Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-09-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 septembre 1918 05 septembre 1918
Description : 1918/09/05 (N918). 1918/09/05 (N918).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64496694
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ISTÈRES DE LA GUERRE
RT DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
1\° 918
i,v, .3 septembre .1918.
a --.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
--
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
u ESTIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL
Presse hollandaise. — Il devient de plus
en plus clair que les différentes offensives
des forces alliées ne constituent pas des
perations indépendantes les unes des
autre De plus en plus se confirme l'im-
Pression que l'Entente ne désire pas seule-
tent. rConquérir des bandes de terrain dé-
lermi î1608' mais fatiguer physiquement et
rnoralernent les Allemands afin d'amener
une décision. Il parait d'ailleurs étrange
qUe les AsS0C^ s'ils attendent un ré-
suu définitif de l'intervention des Amé-
ricain
ricairi'q aient céjà commencé leur grande
ata1l1e. Il y a deux raisons à cela : 1° la
rnnace allemande sur Paris devait à tout
Prix enî*ayée et une trouée du côté
d'Ami ens Prévenue ; 20 la fatigue de la
Ierre qui règne dans les nations belli-
gérant s exige la fin prochaine du conflit,
de ie peuple français surtout a besoin
les v toires. En tout cas, les résultats que
les offensives allemandes avaient enre-
gistrés Se trouvant en ce moment, sur le
point d'être annihilés, il est probable qu'a-
vant I titi annihilés, il est probable qu'a-
vant la fin de la saison les Allemands
essaieront encore de tenter la chance. -
Tifd, 26.8. encore de tenter la chance.
PreSSe allemande. — Sous le titre :
« FOCH :\E LACHE PAS PRISE n : Dans les deux
secteurs d'attaque, anglais et français, la
Journép d'hier a été marquée par une aug-
IIleptation du nombre de nos contre-atta-
ques. En différents points elles se sont
heurtées à des attaques ennemies, elles les
ont empêchées , de se développer ou de faire
des progrès. Nos troupes se sont particu-
lIèrement réjouies de voir que les soldats
et ]Po Pciers' 311* se distinguent dans la
et les officiers, qui se distinguent dans la
Jutte contre les tanks, ont les honneurs du
cOmmuniqué. Cette décision a stimulé les
ambitions individuelles, et elle a montré
les pv', S À suivre. Les prisonniers, que
à ven ons de faire et qui appartliennent
nous venons de faire et qui appartiennent
à quatre divisions françaises, prétendent
cOmme leurs camarades tombés entre nos
IIlains, les jou.rs derniers, que la guerre
sera fin; s J ou,rs derniers, que la guerre
sera finie dans trois mOIS par suite de la
défaite de l'Allemacrne Il est vrai de dire
qu'ils compte peu à peu eux aus-
SI. qu: leur. bri!lant espoir, qu'aucun succès
deCISlf ne uShfie, sera piteusement déçu
Nos défenseurs y veilleront, et la confiance
de la nation allemande aura sa part aussi
dans la défaite de nos ennemis. - (Alfred
HicehnaarSd Meyer) BDayetischer Kurier, 29.8.
6in ï";Vssan' d'en, finir a fait
déclencher par Foch des batailles qui ne
lont pas rapproché de son but et qui lui
ont coûté H,norme^ sacrifices. Involontai-
rement nous nous demandons pourquoi il
Vrut, dès maintenant. forcer la décision
sans attendre les millions d'Américains
promis. Il n'y a qu'une seule réponse possi-
ble : c'est qu'il ne peut plus attendre. La
guerre sous-marine accable nos ennemis,
non seulement. l'Angleterre, mais plus en-
core la France et l'Italie. Nous avons déjà
parlé de l'état d'esprit des Français. Cle-
menceau a recours aux moyens les plus
audacieux, pour entretenir leur ardeur bel-
liqueuse. Pendant combien de temps y
réussira-t-il encore ? Ne dit-on pas que
l'offensive actuelle, que Foch et lui ont dé-
cidée de concert et étaient seuls à connaî-
tre, est une offensive de dégagement pour
son ministère ? Il n'a pas de grandes chan-
ces de succès. Au point de vue stratégique,
cette bataille, qui devait être décisive, est
déjà perdue par Foch, puisqu'il n'a pas
réussi la percée qui était le but de son
offensive. Le peuple français finira bien par
s'en rendre compte ! Il ne se laissera plus
éblouir par la conquête de quelques mil-
liers de kilomètres de terrains dévastés, il
demandera ce que sont devenus ses fils,
sacrifiés pour l'Angleterre. Le Tigre pourra-
t-il trouver une réponse satisfaisante ? Ce
sera bien difficile. Vraiment, nous avons
de bonnes raisons d'attendre avec une con-
fiance absolue l'évolution prochaine aussi
bien dans le domaine politique que sur le
théâtre des opérations. — (Lieutenant-colo-
nel von der Osten - Sacken) Rheinisch-
Westfiïlische Zeitung, 30.8.
« LA STRATÉGIE DE FOCH. » — De Berlin,
30 août : Foch avait tenté de percer notre
front et d'anéantir nos armées. Il a échoué.
Ses grandes opérations sont redevenues des
attaques frontales et il n'avance pas à pas
en face de notre défense mobile qu'au prix
de pertes inouïes. Foch ne pouvait, pour
des raisons de prestige, s'en tenir aux résul-
tats de ses attaques du 18 juillet et du 8
août. Il fallait s'attendre à la nouvelle ba-
taille de percée qu'il a déclenchée dans le
secteur entre Arras et Soissons. Après
avoir reçu le choc ennemi et l'avoir re-
poussé nous nous sommes repliés volontai-
rement sur de meilleures' positions. Nous
devons toutefois poser en principe que Foch
n'a pas renoncé à ses projets et qu'il es-
saiera surtout d'emporter de haute lutte
l'accès dans la région de Soissons. Comme
soutien de l'opération sur l'Oise, l'attaque
anglaise sur Bapaume a été déclenchée le
21 août, et elle s'ast étendue d'une part
jusqu'au delà de la Scarpe, et, d'autre part,
jusqu'au sud de la Somme. Du sud de la
Somme jusqu'à l'Oise, une certaine lassi-
tude s'étant manifestée chez l'ennemi, nous
en profitons pour ramener, par une promp-
te décision, nos lignes vers l'Est. Ce mou-
vement s'effectuait, sans que nous fussione
gênés par l'ennemi, lorsqu'à Arras à l'aile
extrême nord du front d'attaque se déclen-
cha la nouvelle tentative de percée anglaise,
avec Cambrai comme objectif stratégique.
Cette attaque devait prendre notre front de
dos et être décisive. Elle a échoué devant
notre méthode de repli. Elle n'a creusé,
dans nos lignes, qu'une toute petite poche,
sans importance. Nous avons gagné du
temps et par suite nous avons pu Prendre
des contre-mesures. Le 28 et le 29 août,
nous nous sommes repliés entre Bapaume
et Péronne comme nous l'avions fait entre
la Somme et l'Oise. Ces manœuvres ont été
faites par nous de plein gré. Elles n'ont
pas d'autre but que celui de donner à nos
troupes des positions plus avantageuses
dans un terrain favorable, et de mettre l'en-
nemi en très mauvaise posture pour la
suite des combats. — Hamburger Frem-
(le ri S.
FRONT ITALIEN
Possibilité d'offensive ennemie. - Il est
certain que les Allemands ont reconnu l'im-
possibilité d'obtenir la victoire sur le front
occidental. Ils y recueillent désormais tou-
tes leurs forces pour la défensive. Mais
observeront-ils cette attitude sur tous les
fronts ? Leur doctrine militaire préconise
l'offensive à tout prix. Contraints à la stric-
te défensive en Occident, peut-être cher-
cheront-ils ailleurs une demi-victoire ; et
ils ne peuvent désormais la chercher ail-
leurs que sur le front italien. — (O. Mala-
godi) Tribuna [de Rome], 1.9.
ORGANISATION
Japon : L'ARMÉE ET LA MARINE. — Le Con-
seil des maréchaux et des amiraux a décidé
que l'armée sera augmentée et réorganisée
en 21 corps comprenant 42 divisions à
3 régiments, soit 126 régiments en tout.
Actuellement il y a 21 divisions à 4 régi-
ments, soit un total de 84 régiments. La
marine aura 3 escadres, chacune compre-
nant 8 cuirassés et 8 croiseurs de bataille.
On comprend que la décision relative à cette
revision du programme de la défense na-
tionale a été motivée par l'expérience ap-
portée par la guerre. On ignore encore de
quelle façon cette décision elle-même sera
exécutée. Cependant on peut tenir pour
certain qu'aucune mesure effective ne sera
prise encore en ce sens durant cette année.
De fait, on rapporte que des conférences
ultérieures auront lieu pour l'étude des dé
tails du nouveau programme. — Japan
Chronicle [de Kobé], 2.7.
———- -——
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
Italie. — Sous le titre : « VAINCRE ET
VIVRE ». — Avec la victoire, aujourd'hui
certaine, la solution de tous les problèmes
deviendra facile : sans la victoire, toutes
les démarches, préparations, élucubrations
des diplomates et des économistes étaient
RT DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
1\° 918
i,v, .3 septembre .1918.
a --.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
--
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
u ESTIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL
Presse hollandaise. — Il devient de plus
en plus clair que les différentes offensives
des forces alliées ne constituent pas des
perations indépendantes les unes des
autre De plus en plus se confirme l'im-
Pression que l'Entente ne désire pas seule-
tent. rConquérir des bandes de terrain dé-
lermi î1608' mais fatiguer physiquement et
rnoralernent les Allemands afin d'amener
une décision. Il parait d'ailleurs étrange
qUe les AsS0C^ s'ils attendent un ré-
suu définitif de l'intervention des Amé-
ricain
ricairi'q aient céjà commencé leur grande
ata1l1e. Il y a deux raisons à cela : 1° la
rnnace allemande sur Paris devait à tout
Prix enî*ayée et une trouée du côté
d'Ami ens Prévenue ; 20 la fatigue de la
Ierre qui règne dans les nations belli-
gérant s exige la fin prochaine du conflit,
de ie peuple français surtout a besoin
les v toires. En tout cas, les résultats que
les offensives allemandes avaient enre-
gistrés Se trouvant en ce moment, sur le
point d'être annihilés, il est probable qu'a-
vant I titi annihilés, il est probable qu'a-
vant la fin de la saison les Allemands
essaieront encore de tenter la chance. -
Tifd, 26.8. encore de tenter la chance.
PreSSe allemande. — Sous le titre :
« FOCH :\E LACHE PAS PRISE n : Dans les deux
secteurs d'attaque, anglais et français, la
Journép d'hier a été marquée par une aug-
IIleptation du nombre de nos contre-atta-
ques. En différents points elles se sont
heurtées à des attaques ennemies, elles les
ont empêchées , de se développer ou de faire
des progrès. Nos troupes se sont particu-
lIèrement réjouies de voir que les soldats
et ]Po Pciers' 311* se distinguent dans la
et les officiers, qui se distinguent dans la
Jutte contre les tanks, ont les honneurs du
cOmmuniqué. Cette décision a stimulé les
ambitions individuelles, et elle a montré
les pv', S À suivre. Les prisonniers, que
à ven ons de faire et qui appartliennent
nous venons de faire et qui appartiennent
à quatre divisions françaises, prétendent
cOmme leurs camarades tombés entre nos
IIlains, les jou.rs derniers, que la guerre
sera fin; s J ou,rs derniers, que la guerre
sera finie dans trois mOIS par suite de la
défaite de l'Allemacrne Il est vrai de dire
qu'ils compte peu à peu eux aus-
SI. qu: leur. bri!lant espoir, qu'aucun succès
deCISlf ne uShfie, sera piteusement déçu
Nos défenseurs y veilleront, et la confiance
de la nation allemande aura sa part aussi
dans la défaite de nos ennemis. - (Alfred
HicehnaarSd Meyer) BDayetischer Kurier, 29.8.
6in ï";Vssan' d'en, finir a fait
déclencher par Foch des batailles qui ne
lont pas rapproché de son but et qui lui
ont coûté H,norme^ sacrifices. Involontai-
rement nous nous demandons pourquoi il
Vrut, dès maintenant. forcer la décision
sans attendre les millions d'Américains
promis. Il n'y a qu'une seule réponse possi-
ble : c'est qu'il ne peut plus attendre. La
guerre sous-marine accable nos ennemis,
non seulement. l'Angleterre, mais plus en-
core la France et l'Italie. Nous avons déjà
parlé de l'état d'esprit des Français. Cle-
menceau a recours aux moyens les plus
audacieux, pour entretenir leur ardeur bel-
liqueuse. Pendant combien de temps y
réussira-t-il encore ? Ne dit-on pas que
l'offensive actuelle, que Foch et lui ont dé-
cidée de concert et étaient seuls à connaî-
tre, est une offensive de dégagement pour
son ministère ? Il n'a pas de grandes chan-
ces de succès. Au point de vue stratégique,
cette bataille, qui devait être décisive, est
déjà perdue par Foch, puisqu'il n'a pas
réussi la percée qui était le but de son
offensive. Le peuple français finira bien par
s'en rendre compte ! Il ne se laissera plus
éblouir par la conquête de quelques mil-
liers de kilomètres de terrains dévastés, il
demandera ce que sont devenus ses fils,
sacrifiés pour l'Angleterre. Le Tigre pourra-
t-il trouver une réponse satisfaisante ? Ce
sera bien difficile. Vraiment, nous avons
de bonnes raisons d'attendre avec une con-
fiance absolue l'évolution prochaine aussi
bien dans le domaine politique que sur le
théâtre des opérations. — (Lieutenant-colo-
nel von der Osten - Sacken) Rheinisch-
Westfiïlische Zeitung, 30.8.
« LA STRATÉGIE DE FOCH. » — De Berlin,
30 août : Foch avait tenté de percer notre
front et d'anéantir nos armées. Il a échoué.
Ses grandes opérations sont redevenues des
attaques frontales et il n'avance pas à pas
en face de notre défense mobile qu'au prix
de pertes inouïes. Foch ne pouvait, pour
des raisons de prestige, s'en tenir aux résul-
tats de ses attaques du 18 juillet et du 8
août. Il fallait s'attendre à la nouvelle ba-
taille de percée qu'il a déclenchée dans le
secteur entre Arras et Soissons. Après
avoir reçu le choc ennemi et l'avoir re-
poussé nous nous sommes repliés volontai-
rement sur de meilleures' positions. Nous
devons toutefois poser en principe que Foch
n'a pas renoncé à ses projets et qu'il es-
saiera surtout d'emporter de haute lutte
l'accès dans la région de Soissons. Comme
soutien de l'opération sur l'Oise, l'attaque
anglaise sur Bapaume a été déclenchée le
21 août, et elle s'ast étendue d'une part
jusqu'au delà de la Scarpe, et, d'autre part,
jusqu'au sud de la Somme. Du sud de la
Somme jusqu'à l'Oise, une certaine lassi-
tude s'étant manifestée chez l'ennemi, nous
en profitons pour ramener, par une promp-
te décision, nos lignes vers l'Est. Ce mou-
vement s'effectuait, sans que nous fussione
gênés par l'ennemi, lorsqu'à Arras à l'aile
extrême nord du front d'attaque se déclen-
cha la nouvelle tentative de percée anglaise,
avec Cambrai comme objectif stratégique.
Cette attaque devait prendre notre front de
dos et être décisive. Elle a échoué devant
notre méthode de repli. Elle n'a creusé,
dans nos lignes, qu'une toute petite poche,
sans importance. Nous avons gagné du
temps et par suite nous avons pu Prendre
des contre-mesures. Le 28 et le 29 août,
nous nous sommes repliés entre Bapaume
et Péronne comme nous l'avions fait entre
la Somme et l'Oise. Ces manœuvres ont été
faites par nous de plein gré. Elles n'ont
pas d'autre but que celui de donner à nos
troupes des positions plus avantageuses
dans un terrain favorable, et de mettre l'en-
nemi en très mauvaise posture pour la
suite des combats. — Hamburger Frem-
(le ri S.
FRONT ITALIEN
Possibilité d'offensive ennemie. - Il est
certain que les Allemands ont reconnu l'im-
possibilité d'obtenir la victoire sur le front
occidental. Ils y recueillent désormais tou-
tes leurs forces pour la défensive. Mais
observeront-ils cette attitude sur tous les
fronts ? Leur doctrine militaire préconise
l'offensive à tout prix. Contraints à la stric-
te défensive en Occident, peut-être cher-
cheront-ils ailleurs une demi-victoire ; et
ils ne peuvent désormais la chercher ail-
leurs que sur le front italien. — (O. Mala-
godi) Tribuna [de Rome], 1.9.
ORGANISATION
Japon : L'ARMÉE ET LA MARINE. — Le Con-
seil des maréchaux et des amiraux a décidé
que l'armée sera augmentée et réorganisée
en 21 corps comprenant 42 divisions à
3 régiments, soit 126 régiments en tout.
Actuellement il y a 21 divisions à 4 régi-
ments, soit un total de 84 régiments. La
marine aura 3 escadres, chacune compre-
nant 8 cuirassés et 8 croiseurs de bataille.
On comprend que la décision relative à cette
revision du programme de la défense na-
tionale a été motivée par l'expérience ap-
portée par la guerre. On ignore encore de
quelle façon cette décision elle-même sera
exécutée. Cependant on peut tenir pour
certain qu'aucune mesure effective ne sera
prise encore en ce sens durant cette année.
De fait, on rapporte que des conférences
ultérieures auront lieu pour l'étude des dé
tails du nouveau programme. — Japan
Chronicle [de Kobé], 2.7.
———- -——
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
Italie. — Sous le titre : « VAINCRE ET
VIVRE ». — Avec la victoire, aujourd'hui
certaine, la solution de tous les problèmes
deviendra facile : sans la victoire, toutes
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