Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 juillet 1918 19 juillet 1918
Description : 1918/07/19 (T9,N870). 1918/07/19 (T9,N870).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252396m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
N° 870
,s~-
Paris, 19 juillet 1918.
1
MB QtMtMiea de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL -- 1'-
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. : ,
S ~ILMAIRËS
PRESSE ALLEMANDE. -
secrétaire d'Etat de la
décrlaré à la Chambre
Foch était actuelle-
défensive struaégique, la
nte llte, après avoir suppor-
~BM~f la guerre, d'attendre
d'Américains C'est
~B ~t sse de la France, de I'im.
trouve de mener à bien
ve. Un tel aveu semble
abord à .L 1 -
tres n'ont voulu y voir
pourtant que 1-ey-preS7
te. A l'heure actuelle,
jour où l'offensive alle-
a, el>le, surprendra - une
sa.u'e dont la- situation
n'a cessé de S'aggra-
s ses', grandes lignes.
Off ..eLi ve pendant trois
--~Ive avec une foi~to
Stillée,~ une fois les at-
ssée "S, à passer de la
En fin de compte '2 l'en-
complète défensive. Il
vantage, même d'une
il sait que les troupes
sé de se renforcer et
P, 'ercé et conquis n'im..;
QUant à l'armée ame-
ente avait fondé de <::,
- J..J1
encore bien loin. Le
sera porté avant que
e joue un rôle sur le
la mesure, même où
~t l'Entente s'est aggra-
~J ~M llemands s''èst a,mé]ioree. Si
lemand a réussi dans
une quatrième ba-
événements. (Ct ~;-On
Nach.,riell,len
ste. Personne ne sait
e produiront les pro-
Nous pouvons être
avec d'autant plus de
ration aura été faite
ous signalions, il y
es voix ennemie,
cOntre-offensive de
font,de nouveau e~)-
que cette cont,.,
offensive * L"'erinemj
réalité ces attaques
locales et ces coups de sonde; signalée cha-
que jour, peuvent bien nous importuner,
nods donner plus de travail dans les sec-
teurs visés, mais ils ne sauraient arrêter la
marche des événements., Avec un calme et
un soin parfaits, nous prenons toutes nos
dispositions.' Parler et agir sont deux cho-
ses bien différentes. On le verra bientôt. —
Deutsche Tageszeitung. 13.7.
— Quelques journaux étrangers sont allés
jusqu'à prétendre qu'il fallait voir, dans les
multiples attaques partielles du général
Foch; les indices d'une contre-offensive de
l'Entente, qui déjà serait en cours. Mais
ces attaques n'ont été exécutées nulle part
d'après un plan d'ensemble et avec conti..
nuité ; nulle part l'ennemi n'a rempor-
té d'autres succès que des succès lo-
caux. L'Entente a usé l'armée de manœuvre
de Foch et elle est incapable de prononcer
une grande offensive. Les forces des An-
glais et des Français ne suffisent plus pour
une action décisive. Aussi les attaques par-
tielles de l'ennemi ont pu nous causer ici
ou là quelques ennuis, mais elles n'ont pu
nulle part porter atteinte à la préparation
calme et consciencieuse des nouveaux plans
de notre haut commandement.—(F.) Kreuz-
Zeilung, 13.7.
— Pendant la semaine qui vient de s'écou-
ler, le généralissime français a continua sa
tactique qui consiste en coups de sonde, sur
le front. Sur les points les vIlus différents,
depuis Ypres jusqu'à la Marne il y a eu des
attaques partielles plus ou moins sérieuses,-
précédées presque toutes d'une préparation
d'artillerie plus violente. qu'elle ne l'est
d'habitude pour ces sortes d'opérations.
Cette fois encore les Français ont fait une
violente préparation d'artillerie, qu'ils ont'
recommencée après l'échec vraisemblable
de leur première attaque ; puis l'infanterie
a de nouveau attaqué d'abord en un point
du, front, puis dans tout le secteur qui. d'ail-
leurs, n'était pas très étendu. Les assail-
lants, ont remporté un succès partiel. Ils
ont pu s'établir dans le village de Castel,
sur l'Avre et dans la ferme d'Anchin, qui.
se trouve exactement à l'ouest de Morisel,
à peu près à la même distance du front que
Castel. Les positions de cette région ne
sont pas encore aussi solidement organisées
qu'elles l'étaient sur l'ancien front, de sorte
qu'il est toujours possible, étant donnée
l'énorme. mise en œuvre, de matériel, de
pénétrer légèrement en quelques points de
la foule première ligne. — Slrassbun/er-
Pos'i l.f.7 •
Fronts d'Italie et d'Albanie. — Sous le
titre : « ENTRE LES BATAILLES ». — Comme
il fallait s'y attendre les Italiens sont res-
tés sur la Piave. - Tout récemment la
Starripa a déclaré que c'était là le, meilleur
parti à prendre, de nouvelles « victoires »
des Italiens pouvant! avoir les conséquen-
ces les plus fâcheuses. Malgré le contre-
coup qui a suivi offensive austro-hon-
groise, la situation de nos alliés; en face
de l'armée italienne, resserrée, dans la plai-
ne de Venetie, est tout à fait favorable et
les Italiens doivent s'attendre à une non
velle attaque Un e attaque italienne de gran-
deenvergure dans la direction de l'Est (au
delà de la Piave) ne semble pas vraisembla-
ble, ne semble même pas possible; tant
que le front dans la montagne ne subira
pas de sérieux changement. - C'est
avec une satisfaction d'autant plus grande
que ( les Italiens parlent des événe-
ments d'Albanie. Parties de Valona (d'où
la ligne de bataille se détache vers l'Est
dans la direction de la Macédoine et la
contrée de Monastir) des troupes italien
nés et françaises ont fipr>ion.^viA
tante attaque, qui leur a permis de ga-
gner un peu de terrain (au delà de Fieri
et de Bérat). Dans le secteur maritime
Raile gauche a franchi la Vojutza inférieu-
re, pendant. que, dans les hautes monta-"
gnes, l'aile droite avançait à Tomorica.
Ce mouvement concentrique sembla con-
traindre le centre austroi-hongrois à aban
donner les positions sur les crêtes au sud
de Bérat. Une rectification énergique du
front remit de - l'ordre dans la ligne de
bataille d Albanie, La perte de terrain n'est
pas emportante, étant donnée la situation
générale dans les Balkans. Dans l'ensem-
ble, il ne s'agit que d'une région monta-
gneuse, déserté. D'autre part, il ne faut
pas croire que, dans l'Albanie centrale les
Italiens, n'aient amélioré et élargi leurs
positions militaires. Mais au point de vue
politique, les vœux des Italiens en Alba-
nie - Valona - ont très peu de chances
d'être exaucés, depuis l'effondrement de
la ligne de l'Isonzo. C'est une situation à
laquelle la nouvelle attaque en Albanie ne
ne saurait rien changer. D'ailleurs nos al
lies ont déjà pris les. dispositions nées-
saires pour empêcher l'ennemi d'élargir
son succès. - Frankfurter Zeitung 14.7
EFFECTIFS
« L'aide américaine » ; PRESSE ALLE-
MANDE. - Il convient de dire quelques mois
de laide américaine. En temps de au
une formule courante était : « l'Amérique
est l'atout ». A l'heure actuelle l'Améri-
que c'est le « bluff », c'est la réclame pour
les peuples de l:Entente, calculée pour pro-
duire de l'effet chez les Alliés, chez les
neuves et chez nous. L'Amérique était un
mot de guerre qui devait être une menace
morale. Mais l'effet, est manqué. L'an.nonce
fanfaronne, faite par le ministre de la
Guerre américain, de la présence .~L,~
en Europe d'un million d'Américains est
un bluff, pareil à celui de l'annonce de
12.000 avions, qui auraient dû se trouver
cette année en action sur le front occiden-
tal. Or il y a très peu de temps, il y avait
en tout trente-six avions américains sur,
le front. Il est vrai que cette réclame à
propos de l'aide américaine est actuelle
ment, le seul moyen dont l'Entente dose
pour maintenir chez ses, peuples la volonté
,s~-
Paris, 19 juillet 1918.
1
MB QtMtMiea de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL -- 1'-
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. : ,
S ~ILMAIRËS
PRESSE ALLEMANDE. -
secrétaire d'Etat de la
décrlaré à la Chambre
Foch était actuelle-
défensive struaégique, la
nte llte, après avoir suppor-
~BM~f la guerre, d'attendre
d'Américains C'est
~B ~t sse de la France, de I'im.
trouve de mener à bien
ve. Un tel aveu semble
abord à .L 1 -
tres n'ont voulu y voir
pourtant que 1-ey-preS7
te. A l'heure actuelle,
jour où l'offensive alle-
a, el>le, surprendra - une
sa.u'e dont la- situation
n'a cessé de S'aggra-
s ses', grandes lignes.
Off ..eLi ve pendant trois
--~Ive avec une foi~to
Stillée,~ une fois les at-
ssée "S, à passer de la
En fin de compte '2 l'en-
complète défensive. Il
vantage, même d'une
il sait que les troupes
sé de se renforcer et
P, 'ercé et conquis n'im..;
QUant à l'armée ame-
ente avait fondé de <::,
- J..J1
encore bien loin. Le
sera porté avant que
e joue un rôle sur le
la mesure, même où
~t l'Entente s'est aggra-
~J ~M llemands s''èst a,mé]ioree. Si
lemand a réussi dans
une quatrième ba-
événements. (Ct ~;-On
Nach.,riell,len
ste. Personne ne sait
e produiront les pro-
Nous pouvons être
avec d'autant plus de
ration aura été faite
ous signalions, il y
es voix ennemie,
cOntre-offensive de
font,de nouveau e~)-
que cette cont,.,
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réalité ces attaques
locales et ces coups de sonde; signalée cha-
que jour, peuvent bien nous importuner,
nods donner plus de travail dans les sec-
teurs visés, mais ils ne sauraient arrêter la
marche des événements., Avec un calme et
un soin parfaits, nous prenons toutes nos
dispositions.' Parler et agir sont deux cho-
ses bien différentes. On le verra bientôt. —
Deutsche Tageszeitung. 13.7.
— Quelques journaux étrangers sont allés
jusqu'à prétendre qu'il fallait voir, dans les
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Foch; les indices d'une contre-offensive de
l'Entente, qui déjà serait en cours. Mais
ces attaques n'ont été exécutées nulle part
d'après un plan d'ensemble et avec conti..
nuité ; nulle part l'ennemi n'a rempor-
té d'autres succès que des succès lo-
caux. L'Entente a usé l'armée de manœuvre
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une grande offensive. Les forces des An-
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ou là quelques ennuis, mais elles n'ont pu
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— Pendant la semaine qui vient de s'écou-
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le front. Sur les points les vIlus différents,
depuis Ypres jusqu'à la Marne il y a eu des
attaques partielles plus ou moins sérieuses,-
précédées presque toutes d'une préparation
d'artillerie plus violente. qu'elle ne l'est
d'habitude pour ces sortes d'opérations.
Cette fois encore les Français ont fait une
violente préparation d'artillerie, qu'ils ont'
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a de nouveau attaqué d'abord en un point
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ont pu s'établir dans le village de Castel,
sur l'Avre et dans la ferme d'Anchin, qui.
se trouve exactement à l'ouest de Morisel,
à peu près à la même distance du front que
Castel. Les positions de cette région ne
sont pas encore aussi solidement organisées
qu'elles l'étaient sur l'ancien front, de sorte
qu'il est toujours possible, étant donnée
l'énorme. mise en œuvre, de matériel, de
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la foule première ligne. — Slrassbun/er-
Pos'i l.f.7 •
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titre : « ENTRE LES BATAILLES ». — Comme
il fallait s'y attendre les Italiens sont res-
tés sur la Piave. - Tout récemment la
Starripa a déclaré que c'était là le, meilleur
parti à prendre, de nouvelles « victoires »
des Italiens pouvant! avoir les conséquen-
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les Italiens doivent s'attendre à une non
velle attaque Un e attaque italienne de gran-
deenvergure dans la direction de l'Est (au
delà de la Piave) ne semble pas vraisembla-
ble, ne semble même pas possible; tant
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pas de sérieux changement. - C'est
avec une satisfaction d'autant plus grande
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dans la direction de la Macédoine et la
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pas croire que, dans l'Albanie centrale les
Italiens, n'aient amélioré et élargi leurs
positions militaires. Mais au point de vue
politique, les vœux des Italiens en Alba-
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est l'atout ». A l'heure actuelle l'Améri-
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les peuples de l:Entente, calculée pour pro-
duire de l'effet chez les Alliés, chez les
neuves et chez nous. L'Amérique était un
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morale. Mais l'effet, est manqué. L'an.nonce
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Guerre américain, de la présence .~L,~
en Europe d'un million d'Américains est
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tal. Or il y a très peu de temps, il y avait
en tout trente-six avions américains sur,
le front. Il est vrai que cette réclame à
propos de l'aide américaine est actuelle
ment, le seul moyen dont l'Entente dose
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