Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 juillet 1918 03 juillet 1918
Description : 1918/07/03 (T9,N854). 1918/07/03 (T9,N854).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252380r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
DE LA GUERRE
,~lnES Es
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 854
Paris 3 juillet 1918.
^letin Quotidien , de Presse Etrangère
Sonfidentiel
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
1 de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MlLITAIRES
OPERATIONS
Hutier Contre Compiègne ))
lï Pur[|"l trJ- Utiercoritre Compiègne »
1'^ poussée exécutée par
dans le sec-
,si on 1 examine dans
des grandes opérations de cette
présent comme une attaque de
S\J?eih «directe de notre offensive sur
Marne Ce qui '■.iH lUe à cette opération
- particulièrement
nL la I|(n-|(.(.taitliculL, s du terrain
ue n des dispositions
par l'adversaire pour repousser
l'impétuosité de la coutre-atta-
que, que le haut l..:onUDanclerncnt français
dans secteur de Coitipiècfrie, c se
ndant parfaitement con¡ ')te du danger
menaçait ses , -
positions. Pour des - rai-
autant que politiques Foch
11er Ou tuut en œuvre pour
détourner o » C UlHi' i;i1(^ r la forte poussée sur
ri;iebraire qui s'est pro-
de ltoos rixVùp "8 un élan victo-
rieux, ont pris même sur ce front, la ligne
nos anciennes positions au sud-ouest
Noyon, où pendant l. ongtemps était pla-
p: k -plus avancée dans
~i • ^n. !eil'Ue f- s ont enlevé une
(lM'J,riS(-- 'o '^dément. organisée
défense. La faille est double-
dans par lït diiticulte des
îiS IdU:;qlJelles elle a été livrée
titude de i Veisaire qui a mon-
to aoiS[, i 'llm mlmn as - Des
, 8,t¡.,'Ù,.» JI Us son C'll-¡U'II"t'JS - Des
acharnés s'engagèrent dans ] èI-
Pour la possession de
de Ressons, qui était organisée
reseaux de fils de fer. Ce n' est
qu'eiî 'e .Pii.se et que
atteignîme la grande route de Com-
division qui a été engagén dans
Iq Neii in 0/1 COlllbnLtaIlL sur
de 10 km et a atteint
3e , Gourn^ Jn' le bord du Plft"
de Gournay. Nous avions vue
vallé de l'Aronde. Au cours de la
Ii fut encore avancée vers le
3 à 4 km de î/ l'(:°n à permettre à
1- et à nos feux f''infanterie
liée, lendemain, 11.
ses violentes contre-atta-
ses ï)re°ieux corps de i-é-
atî)a'' esn lIn chapitre à part.
d nI!) t ¡Yer~ : les charn d assaut,
i ?d^ mes avinJ- devaient dégager
pour l'infanterie : celle-ci s'avan-
t}¡Ord sCQdr('ls de tanks sans
mordant et fut arrêtée dès que
en position eurent détruit 65
sur 300 qui avaient été mis
quand les colonnes d'as-
saut françaises furent soumises au tir de
nos mitrailleuses, elles cherchèrent aussi-
tôt un couvert et s'enterrèrent. Dès lors il
était difficile dei les enlever pour un nou-
vel assaut. Lew unités se composaient d'élé-
ments divers : des soldats des plus jeunes
classes, n'ayant pas l'expérience du feu,
un certain nombre engagés pour la pre-
mière fois, des nègres et des territoriaux.
que Foch avait fait venir de Reims..,
Sans doute Foch avait espéré faire un meil-
leur usage de ses divisions, pour dégager
le camp retranché de Paris,que de les lan-
cer ainsi à un assaut sanglant contre la
poussée allemande. Bref : nous sommes à
7 km. de Conrpiègne. nous avons mis la
main sur cet important peint militaire et
nous menaçons le flanc et les derrières des
positions défensives que l'ennemi occupe
face à l'Est, entre l'Oise et la Marne. A ce
titre. le succès tactique nous a valu un
gain stratégique. - Franhlvrlev Zcilvnn,
25.6.
La défensive par contre-offensive. — 1 J
défensive imposée par la situation peut
être habilement exploitée. Les forces de
celui qui reste sur la défensive parce qu'il
ne se sent pas en mesure de prendre l'atti-
tude opposée, peuvent être suffisantes pour
endiguer l'avance ennemie, épuiser son
élan, par une défense élastique qui évite
des pertes graves en cédant quelque peu de
terrain — c'est qui est arrivé sur le front
français — ou suffisantes pour l'arrêter sur
place, ou enfin suffisantes non seulement
pour briser l'attaque mais encore pour pas-
ser ensuite à la contre-attaque. Défensive
élastique, défensive fixe, défensive contre-
offensive, enfin offensive, voilà les stades
par lesquels passent les armées de l'Enten-
te : l'armée italienne en est déjà au troisiè-
me. L'usure que l'ennemi doit subir, bon
gré mal gré. par la force des choses, Accé-
lèrera cette progression. Si la défense élas-
tique et la défense fixe ne peuvent, en gé-
néral, conduire à une solution, la contre-
offensive peut être féconde en grands ré-
sultats : quand le succès cherché par l'en-
nemi qui attaque, promis par lui à ses
troupes pour leur donner l'élan dans l'at-
taque, se change en défaite. les répercus-
sions morales souvent être très graves,
d'autant plus que leur inexorable destin
pousse nos adversaires à jouer tout, sur une
dernière carte. Si. à ce moment, la contre-
offensive peut se développer impétueuse, ir-
résistible, la défaite peut être complète, dé-
cisive, définitive. - Gnzzeftd del Popolo,
no. 6.
Avion et sous-marin. - A mesure que
nos sous-marins ont serré l'Angleterre
dans une corset de fer plus étroit, on a
vu augmenter là-bas le nombre de ceux
qui réclamaient d'urgence les moyens de
combattre ce « fléau maritime » allemand.
Des hommes compétents considéraient.
l' « appareil aérien » comme le moyen le
plus approprié pour faire cesser l'activt-
té infatigable et meurtrière de nos sous-
marins. A l'appui de ces projets on signa-
lait les résultats remarquables qu'on avait
obtenus dès avant la guerre avec les hy-
dravions participant à des manœuvres d'es-
cadres. Or l'avion a été, au cours de la
guerre, tellement, perfectionné qu'on était
en droit d'en attendre des résultats bien
supérieurs à ceux de l'époque embryonnai-
re d'avant la guerre. — L'autorité navale
anglaise partageait, à ce qu'il semble, cette
manière de voir. Sur la côte est et sud ri"
l'Angleterre on établit une véritable ceinture
de points d'appui pour hydravions, tous re-
liés entre eux par le téléphone. Au début,
chacun de ces ports d'attache était pourvu
de trois hydravions. Cette organisation fut
créée en 1915 ; depuis, on a augmenté le
nombre des points d'appui, multiplié ce-
lui des hydravions qui y stationnent. Mais
(in na point, atteint le but poursuivi, qui
était d empêcher nos sous-marins d'appro-
cher des eaux anglaises. Notre ministère de
la marine continue à faire connaître avec
une régularité vraiment étonnante les nom-
breux bateaux que nous coulons à nos en-
nemis et aux neutres qui font du commer-
ce pour eux. toutes nos opérations ayant
lieu dans les eaux anglaises. Donc il est
prématuré de voir dans l'hydravion, une na-
nacée contre le sous-marin. Sans doute les
avions jouent un rôle important dans la
surveillance de la côte. A 500 mètres d'alti-
tude, l'observation porte sur environ 85 ki-
lomètres. Donc un avion en ascension aper-
çoit longtemps avant le bateau de surveil-
lance les navires ordinaires qui approchent.
De plus, avant une vitesse trois ou quatre
fois ptus grande, il gent. dans le mê-
me laps de temps, effectuer une reconnais-
sance plus. lointaine. Mais ces avantages
n'ont aucune valeur en face d'un sous-ma-
rin qui s'avance caché et qui peut dispa-
raître sous la surface dès qu'un avion HP-
proche. Il est vrai que du haut d'un avion
on plonge à une profondeur assez considé-
rable et qu'on peut y distinguer les ob-
jets, mais il faut un ensemble de conditions
qui sont rarement remplies toutes à la
fois. Ainsi la surface de l'eau doit être
à peine agitée, de plus l'éclairage joue un
rôle important. D'autre part, le comman-
dant du sous-marin n'attend pas que l'avion
soit arrivé tout près, il disparaît à temps
et change de direction ; c'est pourquoi il
est extrêmement difficile pour ne pas dire
impossible à un observateur de découvrir
le sous-marin en plongée. En admettant que
l'eau soit assez profonde, rien n'empêche
le sous-marin de plonger ii- 30 ou roême 50
mètres : or, à cette profondeur il est im-
possible, même par une mer très calme
d'apercevoir quoi que ce soit. De là vient
aussi que l'avion anglais ne peut pas com-
battre nos sous-marins. Au surplus ceux-
ci ont d'autres moyens de défense fJuela
plongée. Les canons qui sont à bord d'un
sous-marin sont disposés de manière à ti-
rer même contre un ennemi aérien. On peut
avoir recours à des pistolets, à des mitrail-
,~lnES Es
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 854
Paris 3 juillet 1918.
^letin Quotidien , de Presse Etrangère
Sonfidentiel
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
1 de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MlLITAIRES
OPERATIONS
Hutier Contre Compiègne ))
lï Pur[|"l trJ- Utiercoritre Compiègne »
1'^ poussée exécutée par
dans le sec-
,si on 1 examine dans
des grandes opérations de cette
présent comme une attaque de
S\J?eih «
Marne Ce qui '■.iH lUe à cette opération
- particulièrement
nL la I|(n-|(.(.taitliculL, s du terrain
ue n des dispositions
par l'adversaire pour repousser
l'impétuosité de la coutre-atta-
que, que le haut l..:onUDanclerncnt français
dans secteur de Coitipiècfrie, c se
ndant parfaitement con¡ ')te du danger
menaçait ses , -
positions. Pour des - rai-
autant que politiques Foch
11er Ou tuut en œuvre pour
détourner o » C UlHi' i;i1(^ r la forte poussée sur
ri;iebraire qui s'est pro-
de ltoos rixVùp "8 un élan victo-
rieux, ont pris même sur ce front, la ligne
nos anciennes positions au sud-ouest
Noyon, où pendant l. ongtemps était pla-
p: k -plus avancée dans
~i • ^n. !eil'Ue f- s ont enlevé une
(lM'J,riS(-- 'o '^dément. organisée
défense. La faille est double-
dans par lït diiticulte des
îiS IdU:;qlJelles elle a été livrée
titude de i Veisaire qui a mon-
to aoiS[, i 'llm mlmn as - Des
, 8,t¡.,'Ù,
acharnés s'engagèrent dans ] èI-
Pour la possession de
de Ressons, qui était organisée
reseaux de fils de fer. Ce n' est
qu'eiî 'e .Pii.se et que
atteignîme la grande route de Com-
division qui a été engagén dans
Iq Neii in 0/1 COlllbnLtaIlL sur
de 10 km et a atteint
3e , Gourn^ Jn' le bord du Plft"
de Gournay. Nous avions vue
vallé de l'Aronde. Au cours de la
Ii fut encore avancée vers le
3 à 4 km de î/ l'(:°n à permettre à
1- et à nos feux f''infanterie
liée, lendemain, 11.
ses violentes contre-atta-
ses ï)re°ieux corps de i-é-
atî)a'' esn lIn chapitre à part.
d nI!) t ¡Yer~ : les charn d assaut,
i ?d^ mes avinJ- devaient dégager
pour l'infanterie : celle-ci s'avan-
t}¡Ord sCQdr('ls de tanks sans
mordant et fut arrêtée dès que
en position eurent détruit 65
sur 300 qui avaient été mis
quand les colonnes d'as-
saut françaises furent soumises au tir de
nos mitrailleuses, elles cherchèrent aussi-
tôt un couvert et s'enterrèrent. Dès lors il
était difficile dei les enlever pour un nou-
vel assaut. Lew unités se composaient d'élé-
ments divers : des soldats des plus jeunes
classes, n'ayant pas l'expérience du feu,
un certain nombre engagés pour la pre-
mière fois, des nègres et des territoriaux.
que Foch avait fait venir de Reims..,
Sans doute Foch avait espéré faire un meil-
leur usage de ses divisions, pour dégager
le camp retranché de Paris,que de les lan-
cer ainsi à un assaut sanglant contre la
poussée allemande. Bref : nous sommes à
7 km. de Conrpiègne. nous avons mis la
main sur cet important peint militaire et
nous menaçons le flanc et les derrières des
positions défensives que l'ennemi occupe
face à l'Est, entre l'Oise et la Marne. A ce
titre. le succès tactique nous a valu un
gain stratégique. - Franhlvrlev Zcilvnn,
25.6.
La défensive par contre-offensive. — 1 J
défensive imposée par la situation peut
être habilement exploitée. Les forces de
celui qui reste sur la défensive parce qu'il
ne se sent pas en mesure de prendre l'atti-
tude opposée, peuvent être suffisantes pour
endiguer l'avance ennemie, épuiser son
élan, par une défense élastique qui évite
des pertes graves en cédant quelque peu de
terrain — c'est qui est arrivé sur le front
français — ou suffisantes pour l'arrêter sur
place, ou enfin suffisantes non seulement
pour briser l'attaque mais encore pour pas-
ser ensuite à la contre-attaque. Défensive
élastique, défensive fixe, défensive contre-
offensive, enfin offensive, voilà les stades
par lesquels passent les armées de l'Enten-
te : l'armée italienne en est déjà au troisiè-
me. L'usure que l'ennemi doit subir, bon
gré mal gré. par la force des choses, Accé-
lèrera cette progression. Si la défense élas-
tique et la défense fixe ne peuvent, en gé-
néral, conduire à une solution, la contre-
offensive peut être féconde en grands ré-
sultats : quand le succès cherché par l'en-
nemi qui attaque, promis par lui à ses
troupes pour leur donner l'élan dans l'at-
taque, se change en défaite. les répercus-
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d'autant plus que leur inexorable destin
pousse nos adversaires à jouer tout, sur une
dernière carte. Si. à ce moment, la contre-
offensive peut se développer impétueuse, ir-
résistible, la défaite peut être complète, dé-
cisive, définitive. - Gnzzeftd del Popolo,
no. 6.
Avion et sous-marin. - A mesure que
nos sous-marins ont serré l'Angleterre
dans une corset de fer plus étroit, on a
vu augmenter là-bas le nombre de ceux
qui réclamaient d'urgence les moyens de
combattre ce « fléau maritime » allemand.
Des hommes compétents considéraient.
l' « appareil aérien » comme le moyen le
plus approprié pour faire cesser l'activt-
té infatigable et meurtrière de nos sous-
marins. A l'appui de ces projets on signa-
lait les résultats remarquables qu'on avait
obtenus dès avant la guerre avec les hy-
dravions participant à des manœuvres d'es-
cadres. Or l'avion a été, au cours de la
guerre, tellement, perfectionné qu'on était
en droit d'en attendre des résultats bien
supérieurs à ceux de l'époque embryonnai-
re d'avant la guerre. — L'autorité navale
anglaise partageait, à ce qu'il semble, cette
manière de voir. Sur la côte est et sud ri"
l'Angleterre on établit une véritable ceinture
de points d'appui pour hydravions, tous re-
liés entre eux par le téléphone. Au début,
chacun de ces ports d'attache était pourvu
de trois hydravions. Cette organisation fut
créée en 1915 ; depuis, on a augmenté le
nombre des points d'appui, multiplié ce-
lui des hydravions qui y stationnent. Mais
(in na point, atteint le but poursuivi, qui
était d empêcher nos sous-marins d'appro-
cher des eaux anglaises. Notre ministère de
la marine continue à faire connaître avec
une régularité vraiment étonnante les nom-
breux bateaux que nous coulons à nos en-
nemis et aux neutres qui font du commer-
ce pour eux. toutes nos opérations ayant
lieu dans les eaux anglaises. Donc il est
prématuré de voir dans l'hydravion, une na-
nacée contre le sous-marin. Sans doute les
avions jouent un rôle important dans la
surveillance de la côte. A 500 mètres d'alti-
tude, l'observation porte sur environ 85 ki-
lomètres. Donc un avion en ascension aper-
çoit longtemps avant le bateau de surveil-
lance les navires ordinaires qui approchent.
De plus, avant une vitesse trois ou quatre
fois ptus grande, il gent. dans le mê-
me laps de temps, effectuer une reconnais-
sance plus. lointaine. Mais ces avantages
n'ont aucune valeur en face d'un sous-ma-
rin qui s'avance caché et qui peut dispa-
raître sous la surface dès qu'un avion HP-
proche. Il est vrai que du haut d'un avion
on plonge à une profondeur assez considé-
rable et qu'on peut y distinguer les ob-
jets, mais il faut un ensemble de conditions
qui sont rarement remplies toutes à la
fois. Ainsi la surface de l'eau doit être
à peine agitée, de plus l'éclairage joue un
rôle important. D'autre part, le comman-
dant du sous-marin n'attend pas que l'avion
soit arrivé tout près, il disparaît à temps
et change de direction ; c'est pourquoi il
est extrêmement difficile pour ne pas dire
impossible à un observateur de découvrir
le sous-marin en plongée. En admettant que
l'eau soit assez profonde, rien n'empêche
le sous-marin de plonger ii- 30 ou roême 50
mètres : or, à cette profondeur il est im-
possible, même par une mer très calme
d'apercevoir quoi que ce soit. De là vient
aussi que l'avion anglais ne peut pas com-
battre nos sous-marins. Au surplus ceux-
ci ont d'autres moyens de défense fJuela
plongée. Les canons qui sont à bord d'un
sous-marin sont disposés de manière à ti-
rer même contre un ennemi aérien. On peut
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