Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 juillet 1918 08 juillet 1918
Description : 1918/07/08 (T9,N859). 1918/07/08 (T9,N859).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252385t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
N° 859
t LA G UEl\RE
tr b GUERRE
btg
-
Paris, 8 juillet 1018.
%in Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
^imilTAIRES
■m''?; C °Cc,dental
[ sous ~e htrel. - QllelqlIe~ jour-
'&!Je sOùs titre]. QIlelqile.,; jc)tti--
lQ4ds ()tlt COI1'nnencé à publier des
6® 'a dpot î11011011 probable de
H Ssh XP f ?eins tim é f. -
'ti son lndubitablement,
n* une offensive
Cant d'aiÏÏtres- îî Cependant, il
SsiiH-Musslrne la révélation
h t^dfn Le bombardement métho-
h^l'f Paris se rait, pour les
I~ dl! qlll î~ 9tif d une jOie inexprimable.
W ~o Lutèce inexprimable.
^U 'Plein 5e ! la capitale spiri-
rnonde 1 la Mecque de la Latinité,
aide, pleine de grâce et de gaieté. Pa-
et de «aieté- Pa-
;,CUe>'iotThem!l!- Ce Paris lui
i^è S le® t°PDL.i0nJ. infériorité, car
^orrimo cette ville, ai-
,, Je t,,u
et
r,, n~s- Il veut donc
il n'a pu égaler. Les All*e-
■S te
\%l>s f* Si ie„rJ S troupes avan-
ent encore de trentkil- lomètres, elles
'lerjp Paris sous le feu de leur
XiH ce ^eis !f - suprêmes délices.
0,. serf) I~ -
Ur eux d'appren.
V ! C ^Corn ailsform en un monceau
on e 1 ik
:1 P~rftll)¡lije le e Ils aimeraient leurs
•iC ^en, rnenses sacrifices
N S' léger 8 ! Paris détruit !
&
l : ! Sié «léc^é de ?0rmé en un ci-
>o{,!.r^eriL é« ! Sr a fa*rJ4e de France !
': Do 4indé ! Le Midi frappé au
denburg, l'homme couvert de
.,;:r&de l'{! bru à. ers les siècles, au
r Iw4s ^in^eux Pfi sauvage, l'œuvre
•iNite^^nîLV1® I JVi.^es Allemands
pasariag Plus grave erreur que
crim "rnanité ne leur par-
et °nrr|e. L ann~ées 1 les gé-
cles
s^s £ Venir Passerai-ent saris
fiiw eur sacrilège.
o 6aiencore plus
|.v\ ^Ubuée ^Ue EUe lutterait avec
lî* £ à lnssrtinctiïv^e r le désespoir, car la
W s" IVe, deviendrait désor-
Et tou,,, les Latins-
~e ~~C(~ Plu' I)¡lse Ieraiem i à son aide. Et
h de l'humanité, ne
V^ili8 esn/ai1 r0r Ponv Pouvoir de longtemps
!,~~ l, 13vvp^elI e. - Correspondencla
Correspondencia
%t *tu Correspondencia,
:K ft^alissimc <]e
? &VkP^s iprinci'L? fUation qui s'est
.■'&\ )(inr £ ïïnt de batail-
ail 'llf1h t sn>u,' ba^eau-Thierry,
>^nTé %~i~ et, dep.uis huit jours,
1. Ides t)d Q 0" Le haut comman-
Atvv? à v le à en, foncer des
L. § V,XVI)r de ]a dé.
: sù(i '? Lys, sur la
ce SUd-ouest de Noyon ct
■r SOot autant de mines
qui peuvent subitement faire explosion. Le
général Foch est très inquiet de savoir
quand et où l'explosion aura lieu. Pour
l'instant, il semble qu'il ait concentré ses ré-
serves disponibles au sud de l'Aisne dans
la région de Villers-Colterets et au sud-
ouest de Compiègne. Les Anglais, eux, at-
tendent le principal choc allemand sur la
Scarpe et en Picardie et semblent avoir
pris des mesures en conséquence. Ce qui
montre leur incertitude au sujet de l'avenir
prochain, c'est le grand nombre de recon-
naissances qu'ils exécutent depuis huit
jours avec des effectifs variant entre une
compagnie et trois divisions. Chacune de
ces actions partielles, d'ailleurs infruc-
teueuses, est représentée dans les communi-
qués et surtout dans les journaux ennemis
comme une victoire et comme une preuve
du courage et de la bravoure incomipara-
bles des combattants. Ce qui est en contra-
diction avec l'inaltérable espoir de la vic-
toire qui se traduit encore dans les articles
des journaux, c'est le fuite de la popula-
tion parisienne. La raison n'est pas tant
le bombardement par avions ou par canons
à longue portée, que la crainte d'une atta-
que allemande de grand style ayant Paris
comme objectif. On constate la même incer-
titude chez les Anglais en ce qui concerne
les ports français du Nord. Il paraît même
qu'ils ont organisé une armée de couver-
ture anglo-américaine spéciale pour Calais.
Cette ignorance des intentions de l'ennemi,
la dispersion des moyens de défense, l'at-
tente de la décision, ce sont là de grades
inconvénients pour les armées aussi bien
que pour le commandement, lorsqu'ils ont
perdu l'initiative des opérations. A présent,
tous les avantages de celle-ci sont entre les
mains des Allemands. — (Général von Ar-
denne) Magdelburgische Zeitung, 30.6.
FRONT ITALIEN
Le commandement autrichien. — Le rem-
placement des généraux autrichiens vaincus
s'imposait surtout pour ues raisons mili-
taires. On a jusqu'ici épargné Boroevic,
peut-être en considération de sa nationalité,
et en mémoire des services qu'il a rendu
sur le Carso. Mas il fallait donner une satis-
faction à l'armée qui s'est battue avec un
courage malheureux. Il n'est pas improba-
ble que Koewes et Krauss se partageront
les secteurs de la zone montagneuse ; si le
front de la Piave doit passer en seconde
ligne, l'autorité de Boroevic s'en trouvera
implicitement diminuée. Otto von Below
reçoit une charge qui jusqu'ici n'existait pas
sur le front italien, où Conrad commandait
un secteur, Boroevic un autre, sans qu'on
eût réalisé une véritable unité dans le com-
mandement. Cette unité est désormais
créée. Von Below se trouve à la tête de
toute l'armée autrichienne et des forces al-
lemandes qui viendront, vraisemblable-
ment, la renforcer, pour tenter, contre l'Ita-
lie une seconde offensive, qui ne rentrait
pas dans les plans primitifs des états-ma-
jours de Vienne et de Berlin. L'échec subi
par l'Autriche est un coup pour l'Allema-
gne, qui doit, maintenant, réparer le dom-
mage. La nomination de von Below est la
première mesure que Ludendorff, envoyé
en toute hâte à Vienne, a cru devoir pren-
dre. D'autres suivront. L'intervention alle-
mande est une conséquence nécessaire de
la défaite autrichienne. Nous pouvons at-
tendre, de l'armée victorieuse sur les pla-
teaux de la Piave, de nouveaux succès
Mais l'important est de ne pas nous dis-
simuler les intentions de l'ennemi, de ne
pas sous-estimer ses forces. Il importe de
veiller et de nous prémunir. Une offensive
italienne au delà de la Piave n'est pas indi-
quée en ce moment. Notre état-major pré-
fère, avec raison, rectifier nos lignes dans
les secteurs montagneux. — Stampa, 5.7.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMUNICATIONS
Le tunnel de Gibraltar. — La réalisation
du tunnel sous la Manche, que les Anglais
regrettent si amèrement de ne pas avoir
construit, sera un des premiers grands
travaux internationaux dès que la paix au-
ra été conclue. Une construction ana-
logue doit être dès à présent étudiée, celle
d'un tunnel sous le détroit de Gibraltar
qui permettra d'aller, sans changer de
trains de Londres à Fez. N'opposons pas à
ce projet les entêtements qu'a opposés l'An-
gleterre à celui du tunnel sous la Manche
et qu'elle paie si chèrement aujourd'hui. A
la fin de la guerre, le Maroc sera un des
pays où les Européens iront le plus cher-
cher des richesses ; ce va et vient doit pro-
fiter à l'Espagne.— Mundo [de Madrid], 3.7
ALIMENTATION
Suède.- Deux cas « d'œdème de la faim Il
ont été constatés ces jours derniers à
Söderhamn. Le médecin municipal qui les
a soignés considère que la maladie provient
du manque de graisse dans la nourriture.
— Social-Demokraten [de Stockholm], 27.6.
Finlande. — Les communications officiel-
les sur la situation alimentaire en Finlande
sont des plus alarmantes. Au cours des
années 1914-17, il a été importé en Fin-
lande 135 millions de kg. de blé de moins
que dans les années normales. Pour cette
année, on ne possède que la moitié de la
quantité nécessaire à l'alimentation. Pour
parer à la famine la récolte d'avoine a été
réquisitionnée pour être utilisée à la fabri-
cation du pain. Pendant les troubles les
rations avaient déjà été réduites dans le
nord de la Finlande et maintenant elles
sont réduites dans le sud à 75 gr. par per-
sonne et à 125 gr. par jour pour les per-
sonnes occupées à des travaux fatigants.
t LA G UEl\RE
tr b GUERRE
btg
-
Paris, 8 juillet 1018.
%in Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
^imilTAIRES
■m''?; C °Cc,dental
[ sous ~e htrel. - QllelqlIe~ jour-
'&!Je sOùs titre]. QIlelqile.,; jc)tti--
lQ4ds ()tlt COI1'nnencé à publier des
6® 'a dpot î11011011 probable de
H Ssh XP f ?eins tim é f. -
'ti son lndubitablement,
n* une offensive
Cant d'aiÏÏtres- îî Cependant, il
SsiiH-Musslrne la révélation
h t^dfn Le bombardement métho-
h^l'f Paris se rait, pour les
I~ dl! qlll î~ 9tif d une jOie inexprimable.
W ~o Lutèce inexprimable.
^U 'Plein 5e ! la capitale spiri-
rnonde 1 la Mecque de la Latinité,
aide, pleine de grâce et de gaieté. Pa-
et de «aieté- Pa-
;,CUe>'iotThem!l!- Ce Paris lui
i^è S le® t°PDL.i0nJ. infériorité, car
^orrimo cette ville, ai-
,, Je t,,u
et
r,, n~s- Il veut donc
il n'a pu égaler. Les All*e-
■S te
\%l>s f* Si ie„rJ S troupes avan-
ent encore de trentkil- lomètres, elles
'lerjp Paris sous le feu de leur
XiH ce ^eis !f - suprêmes délices.
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Ur eux d'appren.
V ! C ^Corn ailsform en un monceau
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:1 P~rftll)¡lije le e Ils aimeraient leurs
•iC ^en, rnenses sacrifices
N S' léger 8 ! Paris détruit !
&
l : ! Sié «léc^é de ?0rmé en un ci-
>o{,!.r^eriL é« ! Sr a fa*rJ4e de France !
': Do 4indé ! Le Midi frappé au
denburg, l'homme couvert de
.,;:r&de l'{! bru à. ers les siècles, au
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•iNite^^nîLV1® I JVi.^es Allemands
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cles
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o 6aiencore plus
|.v\ ^Ubuée ^Ue EUe lutterait avec
lî* £ à lnssrtinctiïv^e r le désespoir, car la
W s" IVe, deviendrait désor-
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~e ~~C(~ Plu' I)¡lse Ieraiem i à son aide. Et
h de l'humanité, ne
V^ili8 esn/ai1 r0r Ponv Pouvoir de longtemps
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? &VkP^s iprinci'L? fUation qui s'est
.■'&\ )(inr £ ïïnt de batail-
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>^nTé
1. Ides t)d Q 0" Le haut comman-
Atvv? à v le à en, foncer des
L. § V,XVI)r de ]a dé.
: sù(i '? Lys, sur la
ce SUd-ouest de Noyon ct
■r SOot autant de mines
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l'instant, il semble qu'il ait concentré ses ré-
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ouest de Compiègne. Les Anglais, eux, at-
tendent le principal choc allemand sur la
Scarpe et en Picardie et semblent avoir
pris des mesures en conséquence. Ce qui
montre leur incertitude au sujet de l'avenir
prochain, c'est le grand nombre de recon-
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jours avec des effectifs variant entre une
compagnie et trois divisions. Chacune de
ces actions partielles, d'ailleurs infruc-
teueuses, est représentée dans les communi-
qués et surtout dans les journaux ennemis
comme une victoire et comme une preuve
du courage et de la bravoure incomipara-
bles des combattants. Ce qui est en contra-
diction avec l'inaltérable espoir de la vic-
toire qui se traduit encore dans les articles
des journaux, c'est le fuite de la popula-
tion parisienne. La raison n'est pas tant
le bombardement par avions ou par canons
à longue portée, que la crainte d'une atta-
que allemande de grand style ayant Paris
comme objectif. On constate la même incer-
titude chez les Anglais en ce qui concerne
les ports français du Nord. Il paraît même
qu'ils ont organisé une armée de couver-
ture anglo-américaine spéciale pour Calais.
Cette ignorance des intentions de l'ennemi,
la dispersion des moyens de défense, l'at-
tente de la décision, ce sont là de grades
inconvénients pour les armées aussi bien
que pour le commandement, lorsqu'ils ont
perdu l'initiative des opérations. A présent,
tous les avantages de celle-ci sont entre les
mains des Allemands. — (Général von Ar-
denne) Magdelburgische Zeitung, 30.6.
FRONT ITALIEN
Le commandement autrichien. — Le rem-
placement des généraux autrichiens vaincus
s'imposait surtout pour ues raisons mili-
taires. On a jusqu'ici épargné Boroevic,
peut-être en considération de sa nationalité,
et en mémoire des services qu'il a rendu
sur le Carso. Mas il fallait donner une satis-
faction à l'armée qui s'est battue avec un
courage malheureux. Il n'est pas improba-
ble que Koewes et Krauss se partageront
les secteurs de la zone montagneuse ; si le
front de la Piave doit passer en seconde
ligne, l'autorité de Boroevic s'en trouvera
implicitement diminuée. Otto von Below
reçoit une charge qui jusqu'ici n'existait pas
sur le front italien, où Conrad commandait
un secteur, Boroevic un autre, sans qu'on
eût réalisé une véritable unité dans le com-
mandement. Cette unité est désormais
créée. Von Below se trouve à la tête de
toute l'armée autrichienne et des forces al-
lemandes qui viendront, vraisemblable-
ment, la renforcer, pour tenter, contre l'Ita-
lie une seconde offensive, qui ne rentrait
pas dans les plans primitifs des états-ma-
jours de Vienne et de Berlin. L'échec subi
par l'Autriche est un coup pour l'Allema-
gne, qui doit, maintenant, réparer le dom-
mage. La nomination de von Below est la
première mesure que Ludendorff, envoyé
en toute hâte à Vienne, a cru devoir pren-
dre. D'autres suivront. L'intervention alle-
mande est une conséquence nécessaire de
la défaite autrichienne. Nous pouvons at-
tendre, de l'armée victorieuse sur les pla-
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Mais l'important est de ne pas nous dis-
simuler les intentions de l'ennemi, de ne
pas sous-estimer ses forces. Il importe de
veiller et de nous prémunir. Une offensive
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quée en ce moment. Notre état-major pré-
fère, avec raison, rectifier nos lignes dans
les secteurs montagneux. — Stampa, 5.7.
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMUNICATIONS
Le tunnel de Gibraltar. — La réalisation
du tunnel sous la Manche, que les Anglais
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d'un tunnel sous le détroit de Gibraltar
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trains de Londres à Fez. N'opposons pas à
ce projet les entêtements qu'a opposés l'An-
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la fin de la guerre, le Maroc sera un des
pays où les Européens iront le plus cher-
cher des richesses ; ce va et vient doit pro-
fiter à l'Espagne.— Mundo [de Madrid], 3.7
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Suède.- Deux cas « d'œdème de la faim Il
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Söderhamn. Le médecin municipal qui les
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— Social-Demokraten [de Stockholm], 27.6.
Finlande. — Les communications officiel-
les sur la situation alimentaire en Finlande
sont des plus alarmantes. Au cours des
années 1914-17, il a été importé en Fin-
lande 135 millions de kg. de blé de moins
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année, on ne possède que la moitié de la
quantité nécessaire à l'alimentation. Pour
parer à la famine la récolte d'avoine a été
réquisitionnée pour être utilisée à la fabri-
cation du pain. Pendant les troubles les
rations avaient déjà été réduites dans le
nord de la Finlande et maintenant elles
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