Presse et revues
8 pages
Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 février 1918 18 février 1918
Description : 1918/02/18 (T8,N719). 1918/02/18 (T8,N719).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384137
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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N° 719
Paris. 18 février 1918.
UIletinQuotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
UIiTIOM MILlTAIl{ES
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^RESSE ALL £ MANDE :
sur u 1Vr^nçais cummencent-Ils, à
6 <ïu ils n'ont Pan ? remPorté la vie
M^ne
S a fr Us que la bataille de la
li ^8 » iii'eneu^ de fumant décisif. La
\IIISutü, IIleneurs du Peuple français ne
rnequ p (In tel qveu. C'est sur la
¡Il¡Jl'èUne lOIS encorp è av.c une force ac-
queles Hu,sses ont déclaré l'état
Ju0 ~der de eont-
Inailder le poids
"Si Cl al^ns fai;SerUlr le Poids
Notre m»r vf tn°mphale fut
Par rl- nvasion
"lijeSf:l'iln l,Invasion russe et non par les
? franca iSes* Cette pfflr0^ ue Pério(ie a
^8i 1 axis 1/2 Fiii n'aura été qu'un
nte e de entre les événements
«Cî s déronio i sur le sol de la
sencore X, peul-être Plus gran-
1 plus gran"
i W. î)rSêts -^l'US ri demain, Nous
Sh l' ts. Plous de m ^enace derrière
lieu,) le all, en armes fait
JII allemanH? 6n armes fait
hu Pte e oX~ armes fait
Sift e1 PI, Pl'Us'nn
,nte queîamais
rles de perre ait encore I-ossédée ? Les
bout us, e arant que sa science
N er fièr 1 as donnent l'occasion de
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IllQn Prêt3 à Tialx. bien ! Sinon, nous »-
tI) \1 o'8i a. hguerre. 1) - (Erich von Salz-
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Jus ape4 ralt clair ellle,,t sont prises sur
S^S"1»!- De '®s réserves Jran-
Sli, dis-
it Ir bnI "kiden tal. 1) e fortes réserves frn-
tette on du consttuées et mises à la dlS-
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8Q lllesUre ConseIl SUp'jrieur de guerre,
qui a fois d'épargner
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On frl rnd'être nn ,
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iendu a la valeur de l'armee
a fait v preuvesdans la
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11 suPéneur de
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'I:r 14011 d] r d qu,°n ne
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fQ" n pr Od!es du Commandement
n dm, tVis'ion dp<5 événements et
Co^Prc?mrnandement
^VlN*^,KsoS dre au'n ~nements et
V- ertt le= A ont eux aussi.
nCn^n8onglais ont fait
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Sient du nureau des
t se Eiin ilti déclare que
Moines
SI U Production des
avions d'instruction dépassera les besoins
des élèves pilotes des écoles américaines.
Avant deux semaines aussi, on commencera
à produire, pour les écoles, des modèles de
tous points semblables à ceux en usage au
front, et, dans un délai de 90 jours, la pro-
duction sera à la hauteur des besoins. -
D'autre part, à un meeting de la Société des
Automotive Engineers, le commandant
Jesse G. Vincent a affirmé que, pour la
puissance, la vitesse et la sécurité, le mo-
teur de la Liberté est supérieur à tous ceux
qu'on produit à l'étranger. Il donne plus de
400 H.-P. pour un poids de 800 livres, tan-
dis que son rival le plus sérieux donne un
rendement un peu moindre pour un poids
de 950 livres (1 1. =454 gr.). Les Etats-Unis
ont, d'autre part, l'avantage de pouvoir
produire ces moteurs en quantités plus
grandes qu'aucun autre pays du monde. —
Sun [de New-York], 11.1.
Croiseurs sous-marins allemands. — On
nous avertit que les croiseurs sous-marins
allemands ont maintenant fini leurs essais et
seront bientôt en haute mer. Quand l'ami-
ral Jellicoe a dit qu'on serait maître du
problème des sous-marins au mois d'août,
il pensa'it sans doute surtout au sous-marin
habituel qui a opéré autour de nos tÔles.
Mais ces nouveaux croiseurs sous-marins
constituent un problème différent. L'idée est
évidemment d'aller attaquer nos navires
en haute-mer, avant qu'ils ne reçoivent nos
escortes ; et la plus grande force en canons
des nouveaux sous-marins doit empêcher les
navires marchands de lutter avec eux. En
fait l'accroissement du type est à lui seul un
aveu que le « destroyer » avait la haute
main en cas de conflit avec l'ancien sous-
marin ; sans cela, mieux vaudrait avoir
deux petits sous-marins qu'un gros. Et le
nouveau type de 5.000 tonneaux sera aussi
à même de bombarder nos villes côtières.
— (Ed.) Manchester Guardian, 14.2.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
COMMERCE EXTERIEUR
Suède : COOPÉRATIVE D'IMPORTATION. — H
vient de se former à Stockholm, entre d'im-
portantes maisons suédoises s'occupant de
denrées coloniales, une coopérative d'impor-
tation par actions au capital de 5 millions
de couronnes. Un article intéressant des
statuts dit que le but de la Société est de
procurer au public consommateur les den-
rées coloniales aux prix les plus réduits,
tandis qu'un autre article stipule que les
actionnaires n'ont jamais droit à un divi-
dende supérieur à 7 Les maisons asso-
ciées dans cette entreprise représentent un
chiffre d'affaires de 200 millions et une ins-
titution financière a ouvert à la coopérative
un crédit jusqu'à concurrence de 50 mil-
lions. - lierlingske Tidende (dan.), 9.2
ACCORDS ECONOMIQUES
Espagne et Etats-Unis. — [Cf. Bull.
n° 715, p. 1, col. 2.] — Nous ne sommes pas
de ceux qui pressent le Gouvernement de
s'expliquer, avant l'heure de son choix,
sur des questions internationales d'ordre
économique et financier. Les Gouverne-
ments sont toujours mieux placés que les
particuliers pour juger de la publicité
qu'il convient de donner à de telles affai-
res. C'est ainsi que le président du Con-
seil n'a pas voulu démentir l'affirmation
de M. Melquiades Alvarez touchant la
connexité entre la convention commerciale
avec les Etats-Unis et l'accord financier
avec la France. D'ailleurs, il est logique
que les Alliés appliquent leur unité d'action
jusque dans leurs rapports avec les neu-
tres. En tous cas, on a publié certains dé-
tails de la convention hispano-nord-améri-
caine, qui représentent pour nous un avan-
tage considérable. Nous fournirons aux
Etats-Unis des pyrites de cuivre, du mine-
rai de fer, des excédents de nos produits
agricoles, en échange desquels nous rece-
vrons du coton, du pétrole et du matériel
de chiemins de fer. Nos stocks de coton, se-
lon l'évaluation du dernier « Bulletin du
coton », n'atteignent pas 100.000 balles,
provision à peine suffisante pour assurer
pendant trois mois notre consommation in-
térieure. C'est dire qu'une crise inévitable
immobiliserait 300.000 ouvriers. Quant au
pétrole, on se tromperait en imaginant
qu'il s'agit simplement de disposer d'essen-
ce pour l'automobilisme, industrie qui fait
vivre 8.000 familles, et en bien des cas
remplace et décongestionne le trafic par
voies ferrées. Mais ce n'est pas toute l'im-
portance du pétrole : il sert exclusivement
à éclairer un grand nombre de mines, et
faute d'en avoir, on imagine sans peine
les dommages infligés à notre richesse
nationale et les dangers courus par une
population minière condamnée au chôma-
ge. Enfin, on extrait du pétrole les lubri-
fiants nécessaires à l'entretien du matériel
de chemin de fer.qui assure nos transports.
Nous arrivons ainsi à la troisième fourni-
ture consentie par les Etats-Unis : le ma-
tériel de chemin de fer. Il n'est pas un Es-
pagnol qui ne reconnaisse l'importance pri-
mordiale de notre trafic intérieur. Ce trafic
se heurte pourtant à un obstacle contre le-
quel personne ne peut rien : la pénurie des
locomotives. Or, quand nous serons en me-
sure de régulariser nos transports, nous
obtiendrons un ravitaillement plus normal,
plus sûr et plus économique de nos popu-
lations. Tels sont les avantages que nous
offre l'accord en question. Nous estimons
que le Gouvernement a été bien inspiré en
entamant ces transactions. Il ne lui reste
plus qu'à leur assurer une prompte effica-
cité. — H'-'ocn, 12.2.
AVENIR ECONOMIQUE
Portugal : LES CONSTRUCTIONS MARITIMES. —
La Capital 7.2 publie une lettre qui lui est
adressée à propos d'un article qu'elle a
Î' Er LA G U
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N° 719
Paris. 18 février 1918.
UIletinQuotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
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ral Jellicoe a dit qu'on serait maître du
problème des sous-marins au mois d'août,
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Mais ces nouveaux croiseurs sous-marins
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coton », n'atteignent pas 100.000 balles,
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cité. — H'-'ocn, 12.2.
AVENIR ECONOMIQUE
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La Capital 7.2 publie une lettre qui lui est
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