Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 juillet 1918 26 juillet 1918
Description : 1918/07/26 (T9,N877). 1918/07/26 (T9,N877).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524039
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
N° 877
rit,
PÎ LA GUERRE
ll^, De8
!!^ngèkes
Paris, 2fj juillet 1918.
Netin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. -
ÉTIONS MILITAIRES
%t it 1. T OCCIDENTAL
lfilif,, e. — Sous le titre : « Le
tf. I~I\,(. J.: - De Home, 21.7 : La con-
Çais-e a discrédité une lé-
l't'i's ^f,uelle la concavité de no-
Cerduii, permettant aux
f{'\ tir- , an0DUvrer par les lignes
a,,leiir assurait, l'avantage de
'Iri. lice,, attaque dans une direc-
"[1;' °fiquP eu' obligeant l'adversaire
■'fc, '^Uri r a ses réserves de longues
, i' Pour acc0urir sur le point atta-
Ii] III('rieur potryolr manœuvrer par les
s i,, 'ri«urp' Il faut être sinon encer-
l% 's i
Il la ^eFneilt entouré, situation
iJnt IJljxP,lolter, jusqu'à un certain
l'ennemi est impuissant à
hl'" 1¡. '1.ul devient très embarras-
i "sr "lis n contraire. Quant à mous,
lKnlr rW Un front concave, repré-
;1111: ¡\!JT). nseur actif une excellen-
rés, n est. pas du tout nécessai-
l'1,: ]û"s rés0r es se portemt précisément
atii et même il convient,
l)r?nf' Vifvi conire-attaquenl ail-
"¡rllj.slel)deetl?ent de le faire les Fran-
''fr¡¡ C e t Verdun, toute attaque
if> J'fésenf 6 au moms un flanc à
"l^ onm^e-attaque sur le flanc a
/If, r' rw
Ir, ,e qu erlelle H morale toujours
:' QUa e la contre-attaque directe
[s Quan .Ennemi est bien enga-
-r oiI, e lve' si on le contre-atta-
Sflarip °u dans le dos, comme il
- Si rt ],^nneTlt rs possible de le faire
iSsè(fp Uri front concave, on agit
>],% • on tombe sur un point
, ce ses communications
i" irit !/is!erip qUI a été fait en Fran-
adrnrabi, élan et une plus ad-
Les résultats pratiques
III 'i fluis -I)fferisive sont directs (ter-
}¡ P) et indirects (réper-
8ivc, allemande vers le
comrn ridément allié, au lieu
u t w0s disponibles dans l'ac-
liÎ, avait envoyées au se-
XjP liwnn, ,menf ses positions mais
!,. fia ''• p nne seule victoire. Il v
iUn6 de caractère négatif
fait échouer i e.Tdan de l'ennemi, l'au
()Il le T)Ian de l'ennemi, l'aii-
.'i rr^e le point d'arrêt où
v'i. fl/î^ courbe descendante con-
-
]^' illnc- allemande. Mais ni
,II,: t!1 Rterr^011- La courbe peut se
\)OIlrT11Ps encore en descente
i,,^oj ql]le l'Entente, passant à
y IVe Ja pousser jusqu'à la
hfK d'au es^ nécessaire que ses
< \ixSS S 1ère le' POUr cela, il faut du
e le mur que désormais l'en-
nemi ne peut briser, l'Entente doit ras-
sembler ses forces sans impatience. Il vaut
mieux attendre un mois de plus que préci-
piter l'action. Le temps employé dans la
préparation se regagne dans l'action. -
Gazzetta del Papolo, 22.7.
- Sous le titre : « L'épée DE Siegfried
brisff » — A la fuite des armées austro-hon-
groises, au delà de la Piave correspond au-
jourd'hui la fuite des armées allemande au
delà de la Marne. Aux côtés des Français
imbattables, les Italiens et les Américains
ont généreusement donné leur sang pour
faire échouer l'orgueilleux plan allemand
Ludendorff vient de perdre la partie qu'il
avait engagée; il n'a pas vaincu lorsqu'il
avait une supériorité numérique, impres-
sionnante ; il ne vainc pas — il est même
mis en échec - maintenant que l'équilibre
des forces s'est presque rétabli; il sera
inexorablement battu quand les puissantes
armées américaines, arrivant en Europe
sans arrêt et avec une précision mathéma-
tique. donneront à l'Entente une supériorité
écrasante sur tout le front, depuis la mer du
Nord jusqu'à l'Adriatique. Los Alliés pour-
ront reprendre alors définitivement l'initia-
tive des opérations : ce n'est qu'une ques-
tion de temps et dont la solution ne se fera
pas trop attendre. --- (Ed.) Giornale d'lta-
lia, 22.7.
- La nouvelle méthode de Ludendorff
n'est plus celle du coup de massue, telle
que la pratiquait Mackensen Les masses
compactes, lancées à l'assaut d'un point
faible du front ennemi, devaient toujours
obtenir des succès sensibles et pouvaient
parfois déterminer l'écroulement de tout un
système de défense. Mais les pertes étaient
toujours très graves, et l'on arrivait diffi-
cilement à découvrir le point faible de l'or-
ganisation défensive qu'il s'agissait d'abat-
tre. Une erreur pouvait entraîner des consé-
quences fatales. L'échec de Verdun dégoûta
complètement l'Etat-Major allemand de
cette stratégie de bouchers, et on passa à
l'autre méthode. Dans le système Luden-
dorff l'attaque a l'ieu sur un front très am-
ple et doit être menée avec une grande éner-
cfie par un certain nombre de divisions choi-
s:es et particulièrement entraînées. Quand
U'résuUats commencent à prendre de l'im-
portance sur un point, les réserves straté-
giques tenues très en arrière doivent être
rapidement portées sur ce point où l'expé-
rience prouve que la rupture est la plus fa-
cile. Il s'agit, en somme, de découvrir les
lacunes de la défense non pas aw moyen du
calcul ou des informations, mais au moyen
des résultats obtenus par la première atta-
frue - rnuis d'exploiter avec la plus grande
énergie ce succès local, de manière à l'élar-
o- r et à le transformer en succès d'ensem-
ble Ce système a des avantages; mais son
premier défaut consiste dans le manque
d'un objectif précis pour la manœuvre. On
ne sait encore si en Italie. les Autrichiens
se proposaient de tourner, par la plaine, les
déf.'iises de la montagne, ou. par la monta-
gne, les défenses de la plaine. Un autre dé-
faut du système est la trop grande ampleur
du front d'attaque; elle risque de donner à
la bataille un caractère incohérent ; il faut
laisser en effet, à chacun des commandants
d'armées une initiative qui peut le conduire
trop loin. Le troisième inconvénient est
d'aggraver l'usure des troupes d'assaut, qui
constituent la partie la meilleure et la plus
combative de l'armée. Pour toutes ces rai-
sons; la nouvelle stratégie allemande sem-
ble très dangereuse ; et s~, dans la pratique,
elle ne se montre pas capable d'assurer, à
ceux qui l'ont adoptée, une victoire rapide,
elle risque de se transformer pour eux en un
des éléments les plus actifs d'épuisement et
de défaite. — Tempo, 22.7.
Presse espagnole. — Cette fois. Foch
avait bien échelonné ses réserves, les régi-
ments français étaient dans sa main com-
me une bonne èpée dans celle d'un escri-
meur habile. Les Allemands se fendirent à
fond, les Français vinrent à la parade et
bientôt à la riposte avant que l'ennemi eût
pu se remettre en garde. Succès pour suc-
cès, la fortune distribue également ses lau-
riers à chaque combattant : les Allemands
rompirent la première ligne française dans
le secteur de la Marne, les Alliés rompi-
rent la première ligne allemande dans le
secteur de Soissons. Tout fut l'œuvre du
grand esprit militaire de Foch et de la ma-
gnifique tenue de l'armée française animée du
véritable esprit guerrier. Il n'y a qu'à étu-
dier les photographies et les dessins qui
représentent des soldats français. L'ancien
type du troupier ou piou-piou, le képi de
travers, la capote déboutonnée, et la pipe
pendante, a disparu pour faire place à des
soldats bien habillés, corrects, bien cas-
qués. bien boutonnés, les ceintures bien po-
sées, et portant sur leur visage les mâles
qualités dues à l'instruction et à la disci-
pline. Ces hommes qui viennent d'inscrire
des pages glorieuses dans l'Histoire de la
France existaient déjà autrefois : ce fut le
soldat de l'épopée napoléonienne, le même
qui fit. l'unité italienne et se couvrit de gloire
sur les champs de bataille de Crimée. —
Impacial, 20..7.
— La surprise des armées du prince hé-
ritier a été complète. Suivant des nouvelles
américaines, beaucoup d'officiers furent
trouvès au lit par les masses d'attaque
alliées. Cela donne une idée de la savante
préparation des forces alliées dirigées par
le génier de Foch. Elle met en relief, une
fois de plus, la collaboration constante et
méthodique des escadrilles aériennes d'ex-
ploration. L'échec de l'offensive allemande,
qui devait contourner Reims pour arriver
en deux jours à Châlons. met dans une
situation difficile les forces allemandes qui
forment un angle aigu dans le saillant de
l'Ourcq. Avec une conception ranide à
laquelle succéda une exécution foudroyante.
rit,
PÎ LA GUERRE
ll^, De8
!!^ngèkes
Paris, 2fj juillet 1918.
Netin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. -
ÉTIONS MILITAIRES
%t it 1. T OCCIDENTAL
lfilif,, e. — Sous le titre : « Le
tf. I~I\,(. J.: - De Home, 21.7 : La con-
Çais-e a discrédité une lé-
l't'i's ^f,uelle la concavité de no-
Cerduii, permettant aux
f{'\ tir- , an0DUvrer par les lignes
a,,leiir assurait, l'avantage de
'Iri. lice,, attaque dans une direc-
"[1;' °fiquP eu' obligeant l'adversaire
■'fc, '^Uri r a ses réserves de longues
, i' Pour acc0urir sur le point atta-
Ii] III('rieur potryolr manœuvrer par les
s i,, 'ri«urp' Il faut être sinon encer-
l% 's i
Il la ^eFneilt entouré, situation
iJnt IJljxP,lolter, jusqu'à un certain
l'ennemi est impuissant à
hl'" 1¡. '1.ul devient très embarras-
i "sr "lis n contraire. Quant à mous,
lKnlr rW Un front concave, repré-
;1111: ¡\!JT). nseur actif une excellen-
rés, n est. pas du tout nécessai-
l'1,: ]û"s rés0r es se portemt précisément
atii et même il convient,
l)r?nf' Vifvi conire-attaquenl ail-
"¡rllj.slel)deetl?ent de le faire les Fran-
''fr¡¡ C e t Verdun, toute attaque
if> J'fésenf 6 au moms un flanc à
"l^ onm^e-attaque sur le flanc a
/If, r' rw
Ir, ,e qu erlelle H morale toujours
:' QUa e la contre-attaque directe
[s Quan .Ennemi est bien enga-
-r oiI, e lve' si on le contre-atta-
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- Si rt ],^nneTlt rs possible de le faire
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i" irit !/is!erip qUI a été fait en Fran-
adrnrabi, élan et une plus ad-
Les résultats pratiques
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}¡ P) et indirects (réper-
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comrn ridément allié, au lieu
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!,. fia ''• p nne seule victoire. Il v
iUn6 de caractère négatif
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()Il le T)Ian de l'ennemi, l'aii-
.'i rr^e le point d'arrêt où
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-
]^' illnc- allemande. Mais ni
,II,: t!1 Rterr^011- La courbe peut se
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y IVe Ja pousser jusqu'à la
hfK d'au es^ nécessaire que ses
< \ixSS
e le mur que désormais l'en-
nemi ne peut briser, l'Entente doit ras-
sembler ses forces sans impatience. Il vaut
mieux attendre un mois de plus que préci-
piter l'action. Le temps employé dans la
préparation se regagne dans l'action. -
Gazzetta del Papolo, 22.7.
- Sous le titre : « L'épée DE Siegfried
brisff » — A la fuite des armées austro-hon-
groises, au delà de la Piave correspond au-
jourd'hui la fuite des armées allemande au
delà de la Marne. Aux côtés des Français
imbattables, les Italiens et les Américains
ont généreusement donné leur sang pour
faire échouer l'orgueilleux plan allemand
Ludendorff vient de perdre la partie qu'il
avait engagée; il n'a pas vaincu lorsqu'il
avait une supériorité numérique, impres-
sionnante ; il ne vainc pas — il est même
mis en échec - maintenant que l'équilibre
des forces s'est presque rétabli; il sera
inexorablement battu quand les puissantes
armées américaines, arrivant en Europe
sans arrêt et avec une précision mathéma-
tique. donneront à l'Entente une supériorité
écrasante sur tout le front, depuis la mer du
Nord jusqu'à l'Adriatique. Los Alliés pour-
ront reprendre alors définitivement l'initia-
tive des opérations : ce n'est qu'une ques-
tion de temps et dont la solution ne se fera
pas trop attendre. --- (Ed.) Giornale d'lta-
lia, 22.7.
- La nouvelle méthode de Ludendorff
n'est plus celle du coup de massue, telle
que la pratiquait Mackensen Les masses
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obtenir des succès sensibles et pouvaient
parfois déterminer l'écroulement de tout un
système de défense. Mais les pertes étaient
toujours très graves, et l'on arrivait diffi-
cilement à découvrir le point faible de l'or-
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tre. Une erreur pouvait entraîner des consé-
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complètement l'Etat-Major allemand de
cette stratégie de bouchers, et on passa à
l'autre méthode. Dans le système Luden-
dorff l'attaque a l'ieu sur un front très am-
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cfie par un certain nombre de divisions choi-
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U'résuUats commencent à prendre de l'im-
portance sur un point, les réserves straté-
giques tenues très en arrière doivent être
rapidement portées sur ce point où l'expé-
rience prouve que la rupture est la plus fa-
cile. Il s'agit, en somme, de découvrir les
lacunes de la défense non pas aw moyen du
calcul ou des informations, mais au moyen
des résultats obtenus par la première atta-
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énergie ce succès local, de manière à l'élar-
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ble Ce système a des avantages; mais son
premier défaut consiste dans le manque
d'un objectif précis pour la manœuvre. On
ne sait encore si en Italie. les Autrichiens
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déf.'iises de la montagne, ou. par la monta-
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du front d'attaque; elle risque de donner à
la bataille un caractère incohérent ; il faut
laisser en effet, à chacun des commandants
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trop loin. Le troisième inconvénient est
d'aggraver l'usure des troupes d'assaut, qui
constituent la partie la meilleure et la plus
combative de l'armée. Pour toutes ces rai-
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elle ne se montre pas capable d'assurer, à
ceux qui l'ont adoptée, une victoire rapide,
elle risque de se transformer pour eux en un
des éléments les plus actifs d'épuisement et
de défaite. — Tempo, 22.7.
Presse espagnole. — Cette fois. Foch
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ments français étaient dans sa main com-
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meur habile. Les Allemands se fendirent à
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cès, la fortune distribue également ses lau-
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rompirent la première ligne française dans
le secteur de la Marne, les Alliés rompi-
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secteur de Soissons. Tout fut l'œuvre du
grand esprit militaire de Foch et de la ma-
gnifique tenue de l'armée française animée du
véritable esprit guerrier. Il n'y a qu'à étu-
dier les photographies et les dessins qui
représentent des soldats français. L'ancien
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pline. Ces hommes qui viennent d'inscrire
des pages glorieuses dans l'Histoire de la
France existaient déjà autrefois : ce fut le
soldat de l'épopée napoléonienne, le même
qui fit. l'unité italienne et se couvrit de gloire
sur les champs de bataille de Crimée. —
Impacial, 20..7.
— La surprise des armées du prince hé-
ritier a été complète. Suivant des nouvelles
américaines, beaucoup d'officiers furent
trouvès au lit par les masses d'attaque
alliées. Cela donne une idée de la savante
préparation des forces alliées dirigées par
le génier de Foch. Elle met en relief, une
fois de plus, la collaboration constante et
méthodique des escadrilles aériennes d'ex-
ploration. L'échec de l'offensive allemande,
qui devait contourner Reims pour arriver
en deux jours à Châlons. met dans une
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