Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-03-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 mars 1918 01 mars 1918
Description : 1918/03/01 (T8,N730). 1918/03/01 (T8,N730).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384241
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
GUEIIIIE
~II r. RANGEHES
\° 730
Paris, 1er mars 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
Confidentiel
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
~0PE*ATI0NS
~%i - nnUITS D'OFFENSIVE
~[ iSDE. etoujours avec le
~l,^lS8ce!CT mrnine, d'une offen-
~»t °cci(ierft ?e grandp 'J enver«ure sur le
~s lO'ils y S0lent Darvo s arrivent
~r to es problèmes russes et jus-
~iJ»nriP »ter°nt 0|,rs' les Austro-
~ands e nt eront guère' en France
~,r"m Une offen• ans le but de
~'l il USSer il une offensive prématurée.
~C' L"S' est le secret de leurs
~leold uoe offensive occidentale que
~■' ? n<4 0?frlrensive d forandables
~III 'l'' .tte offensive d'éfl' Peut-0tre l'en-
~Ir, rf'nro - egûlernent désireux de nous
~,''t1oI,cer nns nl'Olées de Macédoine, e
~et d Italie. -
~, : L'a';'I" EN !jUS'\E - De Nlro.
~';"1Jr 'lice allSlro-allemande Se déve-
~le llte, La première vers
~r",""d" r, de la Côte, visnnt Pétrogl'nd ;
~le I de p long du réseau de VOieS
~¡ du cîkO-Pétrograd: la troisième
~Kieolopk pour
~tr 0,, Unication s en tre Pétro-
~i<. "n, d'ou; la quatrième à travers
~!!i. ".s e;as .Ia direction d'Odessa.
'0 nemies sont peu nombreu-
£ >ï,a,Uité !1rti]leriP ?A rPaJeure par-
~"tt quahtt, - et d'une
~i a n;, 'r ?1 blindées.
~'N 'KS àhi c1es Pas de résistance sé-
~l>lL?varfS r)ontinîa.ts .^artillerie et
~n^°nnant 'se rirent
~Peuvent
~O1 Dr* et sans dlf-
~ligne la défense
~A. 116 senJk, dans la Zone monta-
~Pas ceiendant que
~Wl les mesures
él.. etdPasse de licine à tra-
~lfti« ^»h&s V ~!N IS* A „Pour le ?^in. i étant
~:, fie lignx stacle: L'offensive sur la
~h^4 e est i ParticunJ.Xrement mena-
~!?>ns N^eliLten<3 h
~entfe
V*Hiil» -(] ^trogrnd rSr les c°m-
~?4lit c,es dernière temps se sont
un danger réel
~XyO«^trïe l»«ne Jejà tenté fie
~ad ^0 couPer
~,U k;> ^24rtjp? ^^net t^0hm v,-,lleJO'irgmio
"ill l", '?ee la !jOlilnanie, Paix
~m 'a situation à
l'Est. L'armée roumaine vient de quitter la
région qui se trouve entre le Sereth. le
Trotus et la Susita, pour se répandre en
Moldavie et en Bessarabie. Elle occupe une
trop vasie étendue de territoires pour que
toutes ses troupes puissent entrer en ac-
tion en même temps. L'augmentation de
50.000 hommes que lui a value l'incorpora-
tion de la classe 1919 en Moldavie aura sur-
tout servi à combler des vides. Le moral
de l'armée roumaine est toujours très bon.
Mais elle ne pourra continuer à se battre
bien longtemps. La Roumanie ne fabrique
pas de munitions, et elle ne peut pas en
recevoir du dehors. Le général Averesco
le maître actuel des destinées militaires et
politiques de ce pays, n'a le choix qu'entre
la signature d'une paix immédiate ou la
prochaine capitulation de son armée- C'est
avec le plus grand calme que nous atten-
dons sa décision. Il est facile de comprendre
tous les avantages que la Quadruplice re-
tirerait de la liquidation définitive de son
front au Sud. Il ne faut pas qu'elle reste à
mi-chemin du but. Il faut qu'elle mène jus-
qu'au bout la guerre qu'elle vient de recom-
mencer avec la Russie, qu'elle atteigne les
buts qu'elle s'est fixés et qu'elle obtienne
toutes les garanties nécessaires. C'est là
notre opinion. La majorité des grands jour-
naux allemands est de notre avis. — (Von
Ardenne) Magdeburgische Zeitung, 24 2.
COMMANDEMENT
Le Kronprinz n'est pas seulement le chef
de son groupe d'armées, il en est l'âme. Il
s'efforce d'avoir des rapports personnels
avec les milliers de combattante qui se
trouvent sur l'Aisne et devant Reims, en
Champagne, dans l'Argonne et à Verdun.
Dès que le travail absorbant du Quartier
Général lui laisse un instant de loisir, il
.se rend sur le front. Il va voir, tour à
tour, les Silésiens, les Saxons, les Thurin.
giens les Rhénans. Ces visites n'ont rien
d'officiel. Ce n'est pas le chef de l'armée qui
vient voir les soldats, c'est le chef d'une
grande famille qui se préoccupe des affai-
res personnelles de chacun. Le soldat se
sent honoré et réconforté par de telles visi-
tes. Il rend de tout son cœur l'affection qui
lui est ainsi témoignée. En temps de paix
déjà le prince impérial jouissait d'une gloire
spéciale. Il symbolisait les espoirs de l'Alle-
magne. La guerre a mis en lumière ses sen-
ments chevaleresques et la profonde modes-
tie de sa nature primesautière. Quelle aber-
ration de la part de nos ennemis de tourner
en dérision, comme ils le font, le prince hé-
ritier d'Allemagne ! (Max Osborn) Vossische
Zeitung. 21.2. - 1
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
GUERRE SOUS-MARINE
Les pertes de l'Entente. — PRESSE ALLE-
MANDE. — Le chiffre total des pertes de la
marine ennemie pendant la première an-
née de la guerre sous-marine à outrance
est évalué à 9.500.000 tonnes. Pour le mois
de janvier 1916 le chiffre atteint 652 000
tonnes, chiffre inférieur d'environ 3().()oo
tonnes à celui de décembre. Les chif-
fres n'ont d'ailleurs pas une grande signifi-
cation par eux-mêmes. Nous n'essayons pas
d'établir des records ; nous vouions" détruire
des navires et gêner le trafic maritime de
nos ennemis. Des attestations anglaises
françaises et italiennes prouvent que nous
y réussissons de plus en plus. Le chiffre
de 9 millions 1/2, que nous avons atteint
pour l'année est supérieur au chiffre du ton-
nage total des marines marchandes alle-
mande et américaine avant la guerre. L'im-
portance de cette perte est. d'autant :'lliS
grande pour nos ennemis, que les navire
perdus étaient au service de l'autorité mili-
taire. Nous avons tout lieu 1'ft,.I,,'' satisfaits
des résultats obtenus. Ils contribuent a ha-
ter la signature prochaine de la paix. -
Tous les journaux. 22.2.
Angleterre. — LE TONNAGE BRITANNIQUE : La
piraterie suit son-cours. L'Allemagne utilise
maintenant des croiseurs sous-marins d un
grand déplacement, armés de canons de
à pouces 9 ; le projectile, de 90 livres, est
un engin plus puissant que ceux des croi-
seurs légers. Il s'agit de savoir si la vitesse
accélérée de ces navires (18 nœuds), la puis-
sance de leurs canons, la résistance de leur
cuirasse compensent le surcroît de dépla-
cement, de personnel, de visibilité, et la len-
teur de leur immersion. Ils demandent
certainement un plus grand effort de cons-
truction. Depuis le 25 février de l'an der-
nier nous avons perdu : 781 navires de
1.600 tonnes et 280 de petit tonnage
au total : 1.061 navires. Le tonnage
disponible en 1917 était de 20 plus réduit
qu'er. 1916. La situation révélée par ces
chiffres est grave. 20.000 ouvriers venant
des armées sont attendus dans les chan-
tiers. L'an passé nous avons construit seu-
lement 1.163.474 tonnes et acquis à l'étran-
ger 170000 tonnes additionnelles. Le dis-
cours de sir Eric Geddes du 1er novembre
nous faisait espérer une production de 2 mil-
lions" de tonnes. Mais les chiffres sont les
suivants :
tonnes
brutes
Novembre 1917 i 130.375
Décembre 1917 115.753
Janvier 1918 55.598
Notre production diminue donc. Est-ce là
le résultat de toutes les belles promesses de
l'automne ! Nous avpns construit en 3 mois
un peu plus de 300.000 tonnes (ce qui fait
prévoir 1.200.000 tonnes pour l'année entière)
alors qu'en 1913 nous construisions 2.000.000-
de tonnes. On ignore à quoi est due cette
diminution. Est-ce à l'indolence de la main,
d'œuvre, puisque l'acier ne fait pas défaut,
ou la cause en est-elle dans le travail sup-
plémentaire ? De toutes les questions qui
nous préoccupent (besoins de l'armée, pro-
blème alimentaire), la plus importante est
celle du tonnage. Sans les navires nécis-
~II r. RANGEHES
\° 730
Paris, 1er mars 1918.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
Confidentiel
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
~0PE*ATI0NS
~%i - nnUITS D'OFFENSIVE
~[ iSDE. etoujours avec le
~l,^lS8ce!CT mrnine, d'une offen-
~»t °cci(ierft ?e grandp 'J enver«ure sur le
~s lO'ils y S0lent Darvo s arrivent
~r to es problèmes russes et jus-
~iJ»nriP »ter°nt 0|,rs' les Austro-
~ands e nt eront guère' en France
~,r"m Une offen• ans le but de
~'l il USSer il une offensive prématurée.
~C' L"S' est le secret de leurs
~leold uoe offensive occidentale que
~■' ? n<4 0?frlrensive d forandables
~III 'l'' .tte offensive d'éfl' Peut-0tre l'en-
~Ir, rf'nro - egûlernent désireux de nous
~,''t1oI,cer nns nl'Olées de Macédoine, e
~et d Italie. -
~, : L'a';'I" EN !jUS'\E - De Nlro.
~';"1Jr 'lice allSlro-allemande Se déve-
~le llte, La première vers
~r",""d" r, de la Côte, visnnt Pétrogl'nd ;
~le I de p long du réseau de VOieS
~¡ du cîkO-Pétrograd: la troisième
~Kieolopk pour
~tr 0,, Unication s en tre Pétro-
~i<. "n, d'ou; la quatrième à travers
~!!i. ".s e;as .Ia direction d'Odessa.
'0 nemies sont peu nombreu-
£ >ï,a,Uité !1rti]leriP ?A rPaJeure par-
~"tt quahtt, - et d'une
~i a n;, 'r ?1 blindées.
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~Pas ceiendant que
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~:, fie lignx stacle: L'offensive sur la
~h^4 e est i ParticunJ.Xrement mena-
~!?>ns N^eliLten<3 h
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V*Hiil» -(] ^trogrnd rSr les c°m-
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~,U k;> ^24rtjp? ^^net t^0hm v,-,lleJO'irgmio
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l'Est. L'armée roumaine vient de quitter la
région qui se trouve entre le Sereth. le
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Moldavie et en Bessarabie. Elle occupe une
trop vasie étendue de territoires pour que
toutes ses troupes puissent entrer en ac-
tion en même temps. L'augmentation de
50.000 hommes que lui a value l'incorpora-
tion de la classe 1919 en Moldavie aura sur-
tout servi à combler des vides. Le moral
de l'armée roumaine est toujours très bon.
Mais elle ne pourra continuer à se battre
bien longtemps. La Roumanie ne fabrique
pas de munitions, et elle ne peut pas en
recevoir du dehors. Le général Averesco
le maître actuel des destinées militaires et
politiques de ce pays, n'a le choix qu'entre
la signature d'une paix immédiate ou la
prochaine capitulation de son armée- C'est
avec le plus grand calme que nous atten-
dons sa décision. Il est facile de comprendre
tous les avantages que la Quadruplice re-
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mi-chemin du but. Il faut qu'elle mène jus-
qu'au bout la guerre qu'elle vient de recom-
mencer avec la Russie, qu'elle atteigne les
buts qu'elle s'est fixés et qu'elle obtienne
toutes les garanties nécessaires. C'est là
notre opinion. La majorité des grands jour-
naux allemands est de notre avis. — (Von
Ardenne) Magdeburgische Zeitung, 24 2.
COMMANDEMENT
Le Kronprinz n'est pas seulement le chef
de son groupe d'armées, il en est l'âme. Il
s'efforce d'avoir des rapports personnels
avec les milliers de combattante qui se
trouvent sur l'Aisne et devant Reims, en
Champagne, dans l'Argonne et à Verdun.
Dès que le travail absorbant du Quartier
Général lui laisse un instant de loisir, il
.se rend sur le front. Il va voir, tour à
tour, les Silésiens, les Saxons, les Thurin.
giens les Rhénans. Ces visites n'ont rien
d'officiel. Ce n'est pas le chef de l'armée qui
vient voir les soldats, c'est le chef d'une
grande famille qui se préoccupe des affai-
res personnelles de chacun. Le soldat se
sent honoré et réconforté par de telles visi-
tes. Il rend de tout son cœur l'affection qui
lui est ainsi témoignée. En temps de paix
déjà le prince impérial jouissait d'une gloire
spéciale. Il symbolisait les espoirs de l'Alle-
magne. La guerre a mis en lumière ses sen-
ments chevaleresques et la profonde modes-
tie de sa nature primesautière. Quelle aber-
ration de la part de nos ennemis de tourner
en dérision, comme ils le font, le prince hé-
ritier d'Allemagne ! (Max Osborn) Vossische
Zeitung. 21.2. - 1
——— ———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
GUERRE SOUS-MARINE
Les pertes de l'Entente. — PRESSE ALLE-
MANDE. — Le chiffre total des pertes de la
marine ennemie pendant la première an-
née de la guerre sous-marine à outrance
est évalué à 9.500.000 tonnes. Pour le mois
de janvier 1916 le chiffre atteint 652 000
tonnes, chiffre inférieur d'environ 3().()oo
tonnes à celui de décembre. Les chif-
fres n'ont d'ailleurs pas une grande signifi-
cation par eux-mêmes. Nous n'essayons pas
d'établir des records ; nous vouions" détruire
des navires et gêner le trafic maritime de
nos ennemis. Des attestations anglaises
françaises et italiennes prouvent que nous
y réussissons de plus en plus. Le chiffre
de 9 millions 1/2, que nous avons atteint
pour l'année est supérieur au chiffre du ton-
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mande et américaine avant la guerre. L'im-
portance de cette perte est. d'autant :'lliS
grande pour nos ennemis, que les navire
perdus étaient au service de l'autorité mili-
taire. Nous avons tout lieu 1'ft,.I,,'' satisfaits
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ter la signature prochaine de la paix. -
Tous les journaux. 22.2.
Angleterre. — LE TONNAGE BRITANNIQUE : La
piraterie suit son-cours. L'Allemagne utilise
maintenant des croiseurs sous-marins d un
grand déplacement, armés de canons de
à pouces 9 ; le projectile, de 90 livres, est
un engin plus puissant que ceux des croi-
seurs légers. Il s'agit de savoir si la vitesse
accélérée de ces navires (18 nœuds), la puis-
sance de leurs canons, la résistance de leur
cuirasse compensent le surcroît de dépla-
cement, de personnel, de visibilité, et la len-
teur de leur immersion. Ils demandent
certainement un plus grand effort de cons-
truction. Depuis le 25 février de l'an der-
nier nous avons perdu : 781 navires de
1.600 tonnes et 280 de petit tonnage
au total : 1.061 navires. Le tonnage
disponible en 1917 était de 20 plus réduit
qu'er. 1916. La situation révélée par ces
chiffres est grave. 20.000 ouvriers venant
des armées sont attendus dans les chan-
tiers. L'an passé nous avons construit seu-
lement 1.163.474 tonnes et acquis à l'étran-
ger 170000 tonnes additionnelles. Le dis-
cours de sir Eric Geddes du 1er novembre
nous faisait espérer une production de 2 mil-
lions" de tonnes. Mais les chiffres sont les
suivants :
tonnes
brutes
Novembre 1917 i 130.375
Décembre 1917 115.753
Janvier 1918 55.598
Notre production diminue donc. Est-ce là
le résultat de toutes les belles promesses de
l'automne ! Nous avpns construit en 3 mois
un peu plus de 300.000 tonnes (ce qui fait
prévoir 1.200.000 tonnes pour l'année entière)
alors qu'en 1913 nous construisions 2.000.000-
de tonnes. On ignore à quoi est due cette
diminution. Est-ce à l'indolence de la main,
d'œuvre, puisque l'acier ne fait pas défaut,
ou la cause en est-elle dans le travail sup-
plémentaire ? De toutes les questions qui
nous préoccupent (besoins de l'armée, pro-
blème alimentaire), la plus importante est
celle du tonnage. Sans les navires nécis-
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