Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 juillet 1918 23 juillet 1918
Description : 1918/07/23 (T9,N874). 1918/07/23 (T9,N874).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524002
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/04/2013
DE LA GUERRE
ET b ES
ÉTRANGÈRES
N° 874
Paris, 23 juillet 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
MILITAIRES
FRONT ---
anglaise.- On nous dit de France
n'y a plus de 30 à 36 divisions
mande i~~ eri a1c5 té e~s dans la nouvelle of-
Ji (i ^eUt y en a'v°ir en réserve no-
peut y en a,voir en réserve no-
dans la région de Dormans. Si ce
qUe Pefie, ,n?US ne croirons pas ai-
l'ennemi ait abandonné son
un attaque entre Arras et
Thierry. L' attaque peut suivre de
la pause ordinaire, alors que
Marne-Champagne est encore en
- La presse est autorisée à déclarer
tenant qu les armées franco-britan-
reçu une nouvelle disposition, et
qu'elles s'étaient prêtées
aux autres sont retournées à leurs
respectives. Cette décision du géné-
sera unanimement approuvée. Les
américaines prennent une part
la bataille. La division amé-
on le sait, plus forte que les
ennemis; elle est capable, ainsi
montré au bois Belleau, de tenir
trois divisions allemandes. - (Colo-
pington) Morning Post, 17.7.
l' attaque Principale ? L'attaque
Emem n'est-elle qu'une dem.on.stra,
le vrai cW qu'une démonstra-
vrai choc ne se déclenchera-t-il
front d'Arras dès que l'enne-
que Foch a engagé ses réser-
Il est difficile de prophétiser
Qltre e nombre des divisions en-
Einem en a probablement 20
./-'iijp ^abu a le même nombre, et
probable que Fritz von Below
i vrr'aj ptre l'Oise et la Marne
l'armée sur sa gauche. Mais
ne peuvent pas employer
30 divisions en diversions.
a été longuement préparée ;
dès le début ; les succès alle-
f¡SI' Ir¡. '-- et 27 mai n'auront pas
- (Edgar Wallace) Birmin-
[1r¡;1 PeUt.
peut écarter entièrement la pos-
l'ennemi de faire une surprise,
"*V «lu de surprise sur quelque
du front des Alliés. Mais, mê-
ne se produisant pas, et si l'en-
pas sa chance contre les
Nord comme quelques-uns
t~~ ~fa n?~Sé de le faire,on ne
concevoir que des Allemands
où ils sont. Les prévisions
proch aine leur interdisent de
ligne actuelle ne se prête pas
Il semblerait que pour faire
grande offensive future ils dus-
redresser leur ligne comme
sur la Somme et il n'est peut-
qu'ils soient oblicés de
l.,,,, soient obligés de
vement même au delà de
"Pool Post, 18.7.
La journée d'hier a été la meilleure
pour les Alliés, depuis 1914. Les Français
ont tenu sur la ligne Reims-Marne, ce qui
n'est pas moins rassurant que leur mordant
au sud de Soissons. La bataille a com-
mencé avec des tanks, sans préparation d'ar-
tillerie, ce qui a rendu la surprise complète.
Ce que le général Foch a réalisé jusqu'ici,
c'est la désorganisation complète des com-
munications. L'avance d'hier a pour ré-
sultat que la route et la voie ferrée sont
coupées pour l'ennemi. La situation offre
de grandes possibilités stratégiques, et nous
pouvons nous attendre à une violente réac-
tion de la part de l'ennemi. - (Ed.) Daily
News, 19.7.
- L'opération du général Foch est une
contre-attaque dont le but réel est de ren-
verser les plans d'attaque de l'ennemi; ce
n'est pas une offensive destinée à percer
le front allemand, et il est tout à fait im-
probable que le général Foch, dans le
temps dont il disposait, puisse avoir réuni
les moyens nécessaires à une offensive à
objectifs éloignés. Il ne faut donc pas nous
attendre à voir l'avance franco-américaine
de puissan-
Allemands doivent avoir rassemblé dans
la boucle, au nord de la Marne, de puissan-
tes réserves, pour les besoins de leur pro-
pre offensive et Soissons est pour eux
d'une telle importance que, s'ils peuvent
rassembler les forces nécessaires pour dé-
loger les Français des positions qui domi-
nent la voie ferrée on peut être certain
qu'ils tenteront cette chance. - (Général
Maurice) Daily Chronicle, 19.7.
Presse italienne. - Sous ce titre « La
contre-manœuvre » : Le mouvement des Al-
liés attaquant entre Aisne et Marne a eu
pour premier résultat de clouer sur place
les réserves que le kronprinz avait entre
Soissons et Château-Thierry et qui auraient
au être dirigées vers l'Est pour nourrir la
laborieuse offensive de Champagne. Le
kronprinz, qui s'était proposé de réduire,
par des attaques convergentes sur les deux
ailes le saillant de Reims, se trouve à son,
tour menacé sur les deux flancs du saillant
de Château-Thierry et il a été surpris par
cettte menace au moment le plus M:
la bataille. C'est, en tout cas, même dans
l'hypothèse la moins favorable, l'échec com-
plet du plan de préparation méthodique
d'une large base pour la future attasue con-
tre Paris, par l'établissement d'une énorme
tête de pont sur la rive méridionale de la
Marne. Quoi qu'il arrive, le rythme de la
gigantesque bataille d'Occident, commencée
le 21 mars est brisé. Ludendorff est con-
traint à recommencer complètement une des
opérations lAS plus importantes, et la vio-
lence des contre-attaques alliées doit lui
inspirer déjà le secret effroi de pouvoir être
manoeuvré. - Corriere della Sera. 20.7.
- Sous ce titre : « Tactique nouvelle » :
Les Franco-Américains ont exécuté avec
succès une véritable offensive absolument
indépendante de l'offensive allemande sur
la Marne. C'est donc une tactique nouvelle
qui commence à faire sentir ses effets ;
ne plus se défendre ni contre-attaquer là où
il a plu à l'ennemi de lancer l'attaque, mais
prendre l'initiative et attaquer dans une au-
tre zone. Hindenburg et Ludendorff s'étaient
habitués à être toujours les maîtres de la
situation, et chaque fois qu'ils commen-
çaient une offensive, ils se souciaient peu
du reste du front, sûrs que l'ennemi ne
les attaquerait pas. Cette fois, ils ont mal
fait leurs calculs. — Giornale d'Italia, 20.7.
— Les faits confirment entièrement la
confiance que nous avions dans la valeur
des troupes de l'Entente et dans la sagesse
du haut commandement. L'insuccès de l'of-
fensive allemande s'affirme de plus en plus
et on peut envisager l'hypothèse d'un dé-
sastre ennemi. On assiste déjà au fraction-
nement de la grande offensive allemande en
de petites offensives locales avec des objec-
tifs restreints. De plus, l'ennemi perd de
jour en jour la possibilité de remporter des
avantages même dans ces petites attaques.
La bataille de Champagne a, en somme.
changé de nom ; elle a pris celui de bataille
de Reims : Reims, défendue par les Fran-
çais et les Italiens, résiste magnifiquement
et la pointe hardie des Allemands vers
Nanteuil-la-Fosse n'est pas faite pour di-
minuer la vigueur de la défense. Mais le fait
d'armes le plus brillant est sans conteste
l'attaque du général Mangin. Cette attaque
est une véritable contre-offensive ; riposte
classique sur le flanc ennemi, menace dans
le dos des Allemands échelonnés sur le
front entre la Marne et Reims. L'ennemi se
trouve donc maintenant dans la situation
très difficile de se défendre contre l'attaque
de flanc et de veiller à ne pas perdre les
avantages qu'il avait conquis dernièrement.
La situation est donc des plus satisfaisantes
et pleine de promesses. — Corriere d'Italia,
20.7.
— La contre-offensive sur le front de Sois-
sons présente tous les caractères de la
surprise. Les Allemands croyaient évidem-
ment que Foch serait obligé de garder en
mains toutes ses réserves pour les em-
ployer à maintenir la muraille humaine qui
devait essayer de barrer la route à la masse
se ruant du nord vers le sud. Foch. au con-
traire, a dominé la situation en Champa-
gne, à Reims et sur la Marne, et il s'est
préparé à * dire son mot. Il y avait des mois
et des mois que nous tous alliés, nous ten-
dions toute notre énergie morale dans l'at-
tente de ce mot. Mais pour que le comman-
dement interallié put sortir de la méthode
strictement défensive, il fallait que la crise
des effectifs fût surmontée ou qu'au moins
l'équilibre fût rétabli dans ses grandes li-
gnes, c'est-à-dire que le concours américain
se fît déjà sentir fortement. Quels seront
les résultats ? Le changement de front de
ET b ES
ÉTRANGÈRES
N° 874
Paris, 23 juillet 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
MILITAIRES
FRONT ---
anglaise.- On nous dit de France
n'y a plus de 30 à 36 divisions
mande i~~ eri a1c5 té e~s dans la nouvelle of-
Ji (i ^eUt y en a'v°ir en réserve no-
peut y en a,voir en réserve no-
dans la région de Dormans. Si ce
qUe Pefie, ,n?US ne croirons pas ai-
l'ennemi ait abandonné son
un attaque entre Arras et
Thierry. L' attaque peut suivre de
la pause ordinaire, alors que
Marne-Champagne est encore en
- La presse est autorisée à déclarer
tenant qu les armées franco-britan-
reçu une nouvelle disposition, et
qu'elles s'étaient prêtées
aux autres sont retournées à leurs
respectives. Cette décision du géné-
sera unanimement approuvée. Les
américaines prennent une part
la bataille. La division amé-
on le sait, plus forte que les
ennemis; elle est capable, ainsi
montré au bois Belleau, de tenir
trois divisions allemandes. - (Colo-
pington) Morning Post, 17.7.
l' attaque Principale ? L'attaque
Emem n'est-elle qu'une dem.on.stra,
le vrai cW qu'une démonstra-
vrai choc ne se déclenchera-t-il
front d'Arras dès que l'enne-
que Foch a engagé ses réser-
Il est difficile de prophétiser
Qltre e nombre des divisions en-
Einem en a probablement 20
./-'iijp ^abu a le même nombre, et
probable que Fritz von Below
i vrr'aj ptre l'Oise et la Marne
l'armée sur sa gauche. Mais
ne peuvent pas employer
30 divisions en diversions.
a été longuement préparée ;
dès le début ; les succès alle-
f¡SI' Ir¡. '-- et 27 mai n'auront pas
- (Edgar Wallace) Birmin-
[1r¡;1 PeUt.
peut écarter entièrement la pos-
l'ennemi de faire une surprise,
"*V «lu de surprise sur quelque
du front des Alliés. Mais, mê-
ne se produisant pas, et si l'en-
pas sa chance contre les
Nord comme quelques-uns
t~~ ~fa n?~Sé de le faire,on ne
concevoir que des Allemands
où ils sont. Les prévisions
proch aine leur interdisent de
ligne actuelle ne se prête pas
Il semblerait que pour faire
grande offensive future ils dus-
redresser leur ligne comme
sur la Somme et il n'est peut-
qu'ils soient oblicés de
l.,,,, soient obligés de
vement même au delà de
"Pool Post, 18.7.
La journée d'hier a été la meilleure
pour les Alliés, depuis 1914. Les Français
ont tenu sur la ligne Reims-Marne, ce qui
n'est pas moins rassurant que leur mordant
au sud de Soissons. La bataille a com-
mencé avec des tanks, sans préparation d'ar-
tillerie, ce qui a rendu la surprise complète.
Ce que le général Foch a réalisé jusqu'ici,
c'est la désorganisation complète des com-
munications. L'avance d'hier a pour ré-
sultat que la route et la voie ferrée sont
coupées pour l'ennemi. La situation offre
de grandes possibilités stratégiques, et nous
pouvons nous attendre à une violente réac-
tion de la part de l'ennemi. - (Ed.) Daily
News, 19.7.
- L'opération du général Foch est une
contre-attaque dont le but réel est de ren-
verser les plans d'attaque de l'ennemi; ce
n'est pas une offensive destinée à percer
le front allemand, et il est tout à fait im-
probable que le général Foch, dans le
temps dont il disposait, puisse avoir réuni
les moyens nécessaires à une offensive à
objectifs éloignés. Il ne faut donc pas nous
attendre à voir l'avance franco-américaine
de puissan-
Allemands doivent avoir rassemblé dans
la boucle, au nord de la Marne, de puissan-
tes réserves, pour les besoins de leur pro-
pre offensive et Soissons est pour eux
d'une telle importance que, s'ils peuvent
rassembler les forces nécessaires pour dé-
loger les Français des positions qui domi-
nent la voie ferrée on peut être certain
qu'ils tenteront cette chance. - (Général
Maurice) Daily Chronicle, 19.7.
Presse italienne. - Sous ce titre « La
contre-manœuvre » : Le mouvement des Al-
liés attaquant entre Aisne et Marne a eu
pour premier résultat de clouer sur place
les réserves que le kronprinz avait entre
Soissons et Château-Thierry et qui auraient
au être dirigées vers l'Est pour nourrir la
laborieuse offensive de Champagne. Le
kronprinz, qui s'était proposé de réduire,
par des attaques convergentes sur les deux
ailes le saillant de Reims, se trouve à son,
tour menacé sur les deux flancs du saillant
de Château-Thierry et il a été surpris par
cettte menace au moment le plus M:
la bataille. C'est, en tout cas, même dans
l'hypothèse la moins favorable, l'échec com-
plet du plan de préparation méthodique
d'une large base pour la future attasue con-
tre Paris, par l'établissement d'une énorme
tête de pont sur la rive méridionale de la
Marne. Quoi qu'il arrive, le rythme de la
gigantesque bataille d'Occident, commencée
le 21 mars est brisé. Ludendorff est con-
traint à recommencer complètement une des
opérations lAS plus importantes, et la vio-
lence des contre-attaques alliées doit lui
inspirer déjà le secret effroi de pouvoir être
manoeuvré. - Corriere della Sera. 20.7.
- Sous ce titre : « Tactique nouvelle » :
Les Franco-Américains ont exécuté avec
succès une véritable offensive absolument
indépendante de l'offensive allemande sur
la Marne. C'est donc une tactique nouvelle
qui commence à faire sentir ses effets ;
ne plus se défendre ni contre-attaquer là où
il a plu à l'ennemi de lancer l'attaque, mais
prendre l'initiative et attaquer dans une au-
tre zone. Hindenburg et Ludendorff s'étaient
habitués à être toujours les maîtres de la
situation, et chaque fois qu'ils commen-
çaient une offensive, ils se souciaient peu
du reste du front, sûrs que l'ennemi ne
les attaquerait pas. Cette fois, ils ont mal
fait leurs calculs. — Giornale d'Italia, 20.7.
— Les faits confirment entièrement la
confiance que nous avions dans la valeur
des troupes de l'Entente et dans la sagesse
du haut commandement. L'insuccès de l'of-
fensive allemande s'affirme de plus en plus
et on peut envisager l'hypothèse d'un dé-
sastre ennemi. On assiste déjà au fraction-
nement de la grande offensive allemande en
de petites offensives locales avec des objec-
tifs restreints. De plus, l'ennemi perd de
jour en jour la possibilité de remporter des
avantages même dans ces petites attaques.
La bataille de Champagne a, en somme.
changé de nom ; elle a pris celui de bataille
de Reims : Reims, défendue par les Fran-
çais et les Italiens, résiste magnifiquement
et la pointe hardie des Allemands vers
Nanteuil-la-Fosse n'est pas faite pour di-
minuer la vigueur de la défense. Mais le fait
d'armes le plus brillant est sans conteste
l'attaque du général Mangin. Cette attaque
est une véritable contre-offensive ; riposte
classique sur le flanc ennemi, menace dans
le dos des Allemands échelonnés sur le
front entre la Marne et Reims. L'ennemi se
trouve donc maintenant dans la situation
très difficile de se défendre contre l'attaque
de flanc et de veiller à ne pas perdre les
avantages qu'il avait conquis dernièrement.
La situation est donc des plus satisfaisantes
et pleine de promesses. — Corriere d'Italia,
20.7.
— La contre-offensive sur le front de Sois-
sons présente tous les caractères de la
surprise. Les Allemands croyaient évidem-
ment que Foch serait obligé de garder en
mains toutes ses réserves pour les em-
ployer à maintenir la muraille humaine qui
devait essayer de barrer la route à la masse
se ruant du nord vers le sud. Foch. au con-
traire, a dominé la situation en Champa-
gne, à Reims et sur la Marne, et il s'est
préparé à * dire son mot. Il y avait des mois
et des mois que nous tous alliés, nous ten-
dions toute notre énergie morale dans l'at-
tente de ce mot. Mais pour que le comman-
dement interallié put sortir de la méthode
strictement défensive, il fallait que la crise
des effectifs fût surmontée ou qu'au moins
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