Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-03-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 mars 1918 15 mars 1918
Description : 1918/03/15 (T8,N744). 1918/03/15 (T8,N744).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384382
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
~IIK
N° 741
Paris, 15 mars 1918.
~tin Quotidien de Presse Etrangère
Résidentiel
- -
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. 1
fQU ES'fIONSMILITAlRES
OPERATIONS
e T->
Lgne "j¡èle rus~.,,, a cessé 'enlrer
~EE allemanue :
une plus de canons que'ijolisn'en avioills
temps de paix C'est le cas au a a^Qn.
chiffres. Une conlpnraisun aujourd'hui
et du est celle du nombre des offi-
faits prisonniers des S^,lats que nous
~soldats. La proportion est de 1 pour
1/2. Elle n'est pas normale. Elle s'expli-
que sur ce f (lit que les officiers russes ne
~propre en S6cnri+ au milieu de
u
escorter par des hommes
pour circuler parmi leurs troupes. Un
à peine des effectifs est resté groupé
Livonie ne cOmptaient pJns que
hommes qui l'es le de l'armée régu-
russe ve fondre comme la neige au
A. Toute l' alIlhon de la
se poeter sur l'armée révolutionmaire
Grandes-Rouges. Cette armée na semble
se soucier du paragraphe 5, de notre
avec la Grande-Russie, qui prescri-
au démbilisation A la date du 4 mars,
alors plus de 100.000 oÙvriprs. Dps
de source allemande confirment
cette armée ne s'O(Cune en aucune
de la signature de la paix. Stockholm
de Ce sont là les dernières con-
de l'ancienne Russie Les troupes
~se désorganiseront pour
~raisons que les troupes régu-
au front russe, et aussi celles du fron-
■H nvï « oapnsiïlCld,entales °"t
lin - e « off ell,%I- ve préventive ».
~lais n''en sont 'Dn« ^«rtwana: Les
~anglais préferent attendre
l'Amérique. IllJion. SOti,ine que
a eu un million de tués, lors
dernières F l'n,nç:us ont Artois et
.comn 11* leur
: de ma-
~compterait au moins 60 divi.
~cette armée se concentrera-t-elle
sa mission ? Si elle n'a qu'un
de défensive. elle se, tiendra
~au centre front de bataille
cxe front a 650 klm de
à t(.Mp% par-
l'appellera. Si elle disperse ses
cesse d'être une puissante ar-
faut Pas que
llnaglDe que nos pri-
Russie pourront être mis en
front occident aussitôt leur
Ibération. Ce n'est que dans quelques mois
qu'ils constitueront un renfort sérieux pour
nos troupes de l'Ouest. - (Von Ardenne)
Berliner Tageblall, 8.3.
--'VV"VV
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
GUERRE SOUS-MARINE
Les résultats en février 1918 : PRESSE
ALLEMANDE. - Le mois de fevrir a été mar-
qué par le retour du W olf qui, au cours de
sa glorieuse cruisière, a couté au moins 35
navales, c'est-à-dire plus de 210.000 tonnes.
Nos sous-marins avaient coulé, en janvier,
632.000 tonnes. Le chiffre de février doit au
moins être aussi élevé, car nos submersibles
ont opéré dans toutes les zones d'~ente*. d'c-
tion. Seule, la mar Glaciale n'est pas nom-
mée dans leurs rapports. Ils ont coulé, en-
tre autres navires, le Tuscania, le Minne
tonka et le bateau français Dives. Le navire-
hôpital dl Glencart-Castie a dû couler sur une
mine. Il n'a certainement pas été torpillé,
par un de nos sous-marins. Tous les men-
songes ne nos ennems ne peuvent empê-
cher notre guerre sous-marine de suivre
son cours. Le 14/15 février, nous avons at-
taqué avec succès la flottide anglaise, char-
gée de la surveillance de Douvres. Notre
cœur déborde de joie, quand nous pensons
aux résultats de cette attaque. Un bateau-
pilote, quatre bateaux automobiles, à mar-
che rapide, un torpilleur d'ancien modèle,
un destroyer de sous-marins et douze au-
tres embarcations armées ainsi que douze
bateaux ordinaires au moins (ont été dé-
truits. Cette destraction de la flottille de
Douvres a pour nous, une très grande im-
portance. La seule opération offensive des
Anglais en février a été dirigée contre le
Gœben, échoué dans les Dardanelles. Deux
sous-marins y ont pris part, L'un d'eux
a été détruit par les batteries turques de
la côte ; l'autre est vraisemblablement dé-
moli, il a été touché, en plein, but, par l'un
de nos projectiles. Cependant, le Gœben a
été ramené à Constantinople et il pourra
prochainement reprendre la mer. - Sur la
côte des Flandres les Anglais n'ont enre-
gi stré aucun succès. De notre côté, nous
avons attaqué les côtes de l'Angleterre, au
cours, de deux raids d'aviation, qui' ont
brillamment réussi. Tous ces succès ont
contribué à rendre plus aiguë en Angleterre
la crise de l'armentation. Aussi nous ne
trouvons à l'attitude de M. Balfour, qui
continue à parler en vainqueur, que deux
explications. - Il doit compter sur des dig-
senssions à l'intérieur de l'Allemagne ou
sur l'aide des Etats-Unis. Les récentes dis-
cussions au Reichstag ont montre qu'il se
trompe sur le premier point. Quant aux
Etats-Unis. le mois de février nous a fait
voir qu'ils sont encore loin d'être prêts a
intervenir en Europe d'une manière effica-
ce. Quand leurs préparatifs seront termi-
née, il y aura la question des transports
à régler. Le secrétaire de la marine et le
contrôleur de la navigation américaine ne
seront pas les seuls à donner leur, avis à
ce moment-là. Ce sont nos sous-marins qui
prononceront les paroles décisives. - (Capi-
taine de vaisseau von Pustaiu) Tâgliche
Rundschau, 7.3.
MARINE MARCHANDE
Le tonnage britannique. —. L'ennemi a
réussi à couler, au cours de l'année 1917, ,
4.500.000 tonnes de navires britanniques.
Pendant le même laps de temps nous en
avons construit 1.500.000 ; la perte nette est
donc du cinquième de notre tonnage actuel
total. En janvier et février, malgré les dé-
clarations optimistes, la moyenne de cons-
truction n'a pas été supérieure à celle de
l'an passé. Le marché neutre de navres a
été épuisé ! Tout navire que nous perdons
vient en déduction du tonnage déjà réduit ; -
le pourcentage de perte augmente donc. Sir
Eric Geddes, le général Collard et Sir Alan
Anderson (ce dernier directeur d'une com-
pagnie de navigation) ne sont pas des spé-
cialistes de la construction maritime, tout
en étant des hommes éminents. - Le toc-
sin a sonné. Les plans que nous avons adop-
tés ont été ou mal choisis ou mal exécutés. -
Ce qui est nécessaire c'est une organisation
centrale effective, sous le contrôle d'un spé-
cialiste de la navigation, ainsi qu'une main-
d'oeuvre iiombreuse. (A. Hurd). Daily
Telegraph, 7.3.
AVENIR ECONOMIQUE
Angola. — La Capital [de Lisbonne], 2.3,
publie l'interview d'un haut fonctionnaire
récemment arrivé de l'Angola où il a séjour-
né pendant 17 ans et très convaincu que
cette importante colonie peut et doit pros-
pérer. Son avenir réside incontestablement
dans l'exploitation de son sol d'une merveil-
leuse richesse et de sa végétation exubéran-
te entre toutes. Malheureusement rien n'a
encore été fait dans ce sens et cela tient -
au manque de capitaux et de protection de
la part de l'Etat. Aucune garantie n'est ac-
cordée aux planteurs qui doivent souvent
abandonner leurs cultures faute de main-
d'œuvre et de moyens de transport pour
leurs produits. Bien que la colonie dépense
2.000 contos (10 millions de francs) pour son
administration militaire, il n'y a cependant
pas de routes et ses postes sont sans dé-
fense et cette situation a dû largement con-
tribuer aux lamentables événements de Sé-
lès et d'Amboïm. On a dépensé 40.000 con-
tos (200 millions de francs) pour les derniè-
res. expéditions. Si ces sommes énormes
avaient été employées à favoriser l'essor de.
la colonie, il y a longtemps que d'admira-
bles résultats auraient été obtenus. Il con-
viendrait tout d'abord d'encourager la cul-
ture des céréales ,dont la production assu-
rerait l'alimentation de la métropole, puis
les industries pour lesquelles l'utilisation
des nombreuses et puissantes chutes d'eau
serait un-très préeieux facteur de progrès le
transport de 1 énergie électrique fournie par
N° 741
Paris, 15 mars 1918.
~tin Quotidien de Presse Etrangère
Résidentiel
- -
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères. 1
fQU ES'fIONSMILITAlRES
OPERATIONS
e T->
Lgne "j¡èle rus~.,,, a cessé 'enlrer
~EE allemanue :
une plus de canons que'ijolisn'en avioills
temps de paix C'est le cas au a a^Qn.
chiffres. Une conlpnraisun aujourd'hui
et du est celle du nombre des offi-
faits prisonniers des S^,lats que nous
~soldats. La proportion est de 1 pour
1/2. Elle n'est pas normale. Elle s'expli-
que sur ce f (lit que les officiers russes ne
~propre en S6cnri+ au milieu de
u
escorter par des hommes
pour circuler parmi leurs troupes. Un
à peine des effectifs est resté groupé
Livonie ne cOmptaient pJns que
hommes qui l'es le de l'armée régu-
russe ve fondre comme la neige au
A. Toute l' alIlhon de la
se poeter sur l'armée révolutionmaire
Grandes-Rouges. Cette armée na semble
se soucier du paragraphe 5, de notre
avec la Grande-Russie, qui prescri-
au démbilisation A la date du 4 mars,
alors plus de 100.000 oÙvriprs. Dps
de source allemande confirment
cette armée ne s'O(Cune en aucune
de la signature de la paix. Stockholm
de Ce sont là les dernières con-
de l'ancienne Russie Les troupes
~se désorganiseront pour
~raisons que les troupes régu-
au front russe, et aussi celles du fron-
■H nvï « oapnsiïlCld,entales °"t
lin - e « off ell,%I- ve préventive ».
~lais n''en sont 'Dn« ^«rtwana: Les
~anglais préferent attendre
l'Amérique. IllJion. SOti,ine que
a eu un million de tués, lors
dernières F l'n,nç:us ont Artois et
.comn 11* leur
: de ma-
~compterait au moins 60 divi.
~cette armée se concentrera-t-elle
sa mission ? Si elle n'a qu'un
de défensive. elle se, tiendra
~au centre front de bataille
cxe front a 650 klm de
à t(.Mp% par-
l'appellera. Si elle disperse ses
cesse d'être une puissante ar-
faut Pas que
llnaglDe que nos pri-
Russie pourront être mis en
front occident aussitôt leur
Ibération. Ce n'est que dans quelques mois
qu'ils constitueront un renfort sérieux pour
nos troupes de l'Ouest. - (Von Ardenne)
Berliner Tageblall, 8.3.
--'VV"VV
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
GUERRE SOUS-MARINE
Les résultats en février 1918 : PRESSE
ALLEMANDE. - Le mois de fevrir a été mar-
qué par le retour du W olf qui, au cours de
sa glorieuse cruisière, a couté au moins 35
navales, c'est-à-dire plus de 210.000 tonnes.
Nos sous-marins avaient coulé, en janvier,
632.000 tonnes. Le chiffre de février doit au
moins être aussi élevé, car nos submersibles
ont opéré dans toutes les zones d'~ente*. d'c-
tion. Seule, la mar Glaciale n'est pas nom-
mée dans leurs rapports. Ils ont coulé, en-
tre autres navires, le Tuscania, le Minne
tonka et le bateau français Dives. Le navire-
hôpital dl Glencart-Castie a dû couler sur une
mine. Il n'a certainement pas été torpillé,
par un de nos sous-marins. Tous les men-
songes ne nos ennems ne peuvent empê-
cher notre guerre sous-marine de suivre
son cours. Le 14/15 février, nous avons at-
taqué avec succès la flottide anglaise, char-
gée de la surveillance de Douvres. Notre
cœur déborde de joie, quand nous pensons
aux résultats de cette attaque. Un bateau-
pilote, quatre bateaux automobiles, à mar-
che rapide, un torpilleur d'ancien modèle,
un destroyer de sous-marins et douze au-
tres embarcations armées ainsi que douze
bateaux ordinaires au moins (ont été dé-
truits. Cette destraction de la flottille de
Douvres a pour nous, une très grande im-
portance. La seule opération offensive des
Anglais en février a été dirigée contre le
Gœben, échoué dans les Dardanelles. Deux
sous-marins y ont pris part, L'un d'eux
a été détruit par les batteries turques de
la côte ; l'autre est vraisemblablement dé-
moli, il a été touché, en plein, but, par l'un
de nos projectiles. Cependant, le Gœben a
été ramené à Constantinople et il pourra
prochainement reprendre la mer. - Sur la
côte des Flandres les Anglais n'ont enre-
gi stré aucun succès. De notre côté, nous
avons attaqué les côtes de l'Angleterre, au
cours, de deux raids d'aviation, qui' ont
brillamment réussi. Tous ces succès ont
contribué à rendre plus aiguë en Angleterre
la crise de l'armentation. Aussi nous ne
trouvons à l'attitude de M. Balfour, qui
continue à parler en vainqueur, que deux
explications. - Il doit compter sur des dig-
senssions à l'intérieur de l'Allemagne ou
sur l'aide des Etats-Unis. Les récentes dis-
cussions au Reichstag ont montre qu'il se
trompe sur le premier point. Quant aux
Etats-Unis. le mois de février nous a fait
voir qu'ils sont encore loin d'être prêts a
intervenir en Europe d'une manière effica-
ce. Quand leurs préparatifs seront termi-
née, il y aura la question des transports
à régler. Le secrétaire de la marine et le
contrôleur de la navigation américaine ne
seront pas les seuls à donner leur, avis à
ce moment-là. Ce sont nos sous-marins qui
prononceront les paroles décisives. - (Capi-
taine de vaisseau von Pustaiu) Tâgliche
Rundschau, 7.3.
MARINE MARCHANDE
Le tonnage britannique. —. L'ennemi a
réussi à couler, au cours de l'année 1917, ,
4.500.000 tonnes de navires britanniques.
Pendant le même laps de temps nous en
avons construit 1.500.000 ; la perte nette est
donc du cinquième de notre tonnage actuel
total. En janvier et février, malgré les dé-
clarations optimistes, la moyenne de cons-
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l'an passé. Le marché neutre de navres a
été épuisé ! Tout navire que nous perdons
vient en déduction du tonnage déjà réduit ; -
le pourcentage de perte augmente donc. Sir
Eric Geddes, le général Collard et Sir Alan
Anderson (ce dernier directeur d'une com-
pagnie de navigation) ne sont pas des spé-
cialistes de la construction maritime, tout
en étant des hommes éminents. - Le toc-
sin a sonné. Les plans que nous avons adop-
tés ont été ou mal choisis ou mal exécutés. -
Ce qui est nécessaire c'est une organisation
centrale effective, sous le contrôle d'un spé-
cialiste de la navigation, ainsi qu'une main-
d'oeuvre iiombreuse. (A. Hurd). Daily
Telegraph, 7.3.
AVENIR ECONOMIQUE
Angola. — La Capital [de Lisbonne], 2.3,
publie l'interview d'un haut fonctionnaire
récemment arrivé de l'Angola où il a séjour-
né pendant 17 ans et très convaincu que
cette importante colonie peut et doit pros-
pérer. Son avenir réside incontestablement
dans l'exploitation de son sol d'une merveil-
leuse richesse et de sa végétation exubéran-
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encore été fait dans ce sens et cela tient -
au manque de capitaux et de protection de
la part de l'Etat. Aucune garantie n'est ac-
cordée aux planteurs qui doivent souvent
abandonner leurs cultures faute de main-
d'œuvre et de moyens de transport pour
leurs produits. Bien que la colonie dépense
2.000 contos (10 millions de francs) pour son
administration militaire, il n'y a cependant
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fense et cette situation a dû largement con-
tribuer aux lamentables événements de Sé-
lès et d'Amboïm. On a dépensé 40.000 con-
tos (200 millions de francs) pour les derniè-
res. expéditions. Si ces sommes énormes
avaient été employées à favoriser l'essor de.
la colonie, il y a longtemps que d'admira-
bles résultats auraient été obtenus. Il con-
viendrait tout d'abord d'encourager la cul-
ture des céréales ,dont la production assu-
rerait l'alimentation de la métropole, puis
les industries pour lesquelles l'utilisation
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