Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-08-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 août 1918 15 août 1918
Description : 1918/08/15 (T9,N897). 1918/08/15 (T9,N897).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524232
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
LA GUERRE
KUNGÈRES
N° 897
Paris, 15 août 1918. -
1
1 -
mietin Quotidien de Presse Etrangère
- -
K CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
FKONT OCCIDENTAL
anglaise. — Si le plan du, général
lut aIl en fin de compte de détruire le
S était 'rit[ entré Reims et la mer, ce
5 était - Plan des Alliés l'année dernière,
rut d'abord reconquérir sinon tou-
[, (i„ '1riQ'Ils la plupart de nos anciennes
-
is a jvictoire de Soissons-Reims
Ice a ramenés presque sur l'Aisne.
ce la dernière avance, nous sommen-
k ïv ^an'elr les Allemands à Montdidier.
rnorY1rQuses opérations de détail, au
!^pres montrent
N j éral Foch projette de regagner
positions". La prudence et le
riti caractérisent les retraits alle-
-1 incontestables, mais telle est
UT signification. Les Allemands
re délivrés en aucune façon de
ras, ni dans le saillant de, la
JMK~ la région de Montdidier. Trois
nt à, eux — reprendre l'offen-
~N~- ilsIJermlsslOn du maréchal Foch ;
] sont, sur un terrain défavo-
N tendire l'attaque des Alliés ; se
ci' qUI les garantirait contre les
Ives Ce qui serait aussi le retour à
et le sacrifice d'un terrain pré-
M erernent acquis. La première al-
e celle qu'ils voudraient choisir.,
e, à en juger par les événements
~a Qaine, est le choix qui leur est
u point de vue tactique l'événe-
~M j s intéressant de ces dernières
l'utilisation du tank. Les AI-
pt à rendre cet engin plus léger
l/6 ; les Allemands s'efforcent de
réplique, par exemple en dispo-
se' leur'front des mines souter-
tv index) Manchester Guardian,
t 1
I Présent cette nouvelle bataille de
ais- st déroulée suivant les prévi-
P-f1 une fois de plus, nous répé-
ertissement — le diable n'est
fegur la Marne, le général Man-
10 ei1 défaite une offensive alle-
i Vembre dernier, alors que nos
SKeilt sonné pour la victoire de
■[. Allemands ont fait de notre of-
[BpVers sérieux. Ce qui est déjà
"; reproduire pendant cette guer-
sommes pas très prudents:
ch llnes épaisses des troupes en-
ent vers Roye et nous savons
! luttera de toutes ses forces
fiÊi re ; d'autant plus que le temps
Ul et, qu'il doit vaincre main-
lr la victoire lui échapper peut-
JOUrs. — (Ed.) Daily Mail, 128.
- L'ennemi augmente sa résistance sur la
partie du front de bataille entre Roye et Al-
bert Il est obligé de nous opposer la plus
Grande résistance possible pour avoir le
temps d'assurer la retraite de sa gauche, Il
est probable que. dans- un avenir prochain.
les plus grands progrès seront réalisés dans
la partie sud du champ de bataille. Ce n'est
pas être trop optimiste que de s attendre à
voir l'ennemi contraint de reculer, avant
longtemps, au moins jusqu'à la Somme a
Péronne, et au delà du canal qui va de est
de Nesle à Novon ; en même temps il sera
obligé de rectifier son front au nord de la
Somme Il est contraire à tous les principes
de guerre de l'ennemi d'accepter passive-
ment deux coups comme ceux qu'il vient
de recevoir s'il est en mesure de les ren-
dre pour cette raison, ce qu'il fera pendant
le reste de la saison nous donnera la preuve
la plus sûre de sa force et de sa puissance
combàtive. Il est très possible qu'il envi-
sage un raccourcissement général de son
front, maintenant qu'il a échoué dans sa
tentative contre Paris, en vue de transporter
l'offensive sur d'autres terrains plus éloi.
gnés et de continuer sa politique des an-
nées précédentes en terminant la campagne
par un succès qui fasse de l'effet. - (Géné-
ral Maurice) Daily Chronicle 12.8.
Presse italienne. - La situation devient
chaque jour de plus en plus grave pour les
Allemands; leur retraite sur la Marne a
commencé leur débâcle ; celle-ci s'est ac-
centuée aux premiers mouvements de re-
traite sur la Somme. et elle vient de pren-
dre aujourd'hui des proportions telles
qu'elle doit avoir sans aucun doute jeté
l'alarme à Berlin., La retraite stratégique,
annoncée à son de trompe par les journaux
allemands; s'est désormais transformée en
une véritable déroute.L'ennemi a enfin reçu
la leçon qu'il méritait. Cette leçon ne sera
certes pas décisive, mais elle constitue en
tout cas, un bon commencement. - (Ed.)
Giornale d'Italia, 12.8.
Presse suisse. — Le succès stratégique
de la contre-attaque franco-britannique de
picardie, est in~rieur à celui que Foch a
remporté sur l'Ourcq. On ne peut savoir
encore si les Allemands vont accepter la
bataille à l'ouest de la Somme ou concen-
trer leurs troupes sur des lignes plus cour-
tes. Il est permis toutefois de faire des hy-
pothèse La bataille entre Ancre et Avre
modifie, la situation stratégique en faveur
des Alliés si elle redresse le front de l'armée
britannique. Depuis le 9 juin déjà, nous sa-
vions que la pression sur Amiens était en
train de disparaître. Tout en rappelant que
dès le 6 août, nous avons annoncé que
l'heure était venue où de la contre-offensive
de Foch pourrait sortir une offensive géne.
rale des Alliés, nous nous bornerons à con-
seiller la prudence dans toute appréciation
portée sur l'issue probable des opérations.
La bataille tend à se généraliser de plus en
plus. Il ne s'agit plus seulement, pour les
deux belligérants, de poussées offensives
dans les bassins de la Marne ou de la Som-
me. Le problème stratégique se pose dans
toute son ampleur dans le temps, comme
dans l'espace. Si les Alliés veulent tenter
la chance d'une Véritable offensive générale,
il faut qu'ils attaquent de Nieuport à Ve-
nise et sur le théâtre oriental Leurs essais
de rétablissement du front oriental sont ma-
nifestes, et pourraient aboutir, bien que les
Allemands soient solidement établis de
Narva à Sébastopol et qu'ils occupent en
Finlande et dans le Caucase des positions
d'enfilade menaçantes. Ces tentatives de
l'Entente ne peuvent toutefois donner des
résultats que si elle renouvelle ses attaques
de flanc contre les Turcs, et si 'J¡¡:/s, Anglais
continuent leurs campagnes de Syrie et de
Mésopotamie. De leur côté les puissances
centrales attachent aujourd'hui au front
d'Anatolie et au front des Balkans, entre
l'Adriatique et la mer Caspienne, avec leur
rayonnement jusqu'au canal de Suez-et au
golfe Persique, une autre importance qu'à
l'époque où l'on ne considérait la guerre
que comme une guerre continentale. Aussi -
— si la guerre devait durer encore un cer-
tain temps — il faudrait s'attendre à voir
passer au second plan les batailles livrées
sur l'ancien champ de bataille décisif de
l'ouest de l'Europe..De telles hypothèses fan-
tastiques pourraient, à l'époque où nous
sommes, devenir des réalités. — (H. St-
Bund, 11.8.
Presse allemande. — La nouvelle tactique
défensive ennemie consiste à retirer les
troupes des secteurs particulièrement me-
nacés à paralyser l'offensive adverse en
laissant dans la zone évacuée de nom-
breux nids de mitrailleuses et, pour
finir, à recevoir' l'attaque à demi-bri-
sée sur des positions nouvelles à pei-
ne touchées par l'artillerie. La méthode
n'est pas nouvelle. Les Allemands l'ont
employée dans les grandes batailles défen-
sives de l'an damier. Ce qui est nouveau
c'est d'avoir érigé la méthode en principe,
dans le cadre d'une grande action straté-
que, dans l'intention non seulement de
regagner ainsi le terrain perdu, mais aussi
de rendre possible une attaque en un autre
point du front. Cette méthode a été appli-
quée déjà, au mois de juin dernier, sur la
Piave, où il y a eu, en quelque sorte, une
répétition générale. Les Italiens y aban-
donnèrent spontanément des positions très
avantageuses. Ils dégarnirent leurs premiè-
res lignes et Ils attendirent tranquillement.
le moment de contre-attaquer, ce qu'ils pu-
rent faire après que la crue, subite de la Pia-
ve eut ralenti, puis arrêté la poussée austro-
hongroise de l'arrière vers l'avant. Nous
nous rendons compte après coup que cette
étonnante méthode défensive avait été sug-
géré aux Italiens par les Français et qu'el-
le était le prélude d'un changement de la
KUNGÈRES
N° 897
Paris, 15 août 1918. -
1
1 -
mietin Quotidien de Presse Etrangère
- -
K CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
FKONT OCCIDENTAL
anglaise. — Si le plan du, général
lut aIl en fin de compte de détruire le
S était 'rit[ entré Reims et la mer, ce
5 était - Plan des Alliés l'année dernière,
rut d'abord reconquérir sinon tou-
[, (i„ '1riQ'Ils la plupart de nos anciennes
-
is a jvictoire de Soissons-Reims
Ice a ramenés presque sur l'Aisne.
ce la dernière avance, nous sommen-
k ïv ^an'elr les Allemands à Montdidier.
rnorY1rQuses opérations de détail, au
!^pres montrent
N j éral Foch projette de regagner
positions". La prudence et le
riti caractérisent les retraits alle-
-1 incontestables, mais telle est
UT signification. Les Allemands
re délivrés en aucune façon de
ras, ni dans le saillant de, la
JMK~ la région de Montdidier. Trois
nt à, eux — reprendre l'offen-
~N~- ilsIJermlsslOn du maréchal Foch ;
] sont, sur un terrain défavo-
N tendire l'attaque des Alliés ; se
ci' qUI les garantirait contre les
Ives Ce qui serait aussi le retour à
et le sacrifice d'un terrain pré-
M erernent acquis. La première al-
e celle qu'ils voudraient choisir.,
e, à en juger par les événements
~a Qaine, est le choix qui leur est
u point de vue tactique l'événe-
~M j s intéressant de ces dernières
l'utilisation du tank. Les AI-
pt à rendre cet engin plus léger
l/6 ; les Allemands s'efforcent de
réplique, par exemple en dispo-
se' leur'front des mines souter-
tv index) Manchester Guardian,
t 1
I Présent cette nouvelle bataille de
ais- st déroulée suivant les prévi-
P-f1 une fois de plus, nous répé-
ertissement — le diable n'est
fegur la Marne, le général Man-
10 ei1 défaite une offensive alle-
i Vembre dernier, alors que nos
SKeilt sonné pour la victoire de
■[. Allemands ont fait de notre of-
[BpVers sérieux. Ce qui est déjà
"; reproduire pendant cette guer-
sommes pas très prudents:
ch llnes épaisses des troupes en-
ent vers Roye et nous savons
! luttera de toutes ses forces
fiÊi re ; d'autant plus que le temps
Ul et, qu'il doit vaincre main-
lr la victoire lui échapper peut-
JOUrs. — (Ed.) Daily Mail, 128.
- L'ennemi augmente sa résistance sur la
partie du front de bataille entre Roye et Al-
bert Il est obligé de nous opposer la plus
Grande résistance possible pour avoir le
temps d'assurer la retraite de sa gauche, Il
est probable que. dans- un avenir prochain.
les plus grands progrès seront réalisés dans
la partie sud du champ de bataille. Ce n'est
pas être trop optimiste que de s attendre à
voir l'ennemi contraint de reculer, avant
longtemps, au moins jusqu'à la Somme a
Péronne, et au delà du canal qui va de est
de Nesle à Novon ; en même temps il sera
obligé de rectifier son front au nord de la
Somme Il est contraire à tous les principes
de guerre de l'ennemi d'accepter passive-
ment deux coups comme ceux qu'il vient
de recevoir s'il est en mesure de les ren-
dre pour cette raison, ce qu'il fera pendant
le reste de la saison nous donnera la preuve
la plus sûre de sa force et de sa puissance
combàtive. Il est très possible qu'il envi-
sage un raccourcissement général de son
front, maintenant qu'il a échoué dans sa
tentative contre Paris, en vue de transporter
l'offensive sur d'autres terrains plus éloi.
gnés et de continuer sa politique des an-
nées précédentes en terminant la campagne
par un succès qui fasse de l'effet. - (Géné-
ral Maurice) Daily Chronicle 12.8.
Presse italienne. - La situation devient
chaque jour de plus en plus grave pour les
Allemands; leur retraite sur la Marne a
commencé leur débâcle ; celle-ci s'est ac-
centuée aux premiers mouvements de re-
traite sur la Somme. et elle vient de pren-
dre aujourd'hui des proportions telles
qu'elle doit avoir sans aucun doute jeté
l'alarme à Berlin., La retraite stratégique,
annoncée à son de trompe par les journaux
allemands; s'est désormais transformée en
une véritable déroute.L'ennemi a enfin reçu
la leçon qu'il méritait. Cette leçon ne sera
certes pas décisive, mais elle constitue en
tout cas, un bon commencement. - (Ed.)
Giornale d'Italia, 12.8.
Presse suisse. — Le succès stratégique
de la contre-attaque franco-britannique de
picardie, est in~rieur à celui que Foch a
remporté sur l'Ourcq. On ne peut savoir
encore si les Allemands vont accepter la
bataille à l'ouest de la Somme ou concen-
trer leurs troupes sur des lignes plus cour-
tes. Il est permis toutefois de faire des hy-
pothèse La bataille entre Ancre et Avre
modifie, la situation stratégique en faveur
des Alliés si elle redresse le front de l'armée
britannique. Depuis le 9 juin déjà, nous sa-
vions que la pression sur Amiens était en
train de disparaître. Tout en rappelant que
dès le 6 août, nous avons annoncé que
l'heure était venue où de la contre-offensive
de Foch pourrait sortir une offensive géne.
rale des Alliés, nous nous bornerons à con-
seiller la prudence dans toute appréciation
portée sur l'issue probable des opérations.
La bataille tend à se généraliser de plus en
plus. Il ne s'agit plus seulement, pour les
deux belligérants, de poussées offensives
dans les bassins de la Marne ou de la Som-
me. Le problème stratégique se pose dans
toute son ampleur dans le temps, comme
dans l'espace. Si les Alliés veulent tenter
la chance d'une Véritable offensive générale,
il faut qu'ils attaquent de Nieuport à Ve-
nise et sur le théâtre oriental Leurs essais
de rétablissement du front oriental sont ma-
nifestes, et pourraient aboutir, bien que les
Allemands soient solidement établis de
Narva à Sébastopol et qu'ils occupent en
Finlande et dans le Caucase des positions
d'enfilade menaçantes. Ces tentatives de
l'Entente ne peuvent toutefois donner des
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de flanc contre les Turcs, et si 'J¡¡:/s, Anglais
continuent leurs campagnes de Syrie et de
Mésopotamie. De leur côté les puissances
centrales attachent aujourd'hui au front
d'Anatolie et au front des Balkans, entre
l'Adriatique et la mer Caspienne, avec leur
rayonnement jusqu'au canal de Suez-et au
golfe Persique, une autre importance qu'à
l'époque où l'on ne considérait la guerre
que comme une guerre continentale. Aussi -
— si la guerre devait durer encore un cer-
tain temps — il faudrait s'attendre à voir
passer au second plan les batailles livrées
sur l'ancien champ de bataille décisif de
l'ouest de l'Europe..De telles hypothèses fan-
tastiques pourraient, à l'époque où nous
sommes, devenir des réalités. — (H. St-
Bund, 11.8.
Presse allemande. — La nouvelle tactique
défensive ennemie consiste à retirer les
troupes des secteurs particulièrement me-
nacés à paralyser l'offensive adverse en
laissant dans la zone évacuée de nom-
breux nids de mitrailleuses et, pour
finir, à recevoir' l'attaque à demi-bri-
sée sur des positions nouvelles à pei-
ne touchées par l'artillerie. La méthode
n'est pas nouvelle. Les Allemands l'ont
employée dans les grandes batailles défen-
sives de l'an damier. Ce qui est nouveau
c'est d'avoir érigé la méthode en principe,
dans le cadre d'une grande action straté-
que, dans l'intention non seulement de
regagner ainsi le terrain perdu, mais aussi
de rendre possible une attaque en un autre
point du front. Cette méthode a été appli-
quée déjà, au mois de juin dernier, sur la
Piave, où il y a eu, en quelque sorte, une
répétition générale. Les Italiens y aban-
donnèrent spontanément des positions très
avantageuses. Ils dégarnirent leurs premiè-
res lignes et Ils attendirent tranquillement.
le moment de contre-attaquer, ce qu'ils pu-
rent faire après que la crue, subite de la Pia-
ve eut ralenti, puis arrêté la poussée austro-
hongroise de l'arrière vers l'avant. Nous
nous rendons compte après coup que cette
étonnante méthode défensive avait été sug-
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