Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 juillet 1918 29 juillet 1918
Description : 1918/07/29 (T9,N880). 1918/07/29 (T9,N880).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252406j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
,
ES DE LA GUERRE
ET ()F:S
ES ÉTRANGÈRES
N 880
Paris, 29 juillet 1918.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL *
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. -
QUESIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL ---
SIVES des Allemands sont basées
~t le su - une préparation d'artillerie
rte destinée neutraliser l'artillerie ad-
et à arroser si fortement toutes les
k'es We,*irt "10n attaquée que l'arrivée
renforts orts 8 lt rendue impo~ssible. Géné-
une division allemande a trois ré-
de trois bataillons, chacun à qua-
compagnies, s'organisant en profondeur
attaque. Deux régiments prennent le
le troisième est en réserve. - La
:"i'fs "ene qui dure de deux à
'q\) qv , u transforme en un barra-
Sne manière méticuleuse
UiwQ les mitrailleuses lour.
ouvrent un feu de nrotection soutenu.
mitrailleuses sont les bons forgerons
l'empereur !« parlé. Si l'attaque réus-
la première ligne progresse aussi reus-
possible, laissant aux 'unités qui sui-
Je 111 <3e réduire les derniers îlots de
Mais si l'attaque est arrêtée, le
tout aussitôt couvert par un bar-
de mitrailleuses et l'infiltration com-
Les honmes accompagnés de mi-
essayent par bonds.
ce temps, le défenseur est soumis
bom c ardernent de mitrailleuses et
Ce sont ces petits groupes qui
le ei"euJ l-uément de l'attaque. Si
meilleur élément de l'attaque. Si
fe\) contre-attaque, ils forment une
de feu, en groupes bien dissimulés.
précis sont donnés interdisant
retraite. - ( Colonel Repington) Mor-
Post, L. -
hollandaise. - L'offensive alle-
II eSt faciio HS a abouti à un échec
Il est de se r eprésenter l'im-
que ce succès des Alliés aura exer-
esprits en France et dans les
l'Entente. l, a. r:',llt~. Le bombardement de
a repris le 15 sera incapable
erret Oral produit. Et d'autre
attaque manquée aura un reten-
dans les pays d'outre-Rhin. Il est
ministre qui osait mettre en doute
par les armes, que la presse
, grisée par les succès du prin-
appelait de ItlouS ses désirs. Mais le
allemand sera d'autant plus profon-
frappé par le résultat de la pre-
de délltreprise militaire qui a eu
Vo/K iîre l'éoh6 de KuhImann et
l'écho de son avertisse-~
,
- -
quatrième offensive allemande n'a
le succès des trois précédentes. Il
ent difficile d'affirmer qu'elle
le prolengement de la troisième, de
celle qui porta les Allemands du Chemin-
des-Dames sur les rives de la Marne. Le
général Foch semble avoir pourtant pres-
senti que la nouvelle attaque aurait pour
but d'étendre les positions occupées par
l'ennemi sur la Marne, à l'est et à l'ouest
de Reims. Car, cette fois-ci, les Allemands
ont rencontré une résistance d'une énergie
incroyable. Ils n'ont pas trouvé, en face
d'eux, des troupes abandonnant les lignes
assaillies pour se replier à la hâte, mais une
armée inébranlable qui a tenu tête au choc
et qui, passant immédiatement à la contre-
attaque, a repris, en un clin d'œil, le ter-
rain qu'elle avait dû céder sous le poids de
l'assaut. Cette fois-ci, les troupes alliées
ont su annihiler l'effort de leurs adversai-
res. - Algemeen Handelsblad, 18.7.
— Quoiqu'il soit encore difficile de se
prononcer sur le résultat final des opéra-
tions en cours, une chose est certaine : c'est
grâce au concours américain que les Fran-
çais ont pu attaquer avec succès. La contre-
offensive française a été déclenchée au mo-
ment où la dernière offensive allemande
organisée sur une grande échelle était à
peine enrayée. Quatre jours s'étaient à
peine écoulés, depuis ce nouvel et violent
assaut, que les Français, non seulement ar-
rêtaient la poussée allemande et passaient à
de furieuses contre-attaques, mais prou-
vaient aussi qu'ils étaient, à leur tour, en
état d'entreprendre une offensive de grand
style. L'Entente possède donc de puissantes
réserves dont le rôle ne se borne pas uni-
quement, comme on l'avait laissé supposer,
à combler les vides creusés par les Alle-
mands dans les rangs des armées alliées.
Désormais, le général Foch tiendra en
main de forts atouts dont la valeur augmen-
tera à mesure que les bateaux d'Amérique
déverseront leur cargaison humaine sur le
sol de France. — Maasbode, 19.7.
Presse espagnole. - Le généralissime des
Alliés a pu se convaincre que, dans cette
guerre l'initiative est la condition du suc-
cès La bataille actuelle a été la première et
même la seule dans laquelle les armées de
la Multiple-Entente aient eu l'initiative.
L'attaque, savamment menée par les Fran-
çais, a réduit les Allemands à la défensive.
Techniquement la manœuvre de ceux-ci
peut s'appeler un changement de front per-
pendiculaire, opération dont la difficulté
était aggravée par le passage forcé de la
Marne. Si Foch voulait empêcher les Alle-
mands d'entrer à Epernay et éviter l'éva-
cuation de Reims, il est indiscutable qu'il a
atteint son but. Mais valait-il la peine de
lancer divisions sur divisions pour obtenir
un résultat purement secondaire dont l'ef-
fet ne se fera plus sentir dans quelques
mois ? Reims n'est pas et ne peut être un
objectif politique d'une importance telle qu'il
mérite le sacrifice d'une armée. Si Foch se
proposait d'élever le moral des Français et
de provoquer des manifestations de joie aux
Etats-Unis, on doit reconnaître encore qu'il
a réussi. Toutefois les échecs futurs et iné-
vitables seront d'autant plus douloureux
qu'ils succéderont à ces victoires limitées
Que devait chercher Foch ? Un succès pra-
tiquement profitable, une percée sur la ligne
Marne-Aisne qui aurait coupé la retraite
d'un corps d'armée allemand. Or après son
admirable manœuvre nous assistons sim-
plement à une offensive des Français et à
une défensive des Allemands, mais nous as-
sisterons bientôt sans doute à une contre-
offensive de ces derniers sur un autre point
du front. En outre, la victoire des Français
se trouve ternie par les commentaires
qu'elle a inspirés aux Américains. On dit là-
bas : la bataille de Soissons-Château-
Thierry est un succès formidable, dû à no
tre intervention armée dans le conflit euro-
péen ! — Correo Espanol 24 7
.( - -, '"---.
Presse allemande. - Du Grand Quartier
général: Hier après-midi aussi l'ennemi a
continué sur tout le front sa tentative de
peircée, appuyée par le feu roulant de l'ar-
tillerte, les gaz toxiques, les tanks, et par
des tirs de harcèlement sur nos voies d'ap-
proche et nos arrières. En quelques points
tout particulièrement au sud et au sud-ouest
de Soissons, il a donné à sa pression le
maximum d'intensité. La direction de ses
attaques, les sacrifices énormes qu'il a
farits, les témoignages des prisonniers, les
ordres tombés entre nos mains, tout nous
permet de condure que le but de cette
grande offensive était l'écrasement de tout
le saillant formé par notre front entre
l'Aisne et la Marne Les combats d'hier
n'ont nullement rapproché l'ennemi de son
but. Tous nos combattants déclarent d'un
commun accord que l'ennemi, qui n'est pas
familiarisé avec notre défense mobile, a su-
bi les pertes les plus lourdes. Les fluctua
tions de la bataille étaient telles que, fré-
quemment les rafales de l'artillerie enne-
mie ne balayaient que des terrains tenus
par quelques troupes de couverture et que
ses troupes d'infanterie donnant l'assaut
étaient arrêtées par notre ligne de défense
proprement dite ou refoulées par la contre-
attaque immédiate de nos forces demeu-
rées intactes. Au cours de ces engagements
quelques crêtes (celles de Villemontoire par
exemple) et quelques villages (Berzy) ont
passé de mains en mains. Dans une contre-
attaque une de nos divisions, qui se battait
sans arrêt depuis deux jours, a gagné du
terrain sur un front de 3 kilomètres et sur
1 kilomètre de profondeur. Dans son en
semble la journée d'hier a été un échec
complet de la tentative de percée de l'enne-
mi - (W. Scheuermann) Norddeutsche
Allgemeine Zeitung, 22.7.
- Hier encore, troisième jour de la ba-
talle, l'ofWve n'avait pas diminué de
violence. Mais grâce à l'incomparable résis-
tance de nos soldats et à leur merveilleuse
faculté d'adaptation immédiate à la nou-
velle tactique ennemie, nos adversaires
ES DE LA GUERRE
ET ()F:S
ES ÉTRANGÈRES
N 880
Paris, 29 juillet 1918.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL *
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. -
QUESIONS MILITAIRES
FRONT OCCIDENTAL ---
SIVES des Allemands sont basées
~t le su - une préparation d'artillerie
rte destinée neutraliser l'artillerie ad-
et à arroser si fortement toutes les
k'es We,*irt "10n attaquée que l'arrivée
renforts orts 8 lt rendue impo~ssible. Géné-
une division allemande a trois ré-
de trois bataillons, chacun à qua-
compagnies, s'organisant en profondeur
attaque. Deux régiments prennent le
le troisième est en réserve. - La
:"i'fs "ene qui dure de deux à
'q\) qv , u transforme en un barra-
Sne manière méticuleuse
UiwQ les mitrailleuses lour.
ouvrent un feu de nrotection soutenu.
mitrailleuses sont les bons forgerons
l'empereur !« parlé. Si l'attaque réus-
la première ligne progresse aussi reus-
possible, laissant aux 'unités qui sui-
Je 111 <3e réduire les derniers îlots de
Mais si l'attaque est arrêtée, le
tout aussitôt couvert par un bar-
de mitrailleuses et l'infiltration com-
Les honmes accompagnés de mi-
essayent par bonds.
ce temps, le défenseur est soumis
bom c ardernent de mitrailleuses et
Ce sont ces petits groupes qui
le ei"euJ l-uément de l'attaque. Si
meilleur élément de l'attaque. Si
fe\) contre-attaque, ils forment une
de feu, en groupes bien dissimulés.
précis sont donnés interdisant
retraite. - ( Colonel Repington) Mor-
Post, L. -
hollandaise. - L'offensive alle-
II eSt faciio HS a abouti à un échec
Il est de se r eprésenter l'im-
que ce succès des Alliés aura exer-
esprits en France et dans les
l'Entente. l, a. r:',llt~. Le bombardement de
a repris le 15 sera incapable
erret Oral produit. Et d'autre
attaque manquée aura un reten-
dans les pays d'outre-Rhin. Il est
ministre qui osait mettre en doute
par les armes, que la presse
, grisée par les succès du prin-
appelait de ItlouS ses désirs. Mais le
allemand sera d'autant plus profon-
frappé par le résultat de la pre-
de délltreprise militaire qui a eu
Vo/K iîre l'éoh6 de KuhImann et
l'écho de son avertisse-~
,
- -
quatrième offensive allemande n'a
le succès des trois précédentes. Il
ent difficile d'affirmer qu'elle
le prolengement de la troisième, de
celle qui porta les Allemands du Chemin-
des-Dames sur les rives de la Marne. Le
général Foch semble avoir pourtant pres-
senti que la nouvelle attaque aurait pour
but d'étendre les positions occupées par
l'ennemi sur la Marne, à l'est et à l'ouest
de Reims. Car, cette fois-ci, les Allemands
ont rencontré une résistance d'une énergie
incroyable. Ils n'ont pas trouvé, en face
d'eux, des troupes abandonnant les lignes
assaillies pour se replier à la hâte, mais une
armée inébranlable qui a tenu tête au choc
et qui, passant immédiatement à la contre-
attaque, a repris, en un clin d'œil, le ter-
rain qu'elle avait dû céder sous le poids de
l'assaut. Cette fois-ci, les troupes alliées
ont su annihiler l'effort de leurs adversai-
res. - Algemeen Handelsblad, 18.7.
— Quoiqu'il soit encore difficile de se
prononcer sur le résultat final des opéra-
tions en cours, une chose est certaine : c'est
grâce au concours américain que les Fran-
çais ont pu attaquer avec succès. La contre-
offensive française a été déclenchée au mo-
ment où la dernière offensive allemande
organisée sur une grande échelle était à
peine enrayée. Quatre jours s'étaient à
peine écoulés, depuis ce nouvel et violent
assaut, que les Français, non seulement ar-
rêtaient la poussée allemande et passaient à
de furieuses contre-attaques, mais prou-
vaient aussi qu'ils étaient, à leur tour, en
état d'entreprendre une offensive de grand
style. L'Entente possède donc de puissantes
réserves dont le rôle ne se borne pas uni-
quement, comme on l'avait laissé supposer,
à combler les vides creusés par les Alle-
mands dans les rangs des armées alliées.
Désormais, le général Foch tiendra en
main de forts atouts dont la valeur augmen-
tera à mesure que les bateaux d'Amérique
déverseront leur cargaison humaine sur le
sol de France. — Maasbode, 19.7.
Presse espagnole. - Le généralissime des
Alliés a pu se convaincre que, dans cette
guerre l'initiative est la condition du suc-
cès La bataille actuelle a été la première et
même la seule dans laquelle les armées de
la Multiple-Entente aient eu l'initiative.
L'attaque, savamment menée par les Fran-
çais, a réduit les Allemands à la défensive.
Techniquement la manœuvre de ceux-ci
peut s'appeler un changement de front per-
pendiculaire, opération dont la difficulté
était aggravée par le passage forcé de la
Marne. Si Foch voulait empêcher les Alle-
mands d'entrer à Epernay et éviter l'éva-
cuation de Reims, il est indiscutable qu'il a
atteint son but. Mais valait-il la peine de
lancer divisions sur divisions pour obtenir
un résultat purement secondaire dont l'ef-
fet ne se fera plus sentir dans quelques
mois ? Reims n'est pas et ne peut être un
objectif politique d'une importance telle qu'il
mérite le sacrifice d'une armée. Si Foch se
proposait d'élever le moral des Français et
de provoquer des manifestations de joie aux
Etats-Unis, on doit reconnaître encore qu'il
a réussi. Toutefois les échecs futurs et iné-
vitables seront d'autant plus douloureux
qu'ils succéderont à ces victoires limitées
Que devait chercher Foch ? Un succès pra-
tiquement profitable, une percée sur la ligne
Marne-Aisne qui aurait coupé la retraite
d'un corps d'armée allemand. Or après son
admirable manœuvre nous assistons sim-
plement à une offensive des Français et à
une défensive des Allemands, mais nous as-
sisterons bientôt sans doute à une contre-
offensive de ces derniers sur un autre point
du front. En outre, la victoire des Français
se trouve ternie par les commentaires
qu'elle a inspirés aux Américains. On dit là-
bas : la bataille de Soissons-Château-
Thierry est un succès formidable, dû à no
tre intervention armée dans le conflit euro-
péen ! — Correo Espanol 24 7
.( - -, '"---.
Presse allemande. - Du Grand Quartier
général: Hier après-midi aussi l'ennemi a
continué sur tout le front sa tentative de
peircée, appuyée par le feu roulant de l'ar-
tillerte, les gaz toxiques, les tanks, et par
des tirs de harcèlement sur nos voies d'ap-
proche et nos arrières. En quelques points
tout particulièrement au sud et au sud-ouest
de Soissons, il a donné à sa pression le
maximum d'intensité. La direction de ses
attaques, les sacrifices énormes qu'il a
farits, les témoignages des prisonniers, les
ordres tombés entre nos mains, tout nous
permet de condure que le but de cette
grande offensive était l'écrasement de tout
le saillant formé par notre front entre
l'Aisne et la Marne Les combats d'hier
n'ont nullement rapproché l'ennemi de son
but. Tous nos combattants déclarent d'un
commun accord que l'ennemi, qui n'est pas
familiarisé avec notre défense mobile, a su-
bi les pertes les plus lourdes. Les fluctua
tions de la bataille étaient telles que, fré-
quemment les rafales de l'artillerie enne-
mie ne balayaient que des terrains tenus
par quelques troupes de couverture et que
ses troupes d'infanterie donnant l'assaut
étaient arrêtées par notre ligne de défense
proprement dite ou refoulées par la contre-
attaque immédiate de nos forces demeu-
rées intactes. Au cours de ces engagements
quelques crêtes (celles de Villemontoire par
exemple) et quelques villages (Berzy) ont
passé de mains en mains. Dans une contre-
attaque une de nos divisions, qui se battait
sans arrêt depuis deux jours, a gagné du
terrain sur un front de 3 kilomètres et sur
1 kilomètre de profondeur. Dans son en
semble la journée d'hier a été un échec
complet de la tentative de percée de l'enne-
mi - (W. Scheuermann) Norddeutsche
Allgemeine Zeitung, 22.7.
- Hier encore, troisième jour de la ba-
talle, l'ofWve n'avait pas diminué de
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tance de nos soldats et à leur merveilleuse
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