Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 juillet 1918 10 juillet 1918
Description : 1918/07/10 (T9,N861). 1918/07/10 (T9,N861).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252387n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
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VuA guerre
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m
N° 861
Paris, 10 juillet 1918.
q
K Quotidien de Presse Etrangère
SSnfidentiel
à. -
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
IONS MILITAIRES
S °^atïoNS
lei'^Sè Ve 28 iuin les Fran-
élîlais nord de la Lys
Ichû attar?ques trop importan-
is pujc être considérées
/6s relâphnnaissances- reon 0u bien
k ï'sii^s i
gnesoubien de notre pres-
que. dP bien ces attaques
^ernis é Ti ne^V0Slte ~A~M Pl' e,lllIS. Ils voudraient bien
le A Jratirt e ProjSet8 une nouvelle at-
rallde en rgure,
dans la région
Srfitm » tre Par'i ? par exemple, où
Oent r^Xtrêm actuelle, la situation
l'k ÎWrv^ lllement tendue et par-
■!r i' es raisons po-
Pa*.- mesures prises
l|>. oh. fnw tes attao^Ues Partielles ont
de
hSStâléter ï qu'il n'y a aucune
i°re Qupp Qviadruplice espè-
Hr lre off,S Foch pourra retrou-
offensive du printemps. D pe-
lacti fques lsolées ne lui ser-
* lui r,^Udr-A ,ées ne lui ser"
pion Il 4udrait qu'il tpUlsse. dé-
»,? ail(ïe offfensive ïn stratégique,
o, , I lasans initiative. Il fau-
Il'il 1
retrouve un heureux
h l'état ?denbur2 est là
V5îid! • € joiir de contrainte de
ÎN>«> en jour. La polîti-
térieu, e Pression sur son
'lst(, %lie exige qu'il attaque,
ÎN^ 1^ es rnOyens. Il ne peut
iiH h ? aVonl déterminés par
les Olrlts déterminés par
1 oj l S Sont trop nombreux
'A Posp^ Srî h pnj^ ^grande prudence.
v pla ^e' c'est entre
iS* k Qu'il T116 plus grand
>k *le ': iWi.WunH et V fois encore il a
f ( ! »»
5U Une •fois de plus
«QiemPri°ran?n 9Wcès- La nou-
Pour le quar-
fyt4 ^,?e Pt des attachés mili-
paris Pour le front
S > e Poif^ de nouvelles
Î * i ^'e,1Y Sectp
KxWr i es ne réussi-
qui -,Precédentes et la
NTip *fera en forma-
ïVV;" rtî ,s^crifi à son
e Prév*^' en continuant,
Prév oir à anéantir les
116- ce temps,
\\V U W IH'S att TlOS Preparatifs. pour
»V S«T eT>^ «ieïï ?■ Il ne faut pas
T>ac dUré si longtemps.
-un Estant. Mais
■Cqft1 ,r ¡Prepare r des batail.
II n'p,-. consomment plus
Il en fallait autréfois
pour toute une campagne. Nous ne faisons
plus la guerre comme la faisaient Napo-
léon et Moltke. Ce serait une faute grave
que de conclure à un relâchement de notre
effort. Foch lui-même ne commettra pas
l'erreur de nous apprécier au-dessous de
notre valeur. Nous aurions vite l'occasion
de la lui faire expier. Il y a lieu de sup-
poser de préférence que Foch lui-même est
poussé à agir, qu'il l'est par Clemenceau.
Pour celui-ci, qui est un des partisans les
plus acharnés de la guerre qu'il y ait en
France, la situation serait intenable, dans
le cas d'une nouvelle défaite. Il espère peut-
être, par de menus succès, prolonger un peu
son existence. Mais si vraiment Foch n'est
qu'une marionnette, aux mains de Clemen-
ceau, les espérances de nos adversaires
sont bien maigres. Peut-être Foch compte-
t-il retarder la décision en tenant jusqu'à
l'arrivée d'une armée américaine assez for-
te pour changer la face des choses ? Nous
voulons bien qu'il en fasse l'expérience.
— ( Lieutenant-colonel von der Osten
Sacken) Rheinisch-Westfulische Zeitung,
4.7.
Front italien. — Les Autrichiens ont dé-
clenché leur offensive en ayant en leur
possession d'importantes zones sur la rive
droite du fleuve immortel ; aujourd'hui,
s'ils veulent recommencer, ils n'ont plus
rien de ces zones-là. Venise est plus que
jamais en sûreté. La Nouvelle-Piave, dans
la dernière partie de son cours entre San
Donà et Porto di Cortellazzo est un courant
qui n'est pas guéable même pendant- les
périodes de grande sécheresse. Le fleuve est
un obstacle ; mais toute la zone recon-
quise à l'ouest de la Piave jusqu'au Sile et
au lit de la Vieille-Piave est une barrière
encore plus puissante. Gloire à notre ar-
mée ; gloire à nos marins ! Ce qu'ils ont
fait en ces journées mémorables, c'est la
plus belle, la plus sainte des œuvres de
cette immense et atroce lutte. Qui pourrait
penser le contraire en considérant que c'est
pour Venise que la bataille a été gagnée ?
•— Gazzetta del Popolo, 7.7.
Fronts d'Orient. — Quelques personnes
supposent que pour nous être opposé à la
dispersion de nos forces dans des expédi-
tions offensives en Orient, nous fermons
les yeux à tous les problèmes stratégiques
qui se posent à l'est de Malte. Notre oppo-
sition à ces campagnes n'était pas due à
notre aveuglement au sujet de leur impor-
tance, mais au fait que durant les quatre
premières années de la guerre nous
n'avons pas eu le droit de risquer notre
sécurité dans l'Ouest en nous lançant dans
des expéditions pour lesquelles, ainsi que les
événements l'ont, confirmé, nous n'avions
pas assez de moyens. — L'expédition des
Dardanelles était inspirée par une straté-
gie très correcte, mais, nous l'avons ent-
prise sans préparation (suffisante et alors
que nous étions si faibles en hommes et en
canons sur le front français, que nos sol-
dats y passaient par des épreuves très
dures. Nous divisâmes nos forces alors
qu'elles notaient pas assez considérables
pour atteindre notre objectif sur le princi-
pal théâtre, ci les insuccès que nous avons
éprouvés sur les théâtres principaux et se-
condaires étaient mérités. Nous sommes
également partis sur la route de Bagdad.
nous avons envoyé une armée à Salonique
et avons marché sur Jérusalem. Nous
avons payé cher ces folies. — Nous pouvons
imaginer trois résultats de la campagne de
1918 en France : 1° que les Alliés battent
les Allemands ; 2° que les Allemands bat-
tent les Alliés ; 3° que. par des négocia-
tions ou par des combats, nous revenions
à une condition d'équilibre. Si l'une de ces
hypothèses n'amène pas la paix, il peut
s'ensuivre une recrudescence d'actlvité
militaire dans l'Est. Lorsque l'Allemagne
ne peut pas se lancer dans de grandes
aventures, elle s'en tient à de petites. Par
suite de la trahison russe, l'Allemagne est
capable de nous inquiéter dans l'Est ; en
Turquie, cependant, elle poursuit ses des-
sein. en débarquant des troupes alle-
mandes en Transcaucasie, et en faisant
irruption dans la Perse septentrionale. —
Un changement dans la situation, tant qu'il
ne serait pas dû à une victoire allemande
dans l'ouest, ne doit pas nous alarmer. Si
les Allemands envoient des divisions de
l'ouest à l'est alors nous pouvons ou profi
ter, sur le théâtre principal, de leur départ.
ou détacher un nombre correspondant de
divisions pour paralyser le plan allemand.
Et nous pouvons sans aucun doute faire cet
effort sur les théâtres orientaux, autres que
Salonique. avant que les Allemands n'y
arrivent. Les Allemands n'ont pas dans
l'est la même supériorité de chemins de fer-
que dans l'ouest. — Personne ne peut tou-
tefois être satisfait de notre stratégie orien-
tale, qui a dispersé à Salonique. en. Pales-
tine, en Mésopotamie et ailleurs des forces
très supérieures dans l'ensemble à celles
de la Turquie, et qui a distribué nos armées
de telle manière qu'elles ne peuvent nulle
part utiliser leur supériorité. Ce n'est pas
ainsi qu'on gagne une guerre. M. Bonar
Law a annoncé le 18 mars dernier que Ver.
sailles était chargé de la direction et du
contrôle des opérations sur les théâtres
orientaux. Versailles n'a ni les connaissan-
ces, ni l'autorité nécessaires pour les diri-
ger.— Il est. temps de cesser de tâtonner dans
l'est comme nous l'avons fait dans l'ouest.
La campagne orientale touche intimement à
notre sécurité en Asie et surtout dans l'Inde
et dans les Etats limitrophes. Nous pouvons
admettre que le Cabinet de Guerre fixe une
directive générale à ces opérations, mais ig,
pense que la direction effective de ces
campagnes orientales devrait être donnée
à l'Inde. — Si l'Inde était, chargée de toute
notre stratégie orientale elle pourrait.
grâce aux nombreux effectifs actuellement
en Orient et grâce aux réserves hindoues
fournir à chaque front oriental les forces
., ,bt
VuA guerre
., Dts
"C
~G~
m
N° 861
Paris, 10 juillet 1918.
q
K Quotidien de Presse Etrangère
SSnfidentiel
à. -
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
IONS MILITAIRES
S °^atïoNS
lei'^Sè Ve 28 iuin les Fran-
élîlais nord de la Lys
Ichû attar?ques trop importan-
is pujc être considérées
/6s relâphnnaissances- reon 0u bien
k ï'sii^s i
gnesoubien de notre pres-
que. dP bien ces attaques
^ernis é Ti ne^V0Slte
le A Jratirt e ProjSet8 une nouvelle at-
rallde en rgure,
dans la région
Srfitm » tre Par'i ? par exemple, où
Oent r^Xtrêm actuelle, la situation
l'k ÎWrv^ lllement tendue et par-
■!r i' es raisons po-
Pa*.- mesures prises
l|>. oh. fnw tes attao^Ues Partielles ont
de
hSStâléter ï qu'il n'y a aucune
i°re Qupp Qviadruplice espè-
Hr lre off,S Foch pourra retrou-
offensive du printemps. D pe-
lacti fques lsolées ne lui ser-
* lui r,^Udr-A ,ées ne lui ser"
pion Il 4udrait qu'il tpUlsse. dé-
»,? ail(ïe offfensive ïn stratégique,
o, , I lasans initiative. Il fau-
Il'il 1
retrouve un heureux
h l'état ?denbur2 est là
V5îid! • € joiir de contrainte de
ÎN>«> en jour. La polîti-
térieu, e Pression sur son
'lst(, %lie exige qu'il attaque,
ÎN^ 1^ es rnOyens. Il ne peut
iiH h ? aVonl déterminés par
les Olrlts déterminés par
1 oj l S Sont trop nombreux
'A Posp^ Srî h pnj^ ^grande prudence.
v pla ^e' c'est entre
iS* k Qu'il T116 plus grand
>k *le ': iWi.WunH et V fois encore il a
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5U Une •fois de plus
«QiemPri°ran?n 9Wcès- La nou-
Pour le quar-
fyt4 ^,?e Pt des attachés mili-
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NTip *fera en forma-
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116- ce temps,
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léon et Moltke. Ce serait une faute grave
que de conclure à un relâchement de notre
effort. Foch lui-même ne commettra pas
l'erreur de nous apprécier au-dessous de
notre valeur. Nous aurions vite l'occasion
de la lui faire expier. Il y a lieu de sup-
poser de préférence que Foch lui-même est
poussé à agir, qu'il l'est par Clemenceau.
Pour celui-ci, qui est un des partisans les
plus acharnés de la guerre qu'il y ait en
France, la situation serait intenable, dans
le cas d'une nouvelle défaite. Il espère peut-
être, par de menus succès, prolonger un peu
son existence. Mais si vraiment Foch n'est
qu'une marionnette, aux mains de Clemen-
ceau, les espérances de nos adversaires
sont bien maigres. Peut-être Foch compte-
t-il retarder la décision en tenant jusqu'à
l'arrivée d'une armée américaine assez for-
te pour changer la face des choses ? Nous
voulons bien qu'il en fasse l'expérience.
— ( Lieutenant-colonel von der Osten
Sacken) Rheinisch-Westfulische Zeitung,
4.7.
Front italien. — Les Autrichiens ont dé-
clenché leur offensive en ayant en leur
possession d'importantes zones sur la rive
droite du fleuve immortel ; aujourd'hui,
s'ils veulent recommencer, ils n'ont plus
rien de ces zones-là. Venise est plus que
jamais en sûreté. La Nouvelle-Piave, dans
la dernière partie de son cours entre San
Donà et Porto di Cortellazzo est un courant
qui n'est pas guéable même pendant- les
périodes de grande sécheresse. Le fleuve est
un obstacle ; mais toute la zone recon-
quise à l'ouest de la Piave jusqu'au Sile et
au lit de la Vieille-Piave est une barrière
encore plus puissante. Gloire à notre ar-
mée ; gloire à nos marins ! Ce qu'ils ont
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plus belle, la plus sainte des œuvres de
cette immense et atroce lutte. Qui pourrait
penser le contraire en considérant que c'est
pour Venise que la bataille a été gagnée ?
•— Gazzetta del Popolo, 7.7.
Fronts d'Orient. — Quelques personnes
supposent que pour nous être opposé à la
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les yeux à tous les problèmes stratégiques
qui se posent à l'est de Malte. Notre oppo-
sition à ces campagnes n'était pas due à
notre aveuglement au sujet de leur impor-
tance, mais au fait que durant les quatre
premières années de la guerre nous
n'avons pas eu le droit de risquer notre
sécurité dans l'Ouest en nous lançant dans
des expéditions pour lesquelles, ainsi que les
événements l'ont, confirmé, nous n'avions
pas assez de moyens. — L'expédition des
Dardanelles était inspirée par une straté-
gie très correcte, mais, nous l'avons ent-
prise sans préparation (suffisante et alors
que nous étions si faibles en hommes et en
canons sur le front français, que nos sol-
dats y passaient par des épreuves très
dures. Nous divisâmes nos forces alors
qu'elles notaient pas assez considérables
pour atteindre notre objectif sur le princi-
pal théâtre, ci les insuccès que nous avons
éprouvés sur les théâtres principaux et se-
condaires étaient mérités. Nous sommes
également partis sur la route de Bagdad.
nous avons envoyé une armée à Salonique
et avons marché sur Jérusalem. Nous
avons payé cher ces folies. — Nous pouvons
imaginer trois résultats de la campagne de
1918 en France : 1° que les Alliés battent
les Allemands ; 2° que les Allemands bat-
tent les Alliés ; 3° que. par des négocia-
tions ou par des combats, nous revenions
à une condition d'équilibre. Si l'une de ces
hypothèses n'amène pas la paix, il peut
s'ensuivre une recrudescence d'actlvité
militaire dans l'Est. Lorsque l'Allemagne
ne peut pas se lancer dans de grandes
aventures, elle s'en tient à de petites. Par
suite de la trahison russe, l'Allemagne est
capable de nous inquiéter dans l'Est ; en
Turquie, cependant, elle poursuit ses des-
sein. en débarquant des troupes alle-
mandes en Transcaucasie, et en faisant
irruption dans la Perse septentrionale. —
Un changement dans la situation, tant qu'il
ne serait pas dû à une victoire allemande
dans l'ouest, ne doit pas nous alarmer. Si
les Allemands envoient des divisions de
l'ouest à l'est alors nous pouvons ou profi
ter, sur le théâtre principal, de leur départ.
ou détacher un nombre correspondant de
divisions pour paralyser le plan allemand.
Et nous pouvons sans aucun doute faire cet
effort sur les théâtres orientaux, autres que
Salonique. avant que les Allemands n'y
arrivent. Les Allemands n'ont pas dans
l'est la même supériorité de chemins de fer-
que dans l'ouest. — Personne ne peut tou-
tefois être satisfait de notre stratégie orien-
tale, qui a dispersé à Salonique. en. Pales-
tine, en Mésopotamie et ailleurs des forces
très supérieures dans l'ensemble à celles
de la Turquie, et qui a distribué nos armées
de telle manière qu'elles ne peuvent nulle
part utiliser leur supériorité. Ce n'est pas
ainsi qu'on gagne une guerre. M. Bonar
Law a annoncé le 18 mars dernier que Ver.
sailles était chargé de la direction et du
contrôle des opérations sur les théâtres
orientaux. Versailles n'a ni les connaissan-
ces, ni l'autorité nécessaires pour les diri-
ger.— Il est. temps de cesser de tâtonner dans
l'est comme nous l'avons fait dans l'ouest.
La campagne orientale touche intimement à
notre sécurité en Asie et surtout dans l'Inde
et dans les Etats limitrophes. Nous pouvons
admettre que le Cabinet de Guerre fixe une
directive générale à ces opérations, mais ig,
pense que la direction effective de ces
campagnes orientales devrait être donnée
à l'Inde. — Si l'Inde était, chargée de toute
notre stratégie orientale elle pourrait.
grâce aux nombreux effectifs actuellement
en Orient et grâce aux réserves hindoues
fournir à chaque front oriental les forces
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