorable à
nos armes. La marche heureuse des com-
bats doit renforcer la confiance du pays.
Nous pouvons compter sur la bravoure et la
force de résistance de nos troupes. — Ham-
burger Nachrichlen, 3.11.
FRONT ITALIEN
De la victoire à l'armistice [sous ce titre],
— La bataille est gagnée ! Le bulletin du
commandemént suprême rappelle opportu-
nément les phases initiales de la guerre
pour les comparer aux événements d'au-
jourd'hui, et il en fait ressortir, sans em-
phase mais avec une légitime fierté, le
sens national. et historique. Après avoir
poursuivi la ruine de l'Italie, les orgueil-
leux états-majors autrichiens sont contraints
à la reddition. La signature de l'armistice
ne suspend pas seulement les opérations
de guerre, mais elle termine une période
historique. La revanche des peuples s'est
fait longtemps attendre, mais elle est ve-
nue, complète, réparatrice. Les soldats ita-
liens en sont les merveilleux artisans. Ce
fut en vain que le militarisme autrichien,
battu plus d'une fois se relevant de ses
défailles, fit. avec le concours de forces mi-
litaires allemandes, de nouvelles offenses
au droit, des peuples ; en vain qu il subiti-
gua la Roumanie : eu vain qu'il tenta à
Caporetto de terminer le conflit avec l'Ita-
lie. Avec une simplicité vraiment romaine,
le commandement italien résume dans son
communiqué une page historique qui a dé-
cidé de la vie et de l'avenir de tant de
peuples. L'Italie s'est vaincue elle-même,
avant de vaincre l'ennemi. Elle supporta
fièrement les inévitables alternatives de la
bataille, les trahisons et les sauts de la
fortune. Elle ne mesura pas l'effort : elle
ne lésina pas sur les sacrifices à suppor-
ter. Elle se donna entièrement pour sa
cause, ainsi qce pour celle de ses alliés.
Elle soutint seule le choc d'un peuple su-
périeur en nombre et en moyens animé par
la haine la, venŒ"n('(\ et la dpctr '^Mon.
Grâce à l'Italie, l'Autriche ne put jamais,
devenir, au ('our;:: de cette guerre, et même
après l'écroulement de la Russie, un élé-
ment de quelque importante pour les suc-
ces militaires - allemands sur le front occi-
dental. Mais la guerre n'est pas encore finie.
Il est douteux que l'empire allemand se
résigne au sort qui 1'nt,o;'n sans ecquisser
une tentative de résistance extrême. Que
cette résistance soitl tI"'èvr ou longue. il faut
que t0\l'r>oc le {'n(>T'ip de i'T7~'n'-'to 'i"')t
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