Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-10-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 octobre 1918 20 octobre 1918
Description : 1918/10/20 (N963). 1918/10/20 (N963).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6449714h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 963
LA GUEURE
ÉTRANGÈRES,
Paris, 20 octobre 1918.
ti n Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
-- ~tt ~Ett~ qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
u ESTIONS MILITAIRES
--
l'1\Ol\lT OCCIDENTAL
Presse anglaise. - La PRINCIPALE LIGNE DE
COMMUNICATION ALl-EMANDE était celle de Lille,
Vallenciennes, Montmédy, Mézières, Metz.
Les Alliés sont à quelques milles de Mont-
~et de Mézières. Si l'une de ces villes
~reprise par les Alliés, les communica-
~entre les armées allemandes dans le
Lille-Douai Valenciennes et celles,
~Ces armées ne pourront se reti-
re et non pas latéralement.
~bloc solide du front ennemi sera brisé
~les uns après les autres. - (Ed.)
~maintenant à voir l'ennemi se retirer
LA LIGNE DE L'ESCAUT. - On peut s'atten-
dres e frn °ntière hn l'ennemi se retirer
la frontière hollandaise par ,il y a Ta
Anvers vers rs et de la Dender qui court
~vers la l ri Valenciennes ;
ligne encore, on dit qu'il
de ces m ^?ien de temps
Allemands essaieront-ils de tenir sur
région de ? Cela, dépend beaucoup
~de la passera plus au sud dans la
région de la fonction des principales ar-
communication contre. lIllportaI)te a ete déclen-
LA RETRAITE ALLEMANDE - Il est évident
que l'ennemi a pris le parti de procéder à
que retraite très considérable pour des rai-
que les ouvertures de paix Quoi qu'il en
te ile il est. d'abandonne, au moins
~des territoires qu'il occupe encore
~Il est contraint qu'il occupe encore
~te de m-PuissajQ.p0 di es Alliés. Ce,
~se retire en assez bon ordre Ce-
"-t!e '-" 11n indice d'effondre-
~aucune perspective de désastre mili-
Allemands ont perdu la guerre,
~e sont Pas encore
ent de leurs le rtune ou un
~ri %a^Ph ent a, 'VWérii tahSip, rV«e ou d'un
~admettre que leur décision de se re.
~dictée par la possibilité imminente
~de leurs alliés autant que
~une plus grande sécurité et au
~purement militaire une im-
~retraite peut leur être profitable, à
grand danger qui les menace actuellement
ne vient même pas des Alliés., mais de la
situation intérieure de leur propre popula-
tion civile. C'est le facteur qui servira en
quelque sorte de pierre de touche à leur
situation militaire. Bref l'Allemagne peut
encore résister longtemps, mais elle ne
pourrait le faire si derrière un front rac-
courci sa population civile était en état de
révolte. — (Ed) Times, 18.10.
Presse norvégienne. — Si les Allemands
se retiraient au-delà de leurs frontières,
cela serait au point de vue purement mili-
taire, un affaiblissement énorme de leurs
positions stratégiques. Les lignes qu'ils
auraient alors à défendre seraient beau-
coup moins favorisées par la nature que
celles qu'ils peuvent choisir en Belgique et
en France pour soutenir leur dernière ré-
sistance. ils pourraient, assurément, se
retirer au-delà du Rhin et dans la Forêt
Noire et reprendre la lutte. Mais alors le
théâtre de la guerre se trouverait en Alle-
magne et, en second lieu, les districts que
les Allemands devraient abandonner aux
Alliés, sont justement ceux qui alimentent
principalement cette «guerre de machines»
—C'est-à-dire les grands districts industriels
des provinces du Rhin et de la Westphalie.
Quoique plusieurs fabriques d'armes et de
munitions et non des moins importantes,
telles que les usines d'Essen et de Bo-
chum et d'autres encore soient situées sur,
la rive droite du Rhin, elles seraient ce-
pendant si près des lignes des Alliés qu'el-
les pourraient être détruites par les
avions de ces derniers ou en tout cas leur
exploitation serait' pratiquement arrêtée.
Une reprise éventuelle de la lutte sur ces.
lignes présagerait par suite un prompt
effondrement de- la puissance militaire alle-
mande. Si l'Allemagne n'est pas en réalité
encore battue et reconnaît cependant en
elle-même qu'elle est vaincue, elle peut,
sans phrase, accepter les conditions d'ar-
mistice imposées par Wilson. — (Capitaine,
R. W. Nörregaard) Morgenbladet [de Chris-
tiania] 10.10.
Presse suisse : LE DILEMME.—Le haut com-
mandement allemand doit avoir pris ces
jours-ci quelques graves décisions grosses
de conséquences. La question principale
était sans doute la suivante: faut-il poursui-
vre la lutte comme'dans le passé, c'est-à-dire
en disputant encore à l'adversaire secteur
après secteur, ou ne vaudrait-il pas mieux,
étant donné la situation militaire, et politi-
que, commencer déjà l'évacuation des pays
occupés, afin de ne pas augmenter inutile-
ment les sacrifices ? Les dernières semaines
ont montré suffisamment que l'armée alle-
mande n'a nullement épuisé sa force de
résistance et qu'elle-peut encore donner du
fil à retordre à ses adversaires. C'est une
lourde erreur de croire qu'il ne s'agisse
plus que d'une promenade militaire jus-
qu'au Rhin, et si de soldat allemand était
forcé de combattre sur son propre sol pour
la défense de ses foyers, il pourrait encore
porter des coups très durs. Mais continuer
à se cramponner loin des -frontières au sol
français et belge ne répond plus tout à
fait à la situation qui, même du seul point
de vue militaire, rend désirable un raccour-
cissement du front. — Le maréchal Foch
s'est brillamment acquitté de sa tâche ; il
a su coordonner d'une façon supérieure,
pour une action unique de grand style, les
forces disparates placées sous son comman-
dement. J'ignore s'il a l'ambition de défai-
re complètement un ennemi qui offre la
paix. En tout cas, je ne crois pas que ses
troupes partagent l'avis des gens à l'abri,
qui réclament toujours do nouvelles effu-
sions de sang. Elles connaissent pour cela
trop bien leur adversaire et savent aussi
ce que c'est que d'affronter ses mitrailleuses.
— (Colonel Egli) Basler Nachrichten, 15.10. -
Presse allemande. — Les replis exécutés
avec calme et méthode au cours des der-
nières semaines par le haut commandement
allemand et le raccourcissement du front
qu'il a ainsi réalisé, lui ont permis de faire
échouer toutes les tentatives de percée en-
nemies. En Champagne, l'attaque, prévue à
temps par les, Allemands s'est terminée
pour les Français par une lourde défaite.
Entre l'Argonne et la Meuse, les Américains
ont échoué dans leurs tentatives de percée
sans cesse renouvelées. Entre Cambrai et
Saint-Quentin les Anglais ont bien pu re-
pousser nos lignes, mais ils n'ont pas réussi
à. passer. Le commandement ennemi espé-
rait beaucoup du succès des opérations en-
tre Cambrai et Saint-Quentin. Dans cette
région, derrière les versants de Prémont,
tout le corps de cavalerie anglaise se tenait
prêt, avec die nombreuses batteries, pour se
lancer dans la trouée et pour aller couper
les communications entre Le Cateau et Va-
lenciennes. Les escadrons anglais repérés
à temps, par les avions allemands ont été
dispersés par le tir de notre artillerie. Le
11 octobre, les Anglais ont de nouveau ten-
té la percée au nord-est de Cambrai, dans
la direction de Valenciennes. Ils ont atta-
qué cette fois avec plusieurs divisions fraî-
ches anglaises et canadiennes, sur un front
relativement étroit, ces troupes étant éche-
lonnées en profondeur, à une grande distan-
ce. Les vagues d'assaut, très denses, étaient
en partie conduites par des officiers mon-
tés. Elles étaient précédées de nombreux
tanks. Leur premier assaut leur a permis
de prendre le village d'Ivuy, situé dans là
ligne allemande. Des contre-attaques alle-
mandes débouchant, avec tanks, des crêtes,
à l'est et au sud-est du village ont bien-
tôt arrêté l'attaque anglaise. Nos replis au
Chemin des Dames, sur l'Aisne et en Cham-
pagne ont continué à raccourcir et à renfor-
cer le front allemand. — Norddeutsche All-
gemeine Zeitung et autres journaux alle-
mands. du 13.10.
—Nous nous replions encore en quelques
points du front. Nous n'avons aucune rai-
son de nous en alarmer. Ces replis du front
LA GUEURE
ÉTRANGÈRES,
Paris, 20 octobre 1918.
ti n Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
-- ~tt ~Ett~ qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
u ESTIONS MILITAIRES
--
l'1\Ol\lT OCCIDENTAL
Presse anglaise. - La PRINCIPALE LIGNE DE
COMMUNICATION ALl-EMANDE était celle de Lille,
Vallenciennes, Montmédy, Mézières, Metz.
Les Alliés sont à quelques milles de Mont-
~et de Mézières. Si l'une de ces villes
~reprise par les Alliés, les communica-
~entre les armées allemandes dans le
Lille-Douai Valenciennes et celles,
~Ces armées ne pourront se reti-
re et non pas latéralement.
~bloc solide du front ennemi sera brisé
~les uns après les autres. - (Ed.)
~maintenant à voir l'ennemi se retirer
LA LIGNE DE L'ESCAUT. - On peut s'atten-
dres e frn °ntière hn l'ennemi se retirer
la frontière hollandaise par ,il y a Ta
Anvers vers rs et de la Dender qui court
~vers la l ri Valenciennes ;
ligne encore, on dit qu'il
de ces m ^?ien de temps
Allemands essaieront-ils de tenir sur
région de ? Cela, dépend beaucoup
~de la passera plus au sud dans la
région de la fonction des principales ar-
communication contre. lIllportaI)te a ete déclen-
LA RETRAITE ALLEMANDE - Il est évident
que l'ennemi a pris le parti de procéder à
que retraite très considérable pour des rai-
que les ouvertures de paix Quoi qu'il en
te ile il est. d'abandonne, au moins
~des territoires qu'il occupe encore
~Il est contraint qu'il occupe encore
~te de m-PuissajQ.p0 di es Alliés. Ce,
~se retire en assez bon ordre Ce-
"-t!e '-" 11n indice d'effondre-
~aucune perspective de désastre mili-
Allemands ont perdu la guerre,
~e sont Pas encore
ent de leurs le rtune ou un
~ri %a^Ph ent a, 'VWérii tahSip, rV«e ou d'un
~admettre que leur décision de se re.
~dictée par la possibilité imminente
~de leurs alliés autant que
~une plus grande sécurité et au
~purement militaire une im-
~retraite peut leur être profitable, à
grand danger qui les menace actuellement
ne vient même pas des Alliés., mais de la
situation intérieure de leur propre popula-
tion civile. C'est le facteur qui servira en
quelque sorte de pierre de touche à leur
situation militaire. Bref l'Allemagne peut
encore résister longtemps, mais elle ne
pourrait le faire si derrière un front rac-
courci sa population civile était en état de
révolte. — (Ed) Times, 18.10.
Presse norvégienne. — Si les Allemands
se retiraient au-delà de leurs frontières,
cela serait au point de vue purement mili-
taire, un affaiblissement énorme de leurs
positions stratégiques. Les lignes qu'ils
auraient alors à défendre seraient beau-
coup moins favorisées par la nature que
celles qu'ils peuvent choisir en Belgique et
en France pour soutenir leur dernière ré-
sistance. ils pourraient, assurément, se
retirer au-delà du Rhin et dans la Forêt
Noire et reprendre la lutte. Mais alors le
théâtre de la guerre se trouverait en Alle-
magne et, en second lieu, les districts que
les Allemands devraient abandonner aux
Alliés, sont justement ceux qui alimentent
principalement cette «guerre de machines»
—C'est-à-dire les grands districts industriels
des provinces du Rhin et de la Westphalie.
Quoique plusieurs fabriques d'armes et de
munitions et non des moins importantes,
telles que les usines d'Essen et de Bo-
chum et d'autres encore soient situées sur,
la rive droite du Rhin, elles seraient ce-
pendant si près des lignes des Alliés qu'el-
les pourraient être détruites par les
avions de ces derniers ou en tout cas leur
exploitation serait' pratiquement arrêtée.
Une reprise éventuelle de la lutte sur ces.
lignes présagerait par suite un prompt
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mande. Si l'Allemagne n'est pas en réalité
encore battue et reconnaît cependant en
elle-même qu'elle est vaincue, elle peut,
sans phrase, accepter les conditions d'ar-
mistice imposées par Wilson. — (Capitaine,
R. W. Nörregaard) Morgenbladet [de Chris-
tiania] 10.10.
Presse suisse : LE DILEMME.—Le haut com-
mandement allemand doit avoir pris ces
jours-ci quelques graves décisions grosses
de conséquences. La question principale
était sans doute la suivante: faut-il poursui-
vre la lutte comme'dans le passé, c'est-à-dire
en disputant encore à l'adversaire secteur
après secteur, ou ne vaudrait-il pas mieux,
étant donné la situation militaire, et politi-
que, commencer déjà l'évacuation des pays
occupés, afin de ne pas augmenter inutile-
ment les sacrifices ? Les dernières semaines
ont montré suffisamment que l'armée alle-
mande n'a nullement épuisé sa force de
résistance et qu'elle-peut encore donner du
fil à retordre à ses adversaires. C'est une
lourde erreur de croire qu'il ne s'agisse
plus que d'une promenade militaire jus-
qu'au Rhin, et si de soldat allemand était
forcé de combattre sur son propre sol pour
la défense de ses foyers, il pourrait encore
porter des coups très durs. Mais continuer
à se cramponner loin des -frontières au sol
français et belge ne répond plus tout à
fait à la situation qui, même du seul point
de vue militaire, rend désirable un raccour-
cissement du front. — Le maréchal Foch
s'est brillamment acquitté de sa tâche ; il
a su coordonner d'une façon supérieure,
pour une action unique de grand style, les
forces disparates placées sous son comman-
dement. J'ignore s'il a l'ambition de défai-
re complètement un ennemi qui offre la
paix. En tout cas, je ne crois pas que ses
troupes partagent l'avis des gens à l'abri,
qui réclament toujours do nouvelles effu-
sions de sang. Elles connaissent pour cela
trop bien leur adversaire et savent aussi
ce que c'est que d'affronter ses mitrailleuses.
— (Colonel Egli) Basler Nachrichten, 15.10. -
Presse allemande. — Les replis exécutés
avec calme et méthode au cours des der-
nières semaines par le haut commandement
allemand et le raccourcissement du front
qu'il a ainsi réalisé, lui ont permis de faire
échouer toutes les tentatives de percée en-
nemies. En Champagne, l'attaque, prévue à
temps par les, Allemands s'est terminée
pour les Français par une lourde défaite.
Entre l'Argonne et la Meuse, les Américains
ont échoué dans leurs tentatives de percée
sans cesse renouvelées. Entre Cambrai et
Saint-Quentin les Anglais ont bien pu re-
pousser nos lignes, mais ils n'ont pas réussi
à. passer. Le commandement ennemi espé-
rait beaucoup du succès des opérations en-
tre Cambrai et Saint-Quentin. Dans cette
région, derrière les versants de Prémont,
tout le corps de cavalerie anglaise se tenait
prêt, avec die nombreuses batteries, pour se
lancer dans la trouée et pour aller couper
les communications entre Le Cateau et Va-
lenciennes. Les escadrons anglais repérés
à temps, par les avions allemands ont été
dispersés par le tir de notre artillerie. Le
11 octobre, les Anglais ont de nouveau ten-
té la percée au nord-est de Cambrai, dans
la direction de Valenciennes. Ils ont atta-
qué cette fois avec plusieurs divisions fraî-
ches anglaises et canadiennes, sur un front
relativement étroit, ces troupes étant éche-
lonnées en profondeur, à une grande distan-
ce. Les vagues d'assaut, très denses, étaient
en partie conduites par des officiers mon-
tés. Elles étaient précédées de nombreux
tanks. Leur premier assaut leur a permis
de prendre le village d'Ivuy, situé dans là
ligne allemande. Des contre-attaques alle-
mandes débouchant, avec tanks, des crêtes,
à l'est et au sud-est du village ont bien-
tôt arrêté l'attaque anglaise. Nos replis au
Chemin des Dames, sur l'Aisne et en Cham-
pagne ont continué à raccourcir et à renfor-
cer le front allemand. — Norddeutsche All-
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