Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-10-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 octobre 1918 09 octobre 1918
Description : 1918/10/09 (N952). 1918/10/09 (N952).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6449703q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
PRES DE LA GU ERRE
ET DES
RES ÉTRANGERES
N° 952
l'aris, 9 octobre 1918.
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UErlUN MILITAIRES
Presse OCCIDENTAL
Presse allemande. - L'effondrement de
Bulgarie s:et !)l"oduit au moment où no-
~a l'Ouest SUDit une énorme pres-
~Depuis les Belges et les Anglais réu-
ses le 110 K- une violente atta-
ques dans les Flandres. lls nous ont délogés,
le saillant d'Ypres, des positions où
~avions résisté aux puissants assauts
maréchal Haig. Nous avons dû évacuer
i, l'tant qui peut à cha-
~tant s'étendre au sud de Lille, dans
~La resté i1 nfcîu a!.°rs relativement
La pression anglaise se trouve ac-
~Cambrai, qui n'a Plus son impor-
~trefois pour nos liaisons avec
~et qui est exposée au tir de des-
(.J ntlnu de l'ennemi. Du côté dU
et du Sud les Anglais cherchent à
est ttderrlère l'ES(:aut, en dépit de
ce les attaques d'un ennemi, qui ne re-
ne pas les pertes les plus lourdes pour
~son but. Il se sert d'autos blindées
transporter rinfa et erie dsns la zone
~aux points mêmes où elle doit en-
~Il profite de ce qu'il dispose
~des deux parties du monde. Au
de Cambrai. les attaques de l'ennemi,
epou et premiers jours d'octobre,
~été repoussées. Au sud de la ville, les An-
~ont pu progresser jusqu'au canal de
~de Mas snières à Crévecœur, une po-
ro , x nos trouPes ont
~verrouillée. L'ennemi ne semble pas
~franchi partout le canal, jus-
~Catelet. Nous avons volontairement
Le notre front dans la nuit du 30 sep-
1er °ctobre 1 Hdu CE télet au delà
> 4*- fivVa vérité communiqués anglais
~pas la vérité lorsqu'ils prétendent
nous avons évacué la ville après des
bats. Les prancai les
~suivant leur habitude, en di-
ent rt Provoqué ^^htude, en di-
~sur la Vesle. Les initiés connais-
rendre ren| e l évacuation de Saint-
est ce repli et i'évaenat^^ 10^ de eu le
~soupçon. Ces opérations ont été
rle ennemI n'y a été pour rien.
il a été de même en Champagne, où le
es rç, chaque a payé des plus lourds sa-
q fa^ en avant,
~à percer. Nous devons nous
~instant que nous sommes en
tif) telie <11111 importe peu que nous
~telle ou telle ligne, qu'il s'agit
té et d' Irriver. der à notre front son élas-
Si* ^^e df no but. Nos troupes
~conf L'Il r les décisio.-ns du
~Leur ardeur combative est
~a pas une seule maison en
puisse être atteinte par
l'énorme incendie qui fait rage sur le front.
A chaque pas des troupes de l'Entente, ce
sont en France et en Belgique de nouvelles
ruines. Entre le front et la frontière de
l'Allemagne, il y a toute une série de dé-
fenses que l'ennemi devra renverser. C'est
toujours ce que doivent se dire ceux qui
veulent porter une appréciation exacte
sur la situation d'ensemble. - Kölnische
Zeitung, 3.10.
— De Berlin, 2 octobre : La grande of-
fensive de Foch en Champagne est déclen-
chée depuis six jours. A la grande satis-
faction de tous, nous pouvons affirmer qu'en
dépit de la supériorité de ses moyens, et
de la continuité de ses assauts, l'ennemi
n'a réussi nulle part à percer. Il n'a pu
exploiter quelques succès locaux qu'il avait
remportés. De la mer du Nord à la Moselle
notre front reste inébranlable. Le champ
des opérations s'est élargi de plus en plus.
Nous nofjis battons au sud de La Bassée,
dans le secteur de Saint-Quentin, sur la
Vesle. Nous devons nous attendre à étire
attaqués ailleurs encore, en première li-
gne en Lorraine et dans les Vosges. L'ad-
versaire est loin d'avoir épuisé ses forces
et la situation militaire générale l'oblige
à les jeter dans la mêlée jusqu'au dernier
homme, pour obtenir la décision qu'il cher-
che. Il semble que sa tactique consiste à
enfoncer, par des attaques en masses dans
des secteurs étroits, des coins dans nos li-
gnes, et à prendre ensuite de flanc nos po-
sitons. Nous avons opposé à cette manœu-
vre notre système de repli. Nous avons
ainsi forcé l'ennemi à nous attaquer de
front. Nous avons récupéré des effectifs,
nous avons occupé des positions moins
accessibles aux tanks ennemis. Toutes nos
opérations se sont effectuées méthodique-
ment, à l'insu de l'ennemi, qui a bombardé
longtemps encore, après notre départ, les
positions évacuées par nous .NorJainsi raccourci notre front à Saint-Quentin,
au nord de Reims et à l'ouest de l'Argon-
ne. L'évacuation de Saint-Quentin qui avait
perdu son importance comme cantonne-
ment pour les troupes, comme dépôt, n'a eu
aucune influence sur la situation générale.
Entre Soissons et Reims, les troupes alle-
mandes étaient encore au sud de l'Aisne
et elles occupaient la région montagneuse
jusqu'à la Vesle. Nous venons d'évacuer
ce sailllant. Le raccourcissement de nos li-
gnes leur a donné plus de solidité. — (Z.)
München-Augsburger Abendzeitung, 4.10
— Au G. Q. G., 1.10 : Entre la Meuse
et l'Argonne, la journée d'hier par suite.
des pertes et de l'épuisement de l'ennemi
a été calme. Nos chefs et nos troupes sont
pleins de confiance et satisfaits du cours
de la bataille. L'ennemi a refoulé notre
, ligne et gagné du terrain, mais il s'agit
pour nous de lui prouver qu'en dépit de
ses sacrifices inouïs, il lui est impossible
de nous anéantir. Notre occupation du
pays ennemi nous permet d'appliquer notre
m'lllhodte de repli, qui ne modifie en rien le
moral de nos troupes, toujours conscientes
de leur parfaite supériorité, et qui jamais
ne se découragent, si rudes- que soient les
batailles. En beaucoup d'endroits ce sont
les mêmes trouves qui sont en ligne depuis
le début des opérations, en plein air, dans
des tranchées humides ou dans des trous.
Les conditions sont les mêmes pour l'en-
nemi, mais comme ses effectifs sont plus
nombreux que les nôtres, il peut faire de
plus fréquentes imlèves. L'esprit de nos
troupes est excellent. Il s'est manifesté
dans les vigoureuses contre-attaques dé-
clenchées depuis le début de la bataille et
au cours des replis successifs de nos li-
gnes. L'ennemi avait dissimulé son inten-
tion de nous attaquer des deux côtés de la
Meiusè et en Champagne. Les divisions en
ligne ignoraient ce qui se passait à l'ar-
rière ; les divisions d'attaque ont été ame-
nées à la dernière heure, dans des autos-
camions de secteurs éloignés et elles ont
attaqué sans délai. L'ennemi s'était don-
né de lointains objectifs : en Champagne.
Challerange devait être atteint, le premier
jour ; Vouziers, le second. A l'est de l'Ar-
gonne, les Américains devaient, le soir de
l'attaque, tendre la main aux Français au
nord de l'Argonne, enlevant ainsi d'un seul
coup tovjît le massif avec les troupes qui
l'occupaient et tout le matériel de combat.
Les Américains étaient persuadés qu'à la
suite de leur tir de préparation et des ex-
plosions de mines, la résistance allemande
serait brisée et qu'ils avanceraient de cinq
kilomètres, au pas de promenade. Ils ont
d'ailleurs fait preuve de beaucoup de sang-
froid. Ils se sont avancés à l'abri de tanks.
Notre artillerie a dû bombarder ces tanks,
les deux premiers jours, infligeant, en mê-
me temps que nos mitrailleuses, les pertes
les plus lourdes aux Américains. A partir
du troisième jour, ceux-ci ont appris à con-
naître les effets dévastateurs de nos canons.
Dans l'Argonne, les tanks n'en ont pas
imposé non plus à la landwehr wurtem-
bergeoise. Des régiments du grand-duché
de Bade, des Bavarois, des Hessois se sont
aussi particulièrement distingués, ainsi que
des régiments de Strasbourg et de Colmar.
Les pertes de l'ennemi ont été si lourdes
le premier jour qu'il a reconnu qu'il n'at-
teindrait pas ses objectifs. Les prisonniers
américains affirment que les Américains
veulent prendre Metz, pour Noël. Mais ils
n'y réussiront pas s'ils continuent à subir
des pertes aussi lourdes. Nous devons tou-
tefois nous attendre à leur voir reprendre
lellrs attaques, dès qu'ils auront regroupé
les nouvelles forces dont ils ont besoin.
- (W. Scheuermann) Strassburger Post,
4.10.
FRONT ITALIEN
Presse italienne. — Les Alliés devront
choisir entre deux partis : ou bien mettre
le front italien dans une situation telle que
ET DES
RES ÉTRANGERES
N° 952
l'aris, 9 octobre 1918.
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UErlUN MILITAIRES
Presse OCCIDENTAL
Presse allemande. - L'effondrement de
Bulgarie s:et !)l"oduit au moment où no-
~a l'Ouest SUDit une énorme pres-
~Depuis les Belges et les Anglais réu-
ses le 110 K- une violente atta-
ques dans les Flandres. lls nous ont délogés,
le saillant d'Ypres, des positions où
~avions résisté aux puissants assauts
maréchal Haig. Nous avons dû évacuer
i, l'tant qui peut à cha-
~tant s'étendre au sud de Lille, dans
~La resté i1 nfcîu a!.°rs relativement
La pression anglaise se trouve ac-
~Cambrai, qui n'a Plus son impor-
~trefois pour nos liaisons avec
~et qui est exposée au tir de des-
(.J ntlnu de l'ennemi. Du côté dU
et du Sud les Anglais cherchent à
est ttderrlère l'ES(:aut, en dépit de
ce les attaques d'un ennemi, qui ne re-
ne pas les pertes les plus lourdes pour
~son but. Il se sert d'autos blindées
transporter rinfa et erie dsns la zone
~aux points mêmes où elle doit en-
~Il profite de ce qu'il dispose
~des deux parties du monde. Au
de Cambrai. les attaques de l'ennemi,
epou et premiers jours d'octobre,
~été repoussées. Au sud de la ville, les An-
~ont pu progresser jusqu'au canal de
~de Mas snières à Crévecœur, une po-
ro , x nos trouPes ont
~verrouillée. L'ennemi ne semble pas
~franchi partout le canal, jus-
~Catelet. Nous avons volontairement
Le notre front dans la nuit du 30 sep-
1er °ctobre 1 Hdu CE télet au delà
> 4*- fivVa vérité communiqués anglais
~pas la vérité lorsqu'ils prétendent
nous avons évacué la ville après des
bats. Les prancai les
~suivant leur habitude, en di-
ent rt Provoqué ^^htude, en di-
~sur la Vesle. Les initiés connais-
rendre ren| e l évacuation de Saint-
est ce repli et i'évaenat^^ 10^ de eu le
~soupçon. Ces opérations ont été
rle ennemI n'y a été pour rien.
il a été de même en Champagne, où le
es rç, chaque a payé des plus lourds sa-
q fa^ en avant,
~à percer. Nous devons nous
~instant que nous sommes en
tif) telie <11111 importe peu que nous
~telle ou telle ligne, qu'il s'agit
té et d' Irriver. der à notre front son élas-
Si* ^^e df no but. Nos troupes
~conf L'Il r les décisio.-ns du
~Leur ardeur combative est
~a pas une seule maison en
puisse être atteinte par
l'énorme incendie qui fait rage sur le front.
A chaque pas des troupes de l'Entente, ce
sont en France et en Belgique de nouvelles
ruines. Entre le front et la frontière de
l'Allemagne, il y a toute une série de dé-
fenses que l'ennemi devra renverser. C'est
toujours ce que doivent se dire ceux qui
veulent porter une appréciation exacte
sur la situation d'ensemble. - Kölnische
Zeitung, 3.10.
— De Berlin, 2 octobre : La grande of-
fensive de Foch en Champagne est déclen-
chée depuis six jours. A la grande satis-
faction de tous, nous pouvons affirmer qu'en
dépit de la supériorité de ses moyens, et
de la continuité de ses assauts, l'ennemi
n'a réussi nulle part à percer. Il n'a pu
exploiter quelques succès locaux qu'il avait
remportés. De la mer du Nord à la Moselle
notre front reste inébranlable. Le champ
des opérations s'est élargi de plus en plus.
Nous nofjis battons au sud de La Bassée,
dans le secteur de Saint-Quentin, sur la
Vesle. Nous devons nous attendre à étire
attaqués ailleurs encore, en première li-
gne en Lorraine et dans les Vosges. L'ad-
versaire est loin d'avoir épuisé ses forces
et la situation militaire générale l'oblige
à les jeter dans la mêlée jusqu'au dernier
homme, pour obtenir la décision qu'il cher-
che. Il semble que sa tactique consiste à
enfoncer, par des attaques en masses dans
des secteurs étroits, des coins dans nos li-
gnes, et à prendre ensuite de flanc nos po-
sitons. Nous avons opposé à cette manœu-
vre notre système de repli. Nous avons
ainsi forcé l'ennemi à nous attaquer de
front. Nous avons récupéré des effectifs,
nous avons occupé des positions moins
accessibles aux tanks ennemis. Toutes nos
opérations se sont effectuées méthodique-
ment, à l'insu de l'ennemi, qui a bombardé
longtemps encore, après notre départ, les
positions évacuées par nous .NorJ
au nord de Reims et à l'ouest de l'Argon-
ne. L'évacuation de Saint-Quentin qui avait
perdu son importance comme cantonne-
ment pour les troupes, comme dépôt, n'a eu
aucune influence sur la situation générale.
Entre Soissons et Reims, les troupes alle-
mandes étaient encore au sud de l'Aisne
et elles occupaient la région montagneuse
jusqu'à la Vesle. Nous venons d'évacuer
ce sailllant. Le raccourcissement de nos li-
gnes leur a donné plus de solidité. — (Z.)
München-Augsburger Abendzeitung, 4.10
— Au G. Q. G., 1.10 : Entre la Meuse
et l'Argonne, la journée d'hier par suite.
des pertes et de l'épuisement de l'ennemi
a été calme. Nos chefs et nos troupes sont
pleins de confiance et satisfaits du cours
de la bataille. L'ennemi a refoulé notre
, ligne et gagné du terrain, mais il s'agit
pour nous de lui prouver qu'en dépit de
ses sacrifices inouïs, il lui est impossible
de nous anéantir. Notre occupation du
pays ennemi nous permet d'appliquer notre
m'lllhodte de repli, qui ne modifie en rien le
moral de nos troupes, toujours conscientes
de leur parfaite supériorité, et qui jamais
ne se découragent, si rudes- que soient les
batailles. En beaucoup d'endroits ce sont
les mêmes trouves qui sont en ligne depuis
le début des opérations, en plein air, dans
des tranchées humides ou dans des trous.
Les conditions sont les mêmes pour l'en-
nemi, mais comme ses effectifs sont plus
nombreux que les nôtres, il peut faire de
plus fréquentes imlèves. L'esprit de nos
troupes est excellent. Il s'est manifesté
dans les vigoureuses contre-attaques dé-
clenchées depuis le début de la bataille et
au cours des replis successifs de nos li-
gnes. L'ennemi avait dissimulé son inten-
tion de nous attaquer des deux côtés de la
Meiusè et en Champagne. Les divisions en
ligne ignoraient ce qui se passait à l'ar-
rière ; les divisions d'attaque ont été ame-
nées à la dernière heure, dans des autos-
camions de secteurs éloignés et elles ont
attaqué sans délai. L'ennemi s'était don-
né de lointains objectifs : en Champagne.
Challerange devait être atteint, le premier
jour ; Vouziers, le second. A l'est de l'Ar-
gonne, les Américains devaient, le soir de
l'attaque, tendre la main aux Français au
nord de l'Argonne, enlevant ainsi d'un seul
coup tovjît le massif avec les troupes qui
l'occupaient et tout le matériel de combat.
Les Américains étaient persuadés qu'à la
suite de leur tir de préparation et des ex-
plosions de mines, la résistance allemande
serait brisée et qu'ils avanceraient de cinq
kilomètres, au pas de promenade. Ils ont
d'ailleurs fait preuve de beaucoup de sang-
froid. Ils se sont avancés à l'abri de tanks.
Notre artillerie a dû bombarder ces tanks,
les deux premiers jours, infligeant, en mê-
me temps que nos mitrailleuses, les pertes
les plus lourdes aux Américains. A partir
du troisième jour, ceux-ci ont appris à con-
naître les effets dévastateurs de nos canons.
Dans l'Argonne, les tanks n'en ont pas
imposé non plus à la landwehr wurtem-
bergeoise. Des régiments du grand-duché
de Bade, des Bavarois, des Hessois se sont
aussi particulièrement distingués, ainsi que
des régiments de Strasbourg et de Colmar.
Les pertes de l'ennemi ont été si lourdes
le premier jour qu'il a reconnu qu'il n'at-
teindrait pas ses objectifs. Les prisonniers
américains affirment que les Américains
veulent prendre Metz, pour Noël. Mais ils
n'y réussiront pas s'ils continuent à subir
des pertes aussi lourdes. Nous devons tou-
tefois nous attendre à leur voir reprendre
lellrs attaques, dès qu'ils auront regroupé
les nouvelles forces dont ils ont besoin.
- (W. Scheuermann) Strassburger Post,
4.10.
FRONT ITALIEN
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choisir entre deux partis : ou bien mettre
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