Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-05-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 mai 1918 25 mai 1918
Description : 1918/05/25 (T9,N815). 1918/05/25 (T9,N815).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252341n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
DES bE LA GUERRE
ME8 ÉTRANGÈ~RES
Nil 815
Paris, 25 mai 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
- ^ONFIDFNTMFI I confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
Etudes allemandes sur la guerre [Cf. Bull.
~07, P. il. col. 1]. - Ii est possible que
~stoire de la guerre écrite par Stegemann
~engagé le haut commandement à publier
steeclton : Der grosse Krieg in bmzel.
rstellungen [« Monographies de la grande
re »], chez Gerhard S'al,in« à Olden-
~ces récits ne doivent pas être en-
~ire ûmptës parmi les ouvrages d'his-
a e la guerre. Les livraisons sur « i.ié-
~amur « La bataille de Lodz », « La
Le d'hiver en Mazurie » sont sensi-
~ent analogues aux remarquables
~muniqués de guerre du grand quar-
Ce sont des récits écrits d'une plume
~set IBg-ère, basés sur des documents
~els et faits par des combattants. Mal-
~ent toute. critique en est ab-
Peut-être la répugnance qu'avait le
~aux. Moltke à laisser détruire certains
~prestiges -t.ell- joué son rôle encore ; mais
~prestiges » envisagés par les chefs.
~aires de 1870, n'existent plus dans le
~immense organisme tel que l'armée al-
mande des erreurs se commettent. Plus
les onnaîl t honnêtement plus puis-
parait l'ensemble de l'œuvre et plus
relief se trnnj. les grandes et plus
~és Use trouvent temps que le peuple
~est iid temps que le peuple
laisse leurs noms. (Dr Fritz Endres)
~Ùgsburger Abendzeilung, 17.5.
L'OFFENSIVE ALLEMANDE
~esse anglaise. - Sous le titre: « LA
~ELLE PHASE. - SERA-CE LA DERNIÈRE ? »—
est llos armées le terrain de manœu-
s'est rétréci, ce qui sera favorable aux
~lles tentatives de l'ennemi. Il faut
attendre également à vivre des jour-
critiques sur le front italien, et nous
~er à Une intt Î furieuse et prolongée,
, il ne faut pas croire que nous
au combat sans avoir entre les
~les éléments décisifs de la victoire.
~estion de territoire est de peu d'im-
Les Allemands visent à détruire
rmées et le problème se réduit en
compte à la question des réserves.
~rivera-t-il donc si les soldats du Kai-
~font qu'étendre leurs gains en Fran-
~prix de pertes gigantesques ? Si
rivons à endiguer l'attaque - alle-
~ainsi que nous l'avons fait à là fin
de SI nous aVons en mains un ex.
de éser.ve,9, avons en mains un ex-
~de réserves, nous aurons gagné, et
es, ods Q-i-i, sont franchement oppor-
~seront heureux de mettre un ter-
eurs pertes et de s'en tirer le mieux
~Leur unique flèche sera lancée et
~quels de présence des renforts
~de leurs ennemi d'Amérique.
sommes trop nombreux, trop riches,
~nt~ trop résolus, trop bien di-
rigés pour perdre, et dans la guerre il n'y
a pas de partie nulle. Nos positions sont
mieux organisées, nos réserves mieux dis-
tribuées, notre commandement mieux éla-
bli qu'en mars. Nous n'avons qu'à tenir
ferme et nous assurerons finalement cette
justice et cette liberté pour la défense des-
quelles nous fûmes obliges de prendre
part à cette guerre. - (Ed.) Pall Mall
Gazette, 18.5.
Presse italienne. — Du front français,
18 mai : Que fera l'Autriche pendant l'of-
fensive ? Interviendra-t-elle directement sur
le front occidental ? Il n'y a pas de nou-
velles qui permettent de 'le croire. Jusqu'à
présent, des divisions autrichiennes ne
sont pas signalées au front. Attaquera-t-
elle le front italien ? Beaucoup le croient.
Mais les événements sont attendus, avec
grande confiance, bien que l'effort alle-
mand doive être très grand. Des raisons
morales e'I économiques imposent à l'Alle-
magne la nécessité de finir rapidement la
guerre ; mais la situation générale est cer-
tainement meilleure qu'en mars. Les Alle-
mands avaient alors 90 divisions en ligne :
ils n'en ont que 83. Les Franco-Anglais
n'étaient unis, ni comme armées, ni com-
me commandement et, d'autre part, le
front italien étant impraticable, les Alle-
mands pouvaient puiser sans danger dans
l'armée autrichienne. Aujourd'hui, les for-
ces alliées sont amalgamées, le comman-
dement est unifié et, sur le front italien,
l'initiative de l'action n'appartient pas tou-
jours aux Autrichiens. — Secolo, 19.5.
Presse allemande. — Sous le titre : « LA
GRANDE BATAILLE DE FRANCE ». — On nous
écrit du Grand Quartier Général : Dans la
grande bataille de France, le haut com-
mandement allemand, renonçant par prin-
cipe à une « guerre de matériel », décida
de donner à la victoire 'urne base plus abs-
traite. Il s'agissait de compenser l'infério-
rité du nombre par les vertus militaires et
morales, qui sont l'apanage des troupes al-
lemandes. Ces mêmes vertus, qui avaient
été la cause essentielle des défaites enne-
mies, devaient constituer le gage le plus
sûr de la victoire allemande. A la bravoure
indéniable des troupes d'assaut anglaises
et françaises, il fallait opposer la bravoure
plus grande encore des troupes alleman-
des. Nos chefs devaient se montrer supé-
rieurs aux chefs ennemis, qui avaient été
excellents. Nous devions préparer l'attaque
avec plus de conscience encore que ne
l'avaient fait nos adversairés. La tâche
principale consistait dans cette préparation
de l'attaque, car les deux autres condi-
tions étaient largement réalisées. L'unité
du commandement, l'homogénéité de l'ar-
mée, où il n'y avait qu'un précieux groupe
de batteries autrichiennes qui ne fût pas
allemand, facilitèrent l'énorme tâche. Des
froissements, inévitables dans les armées
coalisées, si parfaitement organisées qu'elles
puissent être, furent évités chez nous. Il
est impossible de décrire tout. le travail
de nos officiers d'état-major penchés sur
leurs cartes durant des mois, pendant que
nous attendions, pleins de confiance et que
l'étranger devenait de plus en plus inquiet
et plus nerveux. Il est certain que le tracé
du plan d'attaque, l'exploration et la sur-
veillance de la position ennemie, les trans-
ports de munitions et de vivres, la prépara-
tion de toute la poussée de l'arrière vers
l'avant et enfin l'organisation merveilleuse
du passage de l'ordre de marche à la for-
mation de combat, dissimulé aux yeux de
l'ennemi, ont exigé une somme considéra
ble d'énergie organisatrice. — Hamburger
Nachrichten et autres journaux, 18.5.
— Au. cours de cette semaine, il y a eu,
de part et d'autre, de nombreux combats
locaux. Jusqu'à présent, même au nord du
Kemmel, où elles ont engagé des forces
importantes, et bien qu'elles soient com-
mandées par le général Foch, les armées
des Puissances occidentales n'ont pas réus-
si à déclencher des offensives de grande
envergure. C'est là une preuve manifeste
de l'affaiblissement des armées de réserve
franco-anglaises. On a l'impression que le
général Foch se borne à des attaques lo-
cales pour consolider des points particuliè-
rement sensibles du front (en toute pre-
mière ligne les secteurs d'Ypres et
d'Amiens) et qu'il cherche en même temps
à immobiliser un aussi grand nombre que
possible de divisions allemandes sur leurs
positions actuelles ; il gênerait ainsi, dans
la mesure de ses forces, le déclenchement
de la nouvelle offensive et, à la place de
son ancienne armée de réserve, déjà en
grande partie épuisée, il constituerait de
nouvelles réserves pour parer aux consé.
quences stratégiques d'une nouvelle percée
allemande. L'incertitude complète de l'en-
nemi sur le moment, le lieu et l'ampleur
de notre prochaine attaque, lès graves con-
séquences de nos deux premières percées
(sur la Somme et sur la Lys) pèsent lour-
dement sur les décisions du haut comman-
dement ennemi. L'avenir nous montrera.
en particulier, si le commandement fran-
çais ne s'est pas considérablement exagéré
l'importance de ses forces, en déplaçant le
centre de gravité de ses réserves vers l'aile
gauche (aile nord) jusque dans les secteurs
anglais de première ligne. C'est à ce point-
de vue que nous devrons nous placer pour
juger les événements prochains. - Frank-
furter Zeitung, 19-5.
VIOLATIONS DU DROIT DES GENS
Vente en Norvège de meubles « sauvés ».
— Je suis alité au Wattgaarden pour voir la
collection choisie de meubles provenant
« des pays belligérants » et qui sont à ven-
dre. Je n'ai pu savoir par quelle voie ils
étaient venus jusqu'ici. Mais s'il est vrai
ME8 ÉTRANGÈ~RES
Nil 815
Paris, 25 mai 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
- ^ONFIDFNTMFI I confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
QUESTIONS MILITAIRES
Etudes allemandes sur la guerre [Cf. Bull.
~07, P. il. col. 1]. - Ii est possible que
~stoire de la guerre écrite par Stegemann
~engagé le haut commandement à publier
steeclton : Der grosse Krieg in bmzel.
rstellungen [« Monographies de la grande
re »], chez Gerhard S'al,in« à Olden-
~ces récits ne doivent pas être en-
~ire ûmptës parmi les ouvrages d'his-
a e la guerre. Les livraisons sur « i.ié-
~amur « La bataille de Lodz », « La
Le d'hiver en Mazurie » sont sensi-
~ent analogues aux remarquables
~muniqués de guerre du grand quar-
Ce sont des récits écrits d'une plume
~set IBg-ère, basés sur des documents
~els et faits par des combattants. Mal-
~ent toute. critique en est ab-
Peut-être la répugnance qu'avait le
~aux. Moltke à laisser détruire certains
~prestiges -t.ell- joué son rôle encore ; mais
~prestiges » envisagés par les chefs.
~aires de 1870, n'existent plus dans le
~immense organisme tel que l'armée al-
mande des erreurs se commettent. Plus
les onnaîl t honnêtement plus puis-
parait l'ensemble de l'œuvre et plus
relief se trnnj. les grandes et plus
~és Use trouvent temps que le peuple
~est iid temps que le peuple
laisse leurs noms. (Dr Fritz Endres)
~Ùgsburger Abendzeilung, 17.5.
L'OFFENSIVE ALLEMANDE
~esse anglaise. - Sous le titre: « LA
~ELLE PHASE. - SERA-CE LA DERNIÈRE ? »—
est llos armées le terrain de manœu-
s'est rétréci, ce qui sera favorable aux
~lles tentatives de l'ennemi. Il faut
attendre également à vivre des jour-
critiques sur le front italien, et nous
~er à Une intt Î furieuse et prolongée,
, il ne faut pas croire que nous
au combat sans avoir entre les
~les éléments décisifs de la victoire.
~estion de territoire est de peu d'im-
Les Allemands visent à détruire
rmées et le problème se réduit en
compte à la question des réserves.
~rivera-t-il donc si les soldats du Kai-
~font qu'étendre leurs gains en Fran-
~prix de pertes gigantesques ? Si
rivons à endiguer l'attaque - alle-
~ainsi que nous l'avons fait à là fin
de SI nous aVons en mains un ex.
de éser.ve,9, avons en mains un ex-
~de réserves, nous aurons gagné, et
es, ods Q-i-i, sont franchement oppor-
~seront heureux de mettre un ter-
eurs pertes et de s'en tirer le mieux
~Leur unique flèche sera lancée et
~quels de présence des renforts
~de leurs ennemi d'Amérique.
sommes trop nombreux, trop riches,
~nt~ trop résolus, trop bien di-
rigés pour perdre, et dans la guerre il n'y
a pas de partie nulle. Nos positions sont
mieux organisées, nos réserves mieux dis-
tribuées, notre commandement mieux éla-
bli qu'en mars. Nous n'avons qu'à tenir
ferme et nous assurerons finalement cette
justice et cette liberté pour la défense des-
quelles nous fûmes obliges de prendre
part à cette guerre. - (Ed.) Pall Mall
Gazette, 18.5.
Presse italienne. — Du front français,
18 mai : Que fera l'Autriche pendant l'of-
fensive ? Interviendra-t-elle directement sur
le front occidental ? Il n'y a pas de nou-
velles qui permettent de 'le croire. Jusqu'à
présent, des divisions autrichiennes ne
sont pas signalées au front. Attaquera-t-
elle le front italien ? Beaucoup le croient.
Mais les événements sont attendus, avec
grande confiance, bien que l'effort alle-
mand doive être très grand. Des raisons
morales e'I économiques imposent à l'Alle-
magne la nécessité de finir rapidement la
guerre ; mais la situation générale est cer-
tainement meilleure qu'en mars. Les Alle-
mands avaient alors 90 divisions en ligne :
ils n'en ont que 83. Les Franco-Anglais
n'étaient unis, ni comme armées, ni com-
me commandement et, d'autre part, le
front italien étant impraticable, les Alle-
mands pouvaient puiser sans danger dans
l'armée autrichienne. Aujourd'hui, les for-
ces alliées sont amalgamées, le comman-
dement est unifié et, sur le front italien,
l'initiative de l'action n'appartient pas tou-
jours aux Autrichiens. — Secolo, 19.5.
Presse allemande. — Sous le titre : « LA
GRANDE BATAILLE DE FRANCE ». — On nous
écrit du Grand Quartier Général : Dans la
grande bataille de France, le haut com-
mandement allemand, renonçant par prin-
cipe à une « guerre de matériel », décida
de donner à la victoire 'urne base plus abs-
traite. Il s'agissait de compenser l'infério-
rité du nombre par les vertus militaires et
morales, qui sont l'apanage des troupes al-
lemandes. Ces mêmes vertus, qui avaient
été la cause essentielle des défaites enne-
mies, devaient constituer le gage le plus
sûr de la victoire allemande. A la bravoure
indéniable des troupes d'assaut anglaises
et françaises, il fallait opposer la bravoure
plus grande encore des troupes alleman-
des. Nos chefs devaient se montrer supé-
rieurs aux chefs ennemis, qui avaient été
excellents. Nous devions préparer l'attaque
avec plus de conscience encore que ne
l'avaient fait nos adversairés. La tâche
principale consistait dans cette préparation
de l'attaque, car les deux autres condi-
tions étaient largement réalisées. L'unité
du commandement, l'homogénéité de l'ar-
mée, où il n'y avait qu'un précieux groupe
de batteries autrichiennes qui ne fût pas
allemand, facilitèrent l'énorme tâche. Des
froissements, inévitables dans les armées
coalisées, si parfaitement organisées qu'elles
puissent être, furent évités chez nous. Il
est impossible de décrire tout. le travail
de nos officiers d'état-major penchés sur
leurs cartes durant des mois, pendant que
nous attendions, pleins de confiance et que
l'étranger devenait de plus en plus inquiet
et plus nerveux. Il est certain que le tracé
du plan d'attaque, l'exploration et la sur-
veillance de la position ennemie, les trans-
ports de munitions et de vivres, la prépara-
tion de toute la poussée de l'arrière vers
l'avant et enfin l'organisation merveilleuse
du passage de l'ordre de marche à la for-
mation de combat, dissimulé aux yeux de
l'ennemi, ont exigé une somme considéra
ble d'énergie organisatrice. — Hamburger
Nachrichten et autres journaux, 18.5.
— Au. cours de cette semaine, il y a eu,
de part et d'autre, de nombreux combats
locaux. Jusqu'à présent, même au nord du
Kemmel, où elles ont engagé des forces
importantes, et bien qu'elles soient com-
mandées par le général Foch, les armées
des Puissances occidentales n'ont pas réus-
si à déclencher des offensives de grande
envergure. C'est là une preuve manifeste
de l'affaiblissement des armées de réserve
franco-anglaises. On a l'impression que le
général Foch se borne à des attaques lo-
cales pour consolider des points particuliè-
rement sensibles du front (en toute pre-
mière ligne les secteurs d'Ypres et
d'Amiens) et qu'il cherche en même temps
à immobiliser un aussi grand nombre que
possible de divisions allemandes sur leurs
positions actuelles ; il gênerait ainsi, dans
la mesure de ses forces, le déclenchement
de la nouvelle offensive et, à la place de
son ancienne armée de réserve, déjà en
grande partie épuisée, il constituerait de
nouvelles réserves pour parer aux consé.
quences stratégiques d'une nouvelle percée
allemande. L'incertitude complète de l'en-
nemi sur le moment, le lieu et l'ampleur
de notre prochaine attaque, lès graves con-
séquences de nos deux premières percées
(sur la Somme et sur la Lys) pèsent lour-
dement sur les décisions du haut comman-
dement ennemi. L'avenir nous montrera.
en particulier, si le commandement fran-
çais ne s'est pas considérablement exagéré
l'importance de ses forces, en déplaçant le
centre de gravité de ses réserves vers l'aile
gauche (aile nord) jusque dans les secteurs
anglais de première ligne. C'est à ce point-
de vue que nous devrons nous placer pour
juger les événements prochains. - Frank-
furter Zeitung, 19-5.
VIOLATIONS DU DROIT DES GENS
Vente en Norvège de meubles « sauvés ».
— Je suis alité au Wattgaarden pour voir la
collection choisie de meubles provenant
« des pays belligérants » et qui sont à ven-
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