Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 juillet 1918 11 juillet 1918
Description : 1918/07/11 (T9,N862). 1918/07/11 (T9,N862).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62523882
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
DE iLA GUERRE
ET DES
ÉTRANGÈRES
N° 8!»2
Paris, 11 juillet 1918
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
, NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
CONFIDENTIEL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUSTIONS MILITAIRES
FRONTS D'occident
'fOrit les deux dernières semaines,
occidental est resté calme ; il a eu
sionomie qu'il présente ordinaire-
pendant les /„ Périodes qui s'écoulent
les grandes batailles. La plupart des
entreprise ennemis n'ont été que des re-
connaissances faites dans le but de décou-
intention s et la répartition de nos
y a lieu de signaler toutefois
et la Marne, des troupes
IQI-Iiille uttai rieaillf-ls ont collaboré à de
attaques partielles, attaques loca-
d'ailleurs et incapables de changer la si-
Français ont amélioré leur si-
li" ce() de Moulin-sous-Touvent,
raccour ci, en la portant en avant,
entre Ambleny et Saint-Pierre-
l'ouest de Château-Thierry, au
~&IS 8 epétees, les Américains et
Français se sont rapprochés de la ville,
en occupant le Bois des Rochets et
Vaux, les autres en s'empa-
A Jul- le front entre Albert
série ont de leur côté entre-
toute une (le petites opérations,
, et le 28 juin. Ils ont été repous-
~8 ~1 ~P~~ des succès locaux
ll'ii S-n' rquin et plus au sud,
n'ont pas élargis et qui sont
influence, bien que le terrain
de Hazebrouck fût favo-
opérations de l'ennemi. Cette ac-
l'ennemi va continuer; elle aug-
au fur et à mesure qu'il croira au
déclenchement de la nouvelle atta-
lnQ4 d < sur tout so i t
Manche à l'Adriatique, des
de i, ^ctivÀ dont le transport en
activité récemment sous la
lve allemande. La presse
d'éloges les jeunes trou-
pour leur inspirer confiance. Les nou-
Uneb G votés pzi, r m é ri
une armée de plus de 3 m:l-
Nous aurons donc à faire
plus largen dans le champ des hv-
eu facteur américain. - Hambur-
remdenblatt, 5.7. Je champ
partielles Il. — Il sem-
l'échec début, le général
continuer la tactique des for-
partiellesn dont il s'est servi le
la première fois. Ce jour-là,
le plus violent, déclenché
relativement étroit, précéda
oR restreinte, qui s'éten-
front de sept kilomètres. Au cen-
remporta un léger avantage
attaque atténua aussitôt, ln
réduisant a« minimum. L'ad-
lui-même dans ses communiqués
l avantages locaux et d'ob-
jectifs limités. Il n'a pas dit s'il les avait
atteints. Ce qui s'était passé jadis à la même
heure au nord de la Lys entre Béthune et
Bailleul dans le secteur anglais et au sud
de l'Aisne entre Ambleny et Montgobert,
dans le secteur français, semble vouloir se
reproduire exactement des deux côtés de la
Somme, à l'est d'Amiens, tout particulière-
ment entre Albert et Moreuil. Une fois en-
core, le 4 juil'et. le très violent tir d'artille-
rie des premières heures de la journée a été
suivi, dans le cours de l'après-midi, de l'at-
taque d'infanterie. Le front, est principale-
ment tenu dans ce secteur par des Anglais,
mais au sud de la Somme, il y a déjà des
unités françaises. Nous ne saurons que
plus tard quelles sont les troupes ennemies
qui ont attaqué. Le rôle de ces entreprises
est. clair. L'Entente est incapable d'une
grande offensive dont le but serait la percée
de notre front. Elle attend l'aide des Amé-
ricains qui la mettront en mesure d atta-
quer. Mais elle redoute un nouveau coup
de Hindenburg, tout en ignorant quand et
où il lui sera porté. C'est ce qu'elle cherche
à savoir aujourd'hui, dans le désir de gê-
ner le plus possible l'exécution de nos pro-
jets. Ses reconnaissances se sont surtout
montrées actives, d'après les derniers com-
muniqués, dans le secteur bien connu de
Moulin seus-Toavent Elles ne lui ont valu
d'ailleurs aucun succès. La nouvelle violente
attaque, déclenchée sur la Somme, nous
pouvons en être convaincus, suivra le même
cours que les précédentes, peut-être après
un succès initial. - Strassburgcr Post, 5.7.
La réaction italienne. — L'Entente s'ef-
force, par des attaques de grande et de pe-
tile envergure, de modifier la situation stra-
tégique. Les efforts qu'elle fait en Italie
sont les plus sérieux de tous et en même
temps les plus surprenants. Pour les bien
juger, il faut que nous revenions sur le but
de l'attaque austro-hongroise du 15 juin.
Il s'agissait de prévenir les plans de l'enne-
mi et de lui enlever l'initiative. Nous en-
visagions alors la possibilité d'une attaque
italienne. L'Italie vient de nous donner la
preuve qu'en juin elle était prête à l'offen-
sive ; elle n'aurait pas eu. sans cela, dans
la montagne et sur la Piave autant
d'hommes et autant de munitions et d'aussi
importantes réserves. Elle ne se tenait pas
seulement sur la défensive. Ceci étant éta-
bli, l'attaque de nos alliés se présente sous
un tout autre jour. Ils ont réduit à néant
les préparatifs de l'Italie. Ils ont jeté un tel
trouble dans les projets des Italiens, que
ceux-ci n'ont pu mettre à exécution leur
plan d'ensemble, dans le temps et dans
l'espace qu'ils ont dû se borner à des
attaques * partielles dans la montagne, puis
à une tentative d'attaque plus sérieuse sur
la Piave. Ils ont été repoussés et ils ont
été complètement battus sur la Piave. Ce
fut une véritable défaite italienne. Diaz
s'était trop hâté de parler de ses victoires
et les communiqués italiens ne parleront
pas longuement de cet insuccès sur la
Piave. C'est sur ce front que l'on voit bien
de quel côté est la victoire morale. Les
troupes austro-hongroises ont franchi la
rivière débordée, pour attaquer un ennemi
qui les attendait ; elles ont obtenu de réels
avantages tactiques et si elles y ont re-
noncé c'est par suite du temps défavo-
rable. Elles se sont repliées en ordre sur
l'autre rive et l'ennemi a à peine osé gêner
cette opération. Il se sentait battu ! A leur
tour, les Italiens ont tenté la même ma-
nœuvre pour franchir la rivière; de prime
abord ils ont échoué et ont subi de san-
glantes pertes. Il n'est pas besoin de réflé-
chir longtemps pour voir de quel côté se
trouve la supériorité. Les combats sur la
Piave et dans la montagne vont se pro-
longer aussi bien que les attaques des Fran-
çais et des Anglais sur notre front occi-
dental. De la mer du Nord à la Marne, l'en-
nemi tâte notre front — hier. par exemple,
des deux côtés de la Somme. — Nous consi-
dérons que tous ses efforts sont vains. On le
verra bien le jour où nous passerons à de
nouveaux actes. - Deutsche Tageszei-
tung, 5.7.
— Au bout de trois jours de pression en-
tre le Sile et la Piave, les progrès réalisés
étaient déjà assez sensibles. Devant Capo
Sile, Cava Zuccherina et ~Cortellazzo, les
contingents italiens se maintenaient à plu-
sieurs centaines de mètres des tranchées
les plus avancées délimitant les anciennes
tètes de pont. A l'aile droite des forces en-
gagées dans cette bataille des marécages,
un splendide succès tactique a couronné,
dans la journée du 5, les tenaces efforts
précédents. Nos colonnes ont réussi à re-
joindre cette partie du. puissant obstacle
qui, du bourg de Grisolera, suit s'ur la rive
droite la Nouvelle-Piave jusqu'au large pas-
sage sablonneux. Il s'agit d'une avance qui
d'une ligne de départ se développant le
long des digues du canal Lavetta sur plus
de 6 kilomètres, a conquis méthodiquement
une profondeur de 5 kilomètres, atteignant
les défenses ennemies de Grisolera à Reve-
doli sur la rive gauche. Les contingents
italiens composés de fantassins, de bersa-
gliers, de marins et de douaniers avaient
deux missions distinctes à remplir. Une
colonne devait traverser la route qui de
Cava Zuccherina coupe le delta du Sud au
Nord et pointer vers la Nouvelle-Piave.
Une autre colonne devait partir de Cortel-
lazzo et prendre la digue en enfilade de
l'Est à l'Ouest. L'ennemi se rendant comnte
de la petite manœuvre, prit ses dispositifs
de défense. L'opération présentait des dif-
ficultés énormes non seulement à cause de
la nature marécageuse du terrain, mnis
aussi à cause des travaux défenses faits
par un adversaire passé maître en pareille
matière. Pour réussir, le commandement
devait compter sur la sûreté d'orientation
et l'esprit agressif des groupes attaquants.
ET DES
ÉTRANGÈRES
N° 8!»2
Paris, 11 juillet 1918
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
, NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
CONFIDENTIEL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUSTIONS MILITAIRES
FRONTS D'occident
'fOrit les deux dernières semaines,
occidental est resté calme ; il a eu
sionomie qu'il présente ordinaire-
pendant les /„ Périodes qui s'écoulent
les grandes batailles. La plupart des
entreprise ennemis n'ont été que des re-
connaissances faites dans le but de décou-
intention s et la répartition de nos
y a lieu de signaler toutefois
et la Marne, des troupes
IQI-Iiille uttai rieaillf-ls ont collaboré à de
attaques partielles, attaques loca-
d'ailleurs et incapables de changer la si-
Français ont amélioré leur si-
li" ce() de Moulin-sous-Touvent,
raccour ci, en la portant en avant,
entre Ambleny et Saint-Pierre-
l'ouest de Château-Thierry, au
~&IS 8 epétees, les Américains et
Français se sont rapprochés de la ville,
en occupant le Bois des Rochets et
Vaux, les autres en s'empa-
A Jul- le front entre Albert
série ont de leur côté entre-
toute une (le petites opérations,
, et le 28 juin. Ils ont été repous-
~8 ~1 ~P~~ des succès locaux
ll'ii S-n' rquin et plus au sud,
n'ont pas élargis et qui sont
influence, bien que le terrain
de Hazebrouck fût favo-
opérations de l'ennemi. Cette ac-
l'ennemi va continuer; elle aug-
au fur et à mesure qu'il croira au
déclenchement de la nouvelle atta-
lnQ4 d < sur tout so i t
Manche à l'Adriatique, des
de i, ^ctivÀ dont le transport en
activité récemment sous la
lve allemande. La presse
d'éloges les jeunes trou-
pour leur inspirer confiance. Les nou-
Uneb G votés pzi, r m é ri
une armée de plus de 3 m:l-
Nous aurons donc à faire
plus largen dans le champ des hv-
eu facteur américain. - Hambur-
remdenblatt, 5.7. Je champ
partielles Il. — Il sem-
l'échec début, le général
continuer la tactique des for-
partiellesn dont il s'est servi le
la première fois. Ce jour-là,
le plus violent, déclenché
relativement étroit, précéda
oR restreinte, qui s'éten-
front de sept kilomètres. Au cen-
remporta un léger avantage
attaque atténua aussitôt, ln
réduisant a« minimum. L'ad-
lui-même dans ses communiqués
l avantages locaux et d'ob-
jectifs limités. Il n'a pas dit s'il les avait
atteints. Ce qui s'était passé jadis à la même
heure au nord de la Lys entre Béthune et
Bailleul dans le secteur anglais et au sud
de l'Aisne entre Ambleny et Montgobert,
dans le secteur français, semble vouloir se
reproduire exactement des deux côtés de la
Somme, à l'est d'Amiens, tout particulière-
ment entre Albert et Moreuil. Une fois en-
core, le 4 juil'et. le très violent tir d'artille-
rie des premières heures de la journée a été
suivi, dans le cours de l'après-midi, de l'at-
taque d'infanterie. Le front, est principale-
ment tenu dans ce secteur par des Anglais,
mais au sud de la Somme, il y a déjà des
unités françaises. Nous ne saurons que
plus tard quelles sont les troupes ennemies
qui ont attaqué. Le rôle de ces entreprises
est. clair. L'Entente est incapable d'une
grande offensive dont le but serait la percée
de notre front. Elle attend l'aide des Amé-
ricains qui la mettront en mesure d atta-
quer. Mais elle redoute un nouveau coup
de Hindenburg, tout en ignorant quand et
où il lui sera porté. C'est ce qu'elle cherche
à savoir aujourd'hui, dans le désir de gê-
ner le plus possible l'exécution de nos pro-
jets. Ses reconnaissances se sont surtout
montrées actives, d'après les derniers com-
muniqués, dans le secteur bien connu de
Moulin seus-Toavent Elles ne lui ont valu
d'ailleurs aucun succès. La nouvelle violente
attaque, déclenchée sur la Somme, nous
pouvons en être convaincus, suivra le même
cours que les précédentes, peut-être après
un succès initial. - Strassburgcr Post, 5.7.
La réaction italienne. — L'Entente s'ef-
force, par des attaques de grande et de pe-
tile envergure, de modifier la situation stra-
tégique. Les efforts qu'elle fait en Italie
sont les plus sérieux de tous et en même
temps les plus surprenants. Pour les bien
juger, il faut que nous revenions sur le but
de l'attaque austro-hongroise du 15 juin.
Il s'agissait de prévenir les plans de l'enne-
mi et de lui enlever l'initiative. Nous en-
visagions alors la possibilité d'une attaque
italienne. L'Italie vient de nous donner la
preuve qu'en juin elle était prête à l'offen-
sive ; elle n'aurait pas eu. sans cela, dans
la montagne et sur la Piave autant
d'hommes et autant de munitions et d'aussi
importantes réserves. Elle ne se tenait pas
seulement sur la défensive. Ceci étant éta-
bli, l'attaque de nos alliés se présente sous
un tout autre jour. Ils ont réduit à néant
les préparatifs de l'Italie. Ils ont jeté un tel
trouble dans les projets des Italiens, que
ceux-ci n'ont pu mettre à exécution leur
plan d'ensemble, dans le temps et dans
l'espace qu'ils ont dû se borner à des
attaques * partielles dans la montagne, puis
à une tentative d'attaque plus sérieuse sur
la Piave. Ils ont été repoussés et ils ont
été complètement battus sur la Piave. Ce
fut une véritable défaite italienne. Diaz
s'était trop hâté de parler de ses victoires
et les communiqués italiens ne parleront
pas longuement de cet insuccès sur la
Piave. C'est sur ce front que l'on voit bien
de quel côté est la victoire morale. Les
troupes austro-hongroises ont franchi la
rivière débordée, pour attaquer un ennemi
qui les attendait ; elles ont obtenu de réels
avantages tactiques et si elles y ont re-
noncé c'est par suite du temps défavo-
rable. Elles se sont repliées en ordre sur
l'autre rive et l'ennemi a à peine osé gêner
cette opération. Il se sentait battu ! A leur
tour, les Italiens ont tenté la même ma-
nœuvre pour franchir la rivière; de prime
abord ils ont échoué et ont subi de san-
glantes pertes. Il n'est pas besoin de réflé-
chir longtemps pour voir de quel côté se
trouve la supériorité. Les combats sur la
Piave et dans la montagne vont se pro-
longer aussi bien que les attaques des Fran-
çais et des Anglais sur notre front occi-
dental. De la mer du Nord à la Marne, l'en-
nemi tâte notre front — hier. par exemple,
des deux côtés de la Somme. — Nous consi-
dérons que tous ses efforts sont vains. On le
verra bien le jour où nous passerons à de
nouveaux actes. - Deutsche Tageszei-
tung, 5.7.
— Au bout de trois jours de pression en-
tre le Sile et la Piave, les progrès réalisés
étaient déjà assez sensibles. Devant Capo
Sile, Cava Zuccherina et ~Cortellazzo, les
contingents italiens se maintenaient à plu-
sieurs centaines de mètres des tranchées
les plus avancées délimitant les anciennes
tètes de pont. A l'aile droite des forces en-
gagées dans cette bataille des marécages,
un splendide succès tactique a couronné,
dans la journée du 5, les tenaces efforts
précédents. Nos colonnes ont réussi à re-
joindre cette partie du. puissant obstacle
qui, du bourg de Grisolera, suit s'ur la rive
droite la Nouvelle-Piave jusqu'au large pas-
sage sablonneux. Il s'agit d'une avance qui
d'une ligne de départ se développant le
long des digues du canal Lavetta sur plus
de 6 kilomètres, a conquis méthodiquement
une profondeur de 5 kilomètres, atteignant
les défenses ennemies de Grisolera à Reve-
doli sur la rive gauche. Les contingents
italiens composés de fantassins, de bersa-
gliers, de marins et de douaniers avaient
deux missions distinctes à remplir. Une
colonne devait traverser la route qui de
Cava Zuccherina coupe le delta du Sud au
Nord et pointer vers la Nouvelle-Piave.
Une autre colonne devait partir de Cortel-
lazzo et prendre la digue en enfilade de
l'Est à l'Ouest. L'ennemi se rendant comnte
de la petite manœuvre, prit ses dispositifs
de défense. L'opération présentait des dif-
ficultés énormes non seulement à cause de
la nature marécageuse du terrain, mnis
aussi à cause des travaux défenses faits
par un adversaire passé maître en pareille
matière. Pour réussir, le commandement
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