Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-10-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 octobre 1918 10 octobre 1918
Description : 1918/10/10 (N953). 1918/10/10 (N953).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64497044
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
DE LA GUERRE
Rr ORS
.\IUlL.. DES
^J^GÊRES
N° 953
Paris, 10 octobre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UB8TIONS MILITAIRES
ENSEMBLE DES FRONTS
Presse suisse.- Du 4.10 : C'est laillux
troupes tfJU:) les « qui a rendu possi-
l'urIn(; Uc^y de l'Entente, même
de l'armée de Salonique par ce qu'il
°ite et i. r^e'r le front Ouest. Lex-
en la gauche de Franchet d'Es-
(] .,ri re sur le' centre. La re-
excentrique du groupe allemand-bul-
:Se d'égao-r. a permis à Pflanzer-Bal-
111'1 'egager de l'ennen:Ü : il est pro-
qu'il assurera la ligne Durazzo- De-
JUsqu'à ce que la défense aus-
tro-Hongroise ait été organisée dans la ré-
;'\ et la m- dans les vallées de la
et de la NIS<.l\'1:1. Sur le front italien
il aux: on ne saurait encore pré-
il y aura raccourcissement des lignes
,Vuliser «J1 Vliver, mouvement dif.
ufe attTfrns. fournir à l'ennemi l'oc-
■. attaque,, mais plus difficile en-
'ive cle batallle. - A l'Ouest devant
retraiter FOCh, les Allemands ont dû
celrile, qui peut à tout mo-
qui ftoIlt errompu par des attaques ve-
front nord de Verdun ou des chocs
venant du front de la Moselle. En
la ligne indiquée par nous, Dun-
-Vouziers, paraît s'être rappro-
)QlIïle'un de combat. Laon subsiste
comme une articulation forte et bien
mais peeut rapidement jouer un
dans la bataille. si l'attaque m-
contre Cambrai-Saint-Quentin rend
un raccourcissement du front. 11
r s la coupure réalisée
IIDe reeoncentrRtion des Alle-
dans la vallée de la Serre. Pendant
l'aile gauche de Rupprecht a
rll'Ilt Ljiu Lille et Douai. Le dé-
de Lille au Nord, le déracine-
C* ^VoirT1' Cambrai, Saint-
font prévooir l'évacuation de Lille.
de mer les Allemands multi-
^Hn'^e s„r ^es , pour rendre plus
afin {ff' e Slr Roulers et gagner du
]"• rji, d Ie'nr aile extrême
la rpQ- i so rapproche (Je
If' <;e' ^orte sir rî?e s'intensifiera.
] ^f>ch s "r l'Escaut, le problè-
pour Foch de cer les Allemands
décisive SUI' p]aC'e afin eVL
'':l'rt]i)n) 'r¡t df' la Brlgiqne. -
Presse angllaise.- Un Sedan f d'une am-
trois fois plus grande, at dans une
rait e de cette ville in-
pourrait être le seul résultat d'un
remporté par Gouraud et
Ligget sur le flanc du Kronprinz, tandis
que Mangin et Berthelot le talonneraient
sur les routes menant à l'étroite base-fron-
tière Mézièrès-Hirson ou même Mézières-
Valenciennes. Ceci explique pourquoi, sauf
dans le secteur de Cambrai, principal
avant-poste de Valenciennes, Hindenburg
ne réagit nulle part avec autant de vigueur
que sur.le front! occupé par les Américains
à l'est de l'Argonne. Pour défendre les brè-
ches de Cambrai et de Stenay, des troupe
ont été amenées des Flandrès et de l'Alsa-
ce-Lorraine, et il en résulte que si Castel-
nau se mettait en mouvement dans ce der-
nier secteur, il ferait sans doute une mois-
son aussi rapide et aussi facile que celle du
roi Albert. — Outlook, 5.10. -
— Les Français, dont l'attaque en Cham-
pagne avait pour but de reconquérir les
forts de Reims, ont progressé avec une
rapidité à laquelle les Allemands, apparem-
ment, ne s'attendaient pas ; ils ont débor-
dé les hauteurs par le Nord èt le Sud, et
ils ont enfermé la garnison dans une poche
dont tous les occupants n'ont pu sortir à
temps. Le communiqué du 5 au soir an-
nonçant la chute de Brimontl et de Moron-
villers et l'encerclement de Nogent-l'Abbes-
se, laisse supposer que les Français se sont
portés trop rapidement vers le Nord, et
que, pour une foi, les Allemands, rarement
imprévoyants dans la retraite, ont été pris
au dépourvu. Ce succès est plus que le
dégagement de Reims et la reprise dé for-
tes positions. S'il continue, il influera
fortement sur la ligne allemande au nord-
ouest de Laon, et à l'est, jusqu'en Argonne.
Sè tournant vers le Nord-Ouest les Fran-
çais peuvent tourner Laon et le Chemin
des Dames par la région plus facile qui
s'étend au delà de Craonne ; se tournant
vers l'Est, ils avancent dans la grande bou-
cle de l'Aisne — c'est-à-dire vers l'arrière
de tout le front allemand jusqu'à l'Argonne
et la Meuse. Nous devrions voir d'impor-
tants résultats d'ici quelques jours. — (Ed.)
Manchester Guardian, 7.10.
Presse allemande. — Sous le titre :
« LA VÉRITÉ SUR LA LIGNE HINDENBURG ». -
Dans lEntente on continue à parler de la
« ligne Hindenburg ». Nous ne connaissons
pas de ligne Hindenburg. Le système de dé
fense que nous avons établi, au printemps de
1917, pour raccourcir notre front, a été or-
ganisé sur l'ordre de Hindenburg. Il ne
s'agit pas ici d'une ligne unique, mais d'un
système, profond de - plusieurs kilomètres,
qui comprend différentes position en éche-
lonnement. L'ennemi a pu prendre pied, çà
et là, dans les avancées de ce système pro-
fond, mais toute notre organisation défen-
sive se trouve encore, dans sa profondeur,
en face de lui. Nos ennemis voudraient
faire croire au monde qu'ils ont enfin
réussi à percer. C'est consciemment qu'ils
falsifient les faits. — Tag et autres jour-
naux allemands du 3.10.
FRONTS D'ORIENT
« La situation en Macédoine ». — De
Vienne, 2 octobre : L'effondrement militai-
re en Macédoine s'explique par le fait que
le front n'était pas tenu par les troupes
d'élite de la Bulgarie. Celles-ci se trou-
vaient dans la zone des étapes et il n'est
pas impossible que SüVOV, le Hindenburg
bulgare, obtienne qu'elles restent fidèles a
notre alliance. On peut évaluer ces trou-
pes à 200.000 hommes. Nous ne savons pas
très clairement ce qui se passe sur le
champ de bataille. Les troupes de l'Enten-
te, progressant le long de la frontière grec-
que jusqu'au lac de Presba sont mainte-
nant en contact avec les vieilles unités
bulgares. Celles-ci ignorent encore que
l'ennemi a demandé l'évacuation des posi-
tions qu'elles tiennent. L'armistice n'empê-
che pas qu'il y ait des rencontres entre
des patrouilles ou de petits détachements.
En certains endroits, les troupes bulgares
tiennent des positions verrouillées et bar-
rent les passages. La situation est très
confuse. Il faut attendre pour voir ce que
fera Savoy. Jamais un adversaire n'a fcte
mieux instruit de ce qui se passait dans le
pays qu'il voulait attaquer, que ne le fu-
rent les Américains en Bulgarie. Le gou-
vernement américain n'avait pas rompu ses
relations diplomatiques avec ce royaume.
Son ambassadeur était au courant de tou-
tes les décisions militaires prises par la
Bulgarie. En politique, il a fini par séduire
Malinov et ses partisans. Il n'y a plus à
en douter, l'Entente a promis des compen-
sations à lia. Bulgarie du côté de l'Est. La
Russie ne pourra plus faire d'objections ;
sur ce terrain, il sera plus facile de tom-
ber d'accord avec l'Angleterre ; la Serbie
et la Grèce ne seront pas lésées. Le seul
parti que, dans ces conditions, puissent
prendre les Puissances de l'Europe cen-
trale. c'est de se couvrir militairement,
sans tenir compte des intrigues politiques
actuelles dans les Balkans. Jusqu,ici nos
rapports avec les troupes et les autorités
bulgares ont continué à être excellents.
Personne ne peut dire s'il en sera de mê-
me demain. Comme répercussion de cet
événement, signalons quelques engage-
ments de peu d'importance sur le front
d'Albanie. Les Italiens ont tâté nos lignes
en quelques points. Leurs compagnies de
reconnaissance ont subi plus de pertes
qu'elles n'ont cueilli de lauriers. — (Karl
Friedrich Nowak) Kölniche Zeitung, 3.10.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
LES EVENEMENTS DE RUSSIE
« La menace anglaise sur la mer Cas-
pienne » [sous ce titre]. — D'Amsterdam,
i 1er octobre ; Des troupes anglaises ont éta-
Rr ORS
.\IUlL.. DES
^J^GÊRES
N° 953
Paris, 10 octobre 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UB8TIONS MILITAIRES
ENSEMBLE DES FRONTS
Presse suisse.- Du 4.10 : C'est laillux
troupes tfJU:) les « qui a rendu possi-
l'urIn(; Uc^y de l'Entente, même
de l'armée de Salonique par ce qu'il
°ite et i. r^e'r le front Ouest. Lex-
en la gauche de Franchet d'Es-
(] .,ri re sur le' centre. La re-
excentrique du groupe allemand-bul-
:Se d'égao-r. a permis à Pflanzer-Bal-
111'1 'egager de l'ennen:Ü : il est pro-
qu'il assurera la ligne Durazzo- De-
JUsqu'à ce que la défense aus-
tro-Hongroise ait été organisée dans la ré-
;'\ et la m- dans les vallées de la
et de la NIS<.l\'1:1. Sur le front italien
il aux: on ne saurait encore pré-
il y aura raccourcissement des lignes
,Vuliser «J1 Vliver, mouvement dif.
ufe attTfrns. fournir à l'ennemi l'oc-
■. attaque,, mais plus difficile en-
'ive cle batallle. - A l'Ouest devant
retraiter FOCh, les Allemands ont dû
celrile, qui peut à tout mo-
qui ftoIlt errompu par des attaques ve-
front nord de Verdun ou des chocs
venant du front de la Moselle. En
la ligne indiquée par nous, Dun-
-Vouziers, paraît s'être rappro-
)QlIïle'un de combat. Laon subsiste
comme une articulation forte et bien
mais peeut rapidement jouer un
dans la bataille. si l'attaque m-
contre Cambrai-Saint-Quentin rend
un raccourcissement du front. 11
r s la coupure réalisée
IIDe reeoncentrRtion des Alle-
dans la vallée de la Serre. Pendant
l'aile gauche de Rupprecht a
rll'Ilt Ljiu Lille et Douai. Le dé-
de Lille au Nord, le déracine-
C* ^VoirT1' Cambrai, Saint-
font prévooir l'évacuation de Lille.
de mer les Allemands multi-
^Hn'^e s„r ^es , pour rendre plus
afin {ff' e Slr Roulers et gagner du
]"• rji, d Ie'nr aile extrême
la rpQ- i so rapproche (Je
If' <;e' ^orte sir rî?e s'intensifiera.
] ^f>ch s "r l'Escaut, le problè-
pour Foch de cer les Allemands
décisive SUI' p]aC'e afin eVL
'':l'rt]i)n) 'r¡t df' la Brlgiqne. -
Presse angllaise.- Un Sedan f d'une am-
trois fois plus grande, at dans une
rait e de cette ville in-
pourrait être le seul résultat d'un
remporté par Gouraud et
Ligget sur le flanc du Kronprinz, tandis
que Mangin et Berthelot le talonneraient
sur les routes menant à l'étroite base-fron-
tière Mézièrès-Hirson ou même Mézières-
Valenciennes. Ceci explique pourquoi, sauf
dans le secteur de Cambrai, principal
avant-poste de Valenciennes, Hindenburg
ne réagit nulle part avec autant de vigueur
que sur.le front! occupé par les Américains
à l'est de l'Argonne. Pour défendre les brè-
ches de Cambrai et de Stenay, des troupe
ont été amenées des Flandrès et de l'Alsa-
ce-Lorraine, et il en résulte que si Castel-
nau se mettait en mouvement dans ce der-
nier secteur, il ferait sans doute une mois-
son aussi rapide et aussi facile que celle du
roi Albert. — Outlook, 5.10. -
— Les Français, dont l'attaque en Cham-
pagne avait pour but de reconquérir les
forts de Reims, ont progressé avec une
rapidité à laquelle les Allemands, apparem-
ment, ne s'attendaient pas ; ils ont débor-
dé les hauteurs par le Nord èt le Sud, et
ils ont enfermé la garnison dans une poche
dont tous les occupants n'ont pu sortir à
temps. Le communiqué du 5 au soir an-
nonçant la chute de Brimontl et de Moron-
villers et l'encerclement de Nogent-l'Abbes-
se, laisse supposer que les Français se sont
portés trop rapidement vers le Nord, et
que, pour une foi, les Allemands, rarement
imprévoyants dans la retraite, ont été pris
au dépourvu. Ce succès est plus que le
dégagement de Reims et la reprise dé for-
tes positions. S'il continue, il influera
fortement sur la ligne allemande au nord-
ouest de Laon, et à l'est, jusqu'en Argonne.
Sè tournant vers le Nord-Ouest les Fran-
çais peuvent tourner Laon et le Chemin
des Dames par la région plus facile qui
s'étend au delà de Craonne ; se tournant
vers l'Est, ils avancent dans la grande bou-
cle de l'Aisne — c'est-à-dire vers l'arrière
de tout le front allemand jusqu'à l'Argonne
et la Meuse. Nous devrions voir d'impor-
tants résultats d'ici quelques jours. — (Ed.)
Manchester Guardian, 7.10.
Presse allemande. — Sous le titre :
« LA VÉRITÉ SUR LA LIGNE HINDENBURG ». -
Dans lEntente on continue à parler de la
« ligne Hindenburg ». Nous ne connaissons
pas de ligne Hindenburg. Le système de dé
fense que nous avons établi, au printemps de
1917, pour raccourcir notre front, a été or-
ganisé sur l'ordre de Hindenburg. Il ne
s'agit pas ici d'une ligne unique, mais d'un
système, profond de - plusieurs kilomètres,
qui comprend différentes position en éche-
lonnement. L'ennemi a pu prendre pied, çà
et là, dans les avancées de ce système pro-
fond, mais toute notre organisation défen-
sive se trouve encore, dans sa profondeur,
en face de lui. Nos ennemis voudraient
faire croire au monde qu'ils ont enfin
réussi à percer. C'est consciemment qu'ils
falsifient les faits. — Tag et autres jour-
naux allemands du 3.10.
FRONTS D'ORIENT
« La situation en Macédoine ». — De
Vienne, 2 octobre : L'effondrement militai-
re en Macédoine s'explique par le fait que
le front n'était pas tenu par les troupes
d'élite de la Bulgarie. Celles-ci se trou-
vaient dans la zone des étapes et il n'est
pas impossible que SüVOV, le Hindenburg
bulgare, obtienne qu'elles restent fidèles a
notre alliance. On peut évaluer ces trou-
pes à 200.000 hommes. Nous ne savons pas
très clairement ce qui se passe sur le
champ de bataille. Les troupes de l'Enten-
te, progressant le long de la frontière grec-
que jusqu'au lac de Presba sont mainte-
nant en contact avec les vieilles unités
bulgares. Celles-ci ignorent encore que
l'ennemi a demandé l'évacuation des posi-
tions qu'elles tiennent. L'armistice n'empê-
che pas qu'il y ait des rencontres entre
des patrouilles ou de petits détachements.
En certains endroits, les troupes bulgares
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rent les passages. La situation est très
confuse. Il faut attendre pour voir ce que
fera Savoy. Jamais un adversaire n'a fcte
mieux instruit de ce qui se passait dans le
pays qu'il voulait attaquer, que ne le fu-
rent les Américains en Bulgarie. Le gou-
vernement américain n'avait pas rompu ses
relations diplomatiques avec ce royaume.
Son ambassadeur était au courant de tou-
tes les décisions militaires prises par la
Bulgarie. En politique, il a fini par séduire
Malinov et ses partisans. Il n'y a plus à
en douter, l'Entente a promis des compen-
sations à lia. Bulgarie du côté de l'Est. La
Russie ne pourra plus faire d'objections ;
sur ce terrain, il sera plus facile de tom-
ber d'accord avec l'Angleterre ; la Serbie
et la Grèce ne seront pas lésées. Le seul
parti que, dans ces conditions, puissent
prendre les Puissances de l'Europe cen-
trale. c'est de se couvrir militairement,
sans tenir compte des intrigues politiques
actuelles dans les Balkans. Jusqu,ici nos
rapports avec les troupes et les autorités
bulgares ont continué à être excellents.
Personne ne peut dire s'il en sera de mê-
me demain. Comme répercussion de cet
événement, signalons quelques engage-
ments de peu d'importance sur le front
d'Albanie. Les Italiens ont tâté nos lignes
en quelques points. Leurs compagnies de
reconnaissance ont subi plus de pertes
qu'elles n'ont cueilli de lauriers. — (Karl
Friedrich Nowak) Kölniche Zeitung, 3.10.
——— ———
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
LES EVENEMENTS DE RUSSIE
« La menace anglaise sur la mer Cas-
pienne » [sous ce titre]. — D'Amsterdam,
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