Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 juillet 1918 07 juillet 1918
Description : 1918/07/07 (T9,N858). 1918/07/07 (T9,N858).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252384d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
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Paris, 7 juillet 1918.
Il Quotidien de Presse Etrangère
FIDENTIEL
1 leaiw
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
çonfidentiel, ne peuvent être reproduits où utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
OCCIDENTAL
Sur le titre]. - L'accalmie
Epli front. accidental est consa-
nos ennemis à une série d'atta-
et de reconnaissances plus
°rtant Ui' 50nt to ! ;tes
Il écu antes, qui sont toutes
es forec. Foeh n'a pas encore pu
forces pour exécuter une con-
ses chances de réussir plus
lend X coups. d'ailleurs IEn-
elle reconnaît ainsi
t. K>J bien c aiSl le sens de notre
EK* rl "Coïitimf e en effet à frap-
î'arr^juf. coups qui ont
d'affaiblir le plus possible
it. dans les pays neu-
Ilte., e t accessibles à l'in-
devant les hommes compé-
faits et rendent
Gus voyons chaque
Ukta £ e se r pPn andre,
Inèt}t el repandre, l'opinion que
de notre offensive,
conquérir du territoire, mais
■ en* nous paraît ca-
eS8ir:o\ Qil'on reconnaît ouver-
■sf ■ÉT^isSÎ* L ? l'opinion fran-
s renforts amé-
d'ailleurs, étrange. que Bo-
Llidd George se soient bien
E!er Américaines débarquées en
Pas li;0urmr ainsi un ren-
ent Q, une raison ; car nous
Pes 9'l'el est l'effectif màxi-
Weg..a.l!1érkaines' en France-
28.6.
IVie enne. — La grande of-
en Italie qui doit être
"r:o is comme le quatrième
QffenSrns puissances
'«Së^6?1 échoué. La
\M 'elj^e , n'en a pas été
iés rfln a pas affaibli la
e frn^+ un prélèvement,
les - lroIlt occidental. La
Autrichiens ont es-
5sent est difficile de
urir à une autre
* ternr0fif assez rapproché.
off ensive UR LEUR front oc-
Pter que sur eux seuls
ses TI ls, ont perdu deux
alors qu ils s'atten-
leur, i]t, es leur rendissent.
gère Ils avaient besoin de
ï>* 1 préparation mmu-
asaut formidable
ment en vue. Ils espé-
adversaires ne pourraient
aussi bIen qu eux pour
faire leurs contre-préparatifs parce qu'ils
auraient dû affaiblir leur position en en-
voyant des troupes à l'aide de l'Italie. Cet
espoir a donc tourné à leur home. — ~j-
l'on envisage la situation pour les Autri-
chiens à un point de vue purement militaire
leur position n'est pas aussi défavorable
que le laisse entendre volontiers la presse
alliée. Leur offensive n'a pas réussi, mais il
y a loin de là à une « débâcle ». Ils se
trouvent, là où ils étaient avant leur offen-
sive. Ils tiennent encore une petite partie
du terrain conquis. Ils sont vraisemblable-
ment plus nombreux que leurs adversaires.
Qu'ils tentent encore une offensive de gran-
de envergure, cela est.peu probable. Néan-
moins, l'Autriche continuera à maintenir
toute l'armée italienne sur le front italien,
de telle sorte que les grands combats déci-
sifs devront être encore livrés sur le front
occidental, et soutenus par les mêmes trou-
pes qui en ont jusqu'ici supporté tout le
poids. C'est donc de ce côté qu il nous faut
tourner les yeux et porter toute notre at-
tention. — (Capitaine B.-W. Norregaard)
Morgenbfadet [de Christiania], 26.6.
.; t.
Une nouvelle offensive austro-allemande.
- Les généraux austro-hongrois avaient
promis à Hindenburg et à Ludendorff de
mettre l'Italie hors de combat, au moins
pour un certain temps, de manière à pou-
voir, avant l'automne, envoyer une partie
de leurs forces sur le front occidental. La
presse allemande affirme vainement que-
l'offensive autrichienne â; empêché le
transport de nouveaux contingents ita-
liens en France. Piteux sophisme qui n'a
pu tromper même les lêcteurs les plus
crédules. L'état-major allemand ne s'est
pas soucié de chercher des palliatifs ; il a
taxé d'incapacité les généraux autrichiens,
et l'empereur Charles a dû souscrire à
leur condamnation. L'armée austro-hon-
groise n'est plus qu'un instrument aveugle
aux mains de Hindenburg et de Luden-
dorff. L'ennemi a perdu, avec la bataille.
le dernier reste de &on indépendance ; il
est tombé au même niveau que la Turquie.
Mais la tâche qui s'impose aujourd'hui' à
l'Entente est double. Si elle doit seconder,
d'une part. les Tchéco-Slovaques et les
Yougo-Slaves dans leur œuvre d'affran-
chissement, il lui faut encore se préoccu-
per des conséquences militaires que peut
entraîner l'humiliation de l'Autriche. L'Al-
lemagne, en remplaçant Boroevic et Con-
rad par Otto von Below, montre quelle re-
connaît toute l'importance du front italien.
Otto von Below passe, en Allemagne, pour
le vainqueur de Caporetto : ce choix peut
être l'indice de nouvelles intentions agres-
sives. Pour concentrer en. France toute la
puissance militaire des empires centraux,
l'Allemagne ( doit, d'abord. en finir avec
nous. Sans doute, une nouvelle offensive,
avec l'appoint des renforts allemands, né
peut se préparer en quelques semaines.
Mais l'Entente commettrait une dangereu-,
se erreur si elle ne songeait pas, dès main-
tenant, à la riposte. Dans certains milieux
alliés, on a toujouris eu une tendance à
mettre en doute la gravité de la menace
autrichienne contre notre front. L'éventua
lilé d'une nouvelle offensive austro-alle- .■
mande, contre l'Italie doit être considérée
par le conseil de Versailles comme inéluc-
table. Il ne faut pas perdre un jour pour
préparer une nouvelle victoire sur les pen
tes de nos montagnes et sur la Piave. No-
tre armée s'entraîne, par des succès quo-
tidiens, à soutenir n'importe quel choc -
le conseil supérieur de l'Entente doit ce-
pendant, pourvoir à une juste distribution
des forces américaines, afin que, dans tous
les secteurs du front qui s'étend de là
Mer du Nord à l'Adriatique,la barrière soit
également solide' et inébranlable. Cor
riere Matera, 4.7.
EFFECTIFS
Les Scandinaves dans l'armée américai-
ne. De. Chicago, 26.6. - Plus de 100.000
Scandinaves des Etats du Centre et de
l'Ouest sont enrôlés dans l'armée améri
caine et s'exercent en ce moment. Tous
font preuve du plus grand patriotisme : la'
ville de Lindstrôm dans le Minnesota, dont
la populations est presque exclusivement
suédoise, a battu le record des engage-
ments volontaires (11 %). Le district de
Wirfneshiek en Iowa n'est habité que par
30 de Norvégiens, et cependant les vo^
dontaires de ce district oomprenaient'v 75
de Norvégiens. A l'Université de Minne
sota le pourcentage des Scandinaves en-
rôlés est :Ulll peu plus élevé que celui de
tout le corps des étudiants. Les Suédois
sont restés fidèles à leurs vieillee tradi-
tions guerrières. Ils qiit fourni un çontin-
gent particulièrement fort d'officiers. Le
record des universités scandinaves est dé-
tenu par l'Université d'Augutana, dont Je
drapeau porté 201 étoiles, représentant 2/5
des élèves mâles. — Svenska Dagbladet
[de Stockholm], 29.6.
f
MORAL DES TROUPES
Grèce.- L'AFFAIRE DE DÉSERTION DE SERVIA
- Les journaux d'Athènes du 11/24.6/ pu-
blient le communiqué suivant : « Le 7/20.6,
un certain nombr-e d'hommes du 12e d'in-
fanterie. de la 3e division, avec deux ser-
gents et six caporaux, ont déserté à Servia
(Selfîdjé), où cantonnait leur régiment en
route pour Tsitsiler (entre Servia 'et ■
Kozani). Une partie du 2e régiment d'evzo-
nes de la même division a été envoyé à -
leur poursuite, en a capturé beaucoup et
a dispersé les autres. Un conseil de guerre,
extraordinaire, siégeànt à Servia, s'occupe
du châtiment des coupables. Tous les offi
ciers et hommes de troupe de la division
ont exprimé leur indignation pour cet acte
de trahison. Les evzones du détachement
de porsuite se sont comportés d'une façon
remarquable, ils ont fait 130 kilomètres; en
- 1.
1
,i,:F
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Paris, 7 juillet 1918.
Il Quotidien de Presse Etrangère
FIDENTIEL
1 leaiw
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
çonfidentiel, ne peuvent être reproduits où utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
OCCIDENTAL
Sur le titre]. - L'accalmie
Epli front. accidental est consa-
nos ennemis à une série d'atta-
et de reconnaissances plus
°rtant Ui' 50nt to ! ;tes
Il écu antes, qui sont toutes
es forec. Foeh n'a pas encore pu
forces pour exécuter une con-
ses chances de réussir plus
lend X coups. d'ailleurs IEn-
elle reconnaît ainsi
t. K>J bien c aiSl le sens de notre
EK* rl "Coïitimf e en effet à frap-
î'arr^juf. coups qui ont
d'affaiblir le plus possible
it. dans les pays neu-
Ilte., e t accessibles à l'in-
devant les hommes compé-
faits et rendent
Gus voyons chaque
Ukta £ e se r pPn andre,
Inèt}t el repandre, l'opinion que
de notre offensive,
conquérir du territoire, mais
■ en* nous paraît ca-
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s renforts amé-
d'ailleurs, étrange. que Bo-
Llidd George se soient bien
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ent Q, une raison ; car nous
Pes 9'l'el est l'effectif màxi-
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28.6.
IVie enne. — La grande of-
en Italie qui doit être
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\M 'elj^e , n'en a pas été
iés rfln a pas affaibli la
e frn^+ un prélèvement,
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Autrichiens ont es-
5sent est difficile de
urir à une autre
* ternr0fif assez rapproché.
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Pter que sur eux seuls
ses TI ls, ont perdu deux
alors qu ils s'atten-
leur, i]t, es leur rendissent.
gère Ils avaient besoin de
ï>* 1 préparation mmu-
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adversaires ne pourraient
aussi bIen qu eux pour
faire leurs contre-préparatifs parce qu'ils
auraient dû affaiblir leur position en en-
voyant des troupes à l'aide de l'Italie. Cet
espoir a donc tourné à leur home. — ~j-
l'on envisage la situation pour les Autri-
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leur position n'est pas aussi défavorable
que le laisse entendre volontiers la presse
alliée. Leur offensive n'a pas réussi, mais il
y a loin de là à une « débâcle ». Ils se
trouvent, là où ils étaient avant leur offen-
sive. Ils tiennent encore une petite partie
du terrain conquis. Ils sont vraisemblable-
ment plus nombreux que leurs adversaires.
Qu'ils tentent encore une offensive de gran-
de envergure, cela est.peu probable. Néan-
moins, l'Autriche continuera à maintenir
toute l'armée italienne sur le front italien,
de telle sorte que les grands combats déci-
sifs devront être encore livrés sur le front
occidental, et soutenus par les mêmes trou-
pes qui en ont jusqu'ici supporté tout le
poids. C'est donc de ce côté qu il nous faut
tourner les yeux et porter toute notre at-
tention. — (Capitaine B.-W. Norregaard)
Morgenbfadet [de Christiania], 26.6.
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Une nouvelle offensive austro-allemande.
- Les généraux austro-hongrois avaient
promis à Hindenburg et à Ludendorff de
mettre l'Italie hors de combat, au moins
pour un certain temps, de manière à pou-
voir, avant l'automne, envoyer une partie
de leurs forces sur le front occidental. La
presse allemande affirme vainement que-
l'offensive autrichienne â; empêché le
transport de nouveaux contingents ita-
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pu tromper même les lêcteurs les plus
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pas soucié de chercher des palliatifs ; il a
taxé d'incapacité les généraux autrichiens,
et l'empereur Charles a dû souscrire à
leur condamnation. L'armée austro-hon-
groise n'est plus qu'un instrument aveugle
aux mains de Hindenburg et de Luden-
dorff. L'ennemi a perdu, avec la bataille.
le dernier reste de &on indépendance ; il
est tombé au même niveau que la Turquie.
Mais la tâche qui s'impose aujourd'hui' à
l'Entente est double. Si elle doit seconder,
d'une part. les Tchéco-Slovaques et les
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chissement, il lui faut encore se préoccu-
per des conséquences militaires que peut
entraîner l'humiliation de l'Autriche. L'Al-
lemagne, en remplaçant Boroevic et Con-
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connaît toute l'importance du front italien.
Otto von Below passe, en Allemagne, pour
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sives. Pour concentrer en. France toute la
puissance militaire des empires centraux,
l'Allemagne ( doit, d'abord. en finir avec
nous. Sans doute, une nouvelle offensive,
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peut se préparer en quelques semaines.
Mais l'Entente commettrait une dangereu-,
se erreur si elle ne songeait pas, dès main-
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lilé d'une nouvelle offensive austro-alle- .■
mande, contre l'Italie doit être considérée
par le conseil de Versailles comme inéluc-
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préparer une nouvelle victoire sur les pen
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les secteurs du front qui s'étend de là
Mer du Nord à l'Adriatique,la barrière soit
également solide' et inébranlable. Cor
riere Matera, 4.7.
EFFECTIFS
Les Scandinaves dans l'armée américai-
ne. De. Chicago, 26.6. - Plus de 100.000
Scandinaves des Etats du Centre et de
l'Ouest sont enrôlés dans l'armée améri
caine et s'exercent en ce moment. Tous
font preuve du plus grand patriotisme : la'
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la populations est presque exclusivement
suédoise, a battu le record des engage-
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Wirfneshiek en Iowa n'est habité que par
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dontaires de ce district oomprenaient'v 75
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sota le pourcentage des Scandinaves en-
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tout le corps des étudiants. Les Suédois
sont restés fidèles à leurs vieillee tradi-
tions guerrières. Ils qiit fourni un çontin-
gent particulièrement fort d'officiers. Le
record des universités scandinaves est dé-
tenu par l'Université d'Augutana, dont Je
drapeau porté 201 étoiles, représentant 2/5
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f
MORAL DES TROUPES
Grèce.- L'AFFAIRE DE DÉSERTION DE SERVIA
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blient le communiqué suivant : « Le 7/20.6,
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