LA GUERR
E r OE8
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 962
Paris, 19 octobre 1918.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
Estions MILITAIRES
Presse PRONT OCCIDENTAL
FLANDRES a.glaise. - LA BATAILLE DES
tenus { --- Les importants résultats ob-
té 0. a.n if, bataille des Flandres ont
été amenés par la , défaite générale des
armées allemandes et par les courageuses
entreprises de notre escadre de Douvres,
par Sir Roger Keyes et par
la flotte de destroyers sous le comman-
Reginald Tyrwhitt, ainsi
l'aviation. La perte Par l'ennemi de
de es l, landres est très importante au
point le V Li ava,l.Les opérations alliées
dans le Nord n'ont plus importance qui
était strat-,~ à un moment donné.
straté0i« ^L se trouve ~auieurs.
toutefois, l'encerclement de Lille et la
prise de „la««te flamande sont des tâches
de l'effort de notre groupe d'ar-
des Flandres. Nous souhaitons bonne
~au Hpc Kes dans la poursui-
troUVe entreprise. Pas loin de Courtrai
se trouve e lUis Br~e~s. L'entrée
courageux souverain dans sa capitale
la tête des armées victorieuses sera l'un
plus beaux épisodes de la guerre.
liciter le roi toUs vivre pour le voir et
SOn peuple qui, pendant
quatre ans, ont supporté toutes les tortu-
res morales et In,atérielles q,uJ'un peuple
puisse infliger à un autre. Le patriotisme
ténacité du peuple belge dans l'ad-
versité ont été sans cesse présents à no-
cœur. C'est pour remplir nos devoirs
envers la lQ. glQue que nous sommes en-
trés S «Vans guerre, et c'est pour cela que
vous avons souffert tant de pertes cruel-
gique et 0?? hérot&mp h S6S nombreux ci-
les. L'histoire des souffrances de la Bel-
gique et de l'héroisme de ses nombreux ci-
pendant ce temps sera un jour ra-
licg de sang des martyrs a
gne a déchiré JOUr si fatal oÙ l'Allema-
gne a déchiré les ra'lttS. pensons
que les souffrance sont finies ; mais si, en
la Belgique, le commandement
qt rlOu.s Iiv ln.ü sA Igriobles pratiques,
nous livrerons à de telles représail-
S Mo fin des siècles. - (Colonel
« RETRAITE BIEN MENÉE » [ sous ce titre]. -
L'agitation qui règne depuis quelques jours
a donné lieu, assez naturellement d'ail-
Ions en ce qui
concerne la situation 1-nilitaire sur le front
occidentale.On a parlé de couper la retraite
a parlé d'un alleTtiandpc x
à des armées allemandes tout entières, on
a parlé d'un Sedan gigantesque ; mais
j'avoue que je ne peux voir :aiUcune pro-
babilité immédiate d'un cataclysme mili-
taire lt de ll'rnes allemandes à l'Ouest.
suite de victoire remportée le 8 oc-
tobre par Sir D. Haig, les Allemands ont
été obligés de se retirer sur la ligne Hun-
ding-Kriemhilde. Il est trois douteux qu'ils
puissent se maintenir longtemps dans ce
nouveau refuge, mais dans l'ensemble leur
retraite a été bien menée : ils ont contre-
attaqué vigoureusement sur le Selle, et,
s'il est certain que leur valeur combative
est sensiblement affaiblie, rien ne prouve
qu'elle soit brisée. Grâce à ses ressources,
Foch peut frapper dans les Flandres et sur
la Meuse sans réduire la pression sur les
autres fronts. Aussi, bien que le complet
effondrement des forces militaires de l'en-
nemi ne soit pas encore en vue, la situa-
tion militaire est assez favorable pour
nous donner la certitude de pouvoir obli-
ger l'ennemi à se plier un jour ou l'autre
aux exigences des Alliés. — (Général Mau-
rice) Daily News, 16.10.
Presse norvégienne. — Nous sommes à
une phase de la bataille de la plus haute
importance. Les deux adversaires ont
pleine conscience qu'il s'agit de la déci-
sion, peut-être même du résultat définitif
de la guerre, en tout cas de celui de la
campagne de cette année, car il est pro-
bable que les Alliés ne seront pas en me-
sure de continuer leur offensive sur une
aussi grande échelle encore longtemps.
Les Allemands auront alors un trimestre
de répit, qu'ils pourront utiliser pour
construire de nouvelles lignes de défense,
très courtes et très fortes, s'appuyant sur
des obstacles naturels d'une grande puis-
sance. Ils peuvent augmenter et améliorer
leurs armes spéciales contre tanks,et peut-
être même organiser des escadres de tanks
qui pourront renforcer la puissance de
leur offensive. — Les combats de ces der-
niers jours se sont développés de telle
sorte qu'il s'agit surtout de gagner du
temps. Le temps décide actuellement du
résultat final. C'est pourquoi les deux par-
tis l'utilisent avec science ; lui seul peut
nous montrer quel sera le vainqueur. —
(Capitaine W. Nörregaard). Morgenbladet
[de Christia]. 10.10.
LA TACTIQUE DE FOCH. — Foch a. préféré
revenir à son ancien système qui lui a
donné de si bons résultats. Il déplace son
point d'attaque d'un secteur à un autre,
Il emploie toute sa force pour gagner du
terrain sur une partie du front relative-
ment limitée, et il a soin que sur ce point
il soit si supérieur à l'adversaire qu'il
puisse compter sur une avance rapide et
pousser son attaque aussi loin que possi-
ble. Mais dès qu'il est arrivé à ce résultat
-t't, volontiers même, avant d'y être par
venu, il lance une nouvelle attacrue sur
une autre partie du front à l'aide des
mêmes moyens et atteint souvent les mê-
mes résultats. - Les Alliés cherchent à
utiliser de la meilleure manière' les avan-
tages que leur offre la configuration du
front. Jusqu'ici le front allemand a tenu.
Mais le danger que. sur une partie du
front ou sur une autre, les Alliés réussis-
sent à le percer, est suspendu constam-
ment sur leur tête, comme une épée de
Damoclès. Si cela arrive, une catastrophe
pourra facilement se produire pour toute
l'armée allemande, et c'est cette catastro
phe que les Alliés cherchent à amener en
y employant toutes leurs forces — et avant
que la saison soit trop avancée. — (Capi-
taine B. W. Nörregaard) Morgenbladet
[de Christiania], 10.10.
Presse allemande. — Beaucoup d'Alle-
mands se demandent pourquoi nous avons
fait une démarche en faveur de la paix,
puisque notre système de tranchées rend
toute percée du front impossible. Nous
pouvons être. fiers, en effet, des exploits
accomplis par nos troupes. Si l'ennemi en
engageant des masses considérables de
troupes nous a refoulés en plusieurs points
du front, nous avons enrayé toutes ses ten-
tatives de percée, et il est évident que nous
pouvons, de cette façon systématique, con-
tinuer la guerre longtemps encore. L'ar-
mée allemande est loin d'être anéantie.
Nous avons des réserves dans nos dépôts
et à l'intérieur. Mais nos ressources ont
des limites, et elles sont très inférieures à
celles de nos adversaires — des Américains
surtout. Voilà pourquoi nous nous som-
mes demandé ce que les belligérants avaient
à gagner à de nouvelles effusions de sang,
Si l'ennemi réussissait à progresser enco-
re, dans quel état trouvera-t-il les régions
qu'il reprendra ? D'autre part, il n'est pas
impossible que nous puissions nous aussi
enfoncer de nouveau des coins dans le
front ennemi. Mais la situation militaire
sera-t-elle par suite complètement modi-
fiée ? N'était-ce pas une sage résolution
que de ne pas désirer se battre un jour
de plus qu'il ne le fallait ? Solidement or-
ganisés pour la défensive, occupant de
vastes régions du territoire ennemi, et
sûrs d'être assez forts pour tenir tête à
l'ennemi, nous avons tendu la main à
l'ennemi, pour que lè sang ne soit pas
inutilement versé, sans qu'un changement
appréciable soit apporté à bref délai, dans
sa situation et dans la nôtre. La démar-
che était délicate. Elle était faite par des
âmes généreuses qui voient la détresse des
peuples qui se battent. — Norddeutsche
Allgemeine Zeitung, 12.10.
« A LA VEILLE DE GRAVES DÉCISIONS » [SOUS
ce titre]. — Le sort en est jeté. Nous at-
tendons la réponse du Président.Mais plus
que jamais noms dévons nous dire : « Si
vis pacem, para bellum », et veiller à ce
que notre front soit solide, en ces jours
graves, tels que l'Allemagne n'en a pas
connu de plus critiques depuis la guerre
qu'elle a faite pour sa liberté. N'écoutons
pas les rumeurs mises en circulation par
des irresponsables qui font le jeu de l'en-
nemi. C'est l'élasticité de notre front qui
fait sa force, et qui nous a permis, à nous,
un peuple de 70 millions, de tenir tête aux
E r OE8
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 962
Paris, 19 octobre 1918.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
Estions MILITAIRES
Presse PRONT OCCIDENTAL
FLANDRES a.glaise. - LA BATAILLE DES
tenus { --- Les importants résultats ob-
té 0. a.n if, bataille des Flandres ont
été amenés par la , défaite générale des
armées allemandes et par les courageuses
entreprises de notre escadre de Douvres,
par Sir Roger Keyes et par
la flotte de destroyers sous le comman-
Reginald Tyrwhitt, ainsi
l'aviation. La perte Par l'ennemi de
de es l, landres est très importante au
point le V Li ava,l.Les opérations alliées
dans le Nord n'ont plus importance qui
était strat-,~ à un moment donné.
straté0i« ^L se trouve ~auieurs.
toutefois, l'encerclement de Lille et la
prise de „la««te flamande sont des tâches
de l'effort de notre groupe d'ar-
des Flandres. Nous souhaitons bonne
~au Hpc Kes dans la poursui-
troUVe entreprise. Pas loin de Courtrai
se trouve e lUis Br~e~s. L'entrée
courageux souverain dans sa capitale
la tête des armées victorieuses sera l'un
plus beaux épisodes de la guerre.
liciter le roi toUs vivre pour le voir et
SOn peuple qui, pendant
quatre ans, ont supporté toutes les tortu-
res morales et In,atérielles q,uJ'un peuple
puisse infliger à un autre. Le patriotisme
ténacité du peuple belge dans l'ad-
versité ont été sans cesse présents à no-
cœur. C'est pour remplir nos devoirs
envers la lQ. glQue que nous sommes en-
trés S «Vans guerre, et c'est pour cela que
vous avons souffert tant de pertes cruel-
gique et 0?? hérot&mp h S6S nombreux ci-
les. L'histoire des souffrances de la Bel-
gique et de l'héroisme de ses nombreux ci-
pendant ce temps sera un jour ra-
licg de sang des martyrs a
gne a déchiré JOUr si fatal oÙ l'Allema-
gne a déchiré les ra'lttS. pensons
que les souffrance sont finies ; mais si, en
la Belgique, le commandement
qt rlOu.s Iiv ln.ü sA Igriobles pratiques,
nous livrerons à de telles représail-
S Mo fin des siècles. - (Colonel
« RETRAITE BIEN MENÉE » [ sous ce titre]. -
L'agitation qui règne depuis quelques jours
a donné lieu, assez naturellement d'ail-
Ions en ce qui
concerne la situation 1-nilitaire sur le front
occidentale.On a parlé de couper la retraite
a parlé d'un alleTtiandpc x
à des armées allemandes tout entières, on
a parlé d'un Sedan gigantesque ; mais
j'avoue que je ne peux voir :aiUcune pro-
babilité immédiate d'un cataclysme mili-
taire lt de ll'rnes allemandes à l'Ouest.
suite de victoire remportée le 8 oc-
tobre par Sir D. Haig, les Allemands ont
été obligés de se retirer sur la ligne Hun-
ding-Kriemhilde. Il est trois douteux qu'ils
puissent se maintenir longtemps dans ce
nouveau refuge, mais dans l'ensemble leur
retraite a été bien menée : ils ont contre-
attaqué vigoureusement sur le Selle, et,
s'il est certain que leur valeur combative
est sensiblement affaiblie, rien ne prouve
qu'elle soit brisée. Grâce à ses ressources,
Foch peut frapper dans les Flandres et sur
la Meuse sans réduire la pression sur les
autres fronts. Aussi, bien que le complet
effondrement des forces militaires de l'en-
nemi ne soit pas encore en vue, la situa-
tion militaire est assez favorable pour
nous donner la certitude de pouvoir obli-
ger l'ennemi à se plier un jour ou l'autre
aux exigences des Alliés. — (Général Mau-
rice) Daily News, 16.10.
Presse norvégienne. — Nous sommes à
une phase de la bataille de la plus haute
importance. Les deux adversaires ont
pleine conscience qu'il s'agit de la déci-
sion, peut-être même du résultat définitif
de la guerre, en tout cas de celui de la
campagne de cette année, car il est pro-
bable que les Alliés ne seront pas en me-
sure de continuer leur offensive sur une
aussi grande échelle encore longtemps.
Les Allemands auront alors un trimestre
de répit, qu'ils pourront utiliser pour
construire de nouvelles lignes de défense,
très courtes et très fortes, s'appuyant sur
des obstacles naturels d'une grande puis-
sance. Ils peuvent augmenter et améliorer
leurs armes spéciales contre tanks,et peut-
être même organiser des escadres de tanks
qui pourront renforcer la puissance de
leur offensive. — Les combats de ces der-
niers jours se sont développés de telle
sorte qu'il s'agit surtout de gagner du
temps. Le temps décide actuellement du
résultat final. C'est pourquoi les deux par-
tis l'utilisent avec science ; lui seul peut
nous montrer quel sera le vainqueur. —
(Capitaine W. Nörregaard). Morgenbladet
[de Christia]. 10.10.
LA TACTIQUE DE FOCH. — Foch a. préféré
revenir à son ancien système qui lui a
donné de si bons résultats. Il déplace son
point d'attaque d'un secteur à un autre,
Il emploie toute sa force pour gagner du
terrain sur une partie du front relative-
ment limitée, et il a soin que sur ce point
il soit si supérieur à l'adversaire qu'il
puisse compter sur une avance rapide et
pousser son attaque aussi loin que possi-
ble. Mais dès qu'il est arrivé à ce résultat
-t't, volontiers même, avant d'y être par
venu, il lance une nouvelle attacrue sur
une autre partie du front à l'aide des
mêmes moyens et atteint souvent les mê-
mes résultats. - Les Alliés cherchent à
utiliser de la meilleure manière' les avan-
tages que leur offre la configuration du
front. Jusqu'ici le front allemand a tenu.
Mais le danger que. sur une partie du
front ou sur une autre, les Alliés réussis-
sent à le percer, est suspendu constam-
ment sur leur tête, comme une épée de
Damoclès. Si cela arrive, une catastrophe
pourra facilement se produire pour toute
l'armée allemande, et c'est cette catastro
phe que les Alliés cherchent à amener en
y employant toutes leurs forces — et avant
que la saison soit trop avancée. — (Capi-
taine B. W. Nörregaard) Morgenbladet
[de Christiania], 10.10.
Presse allemande. — Beaucoup d'Alle-
mands se demandent pourquoi nous avons
fait une démarche en faveur de la paix,
puisque notre système de tranchées rend
toute percée du front impossible. Nous
pouvons être. fiers, en effet, des exploits
accomplis par nos troupes. Si l'ennemi en
engageant des masses considérables de
troupes nous a refoulés en plusieurs points
du front, nous avons enrayé toutes ses ten-
tatives de percée, et il est évident que nous
pouvons, de cette façon systématique, con-
tinuer la guerre longtemps encore. L'ar-
mée allemande est loin d'être anéantie.
Nous avons des réserves dans nos dépôts
et à l'intérieur. Mais nos ressources ont
des limites, et elles sont très inférieures à
celles de nos adversaires — des Américains
surtout. Voilà pourquoi nous nous som-
mes demandé ce que les belligérants avaient
à gagner à de nouvelles effusions de sang,
Si l'ennemi réussissait à progresser enco-
re, dans quel état trouvera-t-il les régions
qu'il reprendra ? D'autre part, il n'est pas
impossible que nous puissions nous aussi
enfoncer de nouveau des coins dans le
front ennemi. Mais la situation militaire
sera-t-elle par suite complètement modi-
fiée ? N'était-ce pas une sage résolution
que de ne pas désirer se battre un jour
de plus qu'il ne le fallait ? Solidement or-
ganisés pour la défensive, occupant de
vastes régions du territoire ennemi, et
sûrs d'être assez forts pour tenir tête à
l'ennemi, nous avons tendu la main à
l'ennemi, pour que lè sang ne soit pas
inutilement versé, sans qu'un changement
appréciable soit apporté à bref délai, dans
sa situation et dans la nôtre. La démar-
che était délicate. Elle était faite par des
âmes généreuses qui voient la détresse des
peuples qui se battent. — Norddeutsche
Allgemeine Zeitung, 12.10.
« A LA VEILLE DE GRAVES DÉCISIONS » [SOUS
ce titre]. — Le sort en est jeté. Nous at-
tendons la réponse du Président.Mais plus
que jamais noms dévons nous dire : « Si
vis pacem, para bellum », et veiller à ce
que notre front soit solide, en ces jours
graves, tels que l'Allemagne n'en a pas
connu de plus critiques depuis la guerre
qu'elle a faite pour sa liberté. N'écoutons
pas les rumeurs mises en circulation par
des irresponsables qui font le jeu de l'en-
nemi. C'est l'élasticité de notre front qui
fait sa force, et qui nous a permis, à nous,
un peuple de 70 millions, de tenir tête aux
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Les Monuments historiques de la France : bulletin des diverses sections de la Commission des monuments historiques et de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites /ark:/12148/bd6t5377978f.highres Annales de la Société des architectes de l'Est et Annuaire du bâtiment : Ardennes, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Vosges /ark:/12148/bd6t543240573.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k64497133/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k64497133/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k64497133/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k64497133/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k64497133
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k64497133
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k64497133/f1.image × Aide