Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 juillet 1918 17 juillet 1918
Description : 1918/07/17 (T9,N868). 1918/07/17 (T9,N868).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252394s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
F -
0La GUERRE
p tt LA CIIJI~RRE
1 Dts
f VJJWGÊres
1 N° 868
Paris, 17 juillet 1918.
1
; ^etin Quotidien de Presse Etrangère
Bulletin uo ti1 diaen de Presse Et ra nge%re
--
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
EsTIONS MILITAIRES
Occident ~~s » titre : « LA
ins le ~Es AnM al. - '~Ou.s Le titre: « ~A
■m do r Nous sommes entrés
0Hfl' c. ®mestre de l'année. Au
^son ier
Il avons accompli une
e se 8^viny avon réussi complètement.
*■!. e à l'a î
L'r ce que cette guerre
^^(W Cornrnalt pas par une marche
V «tin lutter» * guerres du passé.
VH' e toutes les forces
: de kiuï11 îrom ® leurs troupes colo-
qui mesure des centai-
.u brtv es de ]''; - contre les ressources
8 d 1Vers entier. Il nous a
Ne^ de nnVelles méthodes pour
"ShïlerlaI°lonté ? anerrière de l'adversaire
%o^r Ptfa^er des négociations
ngager des négociations
VPai*1 NnUs 6 n Os montré en toutes cir-
** s
ces que nous étions prêts à signer
e10ns I)r6tl3 à signer
Chaq.u,e fois l'Entente
itiîf om ^Totr>A®tat-major est. bien su-
M Ce' tt'clfi tûi ?,ntente, qui n'a su
m! e bataille de ma-
«Il 6,€tl§agft L et sacrifie d'une façon
C, est que des masses énormes
l'a F., aïlÇciis une méthode anglaise.
hSî rpi°ntadoptée. Ainsi le
t, e a dû faire appel
N rt gIPerltiettl'lq11e po.ur combler les
ÎO ^îî6 d'aoh00 V aux races blan-
réciproqu d' ach,ever' leur anéantisse-
^oit • Le HVer leur anéantisse-
ame le plus effroya-
s rin^^sihlû 1 Concevoir se dé-
!%înts iîJ }0llîs ôt v COncevoir se dé-
i D%t »0Us assistons à des
X C'est le haut com-
l, rf^t : .Me qui une fois de plus se
y SX ^>RWer^^her L la situation. Sa
*e8 hmrv> les existences humai-
!«, V'W es Il a adopté cette
1,4t ~%urt it IVe qui consiste ÎI
ÎCSiM 6 Utip 1 entreprise, aussitôt
à une résistance durable.
irs ~&~ nouvelle tentative.
reg ;,nquent si complètement
seule fois à même pas eu re-
M\ ? «h y116 attr, à la contre-offensive
',e avortée, manœu-
après lurie ftttaq,l.e av-ortée, manoe-u-
I e^^e. depuis que
j s 'événements en Ita-
de
-Ou,, en donner une
* -,' n sur le front
-j
■SloW ^Iti xi*n^lûér&e comme ayant
e tension. Nous
c; er l'apport, consi-
nifie pour l'Entente
Wbti ssuh?S la décision. Elles
~Vv" qu!~~ par l'ennemi. Ce
qui diVSgS ent toutes les opé-
fc\Và co~ i■ snPposer que
réussira à comuniquer aux trouves
es ^!nes cet élan moral
H '] s Allfilernands et les Fran-
çais. Dans la grande partie, qui va se jouer
au cours des mois prochains, c'est l'esprit
qui va lutter contre la force brutale, Jamais
encore celle-ci n'a triomphé de colui-là. --"
(Erich von Salzmann) Vossische Aeiiung,
11.7.
Les Etats-Unis et la conduite de la guerre.
— LE SÉNATEUR FALL, du Nouveau-Mexi-
que, au cours de la discussion au Sénat
du projet de crédits concernant l'armée,
s'est déclaré en faveur d'une armée consi-
dérable et a demandé que les Etats-Unis
prennent l'initiative d'une nouvelle stra-
tégie Il voudrait savoir comment on en-
tend utiliser les troupes américaines. «Au
lieu de jeter des hommes dans l'abattoir du
front ouest, il faudrait, dit-il, choisir les
points de moindre résistance comme l'Ita-
lie, le front de Salonique et la Sibérie. »
- New York Times 20.6.
———- -———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
- SITUATION GENERALE
Etats-Unis : L'AGRICULTURE EN 1917. — Le
ministre de l'Agriculture annonce que
les fermiers ont ensemencé 23 millions
d'acres de plus qu'en 1916 (1 acre=0,4 h.).
Le nombre des vaches laitières a été aug-
menté de 390.000; celui du gros bétail de
2 millions de têtes. Pour les moutons le
gain est de 1.300.000 et pour les porcs de
4 millions. En dépit de l'exportatiori le
nombre des chevaux et mulets dépasse de
454.000 unités celui de 1916. Tout semble
indiquer que nous ferons encore mieux en
1918. Nous ne risquons donc pas d'être
battus faute de ressources alimentairss. -
New-York American, 21.6.
PRODUCTION
Japon : LE COTON BRUT. — La culture du
coton a été négligée au Japon ces der-
nières années et actuellement les Japonais
ont recours presque exclusivement à l'im-
portation pour satisfaire à leurs besoins
en coton brut. Celui que fournit le sol ja.
panais a cependant des caractéristiques
spéciales Par exemple, le coton brut fourni
par certaines parties du département de
Tottori a une valeur spéciale comme ma-
tière première du coton-poudre. On annoIÍ.
ce que le Gouvernement a décidé d'accorder
un subside de 9 millions de yen sur les
ressources financières de l'année en cours
en vue d'encourager la culture du coton
dit de Tottori, et qute, d'autre part, un sub-
side de 4.500.000 yen est assuré aux cul-
tivateurs de coton du département de To-
chigi. - Japan Chronucle, 2.5.
COMMERCE EXTERIEUR
Etats-Unis : EXERCICE 1917-18. - Les ex.
portations pour l'année fiscale 1917-1918
dépasseront s 9 milliards, c'est-à-dire plus
Useront chiffre du commerce extérieur
d'avant-guerre. C'est environ le 1/5 du total
mondial et plus que l'ensemble du commer-
ce extérieur de la France et de l'Angle-
terre d'avant 1914. — New York Times,
22.6.
Argentine et Afrique du Sud. — Une
grande quantité de matériel argentin de che-
mins de fer, tel que rails, éclisses et bou-
lons, doit être embarqué pour l'Afrique du
Sud sous le nom fallacieux de « vieille fer-
raille ». Nous ne sommes pas assez riches
en matériel de chemin de fer, même usagé,
pour nous permettre d'en doter l'Afrique
du Sud. Nous ne pouvons non plus renou-
veler ce matériel, à cause des difficultés
d'importation. N'oublions pas, d'ailleurs,
que le pays en question est notre rival pour
les laines et les viandes sur le marché an-
glais. Nous sommes sûrs que si nos ingé-
nieurs s'en donnaient la peine, ils pour-
raient transformer cette « vieille ferraille »
en rails, éclisses et boulons. — (Ed.) Union
[de Buenos Aires], 30.5.
-00
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La Bulgarie et la mer Noire. — La Bul-
garie est le rouage le plus faible de l'Al-
liance Centrale. Il se trouve également que
c'est celui qui importe le plus aux puis-
sances occidentales. Au début de la guerre
nous avons reconnu que la mer Noire était
la clef de la victoire. Tout le monde l'ad-
met maintenant, même ceux qui ont con-
tribué à réduire à n'éant la campagne de
Gallipoli. A l'heure actuelle la mer Noire
est encore l'une des principales clefs de
la victoire. Si les Alliés peuvent y péné-
trer, tous les vastes projets de l'Allemagne
et de la Turquie contre l'Asie et les In-
des se trouvent contrecarrés; nous serons
en contact direct avec la Russie; nous pos-
séderons une base d'où le front oriental
pourra être reconstitué, si tant est qu'on
puisse le faire. Le moyen de plus rapide
pour les Alliés d'atteindre la mer Noire
est de se mettre d'accord avec la Bulgarie.
il appartient à la diplomatie de détermi-
ner le moyen d'arriver à cela. Le jeu en
vaut la chandelle. L'esprit de la nation,
l'esprit du gouvernement devraient s'y ar-
rêter et abandonner une fois pour toutes
.le mirage de la Sibérie. Les Etats-Unis
pourraient aider puissamment, car ils ne
sont pas encore en guerre avec la Bulgarie.
Plus tôt on prendra une décision, mieux
cela vaudra. Le temps presse. (Ed.), Man-
chester Guardian, 12.7
LES EVENEMENTS DE RUSSIE
(( Kerensky régisseur » [sous ce titre]. —
Nous apprenons de Moscou que les socialis-
tes révolutionnaires, ex-partisans de Ké-
rensky, ont pris à leur compte le meurtre
0La GUERRE
p tt LA CIIJI~RRE
1 Dts
f VJJWGÊres
1 N° 868
Paris, 17 juillet 1918.
1
; ^etin Quotidien de Presse Etrangère
Bulletin uo ti1 diaen de Presse Et ra nge%re
--
CONFIDENTIEL
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
EsTIONS MILITAIRES
Occident ~~s » titre : « LA
ins le ~Es AnM al. - '~Ou.s Le titre: « ~A
■m do r Nous sommes entrés
0Hfl' c. ®mestre de l'année. Au
^son ier
Il avons accompli une
e se 8^viny avon réussi complètement.
*■!. e à l'a î
L'r ce que cette guerre
^^(W Cornrnalt pas par une marche
V «tin lutter» * guerres du passé.
VH' e toutes les forces
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qui mesure des centai-
.u brtv es de ]''; - contre les ressources
8 d 1Vers entier. Il nous a
Ne^ de nnVelles méthodes pour
"ShïlerlaI°lonté ? anerrière de l'adversaire
%o^r Ptfa^er des négociations
ngager des négociations
VPai*1 NnUs 6 n Os montré en toutes cir-
** s
ces que nous étions prêts à signer
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M Ce' tt'clfi tûi ?,ntente, qui n'a su
m! e bataille de ma-
«Il 6,€tl§agft L et sacrifie d'une façon
C, est que des masses énormes
l'a F., aïlÇciis une méthode anglaise.
hSî rpi°ntadoptée. Ainsi le
t, e a dû faire appel
N rt gIPerltiettl'lq11e po.ur combler les
ÎO ^îî6 d'aoh00 V aux races blan-
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^oit • Le HVer leur anéantisse-
ame le plus effroya-
s rin^^sihlû 1 Concevoir se dé-
!%înts iîJ }0llîs ôt v COncevoir se dé-
i D%t »0Us assistons à des
X C'est le haut com-
l, rf^t : .Me qui une fois de plus se
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*e8 hmrv> les existences humai-
!«, V'W es Il a adopté cette
1,4t ~%urt it IVe qui consiste ÎI
ÎCSiM 6 Utip 1 entreprise, aussitôt
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irs ~&~ nouvelle tentative.
reg ;,nquent si complètement
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M\ ? «h y116 attr, à la contre-offensive
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I e^^e. depuis que
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■SloW ^Iti xi*n^lûér&e comme ayant
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c; er l'apport, consi-
nifie pour l'Entente
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fc\Và co~ i■ snPposer que
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encore celle-ci n'a triomphé de colui-là. --"
(Erich von Salzmann) Vossische Aeiiung,
11.7.
Les Etats-Unis et la conduite de la guerre.
— LE SÉNATEUR FALL, du Nouveau-Mexi-
que, au cours de la discussion au Sénat
du projet de crédits concernant l'armée,
s'est déclaré en faveur d'une armée consi-
dérable et a demandé que les Etats-Unis
prennent l'initiative d'une nouvelle stra-
tégie Il voudrait savoir comment on en-
tend utiliser les troupes américaines. «Au
lieu de jeter des hommes dans l'abattoir du
front ouest, il faudrait, dit-il, choisir les
points de moindre résistance comme l'Ita-
lie, le front de Salonique et la Sibérie. »
- New York Times 20.6.
———- -———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
- SITUATION GENERALE
Etats-Unis : L'AGRICULTURE EN 1917. — Le
ministre de l'Agriculture annonce que
les fermiers ont ensemencé 23 millions
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Le nombre des vaches laitières a été aug-
menté de 390.000; celui du gros bétail de
2 millions de têtes. Pour les moutons le
gain est de 1.300.000 et pour les porcs de
4 millions. En dépit de l'exportatiori le
nombre des chevaux et mulets dépasse de
454.000 unités celui de 1916. Tout semble
indiquer que nous ferons encore mieux en
1918. Nous ne risquons donc pas d'être
battus faute de ressources alimentairss. -
New-York American, 21.6.
PRODUCTION
Japon : LE COTON BRUT. — La culture du
coton a été négligée au Japon ces der-
nières années et actuellement les Japonais
ont recours presque exclusivement à l'im-
portation pour satisfaire à leurs besoins
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Tottori a une valeur spéciale comme ma-
tière première du coton-poudre. On annoIÍ.
ce que le Gouvernement a décidé d'accorder
un subside de 9 millions de yen sur les
ressources financières de l'année en cours
en vue d'encourager la culture du coton
dit de Tottori, et qute, d'autre part, un sub-
side de 4.500.000 yen est assuré aux cul-
tivateurs de coton du département de To-
chigi. - Japan Chronucle, 2.5.
COMMERCE EXTERIEUR
Etats-Unis : EXERCICE 1917-18. - Les ex.
portations pour l'année fiscale 1917-1918
dépasseront s 9 milliards, c'est-à-dire plus
Useront chiffre du commerce extérieur
d'avant-guerre. C'est environ le 1/5 du total
mondial et plus que l'ensemble du commer-
ce extérieur de la France et de l'Angle-
terre d'avant 1914. — New York Times,
22.6.
Argentine et Afrique du Sud. — Une
grande quantité de matériel argentin de che-
mins de fer, tel que rails, éclisses et bou-
lons, doit être embarqué pour l'Afrique du
Sud sous le nom fallacieux de « vieille fer-
raille ». Nous ne sommes pas assez riches
en matériel de chemin de fer, même usagé,
pour nous permettre d'en doter l'Afrique
du Sud. Nous ne pouvons non plus renou-
veler ce matériel, à cause des difficultés
d'importation. N'oublions pas, d'ailleurs,
que le pays en question est notre rival pour
les laines et les viandes sur le marché an-
glais. Nous sommes sûrs que si nos ingé-
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raient transformer cette « vieille ferraille »
en rails, éclisses et boulons. — (Ed.) Union
[de Buenos Aires], 30.5.
-00
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
La Bulgarie et la mer Noire. — La Bul-
garie est le rouage le plus faible de l'Al-
liance Centrale. Il se trouve également que
c'est celui qui importe le plus aux puis-
sances occidentales. Au début de la guerre
nous avons reconnu que la mer Noire était
la clef de la victoire. Tout le monde l'ad-
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Gallipoli. A l'heure actuelle la mer Noire
est encore l'une des principales clefs de
la victoire. Si les Alliés peuvent y péné-
trer, tous les vastes projets de l'Allemagne
et de la Turquie contre l'Asie et les In-
des se trouvent contrecarrés; nous serons
en contact direct avec la Russie; nous pos-
séderons une base d'où le front oriental
pourra être reconstitué, si tant est qu'on
puisse le faire. Le moyen de plus rapide
pour les Alliés d'atteindre la mer Noire
est de se mettre d'accord avec la Bulgarie.
il appartient à la diplomatie de détermi-
ner le moyen d'arriver à cela. Le jeu en
vaut la chandelle. L'esprit de la nation,
l'esprit du gouvernement devraient s'y ar-
rêter et abandonner une fois pour toutes
.le mirage de la Sibérie. Les Etats-Unis
pourraient aider puissamment, car ils ne
sont pas encore en guerre avec la Bulgarie.
Plus tôt on prendra une décision, mieux
cela vaudra. Le temps presse. (Ed.), Man-
chester Guardian, 12.7
LES EVENEMENTS DE RUSSIE
(( Kerensky régisseur » [sous ce titre]. —
Nous apprenons de Moscou que les socialis-
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