Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 juillet 1918 13 juillet 1918
Description : 1918/07/13 (T9,N864). 1918/07/13 (T9,N864).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62523904
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
NU 864
S,
I A GUEHBE
Po? 1)
~8
Paris, 13 juillet 1918.
^fctin Quotidien de Presse Etrangère
SONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
IONS MILITAIRES
0PERATIONS
JUS. Ilte:nl.e
\a situation militaire »
i!tç sur ,!8 ti-ois grandes offen-
te&tahi le française une in-
~"t~,~~e. comme, il arrive
il ; elle la for 1 IJeu ple patriote, elles ont
OM de Résistance de la na-
e Ilt sPiré une haine mys-
i Sé qUeUr. en plus violente, à l'égard
S S r" X
-ênle temps, les Fran-
■^V*U rv!ereïit • iliquiets au sujet du sort
ekla lr,2 et à la ets au sujet du sort
il% %nitnt N,, Juelles étaient les causes
{[\J.li.Ql1. ar. amour-PI'°Pre national
, t r > îisf,ii
liJje p.fMre comme eux - ils n'en
r
4 r'oril? e Par ÏÏ,)0nsables ni l'insuffi-
du m rapport à Hindenburg,
?ra^ des troupes fran-
![¡ertt\llg¡¡a.is e" rit-s avisés se disent
''tu An»Aa's §n a! + lntervenus bien tar-
IV sectJ }ec quelques divisions
'Ut SoiQ^ns-Heims et après
on eut n^Pris à l,ondres la mauvaise
OQes 8 ~uiL à Londres la mauvaise
~s. Pi- Mllite en France par l'atti-
fis 8 H !visionf'ook S Se uviennent qu'après le
da avait 1,'landres. L'opinion
*S kl envoyé 18 divisions
a^res- L'?Pin,on
'V>e ,^t^Jiie ernent partagée, f en
'a Pr -
1 -
e évidente d'une of-
V PditrMe Pt llî' manque de discer-
oi>;
ne NÏ011^ ni -3^ que moins la
ato litsPOsitifs entre les mains
"'Z5mVe^^itino^u, fî!t grande. Ce man-
S
■■WVmi8,°Pieuow tel, que la France
rfO~ter' glori~use~s traditions militai-
Vh0lt>e v oIv^e l'Amérique pour
flUl' d'an? encore — une vic-
.ailleurs ne serait plus
française. Elle ne veut pais en-
unS,b^tés de paix qui,
~des possibilités de paix qui,
"'4■h ® ^tNi^Vû' en Amérique sont
v^nSir politi^ec sang-froid. Dans
;N>V «e 3ne paradoxale, elle
Plus ï sa!gner à blanc.
W'X C'e ais°nnable ! Grâce
l'ï^ rvfl thfliS rpQ on Orient, elle peut
, 8ach re. Eue attend le mo-
it ,ant bien qu'étant don-
'^îlAi S .X es « s^ecè ^Particulières de cet-
,f; Plù S mIhtaires ne sont pas
iMstf '3Ue ,j .guerre se prolonge
>» ?t »>iS dfVlent le facteur mJ-
«lèvent sa a., poli tique améri-
'i^io Un , ^ilitv même au point
re,, a victoire « ab-
PaivH ^'intérêt de l'Amé-
e c romlis. A ce
"si érons les déclara-
if*! avecJïloins de méfiance
courarnrnent. La gnene
■ r ]<5■ ^érïa?érique une simple
rque ne sanrait. être
S°^ ftL P° saurait être
sur le ~nq r nÇais. Pour l'Améri-
i f
que et l'Allemagne, il n'y a pas de front où
puisse se produire une décision politique
à la suite de victoires militaires. Une vic-
toire absolue de l'Angleterre romprait l'uni-
té des nations anglo-saxonnes, elle amène-
rait, tôt ou tard, une lutte pour l'hégémonie
mondiale entre l'Amérique et l'Angleterre.
Avec l'incomparable astuce des Orientaux,
le Japon attend que se pose ce dernier pro-
blème de l'histoire ides 'temps présents.
Tout cela n'empêche pas l'Amérique d'in-
tervenir en France, avec toutes ses forces.
Elle a transporté sans danger 700.000 hom-
mes en France ; elle continuera, dans les
mois qui vont suivre, à débarquer des cen-
taines de milliers de soldats. La France se
trompe en voyant là le signe précurseur
d'un revirement prochain dans la situation
militaire. L'intervention américaine, que l'on
n'a pas estimée en Allemagne à sa juste va-
leur - — erreur que nous n'avons d'ailleurs
pas commise - ne pourra que retarder la
décision, en augmentant la force de résis-
tance des peuples de l'Entente, et en para-
lysant les effets de l'offensive allemande,
dont le but est de faire naître chez les peu-
ples ennemis de désir de conclure la paix.
Les Américains pourront nous gêner très
fortement. Mais avant d'aboutir à un ren-
versement de la situation militaire et de
réduire l'Allemagne à défendre ses frontiè-
res, il y a pour la France un long chemin
à parcourir et ce pays tout au moins no
pourra aller jusqu'au bout. — (Franz Carl
Endres) MUnchner Neiiesle Nachriclllcll.
8 7
MATERIEL
Grande-Bretagne. — L'UTILISATION DES
COQUES DE NOIX ET DES NOYAUX DE FRUITS. —
Le Conseil du « National Salvage » fait sa-
voir qu'il faut conserver toutes les coques
de noix et les noyaux de fruits, le gouver-
nement en ayant besoin pour un usage spé-
cial se rapportant à la guerre. Le succès
des collectes dépend de l'initiative locale.
Comme il sera nécessaire de fournir ces
matières pendant plusieurs mois, il est sug-
géré que dans des secteurs appropriés les
maîtres de maisons s'entendent pour con-
server tous les noyaux et toutes les coques
disponibles et pour organiser des collectes
régulières, peut-être avec le concours d'en-
fants. Toutes les matières recueillies con-
tribueront à la sécurité de nos soldats » .r
le front. Les noyaux de fruits devront être
séchés au soleil ou dans un four chaud. Les
coquilles de noix et les noyaux de fruits
doivent être empaquetés séparément, de
préférence dans des sacs, et expédiés de la
gare la plus voisine, en port dû au capi-
taine Ricketts, usine à gaz, a South irii'-sm-
Mer. L'adresse doit être écrite sur des éti-
quettes officielles que l'on peut obtenir du
directeur général du « National Salvage »
Caxton-House, Chambre 316, East-Block.
Tothill Street, Westminster. S. W. -
T/'mfs, 10.7.
———- ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Argentine : LA RÉCOLTE DU MAIS. — D'après
des statistiques officielles la récolte de
maïs atteindra, pendant l'année agricole
1917-1918, 4.335.000 tonnes sur lesquelles on
estime que 2 millions de tonnes pourront
être réservées à l'exportation. On pourrait
utiliser le maïs pour engraisser les porcs et
les veaux, mais ce projet aurait à être étu-
dié de très près. — Prensa [de Buenos-
Aires], 29.5.
LA RÉCOLTE DU LIN ET DE L'AVOINE. —
D'après des statistiques officielles, la ré-
colte du lin, pendant l'année agricole 1917-
1918 est estimée à 562.500 tonnes et celle de
l'avoine à 1.100.000 tonnes. Les quantités
disponibles pour l'exportation sont évaluées
ainsi :
Blé 4.000.000 de tonnes
Lin. 4 410.000 —
Avoine 500.000 —
Total. 4.910.000 -
A fin avril, l'exportation de ces céréales
ne dépassait pas 18 p. 100 ; pour qu'elle fût
achevée aVp-nt la rentrée de la prochaine
récolte, il faudrait embarquer 502.000 ton-
nes par mois, chiffre difficile à atteindre.
— Prensa, 29.5.
COMMERCE EXTERIEUR
Japon : LE RIZ ÉTRANGER. — Le gouverne-
ment qui vieni d'établir un nouveau règle-
ment plaçant tscus son contrôle l'impor-
tation du riz étranger entend approvision-
ner les marchés du Japon en riz de Rangoun
On annonce que les autorités sont d'avis
qu'on pourra importer facilement des stocks
considérables grâce à la diminution de
l'exportation en Europe due à la rareté du
tonnage. D'après l'enquête récente faite
par le Département de l'Agriculture et du
Commerce les importations au Japon de
riz de Rangoun, Saïgon. Siam et autres riz
étrangers depuis le 1.9.18 jusqu'au 20.4.
sont montées à 420.448 kokou pf kokou =
180 litres 39] au lieu de 128.468 kokou
pour la même période de 1917. soit une tu,,.
mentation de 291.980 kokou. Pour janvier et
février on a les chiffres respectifs suivants :
Riz de : v 1918 1917
Saigon. kokou 123.133 11.427
Rangoun. 2.670 532
Siam 72.642 49.110
Chine — 4.221 1.981
Autres 11.890 204
Total. 214.556 63.254
S,
I A GUEHBE
Po? 1)
~8
Paris, 13 juillet 1918.
^fctin Quotidien de Presse Etrangère
SONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
IONS MILITAIRES
0PERATIONS
JUS. Ilte:nl.e
\a situation militaire »
i!tç sur ,!8 ti-ois grandes offen-
te&tahi le française une in-
~"t~,~~e. comme, il arrive
il ; elle la for 1 IJeu ple patriote, elles ont
OM de Résistance de la na-
e Ilt sPiré une haine mys-
i Sé qUeUr. en plus violente, à l'égard
S S r" X
-ênle temps, les Fran-
■^V*U rv!ereïit • iliquiets au sujet du sort
ekla lr,2 et à la ets au sujet du sort
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{[\J.li.Ql1. ar. amour-PI'°Pre national
, t r > îisf,ii
liJje p.fMre comme eux - ils n'en
r
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IV sectJ }ec quelques divisions
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on eut n^Pris à l,ondres la mauvaise
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*S kl envoyé 18 divisions
a^res- L'?Pin,on
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Vh0lt>e v oIv^e l'Amérique pour
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Avec l'incomparable astuce des Orientaux,
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blème de l'histoire ides 'temps présents.
Tout cela n'empêche pas l'Amérique d'in-
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mois qui vont suivre, à débarquer des cen-
taines de milliers de soldats. La France se
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tance des peuples de l'Entente, et en para-
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dont le but est de faire naître chez les peu-
ples ennemis de désir de conclure la paix.
Les Américains pourront nous gêner très
fortement. Mais avant d'aboutir à un ren-
versement de la situation militaire et de
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pourra aller jusqu'au bout. — (Franz Carl
Endres) MUnchner Neiiesle Nachriclllcll.
8 7
MATERIEL
Grande-Bretagne. — L'UTILISATION DES
COQUES DE NOIX ET DES NOYAUX DE FRUITS. —
Le Conseil du « National Salvage » fait sa-
voir qu'il faut conserver toutes les coques
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nement en ayant besoin pour un usage spé-
cial se rapportant à la guerre. Le succès
des collectes dépend de l'initiative locale.
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géré que dans des secteurs appropriés les
maîtres de maisons s'entendent pour con-
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disponibles et pour organiser des collectes
régulières, peut-être avec le concours d'en-
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séchés au soleil ou dans un four chaud. Les
coquilles de noix et les noyaux de fruits
doivent être empaquetés séparément, de
préférence dans des sacs, et expédiés de la
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taine Ricketts, usine à gaz, a South irii'-sm-
Mer. L'adresse doit être écrite sur des éti-
quettes officielles que l'on peut obtenir du
directeur général du « National Salvage »
Caxton-House, Chambre 316, East-Block.
Tothill Street, Westminster. S. W. -
T/'mfs, 10.7.
———- ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
PRODUCTION
Argentine : LA RÉCOLTE DU MAIS. — D'après
des statistiques officielles la récolte de
maïs atteindra, pendant l'année agricole
1917-1918, 4.335.000 tonnes sur lesquelles on
estime que 2 millions de tonnes pourront
être réservées à l'exportation. On pourrait
utiliser le maïs pour engraisser les porcs et
les veaux, mais ce projet aurait à être étu-
dié de très près. — Prensa [de Buenos-
Aires], 29.5.
LA RÉCOLTE DU LIN ET DE L'AVOINE. —
D'après des statistiques officielles, la ré-
colte du lin, pendant l'année agricole 1917-
1918 est estimée à 562.500 tonnes et celle de
l'avoine à 1.100.000 tonnes. Les quantités
disponibles pour l'exportation sont évaluées
ainsi :
Blé 4.000.000 de tonnes
Lin. 4 410.000 —
Avoine 500.000 —
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A fin avril, l'exportation de ces céréales
ne dépassait pas 18 p. 100 ; pour qu'elle fût
achevée aVp-nt la rentrée de la prochaine
récolte, il faudrait embarquer 502.000 ton-
nes par mois, chiffre difficile à atteindre.
— Prensa, 29.5.
COMMERCE EXTERIEUR
Japon : LE RIZ ÉTRANGER. — Le gouverne-
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ment plaçant tscus son contrôle l'impor-
tation du riz étranger entend approvision-
ner les marchés du Japon en riz de Rangoun
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qu'on pourra importer facilement des stocks
considérables grâce à la diminution de
l'exportation en Europe due à la rareté du
tonnage. D'après l'enquête récente faite
par le Département de l'Agriculture et du
Commerce les importations au Japon de
riz de Rangoun, Saïgon. Siam et autres riz
étrangers depuis le 1.9.18 jusqu'au 20.4.
sont montées à 420.448 kokou pf kokou =
180 litres 39] au lieu de 128.468 kokou
pour la même période de 1917. soit une tu,,.
mentation de 291.980 kokou. Pour janvier et
février on a les chiffres respectifs suivants :
Riz de : v 1918 1917
Saigon. kokou 123.133 11.427
Rangoun. 2.670 532
Siam 72.642 49.110
Chine — 4.221 1.981
Autres 11.890 204
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