Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-08-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 août 1918 14 août 1918
Description : 1918/08/14 (T9,N896). 1918/08/14 (T9,N896).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252422n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
r -
LS DE LA GUERRE
? «* DES
ES ETRANGÈRES
N° 896
Paris, 14 août 1918
nlletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
I QUESTIONS MILITAIRES
KL - FRONT OCCIDENTAL
front anglaise. — Si la lutte reprend sur
3 seri COlllpns entre la mer et Montdidier
une chose pénible d'un bout à l'au-
Ldn 'amP de bataille. Car nous attaque-
lAs, m °,rs parallèlement et non perpcndicu-
Pli. Q aux lignes de rocade de l'en-
Imi Quatre années d'études de la guerre
il amenés à cette conclusion que,
k J™ Possible pour les Allemands d'obte-
bs décision sur la Somme, rien n'est
llVonsPrObble que de penser que' nous
e att éteindre des résultats décisifs par
PW entre Montdidier et la côte.
011 nous montre la Belgique libérée
itDir ance triomphante' à travers le
e llBe elge, mais à mon avis, la Belgi-
te-éc Pourra être libérée que par une dé-
vante' de l'ennemi sur un point où
her est obligé de se maintenir pour em
er lie. son pays ne soit envahi. Nous
\:te dé aucun désir de traverser la Bel-
a. vastée par l'ennemi en retraite et,
Extraite sur l'Aisne nous a appris qucl-
lei c'est que combattre contre des
e-gardes, est une chose très peu satis-
Si l'on prend comme point d'étude
Lt de 1917 entre La Fère et Arras
■le' reporte sur une carte en pre-
r base un des points où la ligne se
ea le plus de l'Allemagne on verra
^&nce semblable à celle qui a for-
l'r lllant en question transporterait la
s in pays ennemi, engloberait des
portantes ainsi que des points de
m Cation essentiels au delà du Rhin
~- SUI" et, Hindenburg insistent beau-
; - le fait que les villes et villages
! B Perdus (teins leur retraite ne sont
irritoire allemand. Ce n'est pas une
nfaronnade., c'est une déclaration
Pleine connaissance de, la psycholo-
uande. Vous ne terminerez jamais
3 tant que vous ne la transporterez
ace) Je territoire allemand. - (Edgar
as Birmingham Post, 7.8.
a.rp ltahenne, — L'idée stratégique de
Paraît bien nette : développer le
11 d'effort contre le point de SiltU-
e eux groupes d'armées commandés
r°nprln,z impérial et le kronprinz
M forcer le passage par la région
rn rn e. C'est la réponse à la b "Hylde
allemande du 21.3 La 4e armée
veut prendre la revanche de l'échec
~la 5e. La réduction du :"ÜHëtilt de
']J1'i' la retraite de l'ennemi sur les
N lrni'tives Lens-Cambrai-Saint-Quen-
~assureraient aux Franco-Anglais, sur
; fron't, une plus grande liberté de
~unications et de mouvements, et met-
à leur disposition, en vue d'opéra-
res de considérables effectifs bri-
tanniques. Pour les deux belligérants, le
problème essentiel est de continuer. L'expé-
rience de cette guerre démontré qu'aucune
victoire n'a pu jusqu'ici entraîner d effets
décisifs, et que jamais on n'est si près de
l'insuccès qu'au moment où l'on enregistre
les premiers succès de détail. Foch, qui,
depuis la seconde victoire de la Marne,
possède désormais le privilège de l'initia-
tive, doit surmonter désormais les nouvel-
les difficultés qui en résultent. Sa métho-
de jusqu'ici, était simple : tenir à tout prix
certaines positions capitales, céder en com-
battant le terrain le moins précieux, sur-
veiller l'adversaire, et profiter de ses er-
reurs pour réagir aussitôt avec violence :
- « Où je vois une faute, je cogne » [en
français dans le texte]. Aujourd'hui, c'est
à lui de choisir sa propre manœuvre, et
d'éviter les erreurs que l'ennemi a com-
mises pour n'être pas à son tour contre-
manœuvré. La nouvelle offensive alliée
S obliger les Allemands à l'évacuation
du saillant picard. Mais ensuite, il faudra
continuer encore ; il s'agira de concevoir et
d'exéculter la manœuvre qui les empêchera
de se reprendre après une période suffi-
sante de repos et de préparation. Il s agira
d'attaquer un front arrondi et fuyant avec
le même succès que les côtés d'un sail-
lant. - Stampa, 11.8.
Presse allemande. — Il est difficile de sa-
voir si Foch — comme les Anglais, dans
la bataille des Flandres - continuera pen-
dant des mois à lancer ses troupes contre
notre front, ou s'il ménagera ses effectifs
pour plus tard. Le dernier mot n'est pas
encore dit. Des masses d'assaut, sans cesse
renouvelées, ont été amenées pendant les
premiers jours du mois d'août contre le
front allemand. Il semble que l'ennemi con-
tinuera ses attaques acharnées, tant que
ses troupes-seront à même de donner l'as-
saut L'artillerie allemande va retrouver
toute sa puissance. Elle s'émera la mort et
la ruine dans les rangs des assaillants. Pen-
dant ce temps, notre grand état-major aura
le temps de regrouper ses forces et de re-
prendre l'initiative là où il pourra en tirer
le meilleur profit. Nous avons encore trois
mois de bonne saison devant nous, nous
pouvons les utiliser à fond pour faire de
grandes choses. Mais, quel que soit le lieu
où nous portions prochainement un grand
coup, sur l'Aisne ou sur la Marne, dans
les Flandres ou en Champagne, il sera aussi
une réponse aux forfaits de Moscou et de
Kiev, perpétrés par les peuples de l'En-
tente, dont la presse a montré à cette oc-
casion toute la vilenie. - (Général von
Liebert) Tagliche Rundschau, 6.8.
- Notre communiqué du 4 août annonçait:
.« Sur l'Aisne, au nord et à l'est de Sois-
sons, ainsi que sur la Vesle, nous sommes
en contact avec l'ennemi. » Nous avons
donc abandonné Soissons, situé dans une
cuvette au sud de l'Aisne, et qui n'a pas de
valeur pour notre résistance sur le front.
Les Français ont réoccupé les ruines de la
ville, démolie par leur artillerie au moment
de leur retraite, et aussi ces jours-ci. Nous
paraissons avoir atteint la ligne de résis-
tance choisie. Elle est couverte par une ri-
vière sur presque toute sa longueur, d'abord
par l'Aisne, puis par la Vesle. Le général
Foch ne pourra pas se servir ici de ses
tanks. De plus, sur la rive nord de la
Vesle se dresse une ligne de crêtes de 150
mètres de hauteur, d'où -notre artillerie et
notre infanterie dominent tout le pays. C'est
ce qui explique que, si, par endroits, de
petits détachements ennemis ont pu passer
sur la rive nord, nos contre-attaques les
en ont immédiatement chassés. L'attaque la
plus importante, celle du lundi 5, dans le
secteur de Braisne et près de Jonchery,
a complètement échoué. A l'est aussi, l'en-
nemi, après une victorieuse avance, a dû
battre en retraite. A l'ouest, il faut nous
attendre au même résultat. Aussi les Fran-
çais ne manifestent-ils plus un enthou-
siasme délirant. Ils font preuve d'une cir-
conspection et d'un calme qui ne sont pas
exempts d'inquiétude. Nous, nous pouvons,
comme nous l'avons fait autrefois dans l'est
envisager avec une confiance absolue les
événements de demain. — Strassburger
Post, 7.8.
COMMANDEMENT
Le Grand Etat-Major allemand. — Peu de
lecteurs auront compris ce que voulait dire
l'élévation du grand Etat-Major au rang
d'une « autorité centrale ». Il s'agit d'une
simple marque d'approbation. Les éloges et
les distinctions font plaisir à ceux qui en
sont l'objet. C'est en réalité une de ces
questions de préséance qui ont peu d'inté-
rêt pour les profanes. Primitivement le
grand Etat-Major général était rattaché au
ministère de la Guerre. La place qu'il avait
dans l'ensemble de l'organisme administra-
tif, ne correspondait plus à l'importance de
sa mission. La décision récente a mis les
choses au point. La situation, nouvelle de
l'Etat-Major correspond à la valeur des ser-
vices qu'il a rendus. Elle lui permettra de
mieux rémunérer son personnel. La mesure
n'accroît en aucune façon ses prérogatives
et son influence'. — Norddeutsche Allge-
meine Zeitung, 7.8.
MORAL DES TROUPES
Armée américaine. — Les Allemands ont
essayé vainement des moyens de propa-
gande sur nos troupes ; les carte's postales
amicales et autres ouvertures de ce genre
ont reçu la réponse qu'elles méritaient. Mais
les nôtres ont, de leur côté, quelques tours
dans leur sac. Un document, émané d'un
certain Berg, officier allemand maintenant
prisonnier, nous dit ceci : « Les prisonniers
américains sont alertes et bons enfants ;
mais ils ignorent tout, la lecture d'une
LS DE LA GUERRE
? «* DES
ES ETRANGÈRES
N° 896
Paris, 14 août 1918
nlletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
I QUESTIONS MILITAIRES
KL - FRONT OCCIDENTAL
front anglaise. — Si la lutte reprend sur
3 seri COlllpns entre la mer et Montdidier
une chose pénible d'un bout à l'au-
Ldn 'amP de bataille. Car nous attaque-
lAs, m °,rs parallèlement et non perpcndicu-
Pli. Q aux lignes de rocade de l'en-
Imi Quatre années d'études de la guerre
il amenés à cette conclusion que,
k J™ Possible pour les Allemands d'obte-
bs décision sur la Somme, rien n'est
llVonsPrObble que de penser que' nous
e att éteindre des résultats décisifs par
PW entre Montdidier et la côte.
011 nous montre la Belgique libérée
itDir ance triomphante' à travers le
e llBe elge, mais à mon avis, la Belgi-
te-éc Pourra être libérée que par une dé-
vante' de l'ennemi sur un point où
her est obligé de se maintenir pour em
er lie. son pays ne soit envahi. Nous
\:te dé aucun désir de traverser la Bel-
a. vastée par l'ennemi en retraite et,
Extraite sur l'Aisne nous a appris qucl-
lei c'est que combattre contre des
e-gardes, est une chose très peu satis-
Si l'on prend comme point d'étude
Lt de 1917 entre La Fère et Arras
■le' reporte sur une carte en pre-
r base un des points où la ligne se
ea le plus de l'Allemagne on verra
^&nce semblable à celle qui a for-
l'r lllant en question transporterait la
s in pays ennemi, engloberait des
portantes ainsi que des points de
m Cation essentiels au delà du Rhin
~- SUI" et, Hindenburg insistent beau-
; - le fait que les villes et villages
! B Perdus (teins leur retraite ne sont
irritoire allemand. Ce n'est pas une
nfaronnade., c'est une déclaration
Pleine connaissance de, la psycholo-
uande. Vous ne terminerez jamais
3 tant que vous ne la transporterez
ace) Je territoire allemand. - (Edgar
as Birmingham Post, 7.8.
a.rp ltahenne, — L'idée stratégique de
Paraît bien nette : développer le
11 d'effort contre le point de SiltU-
e eux groupes d'armées commandés
r°nprln,z impérial et le kronprinz
M forcer le passage par la région
rn rn e. C'est la réponse à la b "Hylde
allemande du 21.3 La 4e armée
veut prendre la revanche de l'échec
~la 5e. La réduction du :"ÜHëtilt de
']J1'i' la retraite de l'ennemi sur les
N lrni'tives Lens-Cambrai-Saint-Quen-
~assureraient aux Franco-Anglais, sur
; fron't, une plus grande liberté de
~unications et de mouvements, et met-
à leur disposition, en vue d'opéra-
res de considérables effectifs bri-
tanniques. Pour les deux belligérants, le
problème essentiel est de continuer. L'expé-
rience de cette guerre démontré qu'aucune
victoire n'a pu jusqu'ici entraîner d effets
décisifs, et que jamais on n'est si près de
l'insuccès qu'au moment où l'on enregistre
les premiers succès de détail. Foch, qui,
depuis la seconde victoire de la Marne,
possède désormais le privilège de l'initia-
tive, doit surmonter désormais les nouvel-
les difficultés qui en résultent. Sa métho-
de jusqu'ici, était simple : tenir à tout prix
certaines positions capitales, céder en com-
battant le terrain le moins précieux, sur-
veiller l'adversaire, et profiter de ses er-
reurs pour réagir aussitôt avec violence :
- « Où je vois une faute, je cogne » [en
français dans le texte]. Aujourd'hui, c'est
à lui de choisir sa propre manœuvre, et
d'éviter les erreurs que l'ennemi a com-
mises pour n'être pas à son tour contre-
manœuvré. La nouvelle offensive alliée
S obliger les Allemands à l'évacuation
du saillant picard. Mais ensuite, il faudra
continuer encore ; il s'agira de concevoir et
d'exéculter la manœuvre qui les empêchera
de se reprendre après une période suffi-
sante de repos et de préparation. Il s agira
d'attaquer un front arrondi et fuyant avec
le même succès que les côtés d'un sail-
lant. - Stampa, 11.8.
Presse allemande. — Il est difficile de sa-
voir si Foch — comme les Anglais, dans
la bataille des Flandres - continuera pen-
dant des mois à lancer ses troupes contre
notre front, ou s'il ménagera ses effectifs
pour plus tard. Le dernier mot n'est pas
encore dit. Des masses d'assaut, sans cesse
renouvelées, ont été amenées pendant les
premiers jours du mois d'août contre le
front allemand. Il semble que l'ennemi con-
tinuera ses attaques acharnées, tant que
ses troupes-seront à même de donner l'as-
saut L'artillerie allemande va retrouver
toute sa puissance. Elle s'émera la mort et
la ruine dans les rangs des assaillants. Pen-
dant ce temps, notre grand état-major aura
le temps de regrouper ses forces et de re-
prendre l'initiative là où il pourra en tirer
le meilleur profit. Nous avons encore trois
mois de bonne saison devant nous, nous
pouvons les utiliser à fond pour faire de
grandes choses. Mais, quel que soit le lieu
où nous portions prochainement un grand
coup, sur l'Aisne ou sur la Marne, dans
les Flandres ou en Champagne, il sera aussi
une réponse aux forfaits de Moscou et de
Kiev, perpétrés par les peuples de l'En-
tente, dont la presse a montré à cette oc-
casion toute la vilenie. - (Général von
Liebert) Tagliche Rundschau, 6.8.
- Notre communiqué du 4 août annonçait:
.« Sur l'Aisne, au nord et à l'est de Sois-
sons, ainsi que sur la Vesle, nous sommes
en contact avec l'ennemi. » Nous avons
donc abandonné Soissons, situé dans une
cuvette au sud de l'Aisne, et qui n'a pas de
valeur pour notre résistance sur le front.
Les Français ont réoccupé les ruines de la
ville, démolie par leur artillerie au moment
de leur retraite, et aussi ces jours-ci. Nous
paraissons avoir atteint la ligne de résis-
tance choisie. Elle est couverte par une ri-
vière sur presque toute sa longueur, d'abord
par l'Aisne, puis par la Vesle. Le général
Foch ne pourra pas se servir ici de ses
tanks. De plus, sur la rive nord de la
Vesle se dresse une ligne de crêtes de 150
mètres de hauteur, d'où -notre artillerie et
notre infanterie dominent tout le pays. C'est
ce qui explique que, si, par endroits, de
petits détachements ennemis ont pu passer
sur la rive nord, nos contre-attaques les
en ont immédiatement chassés. L'attaque la
plus importante, celle du lundi 5, dans le
secteur de Braisne et près de Jonchery,
a complètement échoué. A l'est aussi, l'en-
nemi, après une victorieuse avance, a dû
battre en retraite. A l'ouest, il faut nous
attendre au même résultat. Aussi les Fran-
çais ne manifestent-ils plus un enthou-
siasme délirant. Ils font preuve d'une cir-
conspection et d'un calme qui ne sont pas
exempts d'inquiétude. Nous, nous pouvons,
comme nous l'avons fait autrefois dans l'est
envisager avec une confiance absolue les
événements de demain. — Strassburger
Post, 7.8.
COMMANDEMENT
Le Grand Etat-Major allemand. — Peu de
lecteurs auront compris ce que voulait dire
l'élévation du grand Etat-Major au rang
d'une « autorité centrale ». Il s'agit d'une
simple marque d'approbation. Les éloges et
les distinctions font plaisir à ceux qui en
sont l'objet. C'est en réalité une de ces
questions de préséance qui ont peu d'inté-
rêt pour les profanes. Primitivement le
grand Etat-Major général était rattaché au
ministère de la Guerre. La place qu'il avait
dans l'ensemble de l'organisme administra-
tif, ne correspondait plus à l'importance de
sa mission. La décision récente a mis les
choses au point. La situation, nouvelle de
l'Etat-Major correspond à la valeur des ser-
vices qu'il a rendus. Elle lui permettra de
mieux rémunérer son personnel. La mesure
n'accroît en aucune façon ses prérogatives
et son influence'. — Norddeutsche Allge-
meine Zeitung, 7.8.
MORAL DES TROUPES
Armée américaine. — Les Allemands ont
essayé vainement des moyens de propa-
gande sur nos troupes ; les carte's postales
amicales et autres ouvertures de ce genre
ont reçu la réponse qu'elles méritaient. Mais
les nôtres ont, de leur côté, quelques tours
dans leur sac. Un document, émané d'un
certain Berg, officier allemand maintenant
prisonnier, nous dit ceci : « Les prisonniers
américains sont alertes et bons enfants ;
mais ils ignorent tout, la lecture d'une
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