Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 février 1918 23 février 1918
Description : 1918/02/23 (T8,N724). 1918/02/23 (T8,N724).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384189
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
^ÛERRE'
BNGÈRES
N° 724
Paris, 23 février 1918.
l
letin Quotidien de Presse Etrangère 1
CONFIDENTIEL
l ----
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
ÉTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
~générale. - nOpinion AMÉ-
~M. Mac Cumber a prononcé au Sé-
discours empreint du plus noir pes-
D' après lui ri ît v perd du ter-
France est incapable du moindre
Angleterre Peut avoir à faire face,
s à faire face,
seules ressources, à une supério-
~érique écrasante, et sa conclusion
les ^^UlSSaaceressources, et que, pour rtablIr
des fo~~ iqUe> pour rétablir
des forces, les Etats-Unis de-
envoyer en Europe une armée de 5
d'hommes. Mais il est persuadé
te de navires nous ne pourrons le
temps utile: Ce discours pourra
trop portés à s'endormir dans
~me complaisant. Mais il est plus
~de que de raison. La France n'est
si près d'avoir épuisé ses réserves
Mac Cumber affecte de la croire.
Allemagne, et non pas la France.
la classe 1919, après avoir usé
de partie des effectifs de la classe
la situation de l'Autriche n'est pas
bre que la pr.QJ: ëne est en meil-
que la France, et elle pourra
effort appeler sous les drapeaux
~mmes de plus. L'Allemagne n'a
ressources à cet égard. L'italie est
le pas périr sous le talon du
Les vétérans anglais et français
forcé ses armées pourront ame-
qui de la fortune. Sa situation
critique que celle des armées an-
françaises avant la bataille de la
en > nt que Russie fa. cessé
en tant que facteur militaire.
~pagande révolutionnaire des
n'est pas ,,--
en Allemagne. Naturellement
attendra pas une Amérique oc-
projets contradictoires de
In» fan t Us Amener et
tions. Il faut un brouillard de
~nous voulons. Mais le pro-
~e e. rmil ons de
~Un million suffirait. Tou-
~pourrons transporter assez
~s av Pour la campagne de
nous avons P -ni us de navires.
~plus Tfie urgent
donc celui du tonnage, et
~drons par des constructions
que ^otrp est rassu.
,% ,succès contre les
Mais mf1116 si nos pro-
~is faudra abandonner cer-
et refondr(1 cer-
nous Pe nos plans. Le
nous cherchons à faire trop
en même temps. - (Ed.)
~es, 18.1.
Guerre navale. — L'activité de nos sous-
marins stimule le zèle de nos torpilleurs.
Malgré les démentis de l'amirauté anglaise,
ceux-ci ont accompli sur mer une série d'ex-
ploits en octobre, novembre et décembre
1916, en janvier, février, mars, avril, mai,
octobre, novembre et décembre 1917, en jan-
vier 1918. ils ont coulé des navires, ils ont
bombardé des villes ennemies. Ils ont fait
de la bonne besogne. La confiance de l'An-
gleterre dans sa flotte va sans cesse en
diminuant. Lloyd, George et ses acolytes ne
sauraient plus tromper ceux qui ont vu les
navires de guerre allemands dans les eaux
anglaises et qui ont constaté les effets pro-
duits par leurs bombardements. L'énorme
flotte anglaise ne peut empêcher l'ennemi
de venir sur les côtes de l'Angleterre. Aussi,
ses chefs et l'amirauté britannique n'ont
plus la confiance populaire. C'est un succès
pour nous ; nos unités navales légères y ont
contribué pour une aussi large part que
nos sous-marins ; mais il est plus facile
de contester leurs exploits que ceux des
sous-marins. — (Von Pustau) Tagliche
Rundschau, 17.2.
MATERIEL
Etats-Unis. - AVIATION : Les experts du
Bureau des Constructions aéronautiques ont
mis à l'étude, annonce-t-on, un moteur d'a-
viation plus puissant que le moteur de la
Liberté, d'e façon à permettre l'emploi d'a-
vions plus grands et plus puissamment ar-
més que ceux actuellement en usage. -
Public Ledger, 19.1.
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
Les traités secrets. — De Pétrograd : On
publie aujourd'hui une partie du texte de
l'accord signé en 1904 par l'Allemagne,
l'Autriche, le Danemark, la Roumanie, la
Serbie, la Suède et la Norvège, la Turquie
et la Bulgarie, en vue d'une action com-
mune pour la répression du mouvement
anarchiste. Le traité prévoit le rapatriement
des sujets anarchistes des Puissances con-
tractantes et la création d'un bureau cen-
tral d'information policière. Rappelons
que, parmi les documents secrets déjà pu-
bliés, figurait le compte rendu d'une tenta-
tive faite par Alphonse XIII pour établir
un accord avec Edouard VII en vue dune
action commune de la Grande-Bretagne et
de l'Espagne contre les anarchistes ; il est
donc curieux que l'Espagne ne figure point
au nombre des puissances contractantes.
Le traité est accompagné d'un mémorandum
émanant du comte Lamsdorf, ministre des
Affaires Etrangères, et prouvant que celui-
ci considérait comme anarchistes tous ceux
qui étaient associés au mouvement révolu-
tionnaire russe, et surtout les Juifs. Le mi-
nistre se livre à des commentaires amers
sur le rôle joué par les Juifs anglais, parti-
culièrement Lucien Woolf, pour défendre
leurs coreligionnaires russes. Il dit : « Le
Vatican nous rendrait un service inesti-
mable en révélant au gouvernement russe
la funeste organisation de la maçonnerie
juive dont le siège est à Paris. » La note
Lamsdorf mentionne une tentative faite
pour établir une organisation avec l'appui
de toutes les monarchies d'Europe, dans le
but de combattre les tendances - anti-chré-
tiennes et anti-monarchiques. On nous pro-
met la publication d'autres documents. -
Daly Chronicle, 19.2.
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La politique anglaise. — OPINION ALLE-
MANDE. — L'Angleterre champion des peti-
tes nationalités vient de se montrer une fois
de plus sous son vrai jour. Qu'on lisè l'ar-
ticle du colonel Repington dans la Morning
Post, et il y aura une suite. Si c'est vrai-
ment là ce que l'Angleterre voulait faire
aboutir à Versailles, — et nous n'avons au-
cune-raison d'en douter — elle n'a fait que
rester fidèle aux antiques traditions du plus
brutal égoïsme britannique. Lloyd George
aurait invité la conférence à une nouvelle
« promenade excentrique », mais sa propo-
sition n'aurait pas eu de succès. Même si
on ne nous l'avait pas révélé, il n'est pas
difficile de découvrir que c'est contre les
Turcs que l'impulsif fantasque voulait dé-
clencher l'expédition : c'est de ce territoire
qu'il y aurait à découper les r-Ius larges
tranches, et, à présent que les Russes ne
veulent plus combattre, les autres alliés tire-
raient pour l'Angleterre les marrons du feu.
Le Gouvernement britannique serait même
disposé à mettre dans une nouvelle entre-
prise des Dardanelles plus de vigueur que
par le passé, car la Russie n'est mainte-
nant plus concurrente à Constantinople. —
Les révélations de Repington concernant
le front occidental sont beaucoup plus im-
portantes. Lloyd George n'aurait donné
aux Alliés aucun 'espoir de voir renforcer
les troupes britanniques. Ces dernières di-
minuent peu à peu, tandis que la France et
l'Amérique sont résolues à combattre jus-
qu'au dernier homme. Nous voici donc à
peu près renseignés sur ce qu'il convient de
penser de nombreux millions de soldats an-
glais en Belgique, et en France. Le pre-
mier ministrie britannique voulait faire com-
battre non seulement ses troupes, mais sur-
tout celles de ses alliés pour la politique
impérialiste de son pays. Ses alliés s'étant
montrés récalcitrants à Versailles, il les a
punis en leur refusant d'autres régiments
anglais pour le front occidental. Toutefois.
pour rassurer les Français, il a fait à leur
vanité les plus grandes concessions possi-
bles en adhérant à la nomination du géné-
ral Foch comme généralissime, de toutes les
troupes de l'Entente combattant sur le front
occidental. Cette adhésion éntrathait la sup-
pression du Grand Etat-Major de Londres,
et de fait, il a été supprimé. — Nous igno-
rons évidemment jusqu'à quel point ces ré-
vélations de Repington sont conformes à la
BNGÈRES
N° 724
Paris, 23 février 1918.
l
letin Quotidien de Presse Etrangère 1
CONFIDENTIEL
l ----
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
ÉTIONS MILITAIRES
OPERATIONS
~générale. - nOpinion AMÉ-
~M. Mac Cumber a prononcé au Sé-
discours empreint du plus noir pes-
D' après lui ri ît v perd du ter-
France est incapable du moindre
Angleterre Peut avoir à faire face,
s à faire face,
seules ressources, à une supério-
~érique écrasante, et sa conclusion
les ^^UlSSaace
des fo~~ iqUe> pour rétablir
des forces, les Etats-Unis de-
envoyer en Europe une armée de 5
d'hommes. Mais il est persuadé
te de navires nous ne pourrons le
temps utile: Ce discours pourra
trop portés à s'endormir dans
~me complaisant. Mais il est plus
~de que de raison. La France n'est
si près d'avoir épuisé ses réserves
Mac Cumber affecte de la croire.
Allemagne, et non pas la France.
la classe 1919, après avoir usé
de partie des effectifs de la classe
la situation de l'Autriche n'est pas
bre que la pr.QJ: ëne est en meil-
que la France, et elle pourra
effort appeler sous les drapeaux
~mmes de plus. L'Allemagne n'a
ressources à cet égard. L'italie est
le pas périr sous le talon du
Les vétérans anglais et français
forcé ses armées pourront ame-
qui de la fortune. Sa situation
critique que celle des armées an-
françaises avant la bataille de la
en > nt que Russie fa. cessé
en tant que facteur militaire.
~pagande révolutionnaire des
n'est pas ,,--
en Allemagne. Naturellement
attendra pas une Amérique oc-
projets contradictoires de
In» fan t Us Amener et
tions. Il faut un brouillard de
~nous voulons. Mais le pro-
~e e. rmil ons de
~Un million suffirait. Tou-
~pourrons transporter assez
~s av Pour la campagne de
nous avons P -ni us de navires.
~plus Tfie urgent
donc celui du tonnage, et
~drons par des constructions
que ^otrp est rassu.
,% ,succès contre les
Mais mf1116 si nos pro-
~is faudra abandonner cer-
et refondr(1 cer-
nous Pe nos plans. Le
nous cherchons à faire trop
en même temps. - (Ed.)
~es, 18.1.
Guerre navale. — L'activité de nos sous-
marins stimule le zèle de nos torpilleurs.
Malgré les démentis de l'amirauté anglaise,
ceux-ci ont accompli sur mer une série d'ex-
ploits en octobre, novembre et décembre
1916, en janvier, février, mars, avril, mai,
octobre, novembre et décembre 1917, en jan-
vier 1918. ils ont coulé des navires, ils ont
bombardé des villes ennemies. Ils ont fait
de la bonne besogne. La confiance de l'An-
gleterre dans sa flotte va sans cesse en
diminuant. Lloyd, George et ses acolytes ne
sauraient plus tromper ceux qui ont vu les
navires de guerre allemands dans les eaux
anglaises et qui ont constaté les effets pro-
duits par leurs bombardements. L'énorme
flotte anglaise ne peut empêcher l'ennemi
de venir sur les côtes de l'Angleterre. Aussi,
ses chefs et l'amirauté britannique n'ont
plus la confiance populaire. C'est un succès
pour nous ; nos unités navales légères y ont
contribué pour une aussi large part que
nos sous-marins ; mais il est plus facile
de contester leurs exploits que ceux des
sous-marins. — (Von Pustau) Tagliche
Rundschau, 17.2.
MATERIEL
Etats-Unis. - AVIATION : Les experts du
Bureau des Constructions aéronautiques ont
mis à l'étude, annonce-t-on, un moteur d'a-
viation plus puissant que le moteur de la
Liberté, d'e façon à permettre l'emploi d'a-
vions plus grands et plus puissamment ar-
més que ceux actuellement en usage. -
Public Ledger, 19.1.
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
Les traités secrets. — De Pétrograd : On
publie aujourd'hui une partie du texte de
l'accord signé en 1904 par l'Allemagne,
l'Autriche, le Danemark, la Roumanie, la
Serbie, la Suède et la Norvège, la Turquie
et la Bulgarie, en vue d'une action com-
mune pour la répression du mouvement
anarchiste. Le traité prévoit le rapatriement
des sujets anarchistes des Puissances con-
tractantes et la création d'un bureau cen-
tral d'information policière. Rappelons
que, parmi les documents secrets déjà pu-
bliés, figurait le compte rendu d'une tenta-
tive faite par Alphonse XIII pour établir
un accord avec Edouard VII en vue dune
action commune de la Grande-Bretagne et
de l'Espagne contre les anarchistes ; il est
donc curieux que l'Espagne ne figure point
au nombre des puissances contractantes.
Le traité est accompagné d'un mémorandum
émanant du comte Lamsdorf, ministre des
Affaires Etrangères, et prouvant que celui-
ci considérait comme anarchistes tous ceux
qui étaient associés au mouvement révolu-
tionnaire russe, et surtout les Juifs. Le mi-
nistre se livre à des commentaires amers
sur le rôle joué par les Juifs anglais, parti-
culièrement Lucien Woolf, pour défendre
leurs coreligionnaires russes. Il dit : « Le
Vatican nous rendrait un service inesti-
mable en révélant au gouvernement russe
la funeste organisation de la maçonnerie
juive dont le siège est à Paris. » La note
Lamsdorf mentionne une tentative faite
pour établir une organisation avec l'appui
de toutes les monarchies d'Europe, dans le
but de combattre les tendances - anti-chré-
tiennes et anti-monarchiques. On nous pro-
met la publication d'autres documents. -
Daly Chronicle, 19.2.
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La politique anglaise. — OPINION ALLE-
MANDE. — L'Angleterre champion des peti-
tes nationalités vient de se montrer une fois
de plus sous son vrai jour. Qu'on lisè l'ar-
ticle du colonel Repington dans la Morning
Post, et il y aura une suite. Si c'est vrai-
ment là ce que l'Angleterre voulait faire
aboutir à Versailles, — et nous n'avons au-
cune-raison d'en douter — elle n'a fait que
rester fidèle aux antiques traditions du plus
brutal égoïsme britannique. Lloyd George
aurait invité la conférence à une nouvelle
« promenade excentrique », mais sa propo-
sition n'aurait pas eu de succès. Même si
on ne nous l'avait pas révélé, il n'est pas
difficile de découvrir que c'est contre les
Turcs que l'impulsif fantasque voulait dé-
clencher l'expédition : c'est de ce territoire
qu'il y aurait à découper les r-Ius larges
tranches, et, à présent que les Russes ne
veulent plus combattre, les autres alliés tire-
raient pour l'Angleterre les marrons du feu.
Le Gouvernement britannique serait même
disposé à mettre dans une nouvelle entre-
prise des Dardanelles plus de vigueur que
par le passé, car la Russie n'est mainte-
nant plus concurrente à Constantinople. —
Les révélations de Repington concernant
le front occidental sont beaucoup plus im-
portantes. Lloyd George n'aurait donné
aux Alliés aucun 'espoir de voir renforcer
les troupes britanniques. Ces dernières di-
minuent peu à peu, tandis que la France et
l'Amérique sont résolues à combattre jus-
qu'au dernier homme. Nous voici donc à
peu près renseignés sur ce qu'il convient de
penser de nombreux millions de soldats an-
glais en Belgique, et en France. Le pre-
mier ministrie britannique voulait faire com-
battre non seulement ses troupes, mais sur-
tout celles de ses alliés pour la politique
impérialiste de son pays. Ses alliés s'étant
montrés récalcitrants à Versailles, il les a
punis en leur refusant d'autres régiments
anglais pour le front occidental. Toutefois.
pour rassurer les Français, il a fait à leur
vanité les plus grandes concessions possi-
bles en adhérant à la nomination du géné-
ral Foch comme généralissime, de toutes les
troupes de l'Entente combattant sur le front
occidental. Cette adhésion éntrathait la sup-
pression du Grand Etat-Major de Londres,
et de fait, il a été supprimé. — Nous igno-
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