Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-03-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 mars 1918 26 mars 1918
Description : 1918/03/26 (T8,N755). 1918/03/26 (T8,N755).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338449v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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eS El'ltAGÈnES
N° 755
Paris, 26 mars 1918.
hlletin Quotidien de Presse Etrangère
,
CONFIDENTIEL 1
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
ÉTIONS militaires
-
.t'OUeh OPERA TIONS
'e t ""Sl\te Il
,& laque a ernde.- PHESSE ANGLAISE :
,s fr'Ont :,,U U aujourd'hui [21.3] con-
ilique à l'ouest et au sud-
, trient ait|l>rai elle paraît être le com-
4 e, de ia
StJu§er la grande offensive alleman-
e qui Par la direction des vagues
IQI:e eL qui ont été lancées pendant la
Ili née et r PW b, td ,,
et le riAh + de 1 après-mIdI, elle
■»
Sn* ^aillo i enfermer comme
rg trlpreOd aIne la partie de notre ligne
h c, ctlon de la ligne Hinden-
nous étions emparés de-
.i,e$ l ^rai
..l ¡\¡nsi et de nous en chasser. S'il
ln tentative est semblable à
X que Sans aucun doute,
"Père que ses deux armées (celle
,: titll sUd sUd , de la Scarpe et celle qui
sud d e Cambrai) pourron-t réus-
elre leu e Cambrai pourront réus-
:! ellt Su l' tn et Par là à mordre
f.: utes Sur le front britannique, récupé-
uSVo P hs les tran^chées kI du système Hin-
I,gll est, es 11 y a exactement quatre
k' S'st Drmr, e que cette bataille est
do, s Allemands contre no-
K\^UnZn\ nous attendre à une
eISes r°upec ,ennemi a bien en-
,snn!f^r *a guerre de mou-
'épi'es u la guerre de mou-
DQP , en appuyées par l'ar-
égèr. fi Par 1 artille.rie lourde ainsi
n grlnd nombre de mortiers de
li^nt^i doiv
n es accompagner métho-
g POS't ogrès de l'infanterie.
PO& t 2
M 2.it
non
'cb IQ plutW a déclaré que cette at-
, ce au H^rtante qui ait été-
ai1 cm, rS de cette guerre, et
• dt britannique avait
S\em' Prévn 1 v endroit et l'heure où
V prévil l'endroit et l'heure où
Uty r^in, Il est certain qu'un
lain
Vïtt 8 défAn ment défendu, sera
X a t&qU éfeurs sous le premier
]^Cgn°réf^ rS' à moins d'une sur.
'iel)l1e f(e. avance sera certaine-
Inalement arrêtée très
%!* l'a i 6® Sains, préliminaires.
claireiiient d'ici un jour
'nd.lelil: enjeu pour lequel les
•WSi! a* ii nianH« ont engagé la partie.
rie pu s'expliquer par au.
"il reconnue. Il est
~thode e ~sti-atégi que i,,econntie. Il est
I lleUrP act'1K;lle le jeu de l'Al-
^Vtii1-1 -U me fairî p partit, nulle. La seule
Nbl' Se™ble être qu'en ce
Si!'^UonA plus
? s ne i f e Allemagne est plus
A apposions et que ses
lï étl de force à cette aven-
Ri,, il se peut q.u'il y
* îi^lel^a ns }r )UelqUeS jours g,uffi-
htjf V.-.HtV n11 attendant, ainsi
i t11 \t i' ^on«. r^a\v. les Alliés n'ont
r irlquiétude Il y a peu de
« 1 Allemagne remporte un
succès d'importance. Les conséquences
d'une défaite - seront forcément très desas-
treuses pour l'Allemagne. - (Ed.) LJauy
News, 22.3.
— Nous pouvons prédiire que l'ennemi
lancera ses vagues d'hommes très denses
contre un mur de pierre au prix d'énormes
sacrifices. Les opérations d'hier seront cer-
tainement le signal d'une activité des Al-
liés sur d'autres points du front occidental,
activité qui s'apposera à un triomphe alle-
mand. C'est une grande satisfaction pour
nous de savoir que le succès sur lequel
compte l'ennemi dans la vallée de l'Oise
devient beaucoup moins ceirtain par le fait
que le général Nivelle a conquis le Chemin
des Dames, position qui menace l'avance
allemande dans une secteur très mpor-
tant. — (Ed.) Liverpool Post, 22.3.
PRESSE ITALIENNE. — Une offensive contre
le front de Macédoine correspondrait bien
au système allemand de l'élimination suc-
cessive des adversaires en commençant
par les moins forts ; mais l'échiquier balka-
nique autrefois essentiel a perdu presque
tout intérêt. L'ennemi peut, ou bien atta-
quer à fond sur le front franco-anglais avec
actions démonstratives sur le nôtre ou bien
attaquer le front italien avec actions dé-
monstratives sur le front franco-anglais, ou
bien encore attaquer à fond sur toute la
ligne des Alliés depuis la Belgique jusqu'à
la plaine de Vénétie. Il semble disposer de
200 à 220 divisions allemandes (avec adjonc-
tion de quelques forces austro-bulgaro-tur-
ques de peu d'importance) sur le front
franco-belge, et de 55 à 60 divisions autri-
chiennes (avec de faibles contingents alle-
mands) sur le front italien. Après les évé-
nements de Russie, les unités ennemies en
Occident ont été recomplétées: nous n'avons
plus devant nous les maigres divisions alle-
mandes du printemps de 1917 réduites à
7.500 hommes. Il est probable toutefois
qu'on n'est pas revenu aux formations tra-
ditionnelles du temps de paix, aux divisions
pléthoriques de 15.000 à 18.000 hommes. Le
chiffre moyen de 12.000 est vraisemblable.
Le total des forces austro-allemandes dé-
ployées en Occident est donc probablement
de 3 millions à 3.400.000 hommes. Nous
ignorons, par contre, presque complètement
les conditions des réserves de l'intérieur,
l'état de préparation des très jeunes classes
et l'état d'épuisement des plus vieilles, et il
est impossible d'évaluer, par conséquent,
l'effort dont l'ennemi serait ultérieurement
capable. L'intérêt principal de l'offensive
est évidemment pour les Allemands sur le
front franco-anglais. Une victoire définitive
sur ce front nous mettrait certainement par
contre-coup dans une situation critique, car
notre front, isolé, n'a pas de raison d'être.
Les Autrichiens y ont. déployé une armée
d'une force respectable mais non terri-
fiante : laissée à eux-mêmes, ils seront pres-
que certainement battus : mais les Alle-
mands ne les laisseraient pas fi eux-mêmes
si une action de première importance devait
se passer sur notre front, et l'absence de
grands chefs allemands (alors que Calwitz
est allé prendre un commandement en
France) tend à prouver que le front italien
restera secondaire. — Stampa, 22 3
PRESSE ALLEMANDE. - Le général Luden-
dorff s est abstenu, intentionnellement sans
doute, de parler des difficultés de la con-
duite des opérations et de l'armée françai-
se de manœuvre. On l'appelle l'armée fran-
çaise, parce que, pour les deux tiers au
moins, elle est composé de Français. Ceux-
ci ont mobilisé tout leur matériel humain
disponible. Les six régiments de la légion
étrangère, qui, en 1915, avaient été pres-
que complètement anéantis à Callipoli ont
été recomplétés et ils sont sur le front, à
côté des divisions américaines dans la ré-
gion de Saint-Mihiel, Pont-à-Mousson Par-
roy. Les Anglais ont fait ce qu'ils ont pu
pour renforcer leurs effectifs sur le front.
Mais l'état de siège en Irlande leur a ifIl-"
mobilisé des troupes. 80.000 hommes dit
un journal anglais, dont les divisions ca-
nadiennes. Il y a des troupes anglaises en
Italie, à Salonique. Les armées anglaises
de Macédoine et de Mésopotamie ont reçu
de sérieux renforts. Nous ne saurions dire
ce qu'il y a dans les Indes, en Egypte fei
en Arabie ; des effectifs peu élevés sans
doute. Bonar Law dans son discours sur
le budget a déclaré que les intérêts du
royaume britannique n'étaient pas limités à
l'Europe. La toute dernière attaque du gé-
néral Allenby à Damas et du corps expé-
ditionnaire britannique au nord de Bagdad
montrent que les Anglais n'ont jamais per-
du de vue leur projet d'unir territoriale-
ment l'Egypte à l'Inde. Il y a lieu de rap-
peler ici la conception de l'ancien chef
d'état-major du feld-maréchal Haig, le gé-
néral Robertson, qui voulait concentrer tou-
tes les forces anglaises pour les combats
de Flandre et de l'Artois. Son opinion n'a
pas prévalu. — (Général von Ardenne)
Berliner Tageblatt, 20.3.
Les Allemands en Finlande et en Ukraine.
— L'expédition allemande en Finlande, qui
doit établir définitivement le protectorat
allemand dans la Baltique, n'a pu encore
intervenir très efficacement, à cause des
glaces qui rendent difficile l'accès des ports
finlandais. Au contraire nous occupons,
dans l'Ukraine, les principales voies de
communications et les centres commer-
ciaux. Après avoir occupé lie nœud de voies
ferrées de Bachmatch, où se réunissent
les lignes de Homel et de Kiev et d'où se
détachent vers le Sud les voies d'Odessa
et de Nicolaiev, nous avons occupé très ra-
pidement ces deux ports. — Hamburger
Fremdenblatt, 19.3.
MATERIEL
Etats-Unis, — LE FUSIL-MITRAILLEUSE
FRANÇAIS. - Une démonstration de la pré-
cision et de la mobilité du feu du fusil-mi-
tit
h, '-A CiUEKRE
h "u
eS El'ltAGÈnES
N° 755
Paris, 26 mars 1918.
hlletin Quotidien de Presse Etrangère
,
CONFIDENTIEL 1
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
ÉTIONS militaires
-
.t'OUeh OPERA TIONS
'e t ""Sl\te Il
,& laque a ernde.- PHESSE ANGLAISE :
,s fr'Ont :,,U U aujourd'hui [21.3] con-
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, trient ait|l>rai elle paraît être le com-
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■»
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ln tentative est semblable à
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,: titll sUd sUd , de la Scarpe et celle qui
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k' S'st Drmr, e que cette bataille est
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K\^UnZn\ nous attendre à une
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,snn!f^r *a guerre de mou-
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DQP , en appuyées par l'ar-
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n es accompagner métho-
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• dt britannique avait
S\em' Prévn 1 v endroit et l'heure où
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Vïtt 8 défAn ment défendu, sera
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%!* l'a i 6® Sains, préliminaires.
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'nd.lelil: enjeu pour lequel les
•WSi! a* ii nianH« ont engagé la partie.
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"il reconnue. Il est
~thode e ~sti-atégi que i,,econntie. Il est
I lleUrP act'1K;lle le jeu de l'Al-
^Vtii1-1 -U me fairî p partit, nulle. La seule
Nbl' Se™ble être qu'en ce
Si!'^UonA plus
? s ne i f e Allemagne est plus
A apposions et que ses
lï étl de force à cette aven-
Ri,, il se peut q.u'il y
* îi^lel^a ns }r )UelqUeS jours g,uffi-
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i t11 \t i' ^on«. r^a\v. les Alliés n'ont
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News, 22.3.
— Nous pouvons prédiire que l'ennemi
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que le général Nivelle a conquis le Chemin
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tant. — (Ed.) Liverpool Post, 22.3.
PRESSE ITALIENNE. — Une offensive contre
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par les moins forts ; mais l'échiquier balka-
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bien encore attaquer à fond sur toute la
ligne des Alliés depuis la Belgique jusqu'à
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200 à 220 divisions allemandes (avec adjonc-
tion de quelques forces austro-bulgaro-tur-
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chiennes (avec de faibles contingents alle-
mands) sur le front italien. Après les évé-
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Occident ont été recomplétées: nous n'avons
plus devant nous les maigres divisions alle-
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7.500 hommes. Il est probable toutefois
qu'on n'est pas revenu aux formations tra-
ditionnelles du temps de paix, aux divisions
pléthoriques de 15.000 à 18.000 hommes. Le
chiffre moyen de 12.000 est vraisemblable.
Le total des forces austro-allemandes dé-
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de 3 millions à 3.400.000 hommes. Nous
ignorons, par contre, presque complètement
les conditions des réserves de l'intérieur,
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et l'état d'épuisement des plus vieilles, et il
est impossible d'évaluer, par conséquent,
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capable. L'intérêt principal de l'offensive
est évidemment pour les Allemands sur le
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Les Autrichiens y ont. déployé une armée
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restera secondaire. — Stampa, 22 3
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royaume britannique n'étaient pas limités à
l'Europe. La toute dernière attaque du gé-
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néral Robertson, qui voulait concentrer tou-
tes les forces anglaises pour les combats
de Flandre et de l'Artois. Son opinion n'a
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Berliner Tageblatt, 20.3.
Les Allemands en Finlande et en Ukraine.
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glaces qui rendent difficile l'accès des ports
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Fremdenblatt, 19.3.
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