Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 juillet 1918 15 juillet 1918
Description : 1918/07/15 (T9,N866). 1918/07/15 (T9,N866).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252392z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
k" 7
nt LA GUERRE
IJ~ tl bte CUERM
~-C~ES
N° 866
Paris, 15 juillet 1918.
^etin Quotidien de Presse Etrangère
Sonfidentiel
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
~~ILITAIRES
:.\ QIIe OPtI\ATIONS
Co se Pr'
$fiSSufi? JI [Slouq ce titrel. —
- ue {t dit allemand a' de nouveau
Celnment dans les
ralèges suises. Il représente cette des
V %Kerïienî *°Ute CPn]?me militaire, le
fait sous quelque
f^ >^viems°it S offres de négocia-
Kuhlmann vient de parler. La PreSse
'l't au iP 1 Entente, a refusé
it UtkV* Cv T Voie 5st redevenue libre.
[¡le ri déerltir catégoriquement
:'~il'eor¡t tion Ouit ce qui se passe
S ^ux i^r des considérations
eux
,1ettarr » l':'' de traiter de
4tes IiJ.es Ilques Il ont toujours su
b,e n - eh -U'il fallait et ils ont
i Qr?V(>ip ls-i le ?m 0r?ent d'a§ir" Nous
.ats et S llléo. eux toute confiânce, être
'V SS e ^eront? confiance, être
ail le sang de leurs
S - une gran-
que qU' "Pres l'avoir préparée avec
Ve ta os^l, linn^^e qui règne sur
^erv^Pîets absolue où
- iX? V1 d'ys'té dê augmentent manifes-
}llIes d t'Pl'e.: de nos ennemis. Sur le
P~~t. ilt an dglais e8,
front d'Ypres à Château- Thierry des
',roGt¡s d" de américaines fra!nçai-
!j°rlt d Serieu otes reserves et où nous
,: notre artillerie.
À N art*elles sur toute
deux côte de la Somme et
®
bats, mais elles
%Viîe imients coml !erry' elles ont
„ ^Hcp s^r ]a grande dér<
e
"■ j qu? J,f On achève de
s i l- endent Paris et
main enir les assail-
'W ïnSS-lde la capi-
''l&So^ist l' Ue Possible de la capi-
es? reriiaivr ? u le' c'est le con-
\î' lî%inet 4 qn continie entre les
"qb%e et fanfarons des
et Clemenceau, et
?e W ^éneraf5lissime, qui man-
1rn ïIqs binn de résolution.
V/Ï orees, b* en s'llipériellres. « On
'îlt Sace.rnH troupes américai-
^od CePendi r- On l'évalue à
W aucun événe-
Ife (SA^semble à une
tvï-7 von Liebert)
10.7
'°nle Sur' ',uin ]918 :
rrvne' les fluctua-
i 'lSÀî^Sllaisons «'rtmemont dif-
K extrêmemt:nt dif-
eurs ont été très
encore au cours de no-
i chefs font de plus
chefs font le plus
estafettes. Dans une
large mesure ceux-ci nous ont permis de
ménager les forces précieuses de nos hom-
mes et ils ont rendu de très grands servi-
ces. Les fatigues de la marche ont dépassé.
pour l'infanterie, tout ce que nous pouvons
imaginer. La chaleur était accablante, dès
les premières heures de la journée. Les rou-
tes disparaissaient sous la poussière. Les
soldats pliaient sous le poids de leurs ba-
gages. Les vêtements, le sac le casque, le
fusil et la cartouchière, le masque contre
les gaz, la musette, etc., pèsent plus d'un
quintal. Je me suis laissé ',lire. qu'une mi-
trailleuse lourde pèse, avec son tulbe de ré-
serve, plus de 114 livres. A chaque pause,
les soldats s'endormaient, même debout.
Les pauses étaient courtes. Et lorsqu'on se
remettait en marche, on entendait souvent
des bordées de jurons, comme celles qui, de
tout temps, ont été familières aux soldats.
La no.u'Vêlle méthode de combat a eu com-
me conséquence que les états-majors, mar-
chant à la tête de leurs troupes, ont subi,
en quelques points, de lourdes pertes, sur-
tout sensibles par suite de la difficulté qu'il
y avait à maintenir la liaison entre les uni-
tés qui s'avançaient avec une rapidité
inouïe.Sur leChemin-des-Dames l'état-major
d'un régiment quri s'avançait. sur la pente
d'une crête déjà tenue par nos troupes se
trouva tout à coup en face d'une mitrail-
leuse ennemie en action. Trois officiers et
le commandant dut régiment furent griève-
ment blessés d'abord par les balles de la
mitrailleuse, puis par des éclats d'obus,
au moment où on les transportait à l'am-
bulance. — (W. Scheuermann) Norddeut-
sche Allgemeine Zeitung, 9.7.
ORGANISATION
Etats-Unis ; LES EFFECTIFS. — Le général
Crowder annonce à la Commission de l'ar-
mée du Sénat qu'il y aura au 1* août 1918,
3 millions d'Américains sous les armes dont
1 million de volontaires. Sur les 2 mil-
lions 420.000 hommes qui formaient la clas-
se 1, 1.347.000 ont déjà été appelés et cette
classe sera entièrement incorporée au 31
décembre prochain. Il faudra alors appeler
les hommes des classes 2, 3 et 4 ou modifier
les limites d'âge. C'est cette dernière solu.
tion que préconise le général Crowder. Il
espère obtenir 400.000 hommes parmi les
jeunes gens de 21 ans et 200.000 autres
par reclassification de certaines catégories :
ouvriers agricoles, mariés de guerre sans
enfants, etc. Les appels pour les sept pre-
miers mois de 1918 s'élèvent à 1.347.000 se
décomposant ainsi :
Janvier. 23.288
Février 83.779
Mars 132.484
Avril. 174.377
Mai. 360.230
Juin 283.345
Juillet 290.000
S'un, 16,6.
Finlande: L'ARMÉE. — De Helsingfors,
4.7 : Le gouvernement a présenté à la Diète
une proposition tendant à accorder les cré-
dits nécessaires à la constitution d'une ar-
mée suffisante au maintien de l'ordre et &
la défense du pays. — Nationaltidende,
[de Copenhague], 4.7.
MORAL DES TROUPES
Grèce : LA MUTINERIE DE SERVIA fCr. Bul-
letin, n° 860, p. 2, col. 11. — Le 2 juillet, la
cour martiale de Kozani a rendu un arrêt
condamnant à mort le lieutenant Kambou-
ris, les sergents Petralias, Koussopoulos.
Agrapidis Tsikliras, Solomos et Papathanas-
sopoulos. Ordre a été donné que l'arrêt fût
immédiatement exécuté. L'exécution a lieu
aujourd'hui, 3 juillet. Le sergent Viktoratos
a été acquitté. Le procès de l'adjudant
Stiliopoulos a été renvoyé. Les procès pour
les autres inculpés continuent. — Le géné-
ral Papoulas accusé d'avoir participé aux
mutineries de Lamia et de Thèbes vient
d'être mis en état d'arrestation. Il avait
déjà été mis en disponibilité et déporté dans
une localité, à la suite de ces mutineries.
- Messager d'Athènes, 21.6/4.7.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
AVENIR ECONOMIQUE
Grande-Bretagne : SOUJ le titre « L'ARME
ÉCONOMIQUE ». — La guerre nous laissera un
énorme fardeau financier. Le seul moyen
de le supporter sera de créer plus de ri-
chesse; nous faisons allusion aux ressour-
ces naturelles de l'Empire qui doivent être
activement et soigneusement développées;
mais plus importante encore est l'utilisation
de l'organisation industrielle que la guerre
a fait naître dans notre pays. Nous igno-
rons encore si l'on s'occupe réellement de
fixer les détails d'utti système permettant
aux Alliés et aux nations qui ont rompu les
relations avec l'Allemagne de contrôler les
matières premières. La Grande-Bretagne
devrait prendre la tête de ce mouvement.
Et que fait le gouvernement au sujet de la
dénonciation des traités de la « nation la
plus favorisée » ? Déjà le 13 mai il avait
annoncé sa décision de suivre en cela
l'exemple de la France. Tel était au moins
le sens apparent de la réponse donnée à la
Chambre des Communes, par M. Bonar Law
et Sir Ed. Carson. Mais a-t-on réellement
fait quelque chose, et, dans la négative, y
avait-il dans la réponse de M. Bonar Law
une restriction abstraite annulant le sens
apparent de cette réponse ? — Times, 11.6.
MESURES POUR L'APRÈS-GUERRE. — L'An-
gleterre s'occupe fiévreusement de l'après-
guerre. Sous le gouvernement de M. As-
quith, on avait créé une série de sous-com-
nt LA GUERRE
IJ~ tl bte CUERM
~-C~ES
N° 866
Paris, 15 juillet 1918.
^etin Quotidien de Presse Etrangère
Sonfidentiel
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
~~ILITAIRES
:.\ QIIe OPtI\ATIONS
Co se Pr'
$fiSSufi? JI [Slouq ce titrel. —
- ue {t dit allemand a' de nouveau
Celnment dans les
ralèges suises. Il représente cette des
V %Kerïienî *°Ute CPn]?me militaire, le
fait sous quelque
f^ >^viems°it S offres de négocia-
Kuhlmann vient de parler. La PreSse
'l't au iP 1 Entente, a refusé
it UtkV* Cv T Voie 5st redevenue libre.
[¡le ri déerltir catégoriquement
:'~il'eor¡t tion Ouit ce qui se passe
S ^ux i^r des considérations
eux
,1etta
4tes IiJ.es Ilques Il ont toujours su
b,e n - eh -U'il fallait et ils ont
i Qr?V(>ip ls-i le ?m 0r?ent d'a§ir" Nous
.ats et S llléo. eux toute confiânce, être
'V SS e ^eront? confiance, être
ail le sang de leurs
S - une gran-
que qU' "Pres l'avoir préparée avec
Ve ta os^l, linn^^e qui règne sur
^erv^Pîets absolue où
- iX? V1 d'ys'té dê augmentent manifes-
}llIes d t'Pl'e.: de nos ennemis. Sur le
P~~t. ilt an dglais e8,
front d'Ypres à Château- Thierry des
',roGt¡s d" de américaines fra!nçai-
!j°rlt d Serieu otes reserves et où nous
,: notre artillerie.
À N art*elles sur toute
deux côte de la Somme et
®
bats, mais elles
%Viîe imients coml !erry' elles ont
„ ^Hcp s^r ]a grande dér<
e
"■ j qu? J,f On achève de
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"qb%e et fanfarons des
et Clemenceau, et
?e W ^éneraf5lissime, qui man-
1rn ïIqs binn de résolution.
V/Ï orees, b* en s'llipériellres. « On
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^od CePendi r- On l'évalue à
W aucun événe-
Ife (SA^semble à une
tvï-7 von Liebert)
10.7
'°nle Sur' ',uin ]918 :
rrvne' les fluctua-
i 'lSÀî^Sllaisons «'rtmemont dif-
K extrêmemt:nt dif-
eurs ont été très
encore au cours de no-
i chefs font de plus
chefs font le plus
estafettes. Dans une
large mesure ceux-ci nous ont permis de
ménager les forces précieuses de nos hom-
mes et ils ont rendu de très grands servi-
ces. Les fatigues de la marche ont dépassé.
pour l'infanterie, tout ce que nous pouvons
imaginer. La chaleur était accablante, dès
les premières heures de la journée. Les rou-
tes disparaissaient sous la poussière. Les
soldats pliaient sous le poids de leurs ba-
gages. Les vêtements, le sac le casque, le
fusil et la cartouchière, le masque contre
les gaz, la musette, etc., pèsent plus d'un
quintal. Je me suis laissé ',lire. qu'une mi-
trailleuse lourde pèse, avec son tulbe de ré-
serve, plus de 114 livres. A chaque pause,
les soldats s'endormaient, même debout.
Les pauses étaient courtes. Et lorsqu'on se
remettait en marche, on entendait souvent
des bordées de jurons, comme celles qui, de
tout temps, ont été familières aux soldats.
La no.u'Vêlle méthode de combat a eu com-
me conséquence que les états-majors, mar-
chant à la tête de leurs troupes, ont subi,
en quelques points, de lourdes pertes, sur-
tout sensibles par suite de la difficulté qu'il
y avait à maintenir la liaison entre les uni-
tés qui s'avançaient avec une rapidité
inouïe.Sur leChemin-des-Dames l'état-major
d'un régiment quri s'avançait. sur la pente
d'une crête déjà tenue par nos troupes se
trouva tout à coup en face d'une mitrail-
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le commandant dut régiment furent griève-
ment blessés d'abord par les balles de la
mitrailleuse, puis par des éclats d'obus,
au moment où on les transportait à l'am-
bulance. — (W. Scheuermann) Norddeut-
sche Allgemeine Zeitung, 9.7.
ORGANISATION
Etats-Unis ; LES EFFECTIFS. — Le général
Crowder annonce à la Commission de l'ar-
mée du Sénat qu'il y aura au 1* août 1918,
3 millions d'Américains sous les armes dont
1 million de volontaires. Sur les 2 mil-
lions 420.000 hommes qui formaient la clas-
se 1, 1.347.000 ont déjà été appelés et cette
classe sera entièrement incorporée au 31
décembre prochain. Il faudra alors appeler
les hommes des classes 2, 3 et 4 ou modifier
les limites d'âge. C'est cette dernière solu.
tion que préconise le général Crowder. Il
espère obtenir 400.000 hommes parmi les
jeunes gens de 21 ans et 200.000 autres
par reclassification de certaines catégories :
ouvriers agricoles, mariés de guerre sans
enfants, etc. Les appels pour les sept pre-
miers mois de 1918 s'élèvent à 1.347.000 se
décomposant ainsi :
Janvier. 23.288
Février 83.779
Mars 132.484
Avril. 174.377
Mai. 360.230
Juin 283.345
Juillet 290.000
S'un, 16,6.
Finlande: L'ARMÉE. — De Helsingfors,
4.7 : Le gouvernement a présenté à la Diète
une proposition tendant à accorder les cré-
dits nécessaires à la constitution d'une ar-
mée suffisante au maintien de l'ordre et &
la défense du pays. — Nationaltidende,
[de Copenhague], 4.7.
MORAL DES TROUPES
Grèce : LA MUTINERIE DE SERVIA fCr. Bul-
letin, n° 860, p. 2, col. 11. — Le 2 juillet, la
cour martiale de Kozani a rendu un arrêt
condamnant à mort le lieutenant Kambou-
ris, les sergents Petralias, Koussopoulos.
Agrapidis Tsikliras, Solomos et Papathanas-
sopoulos. Ordre a été donné que l'arrêt fût
immédiatement exécuté. L'exécution a lieu
aujourd'hui, 3 juillet. Le sergent Viktoratos
a été acquitté. Le procès de l'adjudant
Stiliopoulos a été renvoyé. Les procès pour
les autres inculpés continuent. — Le géné-
ral Papoulas accusé d'avoir participé aux
mutineries de Lamia et de Thèbes vient
d'être mis en état d'arrestation. Il avait
déjà été mis en disponibilité et déporté dans
une localité, à la suite de ces mutineries.
- Messager d'Athènes, 21.6/4.7.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
AVENIR ECONOMIQUE
Grande-Bretagne : SOUJ le titre « L'ARME
ÉCONOMIQUE ». — La guerre nous laissera un
énorme fardeau financier. Le seul moyen
de le supporter sera de créer plus de ri-
chesse; nous faisons allusion aux ressour-
ces naturelles de l'Empire qui doivent être
activement et soigneusement développées;
mais plus importante encore est l'utilisation
de l'organisation industrielle que la guerre
a fait naître dans notre pays. Nous igno-
rons encore si l'on s'occupe réellement de
fixer les détails d'utti système permettant
aux Alliés et aux nations qui ont rompu les
relations avec l'Allemagne de contrôler les
matières premières. La Grande-Bretagne
devrait prendre la tête de ce mouvement.
Et que fait le gouvernement au sujet de la
dénonciation des traités de la « nation la
plus favorisée » ? Déjà le 13 mai il avait
annoncé sa décision de suivre en cela
l'exemple de la France. Tel était au moins
le sens apparent de la réponse donnée à la
Chambre des Communes, par M. Bonar Law
et Sir Ed. Carson. Mais a-t-on réellement
fait quelque chose, et, dans la négative, y
avait-il dans la réponse de M. Bonar Law
une restriction abstraite annulant le sens
apparent de cette réponse ? — Times, 11.6.
MESURES POUR L'APRÈS-GUERRE. — L'An-
gleterre s'occupe fiévreusement de l'après-
guerre. Sous le gouvernement de M. As-
quith, on avait créé une série de sous-com-
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