Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 février 1918 25 février 1918
Description : 1918/02/25 (T8,N726). 1918/02/25 (T8,N726).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338420c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
~GUERRE
ANGÈRES
N° 726
Paris, 25 février 1918.
letin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
-
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
..TIONS. MILIl'AIHES
OPERATIONS .,
générale. - PRESSEALLEMAIE.
ents engagements de reconnais-
~nçaises, au centre du front occi-
des adi-tièles de la presse étran-
ont donné ? conviction que les
les Français cherchent à devan-
propre offensive. L'offensive alle-
~pour eux un cauchemar. Si nous
peuvent être leis combats locaux
~interrompue; des offensive. Celle-
des surprises com-
sa :^ant de noire
~l'attaque du saillant de notre
~Les événements sur le théâtre.
~et plus importants Nous voyons
~la reprise de la marche
~n'avons pas à nous défen-
affirmer nos succèss. Nous ré-
~aux appels d'une population
~ans qU'elle puisse se d'en-
aussi de l'Ukraine qui
gner avec nous la paix et qui
existence A 1 Es.t,
Ukraine ne se bat plus, notre
aourci. Il ne s'étend plus
Dniester. Sur le front nord.
nemi au delà de rejeter défini-
prix laisser la Dvina. Il
adversaire aui s'est fait un de-
de la Russie
l'Europe. Nous aurons fa-
de la resistance de l'armée
Manche. - Notre
~, au cours de la nuit
plus important encore
dit les premiers com-
Nos torpilleurs ont ren-
important de torpilleurs,
sous-marins chargés de
~sous-marins, chargés de
la IQ,U,che. Sur tout le
grâce aux projecteurs et
gnésium il faisait claIr,
jour. Des coups en plein
incendié, puis une torpille
rande unité, qui semblait
le service de un navire
~erre service de surveil-
~a mis en pièces qua-
rapides, qui s'avan-
attaquer. Quelques salves
le feu à un torpilleur
chavira. Les fusées éclai-
projetèrent à bord
elles projetèrent en l'air
parties du bâtiment. Plus
arcations armées ont
9. rnoins ont été
La plupart d'entre
Quelques. bateaux
seulement, fortement endommagés, ont pu
se réfugier à Douvres, distant de quelques
kilomètres. Les pertes de l'ennemi en hom-
nemi sont importantes, proportionnellement
au nombre des navires coulés ; on peut les
évaluer à plus de 300 hommes. Toutes les
embarcations de l'ennemi, que nous avons
attaquées, étaient armées de canons et elles
avaient des bombes à bord. — Journaux
allemands du 19.2.
— Le succès de nos torpilleurs entre Dou-
vres et Calais n'a été possible que parce que
nous occupons la côté des Flandres. Si cette
côte était aux mains de l'Angleterre, c'est
cette nation qui ferait des incursions dans
la baie allemande, avec toutes les chances
de succès. Ce sont là des constatations que
l'on ne fait pas assez souvent en Allema-
gne. La possession de la côte flamande par
l'Angleterre serait d'autant plus menaçànte
pour nous que la force de cette base navale
serait décuplée' par la situation maritime
générale des Anglais. — (E. R.) Deutsche
Tageszeitung, 19.2.
———- - — —
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
« L'offensive de la parole » [sous ce titre].
- Hier, au banquet d'inauguration du Con-
seil des Industriels allemands, le ministre
du commerce Sydow a exposé ses idées
concernant la situation commerciale ac-
tuelle et ses perspectives d'après-guerre.
Le ministre n'a pas caché que ses paroles
visaient le grand public ; l'agence Wolff
s'est empressée de les répandre. — Le pré-
sident du Conseil des industriels a remer-
cié le ministre de son initiative et l'ovation
que lui a faite l'assemblée montre combien
l'opinion approuve ces nouvelles disposi-
tions. Il est grand temps, en effet, que
nos hommes d'Etat passent à leur tour à
l'offensive de la parole pour combattre les
campagnes de dénigrement systématique
poursuivies par les Anglo-Américains chez
nous et à l'étranger. Une première offensive
de ce genre a été tentée à la commission
de guerre des industriels, allemands par le
capitaine de vaisseau Brüninghaus — qui
a parlé de la campagne sous-marine. Au
cours de la manifestation d'hier, le minis-
tre du Commerce, en lui prêtant le concours
de son autorité, vient de signifier quelles
sont désormais à ce sujet les intentions du
gouvernement allemand : sur le terrain di-
plomatique, tout comme sur le champ de
bataille, l'offensive est la condition même'
de la victoire. — Kölnische Zeitung, 18.2.
RAPPORTS ENTRE BELLIGERANTS
ET NEUTRES
La Suède en Finlande.- En refusant
l'aide que réclamait de lui. la Finlande, en
reconnaissant en fait les terroristes finlan-
dals comme une puissance belligérante et en
offrant, une médiation qui fut. comme il était
naturel, repoussée avec mépris, le gou-
vernement suédois a déshonoré notre pays
écarté de nous le jeune Etat finlandais, semé
la division en Suède même. Quoi d'étonnant
à ce qu'il n'ait apporté que lentement, timide-
ment à la population d'Aland le secours ur-
gent que celie-ci réclamait de nous ? Suffi-
sait-il d'envoyer des armes à la Finlande ?
Je ne le crois pas. Il fallait, dès le début du
soulèvement, transporter 2 divisions sous
la protection de la flotte. Le gouvernement
suédois a laissé échapper l'occasion ; vrai-
semblablement le gouvernement allemand,
qui suffit à tout, fera ce que nous aurions dù
faire, et la question peut se poser d'une oc-
cupation. d'Aland par les troupes alleman-
des. 'Les Allemands ont été assez aïmables
pour ne pas se mettre en travers de notre
chemin. Mais les Suédois n'avaient pas le
temps : il leur fallait se quereller entre eux.
La reconnaissance des Finlandais ira plus
tard à l'Allemagne. — (Général C. O. Nor-
densvan) Nya Dagligt Allehanda [de Stock-
holm], 19.2.
— La séance du Riksdag de demain ou
M. Edén doit répondre à une interpellation
de l'extrême gauche sur la politique du ca-
binet à l'égard de la Finlande, aura une
importance historique. Espérons que no-
tre premier ministre saura affirmer hau-
tement que c'est le devoir de notre pays
de secourir la liberté finlandaise mena-
cée par le maximalisme. Déjà le gouverne-
ment a renoncé au principe de la non-inter-
vention en ce qui concerne l'exportation des
armes ; déjà il a su agir avec fermeté et dé-
cision dans la question des troubles d'Aland.
Il est temps qu'il se montre prêt à mettre
en pratique les déclarations faites par M.
Edén lui-même le 4 janvier de'rnier, lors-
qu'il exprimait devant le Conseil des minis-
tres « l'espoir que la Finlande, entrant dans
les rangs des peuples libres, adhère à la po-
litique de paix et de collaboration confiante
qui a de plus en plus étroitement uni dans
ces dernières années les peuples scandi-
naves. » Prenions garde que la Finlande, dé-
laissée par la Suède passive, ne s'attache à
l'Allemagne secourable par des liens plus
forts qu'avec ses voisins scandinaves. Elle
tourne en ce moment ses regards vers la
grande puissance qui a définitivement sauvé
l'Europe du péril russe ; or, nous avons, in-
térêt à ce que les petits peuples scandinaves
maintiennent leur indépendance au milieu
des grande puissances. — Nya Dagligt
Allehanda, 19.2. -
DISCUSSIONS DE PAIX
,
L'Allemagne et les « problèmes de l'Est » :
LIVONIE ET ESTHONIE. — Les derniers événe-
ments de Riga montrent quel serait le ré- ,
sultat d'une évacuation des provinces bal- 1
tiques devant les maximalistès. Les mani-
festations n'étaient pas dirigées contre' le
germanisme ou l'occupation allemande :
elles avaient les mêmes causes que celles
des ouvriers de Budapest, de Vienne et
de Berlin. Les manifestants' étaient en pos-
session de tracts, imprimés sans aucun
ANGÈRES
N° 726
Paris, 25 février 1918.
letin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
-
NOTA. - Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
..TIONS. MILIl'AIHES
OPERATIONS .,
générale. - PRESSEALLEMAIE.
ents engagements de reconnais-
~nçaises, au centre du front occi-
des adi-tièles de la presse étran-
ont donné ? conviction que les
les Français cherchent à devan-
propre offensive. L'offensive alle-
~pour eux un cauchemar. Si nous
peuvent être leis combats locaux
~interrompue; des offensive. Celle-
des surprises com-
sa :^ant de noire
~l'attaque du saillant de notre
~Les événements sur le théâtre.
~et plus importants Nous voyons
~la reprise de la marche
~n'avons pas à nous défen-
affirmer nos succèss. Nous ré-
~aux appels d'une population
~ans qU'elle puisse se d'en-
aussi de l'Ukraine qui
gner avec nous la paix et qui
existence A 1 Es.t,
Ukraine ne se bat plus, notre
aourci. Il ne s'étend plus
Dniester. Sur le front nord.
nemi au delà de rejeter défini-
prix laisser la Dvina. Il
adversaire aui s'est fait un de-
de la Russie
l'Europe. Nous aurons fa-
de la resistance de l'armée
Manche. - Notre
~, au cours de la nuit
plus important encore
dit les premiers com-
Nos torpilleurs ont ren-
important de torpilleurs,
sous-marins chargés de
~sous-marins, chargés de
la IQ,U,che. Sur tout le
grâce aux projecteurs et
gnésium il faisait claIr,
jour. Des coups en plein
incendié, puis une torpille
rande unité, qui semblait
le service de un navire
~erre service de surveil-
~a mis en pièces qua-
rapides, qui s'avan-
attaquer. Quelques salves
le feu à un torpilleur
chavira. Les fusées éclai-
projetèrent à bord
elles projetèrent en l'air
parties du bâtiment. Plus
arcations armées ont
9. rnoins ont été
La plupart d'entre
Quelques. bateaux
seulement, fortement endommagés, ont pu
se réfugier à Douvres, distant de quelques
kilomètres. Les pertes de l'ennemi en hom-
nemi sont importantes, proportionnellement
au nombre des navires coulés ; on peut les
évaluer à plus de 300 hommes. Toutes les
embarcations de l'ennemi, que nous avons
attaquées, étaient armées de canons et elles
avaient des bombes à bord. — Journaux
allemands du 19.2.
— Le succès de nos torpilleurs entre Dou-
vres et Calais n'a été possible que parce que
nous occupons la côté des Flandres. Si cette
côte était aux mains de l'Angleterre, c'est
cette nation qui ferait des incursions dans
la baie allemande, avec toutes les chances
de succès. Ce sont là des constatations que
l'on ne fait pas assez souvent en Allema-
gne. La possession de la côte flamande par
l'Angleterre serait d'autant plus menaçànte
pour nous que la force de cette base navale
serait décuplée' par la situation maritime
générale des Anglais. — (E. R.) Deutsche
Tageszeitung, 19.2.
———- - — —
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
« L'offensive de la parole » [sous ce titre].
- Hier, au banquet d'inauguration du Con-
seil des Industriels allemands, le ministre
du commerce Sydow a exposé ses idées
concernant la situation commerciale ac-
tuelle et ses perspectives d'après-guerre.
Le ministre n'a pas caché que ses paroles
visaient le grand public ; l'agence Wolff
s'est empressée de les répandre. — Le pré-
sident du Conseil des industriels a remer-
cié le ministre de son initiative et l'ovation
que lui a faite l'assemblée montre combien
l'opinion approuve ces nouvelles disposi-
tions. Il est grand temps, en effet, que
nos hommes d'Etat passent à leur tour à
l'offensive de la parole pour combattre les
campagnes de dénigrement systématique
poursuivies par les Anglo-Américains chez
nous et à l'étranger. Une première offensive
de ce genre a été tentée à la commission
de guerre des industriels, allemands par le
capitaine de vaisseau Brüninghaus — qui
a parlé de la campagne sous-marine. Au
cours de la manifestation d'hier, le minis-
tre du Commerce, en lui prêtant le concours
de son autorité, vient de signifier quelles
sont désormais à ce sujet les intentions du
gouvernement allemand : sur le terrain di-
plomatique, tout comme sur le champ de
bataille, l'offensive est la condition même'
de la victoire. — Kölnische Zeitung, 18.2.
RAPPORTS ENTRE BELLIGERANTS
ET NEUTRES
La Suède en Finlande.- En refusant
l'aide que réclamait de lui. la Finlande, en
reconnaissant en fait les terroristes finlan-
dals comme une puissance belligérante et en
offrant, une médiation qui fut. comme il était
naturel, repoussée avec mépris, le gou-
vernement suédois a déshonoré notre pays
écarté de nous le jeune Etat finlandais, semé
la division en Suède même. Quoi d'étonnant
à ce qu'il n'ait apporté que lentement, timide-
ment à la population d'Aland le secours ur-
gent que celie-ci réclamait de nous ? Suffi-
sait-il d'envoyer des armes à la Finlande ?
Je ne le crois pas. Il fallait, dès le début du
soulèvement, transporter 2 divisions sous
la protection de la flotte. Le gouvernement
suédois a laissé échapper l'occasion ; vrai-
semblablement le gouvernement allemand,
qui suffit à tout, fera ce que nous aurions dù
faire, et la question peut se poser d'une oc-
cupation. d'Aland par les troupes alleman-
des. 'Les Allemands ont été assez aïmables
pour ne pas se mettre en travers de notre
chemin. Mais les Suédois n'avaient pas le
temps : il leur fallait se quereller entre eux.
La reconnaissance des Finlandais ira plus
tard à l'Allemagne. — (Général C. O. Nor-
densvan) Nya Dagligt Allehanda [de Stock-
holm], 19.2.
— La séance du Riksdag de demain ou
M. Edén doit répondre à une interpellation
de l'extrême gauche sur la politique du ca-
binet à l'égard de la Finlande, aura une
importance historique. Espérons que no-
tre premier ministre saura affirmer hau-
tement que c'est le devoir de notre pays
de secourir la liberté finlandaise mena-
cée par le maximalisme. Déjà le gouverne-
ment a renoncé au principe de la non-inter-
vention en ce qui concerne l'exportation des
armes ; déjà il a su agir avec fermeté et dé-
cision dans la question des troubles d'Aland.
Il est temps qu'il se montre prêt à mettre
en pratique les déclarations faites par M.
Edén lui-même le 4 janvier de'rnier, lors-
qu'il exprimait devant le Conseil des minis-
tres « l'espoir que la Finlande, entrant dans
les rangs des peuples libres, adhère à la po-
litique de paix et de collaboration confiante
qui a de plus en plus étroitement uni dans
ces dernières années les peuples scandi-
naves. » Prenions garde que la Finlande, dé-
laissée par la Suède passive, ne s'attache à
l'Allemagne secourable par des liens plus
forts qu'avec ses voisins scandinaves. Elle
tourne en ce moment ses regards vers la
grande puissance qui a définitivement sauvé
l'Europe du péril russe ; or, nous avons, in-
térêt à ce que les petits peuples scandinaves
maintiennent leur indépendance au milieu
des grande puissances. — Nya Dagligt
Allehanda, 19.2. -
DISCUSSIONS DE PAIX
,
L'Allemagne et les « problèmes de l'Est » :
LIVONIE ET ESTHONIE. — Les derniers événe-
ments de Riga montrent quel serait le ré- ,
sultat d'une évacuation des provinces bal- 1
tiques devant les maximalistès. Les mani-
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