Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-08-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 août 1918 12 août 1918
Description : 1918/08/12 (T9,N894). 1918/08/12 (T9,N894).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252420t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
N° 894
11 t U 4 GUERRE
~- Dts
V^^NGÈRES
Paris, 12 août 1918.
Inlletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
- de la Guerre et des Affaires Étrangères.
I -.- , - -=
:
Iç 5 MILITAIRES
OCCIDENTAL
r e. 1 II semble que le mouve-
O dés Ulemands-entre Reims et
les 1,~ Vesle est à la veille de sa
8 nalistes français se sont
Mr lient que les armées du
'.3 Se replieiraient au delà de
?ais sont à Soissons, les
levant Fismes. A Reims,
re'Ss:nçalse' n'a pas gagné de ter-
qu' aiide,ne voit dans toute
)J un « retrait de l'aile droite
M~ gB.'nne demi - conversion à
'• Elle aioute que le pivot
! , qui va de Reims à l'Ar-
esté nébranlé et que si l'aile
mande était v.raiment battue l'aile
MB rtainememt le contre-coup
M ue ces demi-conveïsions
sont -s souvent le point de dé-
hbj Ultérle.u,r.s.. Cette explication,
ilillie militaire, ne suffit pas
ntité de gens et des opti-
■écrivent que le mouve-
HEpl.i. la Vesle est « le prélude
es, 5 mouvement de grand
s ces considérations et toutes
frasteînU quelque peu avec
e d eme de franchise militaire
e e Ludendorff, qui a avoué
M)E « Cette fois notre affaire' n'a.
MNw B te ,qu à nouvel ordre on fera
B telli.r à cette appréciation de
Porter uon jugement sur le
tgQ rOnt entre Reims et Sois-
et!lan"" ,
allemande. — Sous le titre :
■E D'ARRIÈRE-GARDE » : Bien
' ûotre mouvement de repli,
naes pas portés, d'un seul
M j tvelle's positions. Il est fa-
~MM are que nous n'avions au-
jndonner, en une fois et
le une bande' de terrain
a état-major voulait ame-
gager ses effectifs et spé-
'rvfs, et il voulait le' for-
; : y pouvait réussir que
échelons, en gardant le
dv e'rsaire et en le forçant à
des crête's occupées par
p\des.' il est prouvé que
1 ans la bataille un mil-
n «valu^nt avec mod'éra-
^Proportion des effectifs,
ulté nommes mis hors de
de reSlstanc'e' est dimi-
L'Entente elle-même com-
i! mue le raccourcissement
■ a été une manœuvre tac-
e qu'il me saurait être
question d'un succès important et surtout
décisif pour les armes ennemies. Le
Temps est contraint d'avouer que les
pertes allernài~ides ont été relativement très
faibles, D'autres journaux français se plai-
gnent du service de santé. La conviction gé-
nérale est que cela ne serti à rien de conqué-
rir du terrall1, puisque la retraite allemande
s'exécute en bon ordre et sans pertes. Si
l'adversaire souhaite obtenir un succès, il
sera forcé de déclencher de nouvelles atta-
ques contre les positions allemandes. Ainsi,
la manœuvre allemande a atteint le. but
qu'elle s'était donné. Nous avons tout liei-i
d'espérer que sur nos nouvelles positions,
nous repousserons toutes les attaques' que
geant de nouvelles pertes nous nous rappro-
cherons de plus en plus de notre objectif,
qui est la destruction de ses effectifs. -
Hamburger fMOBM A L'OUEST »
« LA BATAILLE DÉFENSIVE MOBILE A L'OUEST »
[sous ce 't e| du 2 a
parlé, à bon escient, d'une « bataille d'ar-
rière-garde ». Il a voulu faire entendre par
là que la position allemande au nord de
l'Ourcq, n'est pas une position définitive et
que nous sommes toujOrufS en pleine gueirre
de mouvement Cela implique que le repli
de l'aile, droite allemande - car c'est d'elle
qu'il s'agit ne do,ib pas être considéré
comme terminé, mais qu'une ou plusieurs
positons de défense seront abandonnées,
une fois qu'elles auront rempli leur but, jus-
qu'au moment où.l malS ici s'arrêtent nos
hypothèses, car lès événbrnents seuls soulè-
hypotheses car les évén ements les décisions
veront le voile épais qui pub pc les décisions
de notre Etat-Major. Le public allemand, et
il ne faut pas lui en vouloir, a été surpris et
quoi, les assauts ennemis ayant échoué avec
juillet et.dti 2 août. Il n'a pas compris pour-
d'énormes pertes, nous avons dû abandon-
d'énormes pertes, nous d'autant plus que
nous avons continu.é ce mouvement de re-
traite, ^na 11I*bUu Xnâpi. Cette évacuation
du champ de bataille prouvait que nous en
étions restés les maîtres. Il est vrai que la
étions restés profanes en matière militaire
voient dans cc haqq ue «traite l'aveu d'une dé-
faite. Ce fut aussi l'opinion de la masse en
Allemagne opinion d'ailleurs tout à fait er-
ronée. Notre repli n'intéresse nullement
tout notre front, mais seulement l'aile' droite
qui a éxucuté une « demi-conversion à droite
et en arrière » et qui continuera peut-être
ce mouvement. Le pivot de la conversion,
qui va de Reims juequ'à l'Argonne, a une
base très large et il est resté inébranlable.
Si l'aile droite. allemande était .vraiment bat-
tue. l'aile gauche subirait certainement le
contre-coup de cette défaite mais ces demi-
conversions en arrière sont très souvent le
point de départ de succès ultérieurs. Notre
coli ne peut donner à notre adversaire l'oc-
casion de chanter victoire. Le géné-
ral Foch doit partager la manière de
voir de Napoléon qui disait, après la ba-
taille de Bautzen, en 1813 : « Ces gens-là ne
me laisseront pas un clou à ramasser.» Il ne
saurait être question d'une grande pour-
suite de l'ennemi. Il hésite à suivre les ar-
rière-gardes allemandes, qui lui font sentir
qu'elles n'ont rien perdu de leur ardeur au
combat. Plus cette situation se prolonge, et
plus elle provoque de malaise et une pru-
dence méfiante chez nos ennemis. Il est évi-
dent que l'Etat-Major allemand ne prolonge-
ra pas indéfiniment ce mouvement de repli.
L'offensive a subi un temps d'arrêt désa-
gréable. Il est sûr qu'elle recommencera
Nos armées qui se sont battues entre l'Ais-
'f' et la Marne, n'ont pas fait appel à leurs
réserves. Notre Etat-Major a conservé toute
son initiative. Il le fera voir à l'heure vou-
lue, la sérénité confiante de nos chefs nous,
en donne la certitude. Les généraux fran-
çais ont vainement attendu une offensive de
dégagement anglaise. Quelques ! attaques
partielles, dans les premiers jours d'août à
Méteren, Merris et au sud-ouest d'Ypres ne
peuvent effacer l'impression, qu'un journal
français a bien exposée en ces termes :
« Tout cela une comédie pour faire acte de
présence. » (Général von Ardenne) Berliner
Tageblatt, 5.8.
« CONVERSION DU FRONT ET BATAILLE D'ARRIÈ-
RE-GARDE [sous ce titre]. — Il ne saurait
être question d'une poussée victorieuse des
troupes ennemies, mais bien plutôt d'un
brillant combat d'arrière-garde, d'une ma-
nœuvre défensive qui nous permet de les
tenir en échec. Une, fois de plus notre Etat-
Major, après avoir déjoué les plans de
l'ennemi, a conservé, pleine et entière, l'ini-
tiative des opérations, et il continue, malgré
un repli momentané, à dicter sa loi à l' 00;"
riemi. L'ennemi hésite à nous suivre. C'est
que nos mitrailleuses, qui couvrent notre
mouvement de conversion, lui infligent des
pertes si cruelles, que dans sa « course à
la victoire », il éprouve une angoisse mor-
telle. L'armée de Boehn a pleinement réus-
si son mouvement de conversion vers l'ar-
rière, dont le pivot se trouvait aux abords
de Soissons. C'est au pivot que naturelle-
ment la, conversion a été la plus lemte,
tandis qu'à l'aile gauche elle s'est faite
peu à peu plus rapidement, Un tel renli
méthodique, au cours duquel l'adversaire
subit de lourds dommages, n'a rien de com-
mun avec une retraite au sens militaire de
ce mot. Le Giornale d'Italia parle même
d'une « élégante manœuvre » qui remet en
honneur les vieilles traditions de la stra-
tégie et le collaborateur militaire des
Izvestia émet des considérations du mê-
me genre en déclarant que Hindenburg
pour chaque pas qu'il fait aujourd'hui en
arrière, espère faire, dans un avenir pro-
chain deux pas en avant. Pendant que nous
opérions notre conversion, l'ennemi nous a
attaqués sur cinq de nos positions principa-
les de combat. Il n'a remporté de succès
nulle part, ce qui prouve bien la méthode
11 t U 4 GUERRE
~- Dts
V^^NGÈRES
Paris, 12 août 1918.
Inlletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
- de la Guerre et des Affaires Étrangères.
I -.- , - -=
:
Iç 5 MILITAIRES
OCCIDENTAL
r e. 1 II semble que le mouve-
O dés Ulemands-entre Reims et
les 1,~ Vesle est à la veille de sa
8 nalistes français se sont
Mr lient que les armées du
'.3 Se replieiraient au delà de
?ais sont à Soissons, les
levant Fismes. A Reims,
re'Ss:nçalse' n'a pas gagné de ter-
qu' aiide,ne voit dans toute
)J un « retrait de l'aile droite
M~ gB.'nne demi - conversion à
'• Elle aioute que le pivot
! , qui va de Reims à l'Ar-
esté nébranlé et que si l'aile
mande était v.raiment battue l'aile
MB rtainememt le contre-coup
M ue ces demi-conveïsions
sont -s souvent le point de dé-
hbj Ultérle.u,r.s.. Cette explication,
ilillie militaire, ne suffit pas
ntité de gens et des opti-
■écrivent que le mouve-
HEpl.i. la Vesle est « le prélude
es, 5 mouvement de grand
s ces considérations et toutes
frasteînU quelque peu avec
e d eme de franchise militaire
e e Ludendorff, qui a avoué
M)E « Cette fois notre affaire' n'a.
MNw B te ,qu à nouvel ordre on fera
B telli.r à cette appréciation de
Porter uon jugement sur le
tgQ rOnt entre Reims et Sois-
et!lan"" ,
allemande. — Sous le titre :
■E D'ARRIÈRE-GARDE » : Bien
'
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M j tvelle's positions. Il est fa-
~MM are que nous n'avions au-
jndonner, en une fois et
le une bande' de terrain
a état-major voulait ame-
gager ses effectifs et spé-
'rvfs, et il voulait le' for-
; : y pouvait réussir que
échelons, en gardant le
dv e'rsaire et en le forçant à
des crête's occupées par
p\des.' il est prouvé que
1 ans la bataille un mil-
n «valu^nt avec mod'éra-
^Proportion des effectifs,
ulté nommes mis hors de
de reSlstanc'e' est dimi-
L'Entente elle-même com-
i! mue le raccourcissement
■ a été une manœuvre tac-
e qu'il me saurait être
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décisif pour les armes ennemies. Le
Temps est contraint d'avouer que les
pertes allernài~ides ont été relativement très
faibles, D'autres journaux français se plai-
gnent du service de santé. La conviction gé-
nérale est que cela ne serti à rien de conqué-
rir du terrall1, puisque la retraite allemande
s'exécute en bon ordre et sans pertes. Si
l'adversaire souhaite obtenir un succès, il
sera forcé de déclencher de nouvelles atta-
ques contre les positions allemandes. Ainsi,
la manœuvre allemande a atteint le. but
qu'elle s'était donné. Nous avons tout liei-i
d'espérer que sur nos nouvelles positions,
nous repousserons toutes les attaques' que
geant de nouvelles pertes nous nous rappro-
cherons de plus en plus de notre objectif,
qui est la destruction de ses effectifs. -
Hamburger fMOBM A L'OUEST »
« LA BATAILLE DÉFENSIVE MOBILE A L'OUEST »
[sous ce 't e| du 2 a
parlé, à bon escient, d'une « bataille d'ar-
rière-garde ». Il a voulu faire entendre par
là que la position allemande au nord de
l'Ourcq, n'est pas une position définitive et
que nous sommes toujOrufS en pleine gueirre
de mouvement Cela implique que le repli
de l'aile, droite allemande - car c'est d'elle
qu'il s'agit ne do,ib pas être considéré
comme terminé, mais qu'une ou plusieurs
positons de défense seront abandonnées,
une fois qu'elles auront rempli leur but, jus-
qu'au moment où.l malS ici s'arrêtent nos
hypothèses, car lès événbrnents seuls soulè-
hypotheses car les évén ements les décisions
veront le voile épais qui pub pc les décisions
de notre Etat-Major. Le public allemand, et
il ne faut pas lui en vouloir, a été surpris et
quoi, les assauts ennemis ayant échoué avec
juillet et.dti 2 août. Il n'a pas compris pour-
d'énormes pertes, nous avons dû abandon-
d'énormes pertes, nous d'autant plus que
nous avons continu.é ce mouvement de re-
traite, ^na 11I*bUu Xnâpi. Cette évacuation
du champ de bataille prouvait que nous en
étions restés les maîtres. Il est vrai que la
étions restés profanes en matière militaire
voient dans cc haqq ue «traite l'aveu d'une dé-
faite. Ce fut aussi l'opinion de la masse en
Allemagne opinion d'ailleurs tout à fait er-
ronée. Notre repli n'intéresse nullement
tout notre front, mais seulement l'aile' droite
qui a éxucuté une « demi-conversion à droite
et en arrière » et qui continuera peut-être
ce mouvement. Le pivot de la conversion,
qui va de Reims juequ'à l'Argonne, a une
base très large et il est resté inébranlable.
Si l'aile droite. allemande était .vraiment bat-
tue. l'aile gauche subirait certainement le
contre-coup de cette défaite mais ces demi-
conversions en arrière sont très souvent le
point de départ de succès ultérieurs. Notre
coli ne peut donner à notre adversaire l'oc-
casion de chanter victoire. Le géné-
ral Foch doit partager la manière de
voir de Napoléon qui disait, après la ba-
taille de Bautzen, en 1813 : « Ces gens-là ne
me laisseront pas un clou à ramasser.» Il ne
saurait être question d'une grande pour-
suite de l'ennemi. Il hésite à suivre les ar-
rière-gardes allemandes, qui lui font sentir
qu'elles n'ont rien perdu de leur ardeur au
combat. Plus cette situation se prolonge, et
plus elle provoque de malaise et une pru-
dence méfiante chez nos ennemis. Il est évi-
dent que l'Etat-Major allemand ne prolonge-
ra pas indéfiniment ce mouvement de repli.
L'offensive a subi un temps d'arrêt désa-
gréable. Il est sûr qu'elle recommencera
Nos armées qui se sont battues entre l'Ais-
'f' et la Marne, n'ont pas fait appel à leurs
réserves. Notre Etat-Major a conservé toute
son initiative. Il le fera voir à l'heure vou-
lue, la sérénité confiante de nos chefs nous,
en donne la certitude. Les généraux fran-
çais ont vainement attendu une offensive de
dégagement anglaise. Quelques ! attaques
partielles, dans les premiers jours d'août à
Méteren, Merris et au sud-ouest d'Ypres ne
peuvent effacer l'impression, qu'un journal
français a bien exposée en ces termes :
« Tout cela une comédie pour faire acte de
présence. » (Général von Ardenne) Berliner
Tageblatt, 5.8.
« CONVERSION DU FRONT ET BATAILLE D'ARRIÈ-
RE-GARDE [sous ce titre]. — Il ne saurait
être question d'une poussée victorieuse des
troupes ennemies, mais bien plutôt d'un
brillant combat d'arrière-garde, d'une ma-
nœuvre défensive qui nous permet de les
tenir en échec. Une, fois de plus notre Etat-
Major, après avoir déjoué les plans de
l'ennemi, a conservé, pleine et entière, l'ini-
tiative des opérations, et il continue, malgré
un repli momentané, à dicter sa loi à l' 00;"
riemi. L'ennemi hésite à nous suivre. C'est
que nos mitrailleuses, qui couvrent notre
mouvement de conversion, lui infligent des
pertes si cruelles, que dans sa « course à
la victoire », il éprouve une angoisse mor-
telle. L'armée de Boehn a pleinement réus-
si son mouvement de conversion vers l'ar-
rière, dont le pivot se trouvait aux abords
de Soissons. C'est au pivot que naturelle-
ment la, conversion a été la plus lemte,
tandis qu'à l'aile gauche elle s'est faite
peu à peu plus rapidement, Un tel renli
méthodique, au cours duquel l'adversaire
subit de lourds dommages, n'a rien de com-
mun avec une retraite au sens militaire de
ce mot. Le Giornale d'Italia parle même
d'une « élégante manœuvre » qui remet en
honneur les vieilles traditions de la stra-
tégie et le collaborateur militaire des
Izvestia émet des considérations du mê-
me genre en déclarant que Hindenburg
pour chaque pas qu'il fait aujourd'hui en
arrière, espère faire, dans un avenir pro-
chain deux pas en avant. Pendant que nous
opérions notre conversion, l'ennemi nous a
attaqués sur cinq de nos positions principa-
les de combat. Il n'a remporté de succès
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