Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 juillet 1918 01 juillet 1918
Description : 1918/07/01 (T9,N852). 1918/07/01 (T9,N852).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252378p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
ï "ï LA GUERRE
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AIRE\!
-Cogères
No 85 t;)
N° 852
Paris, 1er juillet 1918.
Metin Quotidien de Presse Etrangère
C 0 NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
NF 1 DEN T 1 EL confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
**^*— * qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
l) ONS MILI T AI liES
ALLEMANDE
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Cor, i lne. - Trois tijois d'expé-
'J,llér la n 'u npugne actuelle nous obli-
r° ou,es Alliés doivent aban-
îu'°i'ie n,
'|^,j 1 s ont appliquée pen-
Il l()utG axinée 11 est inconcevable qu'ils
à inconcevable qu 1 S
i , V*IiL ci nsentir Jt c°urir de nouveau les
1 es ud l
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:' ..,,"" lesqU 11 de plusieurs avances al-
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À Foch doit défen-
''<1 iir!s PnïrtleiU Pour des considé-
,¡J(¡s lu k pour des considé-
s air, l1(ïUes- Mais il n en
181 , nS les points du front.
'ji$eivI, e lrès °SSlble que les Britan-
ilb;inrt e reH r'
fer au sud de la Som-
| J ,l 1%p 6 ^am les ports de la Manche,
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'iiut!i QuiV°nl oom ?encer, je ne vois pas
: • s d,autr moyen de récupérer
r/ ';{;rvts SUtfisantp moyen de récupérer
''m ^nP
r°rifi r.Une Pou an,tes Pour s'opposer avec
r dirait i allemande. Une telle
- s -rl'io , front de 1G0 kilom.
lsP°niblp Nonpres(ïue toute l'armée
rJ'^drp V- ï® Verrons encore les
!|* a nl-il« du terr verrons encore les
:1 Jo|fc lnf' et peut-être aban-
vastes comme en
?ires comme en
cette tactique se justifie
N 'f, COrr>ttie
qu la guerre de mouvement a
CO "ne alors, avec toutes les
lil fia Chic e Comporte. - (Frank
hica Il Daily News, 8.6.
?ans notre l'oie de
tAlitrïhii®ns en Italie nous
Q ts trieAit hiens n Italie nous
ncid«iUai exagérer son effet
sur le front occidental. Les difficultés lo-
"sN ient nt sur
t Les difficultés lo-
i tle front italien, et
J!r'i'llllte es loin d S allIâs de Poursuivre
dans les lignes ennemies
la -
!i, •- j| lu Our la p lave protègent les
': 11,1 c, t¡' a * • moment, contre le
astrp lrrémédiable, et, par
•/' f'VPa Pas
°*lsidéd rnkfaison de supposer
éra le de troupes alle-
1 I, ï £ >uîV>utrt à leur secours. C'est.
r>ti i- il 8 du evon<* ue et de l'Allema-
■A\ S iCe cihft SllCcèo ^^cher les princi-
:'~I!I:I;r,ll b ? le CCès Italien. Il faut s'at-
,:,llr: ; lut les eurs de l'Autriche
'iii M|. ans Sand» ,
attentifs que
fliv^r. 1« fr ?n de leur nou-
il,'Kl^°ns h occidental.C'est
1 -'r 1\ r!r¡[)~ Jns du prince Rupprecht
la nrf
,II'II/:trf'; r'f)t)Pl'in'l ne balaille- Pnr
~du Kronpriz allemand ne Peuvent
!f'i ,|(! t ^ra^i * tp
; ,~~ at temps. La prépara-
!os beaila(lue-demande beau-
;'rir I,\SifA>rn»Sp de temps et le
Il "Vn *5 Jh' ^lus'iîl ont disposé n'a
es important encore est
n'Ines Nous pouvons
b~t~4ille
lle ment en vue de
est activement poussé
à l'arrière des lignes allemandes et, si
l'attaque est encore différée, on pourra être
à peu près certain que c'est parce que les
troupes allemandes n'ont pas encore at-
teint le degré de perfection que leurs chefs
jugent nécessaire avant l'effort prochain,
qui est pour eux de première importance.
Bien que cela soit probable, il n'est pas
certain que cette poussée se fera sur le
front du prince Rupprecht contre l'armée
britannique. Il est manifeste que les Alle-
mands essaieront encore de surprendre
l'adversaire et, pour s'en assurer le bé-
néfice, il peut se faire qu'ils envoient les
divisions du prince Rupprecht sur un autre
point lorsqu'elles auront terminé leur en-
trainemént. Dans chacun de ses derniers
rapports, sir D. Haig a insisté sur cette
question de l'entraînement, et on ne peut
la résoudre que si les hommes sont en-
voyés à temps aux armées. Ainsi il faut
donc, dans nos préparatifs à l'intérieur,
regarder loin en avant — au moins six
mois en avant. Il était facile pour quicon-
que de comprendre le besoin d'un plus
grand nombre d'hommes après les événe-
ments du 21 mars. C'était tout autre
chose d'estimer ce besoin en septembre
1917. Pourtant, si nous avions agi à ce
moment là comme nous l'avons fait depuis,
la campagne de 1918 aurait pu être très dif-
férente. — (Général Maurice) Daily Chro-
nicle, 27.6.
L'OFFENSIVE AUTRICHIENNE
Presse anglaise. — La victoire des Ita-
liens est réelle et remarquable, et bien que
les Autrichiens aient réussi à retirer le
gros de leur armée elle aura d'importan-
tes conséquences tant morales que militai-
res, non seulement pour l'Autriche, mais
aussi pour l'Allemagne. Pourquoi l'Alle-
magne poussa-t-elle l'Autriche à cette aven-
ture? L'Etat-Major allemand doit être préoc-
cupé de la situation qui se présentera dans
trois ou quatre mois si ses plans ont défini-
tivement échoué et si l'armée américaine
continue à arriver sur le front.Si l'Etat-Ma-
jor allemand ne veut pas se résigner à res-
ter sur la défensive en France — et il ne le
fera pas à moins d'être aux abois, car il
croit encore dans la victoire, mais la victoire
par l'offensive — il lui faudra mettre la
main sur les réserves autrichiennes. Il lui
sera difficile de s'en emparer, mais il s'y
efforcera.Tout dépend de l'Italie, car l'Italie
restant intacte. l'Autriche aurait toujours
un bon motif pour refuser le concours
qu'elle a,pour beaucoup de raisons,horreur
de donner. Voilà l'ultime raison pour la-
quelle l'Allemagne a réclamé l'offensive au-
trichienne. — (Ed.) Manchester Guadinn,
25.6.
— Il est douteux que. depuis la bataille
de la Marne, les Alliés aient remporté un
triomphe aussi incontestable et significatif.
Cette victoire rétablit entièrement le pres-
tige militaire de l'Italie. Elle aura des con-
séquences retentissantes et elle rend la si-
tuation des Alliés meilleure qu'elle ne le fut
à aucun moment depuis le 21 mars. Pour
les Allemands, c'est un coup désastreux. On
ne peut encore évaluer l'étendue du désas-
tre ; mais nous serions surpris si la situa-
tion de l'Autriche n'offrait pas aux Alliés
de belles occasions de faire une brèche dans
l'armure politique des Empires Centraux.
— (Ed.) Daily News, 25.6.
— Lorsque la moitié des armées d'une na-
tion a subi une défaite, cela aggrive consi-
dérablement les désordres révolutionnaires
naissant à l'intérieur du pays. Mais à part
cela, le magnifique succès du général Diaz
renforce les armes des autres chefs alliés. Il
les délivre de toute crainte de voir se pro-
duire en Italie une rupture d'équilibre qui
eût pu nécessiter le concours de leurs res-
sources, et il leur permet de se concentrer
sur leurs propres problèmes immédiats et
de les envisager avec une confiance redou-
blée. — (Ed.) Pall Mall Gazette, 25.6.
ORGANISATION
Troupes américaines sur le front italien.
— Dans l'ensemble de la guerre, notre vic-
toire est destinée à avoir une répercussion
très favorable à la cause des Alliés. Il est
douteux que l'armée austro-hongroise ait
encore le temps d'engager avec les seules
ressources de la Double Monarchie une of-
fensive de grand style contre nous. Il faut
ajouter à cela que l'Entente est dorénavant
bien persuadée de la valeur du front ita-
lien et qu'à une collaboration elle saurait
en opposer une autre. Sur le front fran-
çais, il y a déjà 750.000 Américains et leur
nombre augmente de jour en jour. Nous
avions l'esprit trop tendu vers la Piave
pour arrêter notre attention sur les nouvel-
les qui ne se rapportaient pas à la bataille.
On aurait pu lire dans les journaux une
brève correspondance de New-York disant
que les Américains sont prêts à venir sur
le front italien. — (Rino Alessi) Secolo,
26.6.
——— ———
, POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
ETATS-UNIS ET RUSSIE
Le problème de l'intervention. — Pas un
Américain ne blâmera l'attitude du Gouver-
nement. de Washington qui délibère sur la
conduite à suivre vis-à-vis des bolcheviks
de Russie. Le problème est compliqué, et
l'on comprend que Washington ne soit pas
moins perplexe que Paris. Londres et To-
kio. Il y a cependant à craindre que ces dé-
libérations ne durent trop longtemps, et
que, dans notre désir de ne pas gâter notre
position, nous ne laissions passer le mo-
ti ûts
AIRE\!
-Cogères
No 85 t;)
N° 852
Paris, 1er juillet 1918.
Metin Quotidien de Presse Etrangère
C 0 NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
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**^*— * qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
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i , V*IiL ci nsentir Jt c°urir de nouveau les
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| J ,l 1%p 6 ^am les ports de la Manche,
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Bien que cela soit probable, il n'est pas
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donc, dans nos préparatifs à l'intérieur,
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kio. Il y a cependant à craindre que ces dé-
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